Nous sommes une
minorité à approuver votre article et cela me désole.
Il faut dire que
l’on ment tellement au peuple de ceux qui vivent de leur travail ou
d’une pension de retraite gagnée par le travail, qu’une méfiance
envers « ceux qui commandent » ne peut que naître chez ceux
qui ont une tendance naturelle à la paranoïa et qui vivent au
quotidien les attaques contre leur sûreté de vie (précarité
croissante), leur dénigrement par les pseudo élites, le « malmenage »
contre-productif exercé par leurs « chefs » au travail, et
l’atmosphère empoisonnée du « tous contre tous » voulu par
la ploutarchie pour continuer de régner encore quelque temps.
Pour que l’épandage
chimique des avions de ligne soit visible en terme de création
d’altocumulus, il faut qu’il relâche au strict minimum 10 kg de
produit par kilomètre (j’estime qu’en réalité il faut 100 kg/km).
Pour un vol transatlantique de disons 6 000 km, cela représente 60
tonnes.
Question N°1 :
un avion de ligne ayant fait le plein de carburant et rempli de
passagers avec leurs bagages en soute, peut-il décoller avec une
surcharge de 60 tonnes ? (Je ne parle évidemment pas des 600
tonnes s’il faut relâcher 100kg de produit par kilomètre !)
L’épandage doit se
confondre avec la traînée de condensation de chaque réacteur pour
ne pas être visible du sol.
Question N°2 :
Où sont logés les réservoirs contenant ce minimum de 60 tonnes de
produits, sachant que le constructeur a placé les réservoirs de
kérosène dans les ailes ?
Question N°3 :
Pourquoi les buses d’épandage ne sont-elles pas visibles des
passagers embarquant dans l’avion ?
L’épandage ne doit
démarrer que quand l’avion a atteint son altitude de croisière.
Cela suppose une commande dans le cockpit et donc la « complicité »
du commandant de bord et du co-pilote, ainsi que de la compagnie
aérienne qui possède ou affrète l’appareil. Sans compter la
complicité de ceux, constructeurs ou aménageurs qui ont installé
les réservoirs, les pompes et la tuyauterie d’épandage.
Question N°4 :
Est-ce leur intérêt à tous de consentir à cette opération
secrète, sachant que si elle est dévoilée, une campagne puissante
contre l’aviation commerciale sera déclenchée ?
Le chargement en
produit d’épandage ne peut se faire que sur les pistes de l’aéroport
de décollage, tout comme le remplissage des réservoirs de
carburant.
Question N°5 :
Pourquoi personne ne voit les camions-citernes amenant les 60 tonnes
de produit ?
Sont-ils camouflés
en transporteurs de carburant avec la complicité de la compagnie
pétrolière qui les possède ainsi que de celle de tout le personnel
qui effectue l’approvisionnement en kérosène ?
La carte animée des
transports aériens mondiaux montre que l’essentiel se fait sur
l’Atlantique nord et sur l’Asie du nord. Et qu’il y a des zones de la
planète, des océans, qui ne sont pratiquement pas survolés. Si
l’on veut créer des nuages d’altitudes qui renvoient les rayons
solaires de manière à refroidir le climat global, ne « traiter »
que quelques pour cents de l’atmosphère terrestre ne sera pas
efficace !
Nous sommes une
minorité à approuver votre article et cela me désole.
Il faut dire que
l’on ment tellement au peuple de ceux qui vivent de leur travail ou
d’une pension de retraite gagnée par le travail, qu’une méfiance
envers « ceux qui commandent » ne peut que naître chez ceux
qui ont une tendance naturelle à la paranoïa et qui vivent au
quotidien les attaques contre leur sûreté de vie (précarité
croissante), leur dénigrement par les pseudo élites, le « malmenage »
contre-productif exercé par leurs « chefs » au travail, et
l’atmosphère empoisonnée du « tous contre tous » voulu par
la ploutarchie pour continuer de régner encore quelque temps.
Pour que l’épandage
chimique des avions de ligne soit visible en terme de création
d’altocumulus, il faut qu’il relâche au strict minimum 10 kg de
produit par kilomètre (j’estime qu’en réalité il faut 100 kg/km).
Pour un vol transatlantique de disons 6 000 km, cela représente 60
tonnes.
Question N°1 :
un avion de ligne ayant fait le plein de carburant et rempli de
passagers avec leurs bagages en soute, peut-il décoller avec une
surcharge de 60 tonnes ? (Je ne parle évidemment pas des 600
tonnes s’il faut relâcher 100kg de produit par kilomètre !)
L’épandage doit se
confondre avec la traînée de condensation de chaque réacteur pour
ne pas être visible du sol.
Question N°2 :
Où sont logés les réservoirs contenant ce minimum de 60 tonnes de
produits, sachant que le constructeur a placé les réservoirs de
kérosène dans les ailes ?
Question N°3 :
Pourquoi les buses d’épandage ne sont-elles pas visibles des
passagers embarquant dans l’avion ?
L’épandage ne doit
démarrer que quand l’avion a atteint son altitude de croisière.
