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Laurent

Citoyen

Tableau de bord

  • Premier article le 10/10/2005
  • Modérateur depuis le 08/03/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique












Derniers commentaires



  • Laurent 6 avril 2012 12:38

    Décidément vous êtes fidèles à votre réputation, et en plus vous utilisez le terme de diffamation à tort et à travers.

    Diffamer :
    Chercher à porter atteinte à la réputation ou à l’honneur de quelqu’un par des écrits ou des paroles.

    Quand est-ce que j’aurais fait cela ?

    Je n’ai fait que parler du statut des PEGC en rappelant que le passage standard pour être professeur de collège a toujours été le CAPES.

    Sur les PEGC, voici un extrait d’un site du SNIUPP :

    "...les années 60 et 70 ont été marquées par ce qu’on a pu appeler « l’explosion scolaire » : entre 1965 et 1975, on construit 2345 collèges (près de 2 tous les 3 jours). La demande d’enseignants est pressante et pour y répondre, l’état crée les centres de formation et le corps des PEGC.

    Les PEGC vont « cohabiter » avec diverses catégories de professeurs, dans des conditions de grande inégalité : différences de salaires, d’horaires hebdomadaires (à l’origine 23 heures de cours pour les PEGC).« 

    Je ne dis pas autre chose, les PEGC ont bien été créés pour pallier au manque de diplômés du CAPES et les conditions de recrutement étaient moins drastiques. Argument utilisé pour les faire travailler plus et les payer moins en tout cas au départ.

    Maintenant ne venez pas me dire que les PEGC n’avaient pas deux matières, et si vous pensez que quand on est qualifié pour enseigner le français on l’est également pour enseigner les maths, tout ça avec deux ans à l’école Normale, alors je n’ai rien à rajouter.

    Quant aux PEGC boulets dans les collèges, j’appelle en témoignage ceux qui étaient au collège dans les années 70/80 , qu’on ose me dire que dans la majorité des cas, les professeurs qui enseignaient deux matières différentes (donc des PEGC) n’étaient pas ceux qui avaient les plus mauvaises classes, ou bien ceux qui enseignaient les secondes langues (l’enseignement des langues ayant toujours été minable en France alors la seconde je n’en parle pas), et souvent ceux qui étaient le plus chahutés.

    Ah, au fait ; vous ne connaissez pas non plus le sens du mot insulte décidément, pourtant vous pratiquez ce sport à longueur de commentaires.

    Ah oui, au fait je veux bien croire que vous êtes seul, j’avais mis un »ou" dans ma phrase, dans ce cas votre vie c’est AV ceci expliquant cela. Je prendrai pas plus de temps car j’ai une vie ailleurs que sur AV.

    Alors bonnes éructations, lâchez vous visiblement cela vous plaît. Au moins comme cela je vous donne une raison d’exister face à votre écran.
     



  • Laurent 6 avril 2012 11:49

    Décidément Morice, vous ne savez pas faire court. Je ne parlerai pas de la lourdeur du style, d’autres l’ont déjà fait, ni du fond, mais simplement de la concision.
    Un des qualités principales d’un journaliste digne de ce nom c’est la capacité à faire un tenir un récit ou une argumentation complet(e) et cohérent(e) dans un minimum de place, ce sans trahir les faits et dans la mesure du possible l’objectivité que (devrait) demander la fonction.
    Ce reproche peut d’autant plus s’appliquer à votre cas quand on voit que dans votre profil vous vous targuez d’avoir été journaliste, rappelez vous donc quand vous deviez tout faire rentrer dans 2 colonnes.

    De nombreuses fois, je commence un de vos articles, le sujet étant potentiellement intéressant, mais rapidement quand je vois la longueur de l’article et surtout votre manière de tout délayer , j’abandonne.

    D’ailleurs, au vu des quantités de prose déchargées sur AV, on peut se demander s’il n’y a qu’une personne derrière ce pseudo (si c’est le cas alors c’est une personne qui ne fait que cela). Malheureusement la quantité ne fait pas la qualité.

    On peut également se poser la question de la modération sur AV et sur le comité de rédaction quand on sait que le motif « article trop long » fait partie des motifs de refus. Mais bon les règles de publication sur AV sont un débat récurrent.

    Allez essayez de faire plus court, rappelez vous les résumé/discussions de quand vous étiez professeur ou élève.

