Attila

On notera l’infantilisme du procédé qui consiste à disqualifier a priori des sources qui contredisent le point de vue du bouffi d’orgueil sans même en faire la moindre analyse critique : les site « Les Crises » et les autres disent pas comme moi donc ils sont méchants !
Bien sûr, il faut garder un œil critique sur les articles de ces sites mais tout rejeter en bloc au seul motif que cela provient d’eux est de l’imbécilité.

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Le chemin de la « gauche » mène à la poubelle des encombrants non recyclables.

En 2010, l’officine Terra Nova a constaté la profonde rupture culturelle entre la gauche d’aujourd’hui et les classes populaires. Ce qu’on a pu vérifier avec les Gilets Jaunes du début qui ne se sont pas du tout réclamé de la gauche et que cette gauche a même snobé.

Le mouvement social est entièrement à reconstruire indépendamment de la gauche comme de la droite.

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La victoire d’Erdogan est aussi une défaite de l’Occident car Erdogan n’est pas aligné sur la politique des États-Unis mais il joue de manière opportuniste pour ses intérêts en ayant de bonnes relations avec la Russie et la Chine.

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Parce que beaucoup d’électeurs se rendent compte qu’aucun candidat qui leur est proposé ne défendra leurs intérêts. Entre des mercenaires au service des très riches cupides comme Macron, Hollande et Sarkozy et une pseudo-opposition qui se couche pour pouvoir passer à la télé et faire des voix comme Mélenchon et Le Pen, tenter de choisir le moins pire devient lassant.

Christophe Guilluy avait pourtant écrit dès 2014 que les classes populaires n’avaient plus de mouvement politique qui les représentait et défendait leurs intérêts. Maintenant, c’est la majorité des électeurs qui n’ont plus de représentants.

Les français attendent qu’un sauveur leur tombe du ciel. Cela n’arrivera jamais. Où bien les français se sortent les doigts du cul pour construire un mouvement politique qui défende les intérêts de la majorité et se donne les moyens de virer la clique actuelle ou bien la destruction du pays va se poursuivre.

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Erdogan vient d’être réélu. On se doute qu’il n’apprécie pas de voir une attaque dans la zone économique maritime de la Turquie.

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