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Mohammed-Salah ZELICHE

Mohammed-Salah ZELICHE

Chercheur en littérature, indépendant. Auteur de deux ouvrages d'analyse littéraire. L'Ecriture de Rachid Boudjedra : Poét(h)ique des deux rives, Editions Karthala, 2005. Et Mohammed Dib. L'homme épris de lumière - Evolution créatrice et dynamique de libération du moi, L'Harmattan, mai 2012.

Tableau de bord

  • Premier article le 05/09/2006
  • Modérateur depuis le 03/10/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Mohammed-Salah ZELICHE M-S. ZELICHE 24 octobre 2007 18:45

    Merci Leila pour cet encouragement.

    S’il n’y a pas de réactions sur ce fil c’est pour cette simple raison : Agoravox ne l’a mis en ligne que vers 14 heures hier.

    Alors que d’autres articles sur le même sujet était bien en haut, bien en vue dans la page d’accueil, le mien est placé tout au fond. Je l’ai pourtant soumis au comité de lecture avant hier en matinée. Il aurait pu prendre place parmi les premiers. C’est comme un sportif qu’on met en course alors que le peloton était déjà loin. Mais bon... c’est une façon de parler. Il ne s’agit pas de course avec les autres rédacteurs. Non, rien de tout cela. Mais il est bien regrettable qu’après avoir mis beaucoup de soin à rédiger un article il ne soit pas reçu comme on l’escomptait. Cela, d’autant plus que mon avant-dernier texte a dû attendre plusieurs jours.

    Ceci dit, je ne me plains pas . En tout cas, pas vraiment.

    Cordialement.



  • Mohammed-Salah ZELICHE M-S. ZELICHE 4 octobre 2007 14:01

    @ DOM

    Je ne fustige pas « TOUS » les philosophes - il va sans dire. D’où d’ailleurs ma citation de Gilles Deleuze et le lien à la fin de l’article. Je dirais même que votre réflexion s’oriente dans le sens de ce que j’ai essayé de faire comprendre ici.



  • Mohammed-Salah ZELICHE M-S. ZELICHE 3 octobre 2007 16:16

    @ Le Florentin

    Paradoxal sur les bords, le Florentin : Il tient tellement à « sa » philosophie de la guerre ! Comme si d’autres ne peuvent pas en avoir la leur... En fait, celle des autres n’est jamais la bienvenue.

    Florentin, vous êtes sans doute en train d’écrire sous la pression et cette pression a un nom : la haine.



  • Mohammed-Salah ZELICHE M-S. ZELICHE 3 octobre 2007 15:25

    Vous n’avez pas bien lu ou bien saisi ce que j’ai dit - sans doute est-ce parce que votre vision entend être partielle.

    Je suis contre toutes les intolérances, iranienne ou occidentale. Je mets dos à dos mollahs et philosophes pseudo nouveaux. Je dis que cette guerre que l’on veut tant faire est pourrie. Les arguments apportés pour la justifier sont sinon ridicules du moins dérisoires et fort hypothétiques.

    Cela dit, ce n’est pas une nouveauté que dans les pays arabes et musulmans un président déclare l’Etat d’Israël comme une création tout à fait illégitime. L’on continue d’ailleurs dur et ferme à le soutenir. Jusqu’au Pakistan qui a sa bombe et qu’on n’a pas vu menacer Israël, celui-ci qui sans répit agresse tous ses voisins. Que Mahmoud Ahmadinejad met en avant sa colère n’apporte que de l’eau dans le moulin du clan de la guerre contre l’Iran.

    Jusqu’à preuve du contraire la bombe iranienne n’existe que dans la « crainte », les délires et les préconçus de ceux qui veulent aller au-devant de leur désir. Si guerre il y a, ce sera certes pour ces motifs ridicules mais surtout pour ce que d’autres appellent déjà « la cerise sur le gâteau ».

    Enfin, je ne remets pas en question la shoah ; cela est une autre question et ne concerne en rien le sujet ici traité.



  • Mohammed-Salah ZELICHE M-S. ZELICHE 6 septembre 2006 18:36

    Permettez-moi de vous dire ceci :

    Vous ne démontrez rien de pertinent ni sur le plan historique ni sur le plan analytique. Encore moins sur le plan méthodologique. En revanche, on remarque dans vos propos une intention de porter atteinte à la figure (fort symbolique, nul doute) de l’intellectuel qu’est Said. Ce que vous ne savez pas faire. Car, lors même qu’on use de termes comme « ignardise », « aveuglement idéologique », et qu’on dit de quelqu’un dont l’oeuvre est respectée mondialement, qu’il n’est pas capable de commettre un travail de 2è année d’histoire, on apporte la preuve même de son manque de disponibilité à discuter/dialoguer - sereinement. Or notre propos est le dialogue. Vous devriez donc, et cela est tout à fait dans l’ordre des choses, dépasser vos préjugés, à la rigueur dépasser votre exaspération - avant de reprocher avec une telle légèreté à un humaniste de cette envergure de n’être pas assez rigoureux.

    Vous dites : « Comment peut-on discuter de l’orientalisme en ignorant l’histoire de cette discipline ? »

    Cette question, Monsieur, par laquelle vous feignez de vous indigner/étonner, si j’étais méchant je vous l’aurais posée dès votre premier post. Car vous dérivez, laissez le fond du problème, recherchez visiblement la polémique. Vos bribes, glanées par-ci par-là dans le texte de Said, n’ont de consistance que celle que vous voulez leur prêter.

    J’aimerais pour répondre à vos allégations vous opposer l’avis de cet éminent chercheur, Tzvetan Todorov, à qui il serait difficile de reprocher une quelconque méconnaissance des textes, qui a préfacé l’édition de 1980 :

    « Le champ eût été trop vaste s’il avait fallu l’embrasser dans son entier. Said en a donc choisi un seul segment mais qui est particulièrement intéressant, significatif, riche : il a opté pour l’autre extérieur plutôt qu’intérieur (à la différence d’un Hans Mayer qui a consacré son Aussenseiter aux femmes, homosexuels et juifs dans notre société) ; de tous les extérieurs il en a choisi un : l’Oriental, et il s’est même concentré sur l’une de ses versions, l’homme du Proche et du Moyen-Orient, musulman et arabe ; de tous les discours il n’a retenu que les plus révélateurs, ceux tenus en France, en Angleterre et aux Etats-Unis ; et il s’est limité à une seule époque (mais elle est évidemment essentielle) : le dix-neuvième et le vingtième siècle. Ce sont là des restrictions importantes, et pourtant elles ne diminuent pas vraiment la portée de son analyse : il est facile de voir au prix de quels ajustements elle pourrait s’appliquer à d’autres temps, à d’autres espaces. C’est même cette spécificité du discours de Said qui en assure, paradoxalement, la généralité. » (L’Orientalisme, préface de Tzvetan TODOROV à l’édition de 1980, pp. 7-8)

    J’espère que ce passage pourra apporter suffisamment d’éclairage.

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