    Ah au fait, autre sujet complètement différent, dans votre profil, vous mettez en avant le titre de PEGC, comme celui de professeur des collèges, ce qui est exact, mais il serait bon de rappeler que les PEGC ont principalement été créés pour pallier au manque de professeurs certifiés (ayant donc passé le CAPES) en recrutant des personnels n’ayant pas passé le concours mais pouvant justifier d’une expérience professionnelle en rapport avec la matière à enseigner. Les PEGC enseignaient d’ailleurs généralement deux matières sans rapport l’une avec l’autre (par ex. Math et Espagnol) ce qui est un pur non sens.
    Beaucoup d’enseignants se sont battus à l’époque contre ce statut qui amenait une baisse du niveau de l’enseignement, tout en exploitant des personnes en leur faisant faire le même travail (voire plus) que les professeurs certifiés et en les payant moins. Dans mes souvenirs de collège, les profs à 2 matières (ce qui était le moyen de les répérer) étaient les boulets de l’établissement.

    Le vrai diplôme de professeur de collège c’est le CAPES pas autre chose.

    Maintenant il est clair qu’il y a bien évidemment eu de très bons PEGC et de très mauvais « Capessiens » mais le statut lui même était un non sens.



  • Laurent 6 avril 2012 10:23

    @L’auteur,

    Tout à fait d’accord avec vous, et le cas d’Imothep est flagrant surtout si vous tentez de lire la flopée de liens qu’il colle à la fin de ses articles. On peut partager ces idées mais la lecture est tellement indigeste qu’on s’empresse d’aller voir ailleurs. J’en avais fait part dans un post en réponse à un de ses articles malheureusement je ne pense pas qu’on puisse changer quelqu’un comme cela.



  • Laurent 4 avril 2012 17:01

    Je n’ai pas dit que vous l’étiez, simplement que l’article peut y entraîner un certain nombre de personnes qui n’ont pas besoin d’être poussées très fort.



  • Laurent 4 avril 2012 16:27

    Beaucoup de choses à dire, trop, donc sélection en essayant d’être bref.
    Tout d’abord j’’aime beaucoup le style, pas très académique certes mais percutant et drôle. Cela nous change des littérateurs frustrés qui ne réussissent qu’à nous pondre des articles particulièrement indigestes (quand certains ne sombrent pas dans un lyrisme qui a toutefois le mérite d’être drôle).
    Bon pour terminer avec les préliminaires hors sujet, j’abonde dans le sens de Catart quand il parle de la censure des intégristes du FdG sur Avox ainsi que de leurs commentaires hargneux dès qu’on se permet de dire que peut-être leur idole n’est pas le messie.

    Maintenant sur le fond de l’article, certes, une campagne emmerdante, certes des personnages qui ne disent rien et un verrouillage des media, certes également un frémissement intéressant côté JLM qui donne une réelle fraîcheur au discours politique (malheureusement beaucoup de ses partisans servent de repoussoirs cf. plus haut).

    Cependant attention de ne pas se tromper de combat, une élection arrive, elle va décider de qui gouvernera pour les cinq ans à venir et on a vu les dégâts qui peuvent être faits en si peu de temps. Pratiquer le ’tous les mêmes« sous prétexte que la campagne est insipide ne peut que servir le sortant, et contrairement à ce qu’ont entend chez les militants du FdG (et c’est le plus gros reproche que je leur fais) Hollande ce n’est pas la même chose que Sarko.
    Les dérives fascisantes et racistes de l’UMP n’existeront pas si Hollande passe, sur bien des points il sont différents.

    Alors je ne suis pas idiot et je sais bien qu’économiquement il y aura peu de différences, tout cela parce que le système aujourd’hui les dépasse. Donc la réponse (qui est beaucoup trop lourde pour être développée ici) est dans le changement du système économique, et ça ça prendra des années et ce ne peut être décidé par ces élections.

    Donc si on veut vraiment voir un changement, c’est d’abord contenir les dégâts, et ça ça passe par éviter la reconduction des libéraux ; ensuite c’est se regrouper et militer à un niveau international pour arriver à imposer des idées différentes, certains mouvements existent déjà et c’est dans cette direction qu’on pourra espérer une réelle (R)évolution.

    Alors même si le discours ambiant est désespérant, sauf encore une fois je l’admets Mélenchon, il ne faut pas dire et répéter que tous les candidats se valent. C’est cette attitude qui est dangereuse et qui peut permettre au délinquant en poste aujourd’hui d’être réélu.

    Que les militants de Mélenchon portent sa parole, qu’ils fassent le forcing pour l’amener le plus haut possible, très bien, bravo. Par contre qu’ils disent que si le deuxième tour est celui qu’on nous promet alors ils ne voteront pas, c’est juste une ignominie indigne d’un militant de gauche digne de ce nom.

    Votre article, malgré toutes ses qualités, entraîne également vers ce »tous pourris" auquel je me refuse car le danger qu’il recèle en son sein est grand.

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