C BARRATIER

@charlyposte
Heureusement, cela il n’a pas le pouvoir de le faire ! Nous ne sommes ni en Russie ni en Ukraine

Cette gesticulation, comme l’annonce des milliards d’économies que soit faire l’Etat vise à tenter de permettre à la France de garder sa note (les agences de notation en vue des emprunts des états).

Si la note est dégradée, il ne risque pas d’entrer en guerre en envoyant des soldats, l’Europe ne le suit pas. Et il aura du al à fournir gratuitement à l’Ukraine qui reste puissante face à la Russie, le obus et autres engins et munitions qu’il ne pourra pas financer.

Au plan social en France je m’attends au pire

Merci pour cet excellent article. Une pionnière cette femme. Une résistante lors de l’occupation par les Allemands. Bravo. J’imagine son courage, j’étais moi même enfant au milieu des maquisards ans un coin de l’Ardèche dont ils ne sont jamais venus à bout.

Je suis tres touché par cet article. Pascal Pick était d’origine limousine. Les maçons (comprenez tailleurs de pierre) de la Creuse on, construit le Panthéon, les Tuileries, et tant d’autres palais. Très pauvres, solidaires, ils passaient quelques mois d’hiver en Creuse, le reste du temps, ils étaient à Paris où ils venaient à pied. Idem pour Lyon. La Creuse a été l’un des premiers départements à se déchristianiser. je me souviens de Gaston, dans les années 70, à Paris, danseur du groupe folklorique creusois « les enfants de la Marche », qui après une sortie, -je dansais aussi les bourrées avec mon épouse et mon jeune fils,— m’invitant dans un bistrot face à une église, et me disant buvons un verre, c’est notre messe de maçons.

Le groupe a fonctionné à plein régime jusqu’aux années 1990...il s’est étiolé, mais en 2024 encore il a participé avec Alain Jacob, fondateur, et maître de danse à l(élection de la « payse de France »

Je salue la réussite de Pascal Pick, l’école publique était un tremplin social, comme il le dit, il fallait prendre l’ascenseur dès qu’il se présentait.

@S. Lampion
je l’ai apprécié ministre de l’éducation nationale, je suis un passionné de pédagogie par la bienveillance et aussi l’exigence. Il faut les deux.
J’ai été déçu lorsqu’il a été nommé premier ministre et il s’est beaucoup planté (Macron devait être le souffleur) avec les ministres écartés qui ne le méritaient pas et certains nouveaux, à l’éducation nationale en particulier . Mais entre deux candidats à la présidence Bardella et Attal, je suis certain que pour sortir la France de son ornière sans la remettre dans une autre il est prudent de prendre Attal. On trouvera peut être encore mieux. Depuis De Gaulle, nous n’avons pas eu d’homme providentiel, honnête et clairvoyant, pensant plus à la France qu’à lui même.