@jocelyne Ursula n’est pas une inconnue en Allemagne. Elle a participé à deux gouvernements d’Angela Merkel, d’abord comme ministre de la famille où elle a marqué par sa politique d’émancipation féminine (qui n’était pas forcément bien vue dans sa falille politique), puis comme sinistre des armées sans augmentation budgétaire, donc sans pouvoir. Qui l’a nommée à la commission ? Merkel, dont l’influence en Europe lui a toujours permis de faire ce qu’elle voulait, à savoir pas grand chose.
Nommer Rouen « la cité de l’évêque Pierre Cauchon » est un raccourci osé : évêque de Beauvais, il a vendu Jeanne d’Arc aux anglais alors qu’elle était détenue à Compiègne, dans son diocèse. Il présida le tribunal d’Inquisition lors du célèbre procès à Rouen, ville controllée par les anglais, de manière tout à fait temporaire.
En Souabe, c’est organisé par les communes au début du printemps (« Putzete »). C’est un action qui vit de la participation volontaire des citoyens. Bien sûr, ceux qui jettent ne sont pas ceux qui ramassent. Et ceux qui ramassent ne sont qu’une petite partie de ceux qui ne jettent pas. Mais ne vaut-il pas mieux faire l’effort d’amener un papier gras jusqu’à la prochaine poubelle que de vivre soit-même dans la poubelle, en faisant comme si de rien n’était ?
Je ne comprends pas la logique de l’argument... L’État cherche à former des citoyens éclairés sachant lire, écrire, compter, comprenant et adhérant aux principes de la république (le « vivre ensemble »). Le caractère propre d’un enseignement religieux ne doit pas contredire ces objectifs, ici l’égalité homme-femme, s’il s’est lui-même soumis au contrat.