Ce qui est certain, c’est que Yair Nétanyahou, le fils de son père, est actuellement aux USA, et qu’à 32 ans, il n’a pas jugé opportun de se porter volontaire pour aller défendre à Gaza la politique de son père ! Peut-être a-t—il peur d’être traumatisé ?
D’après I24News : ’’La répartition des victimes est la suivante : 334 femmes et 956 hommes,
dont 817 civils et 473 soldats, policiers et secouristes du Magen David
Adom. Parmi les victimes, 36 étaient mineurs, dont 28 adolescents entre
10 et 17 ans, 7 enfants entre 2 et 9 ans, et un bébé de 10 mois. Les
autres victimes se répartissent par groupes d’âge : 666 personnes âgées
de 18 à 29 ans, 186 entre 30 et 39 ans, 105 entre 40 et 49 ans, 91 entre
50 et 59 ans, 79 entre 60 et 69 ans, 58 entre 70 et 79 ans, et 24 entre
80 et 91 ans.’’
Pourquoi mélanger soldats (armés) et policiers (armés) avec les secouristes (en principe non armés) ? Parmi les civils adultes, combien étaient armés ? Il y a 1 seul bébé (10 mois), où sont passés les bébés décapités ?
’’Une
journaliste de la chaîne i24 a fait état de la découverte, dans le
kibboutz libéré par l’armée israélienne, de 40 corps de bébés, parfois
mutilés. Si le massacre de civils a été d’une large ampleur, ce chiffre
semble émaner d’une seule source, et n’a pas été officialisé. .. Le tweet a été vu près de sept millions de fois. A 15h10, mardi, le
compte officiel de l’Etat d’Israël publie un post lapidaire : « 40 babies murdered ».
« Quarante bébés assassinés », en version française. Sous ces quelques
mots, une vidéo de la chaîne i24. La correspondante anglophone d’i24news
Nicole Zedeck, en direct depuis le kibboutz de Kfar Aza, à peine libéré
par l’armée israélienne, décrit l’horreur, visiblement émue. Et
rapporte notamment qu’« une quarantaine de bébés ont été transportés sur des brancards… »’’ https://www.liberation.fr/checknews/israel-dou-vient-le-chiffre-de-40-bebes-tues-et-parfois-decapites-par-le-hamas-a-kfar-aza-20231010_W57JMWPRV5DS7N2WU66MPRVBWI/
’’Aucune image, photo ou vidéo de bébés décapités, susceptible d’être indépendamment vérifiée n’a jusqu’à présent émergé.
Votre phrase : ’’Cela dit, le fait est que l’on ne les a pas beaucoup entendu s’opposer à
l’opération terroriste à Gaza, constitué de 1290 meurtres
d’Israéliens...’’ ne veut rien dire, à reformuler.
S’il ne fait pas de doute que des membres du Hamas (et d’autres formations combattantes palestiniennes) se sont livrés à un massacre le 7 octobre, on est encore très loin de connaître l’intégralité du déroulé de l’attaque et du bilan des morts et des actes de cruauté perpétrés.
Il n’y a pas de dimension religieuse dans la création d’Israël :
Theodor Hertzl n’était pas un Juif pratiquant et
même il fêtait Noël ! L’’origine du colonialisme sioniste n’est pas
religieuse, c’étaient des athées.
Réponse de Jerome Cohen, Juif de père en fils depuis plus de 120 générations à un lecteur du site https://fr.quora.com
’’Non. Herzl était un athée qui espérait à l’origine que le
baptême en masse des enfants juifs permettrait aux juifs de s’intégrer
pleinement dans la société européenne. Herzl ne pensait pas vraiment
beaucoup à sa judéité jusqu’à ce qu’un énorme appel au réveil arrive
sous la forme du procès Dreyfus.
Alfred Dreyfus était un Français patriote né juif. Il était
pleinement assimilé à la culture républicaine française et était un fier
officier dans l’armée française. Cependant, lorsqu’il fut faussement
accusé de trahison par un autre officier qui tentait de cacher sa propre
vente de secrets militaires aux Allemands, une grande partie de la
droite française se souleva en furie antisémite contre le "traître
juif".
Dreyfus était horrifié. Bien qu’étant un soldat de carrière
avec un dossier impeccable, le fait d’être né juif a suffi à le faire
condamner à perpétuité sur l’île du Diable en Guyane française.
Herzl aussi était horrifié. Si un homme aussi assimilé et
déraciné que Dreyfus ne pouvait être accepté comme un « vrai Français »,
aucun Juif ne le serait jamais. Profondément troublé, Herzl commença à
réfléchir à ce que signifie être juif et conclut que les hordes
antisémites avaient raison ; nous SOMMES une nation étrangère et nous
devrions donc avoir notre propre État plutôt que d’imposer à
« l’hospitalité » de nos « hôtes ».
