Roubachoff

@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
C’est la seule option : tout sauf Macron ou Pécresse.
Sinon, on est fichu.

@Joséphine
Ras-le-bol des gens qui pensent avec leurs pieds — comme cet auteur. Avoir sur un conflit géopolitique un point de vue nuancé, ce n’est pas « soutenir Poutine », nom de nom ! Et toute cette affaire n’est pas un jeu vidéo. Si la planète saute, on l’aura tous dans l’os. Et pour toujours. 
Rien à ajouter pour ce soir.

@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
Vous avez dû lire trop vite, c’est exactement ce que je dis. Un des trois pour pouvoir encore exister.
Le poisson rouge, c’était une petite pique à l’auteur. 

Et si on faisait un peu de politique en comprenant que nous ne sommes pas des spectateurs passifs mais des acteurs lucides ?

Quoi qu’il arrive lors de ces élections, le pays sera en très mauvaise posture. Cinq candidats principaux et... cinq baltringues. Inutile d’en rajouter sur Macron, Pécresse est une caricature, Zemmour un sinistre bouffon, Le Pen s’en contrefout et Mélenchon traîne depuis quarante ans sa nullité sur les bancs de toutes les institutions à pépètes. Certes, mais :

1. Si Macron gagne, c’est parti pour un deuxième mandat sans contre-pouvoirs. Institutions, justice, corps intermédiaires, presse, tout le monde cire les pompes à ce type.
2. Aucun des autres n’aura tout ce monde avec lui (ou elle). Une manif contre un de ces nuls, ce ne sera pas deux cent mille personnes, mais deux millions, voire plus. Et tous (sauf Pécresse, c’est pour ça qu’il faut aussi l’éliminer) auront un mal de chien à avoir une majorité viable (voire une majorité tout court) à l’Assemblée.

Donc, quoi qu’il arrive, la France sera en guerre. Avec aucune possibilité de gagner contre Macron (ou Pécresse, dans une moindre mesure) et des chances de résister contre les autres — ou du moins de peser. Enthousiasmant ? Pas du tout, non, mais c’est comme ça. 

Quant au vote farfelu que propose l’auteur, tant qu’à faire, je préférerais mettre dans l’urne le nom de mon poisson rouge. 

@sylvain
Non, mon cher, j’ai tout ça, croyez-moi, et le net me prend plutôt du temps sur des activités bien plus amusantes ou rentables. D’ailleurs, je ne parlais pas que pour moi. N’empêche que le retour des lettres de cachet et des procès de Moscou n’est pas une bonne chose, loin de là. Mais bon, si vous préférez avancer à coup de clichés bien pourris, libre à vous.