Comme vous l’écrivez, la Constitution de la cinquième république a subi plus de 20 modifications par la procédure du Congrès, c’est-à-dire dans le dos des français qui n’ont pas été consultés.
De fait, nous ne sommes plus dans la cinquième république.
Il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. La Constitution de 1958 résolvait le bordel de la quatrième avec ses gouvernements instables et ses coalitions dans le dos des électeurs. Ce système de coalition existe dans des pays comme l’Allemagne où l’on voit bien le Chancelier Scholtz assis le cul entre deux chaises avec sa ministre folle va-t’en-guerre Baerbock. C’est aussi ce système qui a permis à Adolf Hitler d’arriver au pouvoir à la tête d’une coalition malgré qu’il n’avait pas la majorité absolue.
@logan « Oser reprocher à Vladimir Poutine et à Maria Lvova-Belova, d’avoir tout
fait pour mettre à l’abri des enfants hors de la zone de conflit, est
totalement abject. Peut-être la CPI considère-t-elle que les autorités
russes auraient dû laisser ces enfants à la merci des bombardements
ukrainiens ? » « Le dernier en date, Nikita Safronov, huit ans, est mort à Donetsk il y a à peine six jours,
tué par un obus de 155 mm (standard OTAN) tombé près du taxi qui
l’emmenait avec sa famille à sa fête d’anniversaire ! S’il avait été
évacué comme les enfants des orphelinats du Donbass et des régions de
Kherson et Zaporojié, qui ont été envoyés dans d’autres régions de
Russie pour des raisons de sécurité, Nikita aurait pu fêter son huitième
anniversaire et les suivants ! » Ces enfants ne sont pas ukrainiens, ils sont russes et votre avis n’a aucune importance. La CPI veut arrêter Poutine pour avoir mis des enfants à l’abri, loin des bombardements des FAU . Un habitant de Marioupol dément les déportations de populations en Russie
La décision de la CPI accusant Vladimir Poutine de capture d’enfants alors qu’il s’agissait, en coopération avec les autorités du Donbass, de protéger ces enfants des bombardements de l’armée ukrainienne contre les civils en les mettant à l’abri en Russie montre que la CPI n’est qu’un instrument au service de l’Occident.
Dans ces conditions, adresser une plainte à la CPI est plus nuisible qu’utile car cela renforce le pouvoir de cette CPI.