focalix

Il ne s’agit pas d’une bévue. Elle a sciemment et joyeusement mis les pieds dans le plat !

L’idée est intéressante, et peut donner lieu à un débat citoyen.
En commençant par une attaque personnelle (réponse non pas sur le fond, mais sur le fait qu’elle n’est pas française de souche), François Fillon a ouvert une polémique politicienne et, accessoirement, montré à son inaptitude aux débats d’idées.

Sur le fond, je crois qu’une fête nationale avec les représentants de la société civile (mais pas forcément sans les militaires) est une idée plutot rassembleuse.

Après avoir combattu la corruption en France, en Norvège et en Islande, c’est bonheur que de la voir à nouveau chez nous.

Elle n’a pas fini de mettre en miettes les icônes.
Les filles, ça casse tout.

Eva, je vous aime !

On est toujours le con de quelqu’un...
Celui qui ne se sent pas concerné par cet adage est le con de tout le monde.
Le con universel en quelque sorte !

Lors d’une résente visite chez son avocat (le 1er juillet), Tristane Banon était accompagnée de Flaubert et d’un photographe.
Flaubert n’est pas son nègre, mais un superbe braque de Weimar.
La demoiselle est accroupie, le toutou à ses pieds, sur fond de piles de dossiers montrant que l’on ne se trouve pas chez un vétérinaire.
Les deux sont sans aucun doute photogéniques et l’image, prise à la lumière du jour, est réussie.
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/votre-semaine-d-actu-dsk-banon-gueant-et-les-mecs-bien_1010620.html

A mon humble avis, cette communication bling bling se marie mal avec l’austère pratique du droit.
J’ai bien peur que cette stratégie ne serve pas Tristane Banon, ni la cause de toutes les victimes de violences sexuelles ou autres.

Cela pourrait même se retourner contre elle car il existe une presse malodorante qui un jour nous demande de nous indigner, un jour de compatir, un jour de juger, un jour de crier au voleur, au violeur, à l’assassin. Certains journalistes n’ont pas grand chose d’autre qu’une carte de presse pour justifier ce titre, et ce sont surtout des prédateurs.

Sur le fond, je ne sais rien. C’est le travail des magistrats de savoir quelque chose(en l’occurence, ce n’est pas gagné).

Je souhaite sincèrement à Tristane Banon une belle vie personnelle et professionnelle.