Et c’est ainsi qu’est né le sionisme Herzlien moderne ; à
une époque de nationalisme et de luttes pour former des Etats-nations,
l’antisémitisme a poussé un intellectuel bourgeois patriotique
autrichien, qui célébrait Noël chaque année, à consacrer sa vie à la
création d’un Etat juif.
Donc, non. Herzl n’était pas religieux, certainement pas un
rabbin....en effet, il était à peine juif jusqu’à ce qu’une bande
d’antisémites enragés lui rappelle qu’il en était un et qu’à leurs yeux,
il le serait toujours.’’
Pour répondre à sa consommation d’électricité de 131,1 GWh., le
Portugal a produit 172,5 GWh d’électricité renouvelable entre vendredi
et samedi (28 et 29 octobre 2023) dont 97,6 GWh d’énergie éolienne.
Ca prouve que les premiers concernés sont en train de s’organiser en constatant ce qui se passe réellement, et que vous finirez par être submergé par votre propre bêtise car votre QI est au niveau zéro :
’’Togoru est un petit village de la côte sud de Viti Levu, la plus
grande île de l’archipel fidjien. Comme dans des dizaines d’autres, le
réchauffement climatique y impose sa dure réalité.
Lavenia McGoon,
70 ans, était là quand les tombes ont été submergées. Depuis, elle
redoute le jour où les vagues viendront directement toquer à sa porte.
En attendant, la vieille dame empile des pneus sous les cocotiers du
front du mer, en espérant que cette protection de fortune lui offrira un
répit.
Pour elle, ce n’est qu’une question de temps avant que le
changement climatique et la montée des eaux ne la poussent, avec sa
famille, à déguerpir. « Personne ne peut arrêter l’eau », dit-elle simplement à l’AFP, face à la marée et à quelques crabes qui se carapatent vers des rochers.
Mme McGoon, surnommée « Big Nana » par ses voisins, vit ici, au bord de
l’océan, depuis près de 60 ans. Sa petite maison en bois n’a ni
électricité, ni eau courante. La vieille dame lève son doigt vers les
vagues. « On avait une plantation, juste là », se souvient-elle. Mais la terre ferme a disparu. « En 20 à 30 ans, on a perdu presque 55 mètres ».
Les
quelque 200 morts autrefois enterrés à Togoru ont été dérangés dans
leur sommeil par l’océan. Mme McGoon raconte que les restes de la
plupart d’entre eux ont été déplacés plus loin. Elle, résiste, refuse de
s’en aller, s’accroche à son petit coin de paradis. De toute façon, « déménager à (son) âge » la rendrait malade.
Les
Fidji, encerclés par les eaux du Pacifique, se préparent au jour où la
vie sur les villages côtiers deviendra impossible. Le défi est colossal.
Le gouvernement estime que plus de 600 communes devront être évacuées
et que 42 villages sont déjà sérieusement menacés. Plus de 70% des
900.000 Fidjiens vivent en effet à moins de cinq kilomètres du front de
mer.
Selon
l’université australienne de Monash, les eaux du Pacifique occidental
montent deux à trois fois plus vite que la moyenne. Des petites nations
proches du niveau de la mer comme les Kiribati ou Tuvalu pourraient
ainsi devenir complètement inhabitables d’ici 30 ans.
Dans
leur malheur, les Fidji peuvent se réjouir d’avoir quelques montagnes.
Le village de Vunidogoloa par exemple, sur l’île de Vanua Levu, s’est
installé sur un terrain de plus haute altitude en 2014, devenant l’un
des premiers à devoir se déplacer à cause de la montée des eaux.
Les
200 habitants de Veivatuloa, à 40 kilomètres de la capitale Suva,
essaient quant à eux toutes les solutions à leur disposition. Là, l’eau
salée grignote les maisons en bois, montées sur pilotis. Entre elles,
des petits ponts en planches servent à éviter les flaques qui
s’accumulent au sol, quand la marée est basse. Le mur anti-submersion
qui protège le village aussi, accuse le coup. Et les habitants font
régulièrement pression sur le gouvernement pour qu’il soit renforcé.
Sairusi Qaranivalu, un porte-parole local, pense que déménager est une
grande souffrance pour les Fidjiens, où le lien à la terre et aux
ancêtres fait partie des coutumes. « C’est comme déconstruire la vie traditionnelle et la façon dont nous vivons ensemble », déplore-t-il.’’