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 C BARRATIER

C BARRATIER

Je travaille depuis l’âge de 18 ans auprès des enfants, successivement instituteur, professeur, permanent des Centres d’Entrainement aux Méthodes d’Education Active (CEMEA), principal de collège, proviseur de lycée, mais aussi responsable de rencontres internationales de jeunes en Avignon et dans des chantiers bénévoles, conseiller municipal avec un suivi de crèches municipales, d’un Conseil municipal des Enfants, de chantiers internationaux dans ma commune. Je suis aussi Délégué Départemental de l’Education nationale appelé à suivre régulièrement le fonctionnement d’écoles publiques ou privées.

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  • Premier article le 28/03/2009
  • Modérateur depuis le 15/02/2010
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Derniers commentaires



  •  C BARRATIER C BARRATIER 9 mars 2010 22:13

    Il est important de comprendre ce qu’est notre système de retraite (qui ressemble à tous ceux de l’Europe continentale). Le point essentiel est que c’est du salaire. Lors de contentieux récents la cour européenne de justice a condamné la France qui touchant à la retraite touchait au salaire. On ne peut pas licencier un retraité, son salaire continué lui appartient à vie et un rapport a été fait entre son salaire d’actif et son salaire de retraité.

    Ce système tourne donc le dos à la retraite-placement financier personnel (fonds de pension).

    Pour les salariés du régime général, le problème était que l’entreprise devant le salaire retraite à vie pouvait disparaître. D’où la mutualisation par la sécurité sociale.
    Pour les fonctionnaires, l’Etat n’a pas voulu payer ses cotisations patronales à la sécurité sociale ; il est vrai que les états ne disparaissent pas.

    En 10 ans la part des salaires (avec pensions des retraités, avec cotisations patronales quand il y en a, ou abondement de l’Etat pour la fonction publique d’Etat, avec cotisations salariales) représente une masse salariale qui est passée de 70 % du PIB à 60 %. Cette spoliation des salariés publics et privés représente plusieurs fois le manque actuel pour financer les retraites. Mais en droit elles restent dûes par la Sécu ou l’Etat (ou la CNRACL pour les collectivités territoriales)

    Un autre concept existe, l’aide sociale aux vieux qui n’ont pas travaillé et n’ont donc pas de salaire dû. Il faut savoir que l’aide sociale est toujours distribuée sous conditions de ressources et en principe récupérable sur succession. Cette aide concenre les salairiés à petite retraite (minimum contributif) mais n’est pas soumis à recours sur succession.

    Nous devons au Conseil national de la Résistance que les salariéss ne soient pas à l’aide sociale. Et ceux ci ne se lasseront pas enlever ce droit, c’est sûr.

    Bien sûr ce système agace les banquiers : ils ne gèrent en rien ces sommes énormes qui ne passent pas par eux et qui justifieraient des royalties (salaires de PDG) si ces flux étaient des fonds de pension...Ils se serviraient, les joueraient en bourse comme ils l’ont fait partout, ruinant les retraités.

    Claude BARRATIER



  •  C BARRATIER C BARRATIER 6 mars 2010 19:10

    Une élection n’est jamais jouée.
    L’opinion publique est sensible à des articles de dénigrement faciles à mettre en place avant un sondage (dont personne ne peut vérifier la sincérité : questions posées, dépouillement.).. Aujourd’hui la manipulation de l’opinion publique est monnaie courante.
    Les médias sont aux ordres.
    Conclusion : si le pouvoir, allié aux plus riches de France s’acharne sur Ségolène ROYAL c’est peut être parce qu’il la redoute particulièrement. Sans la trahison des siens aux présidentielles elle passait. Pour qu’elle ne soit pas secrétaire du PS il a fallu que le camp AUBRY triche et lui vole sa victoire (les tripatouillages sont prouvés).
    Bref, je ne ferai quant à moi confiance ni aux sondages ni aux colporteurs de nouvelles non vérifiées....
    Un citoyen doit je pense douter systématiquement de tout ce qu’on lui présente, pour tenter d’être moins manipulé par ceux qui ont la finance pour le faire. L’argent roi, c’est aussi et beaucoup la manipulation de l’opinion.



  •  C BARRATIER C BARRATIER 6 mars 2010 14:21

    Encore la couleur de la peau ! Quand une oeuvre atteint l’universalité, son auteur l’atteint aussi, on est dans la ce qu’il y a de mieux dans l’humain, ce qui est commun, au delà des apparences qui ne sont rien à côté.
    Le faux problème n’aurait même pas dû être relevé, sauf par quelqu’un qui a des problèmes sur ce sujet et reste piégé dans un communautarisme obsolète.



  •  C BARRATIER C BARRATIER 28 février 2010 20:31

    A préciser bien sûr :
    Avant de refuser l’aide sociale et d’imposer aux ascendants ou descendants directs une pension dite alimentaire, l’éventuel juge de la famille tient absolument compte de toutes les charges (remboursements d’emprunts, coûts particuliers incompressibles, impôts, etc...)
     Dans les opérations de solidarité tout est transparent, essaie d’être juste, et ne met en aucun cas quelqu’un en difficulté matérielle..



  •  C BARRATIER C BARRATIER 28 février 2010 11:42

    Quel déchainement vis à vis du corps d’inspection de l’ Education nationale ! Ils font le travail qui leur est demandé, très varié : Par exemple rassembler, vérifier, choisit des sujets pour les examens, travailler sur les barèmes de correction, réunir des instances pour modérer les notes mises à l’examen lorsqu’un correcteur paraît avoir ’disjoncté« , gérer l’avancement des enseignants, contrôler le système de remplacement des professeurs absents, organiser des réunions par matière lors des changements de programme, tout un travail obscur et nécessaire.

    Il y a aussi la visite d’inspection (le contrôle du travail des enseignants). Le corps enseignant aime mieux noter les autres qu’être noté, contrôler les autres qu’être contrôlé. C’est une sorte de déformation professionnelle. Pourtant, pour quelques uns, il y a des choses à suivre de près : On découvre 20 ans après la mise en place d’un nouveau Plan comptable que tel enseignant ne le connaît pas encore ! Que d’autres refusent d’être inspectés...les mêmes se soumettant aux alcootests, ou portant plainte pour faire contrôler un permis de construire d’un voisin qui les dérange....Il faut savoir que depuis plus de 20 ans, un inspecteur ne peut pas venir par surprise dans une classe : un rendez vous est pris...Les enseignants dans leur grosse majorité sont satisfaits d’un travail en confiance avec les inspecteurs, ils ont des problèmes à soulever dans leur spécialité, et trouvent un interlocuteur chevronné pour échanger. Car les inspecteurs sont largement désireux d’apprendre du »terrain".
    J’en ai beaucoup fréquenté dans ma carrière, je n’aurais pas aimé leur boulot, mais je m’y intéressais et le trouvais utile...
    Comme sont utiles je pense les inspecteurs des impôts ou du travail.

    Monsieur BAYROU n’a pas réussi grand chose, sa présence à l’Education nationale a laissé le souvenir d’un démagogue soucieux de plaire plus que d’améliorer l’institution. Ceux qui savent le faire le font dit un proverbe. Voilà un ex Ministre qui a eu l’occasion de faire....Il était le patron de l’inspection et du reste...
    Je n’ai pas lu son livre, je me contente d’une réaction aux échanges ci dessus.

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