Cela suppose une commande dans le cockpit et donc la « complicité »
du commandant de bord et du co-pilote, ainsi que de la compagnie
aérienne qui possède ou affrète l’appareil. Sans compter la
complicité de ceux, constructeurs ou aménageurs qui ont installé
les réservoirs, les pompes et la tuyauterie d’épandage.
Question N°4 :
Est-ce leur intérêt à tous de consentir à cette opération
secrète, sachant que si elle est dévoilée, une campagne puissante
contre l’aviation commerciale sera déclenchée ?
Le chargement en
produit d’épandage ne peut se faire que sur les pistes de l’aéroport
de décollage, tout comme le remplissage des réservoirs de
carburant.
Question N°5 :
Pourquoi personne ne voit les camions-citernes amenant les 60 tonnes
de produit ?
Sont-ils camouflés
en transporteurs de carburant avec la complicité de la compagnie
pétrolière qui les possède ainsi que de celle de tout le personnel
qui effectue l’approvisionnement en kérosène ?
La carte animée des
transports aériens mondiaux montre que l’essentiel se fait sur
l’Atlantique nord et sur l’Asie du nord. Et qu’il y a des zones de la
planète, des océans, qui ne sont pratiquement pas survolés. Si
l’on veut créer des nuages d’altitudes qui renvoient les rayons
solaires de manière à refroidir le climat global, ne « traiter »
que quelques pour cents de l’atmosphère terrestre ne sera pas
efficace !
Nous sommes une minorité à approuver votre article et cela me désole. Il faut dire que l’on ment tellement au peuple de ceux qui vivent de leur travail ou d’une pension de retraite gagnée par le travail, qu’une méfiance envers « ceux qui commandent » ne peut que naître chez ceux qui ont une tendance naturelle à la paranoïa et qui vivent au quotidien les attaques contre leur sûreté de vie (précarité croissante), leur dénigrement par les pseudo élites, le « malmenage » contre-productif exercé par leurs « chefs » au travail, et l’atmosphère empoisonnée du « tous contre tous » voulu par la ploutarchie pour continuer de régner encore quelque temps.
Pour que l’épandage chimique des avions de ligne soit visible en terme de création d’altocumulus, il faut qu’il relâche au strict minimum 10 kg de produit par kilomètre (j’estime qu’en réalité il faut 100 kg/km). Pour un vol transatlantique de disons 6 000 km, cela représente 60 tonnes. Question N°1 : un avion de ligne ayant fait le plein de carburant et rempli de passagers avec leurs bagages en soute, peut-il décoller avec une surcharge de 60 tonnes ? (Je ne parle évidemment pas des 600 tonnes s’il faut relâcher 100kg de produit par kilomètre !) L’épandage doit se confondre avec la traînée de condensation de chaque réacteur pour ne pas être visible du sol. Question N°2 : Où sont logés les réservoirs contenant ce minimum de 60 tonnes de produits, sachant que le constructeur a placé les réservoirs de kérosène dans les ailes ? Question N°3 : Pourquoi les buses d’épandage ne sont-elles pas visibles des passagers embarquant dans l’avion ? L’épandage ne doit démarrer que quand l’avion a atteint son altitude de croisière. Cela suppose une commande dans le cockpit et donc la « complicité » du commandant de bord et du co-pilote, ainsi que de la compagnie aérienne qui possède ou affrète l’appareil. Sans compter la complicité de ceux, constructeurs ou aménageurs qui ont installé les réservoirs, les pompes et la tuyauterie d’épandage. Question N°4 : Est-ce leur intérêt à tous de consentir à cette opération secrète, sachant que si elle est dévoilée, une campagne puissante contre l’aviation commerciale sera déclenchée ? Le chargement en produit d’épandage ne peut se faire que sur les pistes de l’aéroport de décollage, tout comme le remplissage des réservoirs de carburant. Question N°5 : Pourquoi personne ne voit les camions-citernes amenant les 60 tonnes de produit ? Sont-ils camouflés en transporteurs de carburant avec la complicité de la compagnie pétrolière qui les possède ainsi que de celle de tout le personnel qui effectue l’approvisionnement en kérosène ? La carte animée des transports aériens mondiaux montre que l’essentiel se fait sur l’Atlantique nord et sur l’Asie du nord. Et qu’il y a des zones de la planète, des océans, qui ne sont pratiquement pas survolés. Si l’on veut créer des nuages d’altitudes qui renvoient les rayons solaires de manière à refroidir le climat global, ne « traiter » que quelques pour cents de l’atmosphère terrestre ne sera pas efficace !
Ceux qui arrivent en bateau à Lampedusa sont partis de chez eux souvent depuis des mois. S’ils étaient contaminés par un virus qui tue en moins d’un mois et le plus souvent beaucoup moins, les migrants clandestins malades seraient morts en terre africaine, bien avant de s’embarquer.
C’est JM Le Pen qui a souhaité clairement une réduction drastique de la population africaine par « sa majesté Ébola » de manière sans doute à ne plus avoir d’immigration dans son Vaterland !