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Gilbert Gosseyn

Gilbert Gosseyn

ATTENTION Si vous lisez ceci, alors cet avertissement est pour vous. Chaque mot que vous lisez de ce texte inutile est une seconde de perdue dans votre vie. N'avez-vous rien d'autre à faire ? Votre vie est-elle si vide que, honnêtement, vous ne puissiez penser à une meilleure manière de passer ces moments ? Ou êtes-vous si impressionnés par l'autorité que vous accordez votre respect et vouez votre foi à tous ceux qui s'en réclament ? Lisez-vous tout ce que vous êtes supposés lire ? Pensez-vous tout ce que vous êtes supposés penser ? Achetez-vous ce qu'on vous dit d'acheter ? Sortez de votre appartement. Rencontrez un membre du sexe opposé. Arrêtez le shopping excessif et la masturbation. Quittez votre travail. Provoquez une bagarre. Prouvez que vous êtes en vie. Si vous ne revendiquez pas votre humanité, vous deviendrez une statistique. Vous êtes prévenus... Tyler.
 
La carte n'est pas le territoire. A. Korbsybski.

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  • Premier article le 25/02/2023
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Derniers commentaires



  • Gilbert Gosseyn Gilbert Gosseyn 12 janvier 2023 18:26

    @mursili
    Les « C’est des/les » à la place de « Ce sont des/les », impayable !
    Doit-on parler des liaisons ?



  • Gilbert Gosseyn Gilbert Gosseyn 12 janvier 2023 18:15

    @mursili

    Cela n’est plus une priorité de s’exprimer correctement en français en public ou, passé 50 ans, je suis devenu un vieux con aigri. C’est possible ... ou les deux à la fois ...

    J’espère qu’il les rappelle smiley puisque c’est le nom du principal protagoniste de « Monde des Non-A » (désolé je ne sais pas placer la barre sur le A). Un rappel aussi à la Sémantique Générale d’Alfred Korbsyski et à ce grand Monsieur de la S.F. injustement oublié comme vous l’écrivez.



  • Gilbert Gosseyn Gilbert Gosseyn 12 janvier 2023 17:39

    Merci Réflexions du Miroir.

    Il existe un bon reportage sur l’art de rue (pour aller un peu plus loin...) : « Exit Through The Gift Shop » (Faites le Mur) de 2010.

    Sinon la créativité est la part de dieu en nous. Malheureusement pour un Monet, Rembrandt, Mozart, Beethoven etc. combien de constructeurs de tour Eiffel en allumettes ?

    Le travail, parfois jusqu’à l’acharnement, peut conduire l’art à un certain aboutissement mais conjugué au génie de quelques hommes, nous amène à la grâce, au dépassement. Mais créons-nous pour les autres ou pour nous-même ?



  • Gilbert Gosseyn Gilbert Gosseyn 11 janvier 2023 17:22

    Karl Marx,
    Contribution à la critique de La philosophie du droit de Hegel (1843) :

    « Pour l’Allemagne, la critique de la religion est finie en substance. Or, la critique de la religion est la condition première de toute critique.


    L’existence profane de l’erreur est compromise, dès que sa céleste oratio pro aris et focis (1) a été réfutée. L’homme qui, dans la réalité fantastique du ciel où il cherchait un surhomme, n’a trouvé que son propre reflet, ne sera plus tenté de ne trouver que sa propre apparence, le non-homme, là où il cherche et est forcé de chercher sa réalité véritable.


    Le fondement de la critique irréligieuse est celui-ci : l’homme fait la religion, ce n’est pas la religion qui fait l’homme. La religion est en réalité la conscience et le sentiment propre de l’homme qui, ou bien ne s’est pas encore trouvé, ou bien s’est déjà reperdu. Mais l’homme n’est pas un être abstrait, extérieur au monde réel. L’homme, c’est le monde de l’homme,
    l’État, la société. Cet État, cette société produisent la religion, une conscience erronée du monde, parce qu’ils constituent eux-mêmes un monde faux. La religion est la théorie générale de ce monde, son compendium encyclopédique, sa logique sous une forme populaire, son point d’honneur spiritualiste, son enthousiasme, sa sanction morale, son complément solennel, sa raison générale de consolation et de justification. C’est la réalisation fantastique de l’essence humaine, parce
    que l’essence humaine n’a pas de réalité véritable. La lutte contre la religion est donc par ricochet la lutte contre ce monde, dont la religion est l’arôme spirituel.


    La misère religieuse est, d’une part, l’expression de la misère réelle, et, d’autre part, la protestation contre la misère réelle. La religion est le soupir de la créature accablée par le malheur, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. C’est l’opium du peuple.


    Le véritable bonheur du peuple exige que la religion soit supprimée en tant que bonheur illusoire du peuple. Exiger qu’il soit renoncé aux illusions concernant notre propre situation, c’est exiger qu’il soit renoncé à une situation qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc, en germe, la critique de cette vallée de larmes, dont la religion est l’auréole
    .

    (1) »discours pour les autels et les foyers" , c’est-à-dire pour Dieu et la patrie.

    Et voilà pour lui ...



  • Gilbert Gosseyn Gilbert Gosseyn 9 janvier 2023 17:28

    @mursili

    Exact ! La grammaire de nos élites télévisuelles est à chier.
    Plus les « ouais » qui traînent ici et là, les mots en « isme » qui se prononcent « izme », les « pas » qui perdent leur « ne », etc.
    Et du coté des écrivaillons cherchant à s’exprimer coûte que coûte, le manque de majuscules est pour moi symbole d’impolitesse.
    Enfin, je suis plus enclin à accepter les fautes d’orthographe comme preuve d’humanité et il serait stupide de corriger un étranger faisant l’effort de s’exprimer dans notre langue surtout si nous savons qu’il est (de Marseille) étranger. 

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