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ZenZoe

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Je fais partie de ceux qui ne sont rien, c'est tout ce que j'ai à dire à mon sujet.

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Derniers commentaires



  • ZenZoe ZenZoe 16 novembre 2010 12:40

    Holà holà, suspens par ci, suspens par là ...

    Il me semble que vous voulez parler de « suspense » et non pas « suspens » ?

    En plus, vous mettez le mot partout et dans la bouche de nombreux journalistes, qui connaissent peut-être mieux l’orthographe de ce mot que vous.

    Vous me copirez 20 fois : « le suspense est terminé pour Woerth, dont le sort était en suspens ».

    Amicalement,



  • ZenZoe ZenZoe 16 novembre 2010 12:08

    Alors comme ça les écologistes s’organisent et proposent une force de frappe élargie pour la prochaine présidentielle ?
    Oui mais :
    N Sarkozy n’a pour une fois pas nommé n’importe qui au ministère (vrai flair politique ou heureuse coïncidence ? Allez savoir...). NKM est reconnue de tous comme compétente, femme de caractère et de conviction dans ce domaine.
    Conséquence : si on lui laisse faire son boulot à la NKM, elle va couper l’herbe sous le pied du nouveau parti au nom percutant et convaincre les électeurs. 
    Autant de voix perdues pour la gauche, dommage.



  • ZenZoe ZenZoe 16 novembre 2010 11:50

    Votre article me rappelle les années 70. Le thème de la surpopulation était très présent alors, avec deux craintes majeures :
    - une tension de plus en plus forte sur les ressources naturelles donnant naissance à des conflits importants entre pays,
    - une tension économique dangereuse, alors qu’au même moment on assistait à la robotisation et la mécanisation de nombreux métiers, supprimant du même coup des millions d’emplois parmi une population de plus en plus nombreuse.

    On voit bien aujourd’hui que ces craintes étaient justifiées. Il faut même y ajouter un 3ème élément dont peu avaient pressenti l’importance, la mondialisation, qui engendre des délocalisations à grande échelle et des transferts massifs de richesses et de pouvoir entre pays, perturbant les équilibres socio-économiques et politiques.

    Le thème de la surpopulation a fini par passer de mode dans les années 80, mais on dirait que, comme tant d’autres choses venues de cette période-là, leur pertinence redevient visible.

    En ce qui concerne les retraites, vous avez tout à fait raison.



  • ZenZoe ZenZoe 10 novembre 2010 12:51

    Toute peine mérite salaire. Ne jamais perdre de vue ce principe. Je suis contre toute tentative pour le contourner. 

    Pour autant, peut-on considérer que le travail qui sera fourni par les chômeurs britanniques bénéficiaires d’allocations ne reçoit pas de contrepartie ? Est-ce qu’on ne pourrait pas considérer que les allocations sont une forme de salaire, et qu’il serait juste qu’un travail soit fourni en échange ?

    C’est une question qui peut se poser en restant serein. Moi je pense que l’idée, appliquée brute de décoffrage en GB, peut être creusée et affinée (pas de contrainte par exemple).

    En France, un vrai paradoxe : d’un côté, des allocations données sans contrepartie, de l’autre, des emplois « d’état » qui ne sont pas pourvus faute de financement (contrôleurs, personnels de santé, entretien du patrimoine etc.). Conclusion : des millions de personnes dont les compétences s’étiolent, qui se replient sur eux-mêmes et s’enfoncent peu à peu dans la marginalité. Ce serait peut-être une bonne chose de proposer aux chômeurs, sans contrainte ni menace, un revenu (peu importe le nom) plus élevé à ceux qui acceptent de travailler en échange. Au lieu d’être « chômeur » on serait salarié par l’Etat, en attendant de retrouver un autre emploi. Bref, c’est juste des exemples que je donne. Je veux juste dire que la situation est intenable pour les chômeurs maintenant, et que rejeter tout en bloc est stérile. On devrait pouvoir discuter de toute mesure susceptible d’améliorer le quotidien des chômeurs.

    Il ne faut pas oublier que, en GB, les gens sont globalement moins stressés et bien moins pessimistes que les Français sur l’avenir, et que les opportunités restent très intéressantes. En GB, il y a aussi la crise, mais parions que les Anglais, moins rigides que nous, s’en relèveront plus vite.



  • ZenZoe ZenZoe 10 novembre 2010 11:57

    Jamais aimé Florent Pagny, sa suffisance, son côté « je-suis-trop-cool-et-je-vous-emm... », ses fraudes fiscales par derrière en exhortant les téléspectateurs à faire des dons par devant avec ses potes enfoirés (ou autre, je ne sais plus, je ne regarde pas les concerts).
    Il a les moyens de payer des études aux States à ses mômes, grand bien lui fasse. A Miami, au soleil et entourés d’autres millionnaires, encore mieux ! Même sans parler arabe, lesdits mômes seront bilingues quand même et ce sera un boost pour leur future carrière dont on se fiche royalement.
    Et aussi : je crois savoir que notre dérapeur médiatique vient de Dijon. Pour connaître cette ville, je sais que ses établissements scolaires ont peu en commun avec certains collèges de St-Denis, et que beaucoup d’enfants y poussent sans traumatisme, dans une bulle relativement cossue même pour certains, comme dans de très nombreuses autres villes d’ailleurs. La France n’est pas un gigantesque 9-3, et les propos de M. Pagny sont ceux d’un imbécile prétentieux et snob.

    Maintenant que j’ai craché mon venin, je suis plus calme et tiens à ajouter ceci :

    Florent Pagny a le droit de dire ce qu’il veut, quand il veut et où il veut.
    Je voudrais augmenter la taille des lettres pour l’écrire, mais je ne trouve pas le bouton. Il a le droit de dire ce qu’il veut dans ses chiottes, à la télé, partout. S’il n’aime pas les Arabes, et même si je pense que c’est un trou-du-cul pour le dire, il peut le dire. S’il est raciste, il peut le dire (au moins, on saura à qui on a affaire). 
    De quel droit certains (pas plus beaux ni plus avisés que les autres), juste parce qu’ils ont réussi à se faire un place dans les medias, s’arrogent-ils le droit de nous dicter ce qu’on devrait dire ou penser ? Marre du terrorisme intellectuel, de cette nouvelle forme de censure appelée le politiquement correct.

    Messieurs-Mesdames des médias, je vous le dis : vous nous gonflez. On est en république, et on dit ce qu’on veut. Na !

    Ah, et autre chose : on est en république, et personne n’est obligé d’écouter les divagations de chacun et d’y prêter une attention qu’elles ne méritent pas. (Pagny a dit ça ? Ah bon, tiens je reprendrais bien un petit verre, et si quelqu’un peut me passer les zolives ?)

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