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  • Aurèle Aurèle 6 février 2016 17:24

    Il incarne ce qu’il y a de pire dans la politique, cette espèce d’arrivisme sans scrupules, ce penchant pour la manipulation, toujours prêt à flatter, à courtiser la foule, à embobiner tout le monde alors que quiconque connait un minimum le personnage sait qu’il n’a aucune conviction ni aucun honneur.
    Il a toujours été dans les mauvais combats...les nombreuses gaffes qui caractérisent sa carrière ne devraient plus duper personne... même si la manipulation des sondages tente tant bien que mal depuis des mois de le faire apparaitre comme un homme de premier plan.



  • Aurèle Aurèle 18 janvier 2016 20:25

    @Ariane Walter

    Oui je te l’accorde Ferrari n’a pas été mauvais, voilà pourquoi j’ai dit semi-dissident....mais il n’a pas été assez loin et en technocratisant la question(il a dit quelque chose comme « les experts parleront mieux que moi ») il a donné du crédit à cette oligarchie technocratique qui brouille volontairement le réel à coup de chiffres et de théories matérialistes fumeuses pour disqualifier toute critique.
    En revanche je ne peux pas te laisser dire que Salamé a été bonne, tu dois faire allusion à la question de la déchéance de la nationalité et du chômage ?
    Pour l’une elle a été franchement politiquement correct et pour l’autre elle n’a parlé qu’en surface... En effet elle a juste effleuré la question du chômage, je caricature à peine si j’affirme qu’elle s’est limitée à dire « votre politique contre le chômage c’est pas bien ».... On est dans la banalité, le ronron médiatique avec zéro critique...au JT on entend la même chose...



  • Aurèle Aurèle 18 janvier 2016 16:20

    J’ai regardé l’émission par pure curiosité, histoire de me tenir un peu courant du degré de propagande mensongère dans lequel est plongé la France...mon thermomètre pour mesurer c’est mon cerveau, j’voulais voir la température... j’ai eu chaud j’peux vous le dire.

    A force d’en entendre on finit tout de même par avoir des réflexes, on se laisse pas embobiner si facilement... mais là fallait être en forme pour rester lucide sur 1h40 de propagande ripoublicaine. Surtout avec deux chroniqueurs aussi soumis, bon Dieu qu’ils étaient veules...et Ruquier si complaisant ...à rester comme ça pile dans les questions bateaux et ultra politiquement corrects, tête dans le guidon avec leurs blablas insignifiants, ramollis dans leur perspective triviale...

    Moix a bien tenté gentiment d’élever un peu le truc en faisant l’intellectuel qui cite d’autres plus intellectuels que lui (Nietzsche) mais comme à chaque fois ça se dégonfle aussitôt, réflexion telle quelle, réduite flagada avant même d’avoir pu devenir intéressante.
    Ferrari qui fait le semi-dissident en oubliant de dénoncer Netanyahou... et ironie tragique Valls qui se réjouit de la présence de ce dernier à Paris sans que personne ne bronche sur le plateau... mais quelle criminelle imposture, c’est honteux.

    La question centrale, celle qu’il faut se poser pour se rendre compte de l’état de décrépitude de notre démocratie c’est exactement la même question que Valls ne cessait de poser, pour finalement y répondre très sommairement : Qui nous-sommes ? Qu’est-ce que nous défendons ?
    Si on relève les infimes indications de Valls sur notre identité on a de quoi crever de dépit : La France c’est taquiner, faire de l’humour gentillet qui bouleverse pas trop l’idéologie dominante, c’est boire, s’amuser, danser... Mais qui a envie de défendre ça ? On nous incite à être aussi dégueulassement soumis pour mieux nous faire plumer.



  • Aurèle Aurèle 16 décembre 2015 19:39

    J’pense que personne ne nie à ce film le droit d’exister, juste que ce raz de marée publicitaire est indécent.. On cherche à séduire la masse voilà la pourriture du truc. Le film en lui-même on s’en fout mais que le fric dégomme tout le reste du cinéma à son profit...
    Du coup dans l’instant y a plus vraiment de notion de hiérarchie, tout se vaut, le seul critère : Faire le plus de bruit possible pour espérer inciter les consommateurs. C’est seulement après qu’on se pose la question de la qualité, quand l’abrutissement publicitaire s’estompe.



  • Aurèle Aurèle 16 décembre 2015 14:27

    S’ils parlent sans arrêt de racisme, d’antisémitisme, de fascisme, de nazi c’est bel et bien parce que notre société provient directement du résultat de la seconde guerre mondiale...
    Et grâce à ça ils obtiennent TOUT, vraiment tout... le nazisme c’est l’assurance vie de l’empire capitaliste...avec cet énorme épouvantail ils peuvent disqualifier toute forme de nationalisme et même de patriotisme car ils jouent volontairement sur les nuances floues de ces concepts pour les assimiler au nazisme.
    Qu’on se le dise, maintenant en France l’occupant n’est plus nazi, ce sont les vainqueurs de la guerre et au final la France n’était pas vraiment dans ce camp là... De Gaulle a tenté de sauver les meubles mais lui-même savait très bien que ce n’était qu’une question de temps avant que la France ne sombre dans cet empire américain capitaliste.

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