@lecoindubonsens Trop long et complexe pour vous répondre ici sur le facteur anthropique du CO2, je vous conseille la lecture de la BD « Un monde sans fin », c’est un excellent média pour mieux appréhender l’évolution non naturelle du climat et le lien avec les émissions de CO2 (et autres gaz à effets de serre).
Perso je mets en exergue l’augmentation de la population comme facteur principal de l’élévation du CO2, c’est un sujet tabou dans les médias classiques car pas politiquement correct. Je vous rejoins dans votre réflexion finale, en pensant qu’avec la désindustrialisation le poids actuel et direct de la France dans l’augmentation présente est minime, et tous nos gestes ne pèsent pas (plus) grand chose... (BBQ ou pas !)
Pour autant, l’élévation du niveau de la mer n’est qu’un aspect parmi beaucoup d’autres : températures, cycles des pluies, désertifications, pénurie d’eau, pays devenus inhabitables, mouvements de populations, etc... En plus d’éviter les bords de mer pour la construction, je vous conseille de préparer votre logement pour les vagues de chaleur longues et intenses qui ont déjà débutées ! (isolation très performante, climatisation, normes RE2020, etc...)
La croissance de la population est corrélée avec la croissance des émissions de CO2. Si vous voulez ralentir la croissance de ce CO2 avant d’arriver aux seuils d’emballement du climat (le fameux +1,5°, plus très loin), La croissance de la population doit ralentir puis s’inverser !
Vous pouvez faire de la croissance verte aussi mais l’effet restera marginal, à l’échelle de la planète.
Après faire des belles phrases c’est sympa, mais c’est le climat qui se chargera de réguler la population avec les 4 fléaux historiques : maladies, famines, guerres et troubles sociaux... et ça a déjà commencé.
Un autre point concernant la bataille de Bouvines qui a mon sens lui donne un caractère particulier est le soutien apporté par les milices de Paris et des villes du nord de la France, elles représentent le plus gros du contingent et vont se battre vaillamment auprès de leur roi. Cette union, peut-être nouvelle contre l’étranger allemand, flamand et anglais est souvent présenté comme la naissance du sentiment national.