Que fait la justice contre les attaques psychologiques qu’un(e) employé(e) peut endurer lorsqu’il montre les carences et faiblesses du système administratif français (sur le plan des discriminations sous diverses formes) et qu’il (ou elle) se trouve confronter à des moyens mis en œuvre pour le torpiller sournoisement.
Je me demande vraiment si elles finiront un jour dans cette France que j’aime. Je me bats avec mes moyens, je vois les collègues qui se démènent dans le système lourd de notre pays. D’ailleurs, j’ai porté plainte contre une directrice en 2005 qui a usé de tous les moyens pour me faire payer l’affront de l’avoir démasqué, la justice tarde à faire la part des choses. Qu’ai-je fait comme outrage ? Je n’ai été soutenu par personne, à part un témoin des évènements. Que fait la justice contre les attaques psychologiques qu’un(e) employé(e) peut endurer lorsqu’il montre les carences et faiblesses du système administratif français (sur le plan des discriminations sous diverses formes) et qu’il (ou elle) se trouve confronté à des moyens mis en œuvre pour le torpiller sournoisement. Ni les politiques en place, mis au courant n’ont agi, ni la hiérarchie (directions ressources humaines, direction générale) n’ont essayé ou tenter de mettre fin à ces situations insoutenables. Aucune démarche (émanant de la hiérarchie administrative) n’a abondé dans le sens de faire une enquête poussée pour comprendre la situation et réparer si possible les dégâts.
J’ai écrit aux organismes et associations (SOS …, MR…, et j’en passe). Ces derniers ne m’ont jamais répondu alors que j’avais écrit en envoyant des courriers recommandés avec accusé de réception. Aucun appel reçu de leur part pour me montrer un intérêt quelconque, ils ont été, je ferais un raccourci « méprisant ». Mon problème ou celui de mes collègues ne les menaient pas à la télévision, où ces derniers se pavanent ou fanfaronnent. J’ajoute ma stupeur sidéré de voir comment ces derniers s’excitent lorsqu’ils doivent passer à la télévision et quand il s’agit de faire quelque chose de concret, de s’impliquer pour enquêter, il n’y a personne.
Je vais par contre sur ce site et dans cet article rendre hommage à cet organisme : la HALDE. Son nom féminin est valorisant, et les personnes qui y travaillent, exercent leurs activités avec méthode et méticulosité. Je précise tout de même qu’à partir du moment où nous sollicitons la HALDE, il faut être irréprochable, il faut fournir toutes les preuves et éléments qui peuvent éclairer votre dossier. J’ai été contacté à maintes reprises par les avocats de la HALDE. Toutes les questions qui m’étaient soumises étaient adressées à la collectivité qui m’emploie. Pensez que du fait que j’ai refusé d’être soumis au diktat de ma directrice, ma carrière est au ralenti. La duplicité entre les responsables est forte. On a l’impression que le fait d’être directeur (trice) et copain (ou copine) avec un(e) autre directeur (directrice) sous-entend qu’on est parfait. Il est à se demander s’il n’existe pas une « maladie » du supérieur qui se croit être au-dessus des lois et d’être irréprochable. Combien de vies ont-elles été détruites par ces supérieurs qui se croient au-dessus des lois.
Ceux qui usent de la discrimination, ne la font-ils pas dans le seul but de continuer à dominer, à imposer la haine et la soumission des plus faibles. Je dis et pense qu’il faut que nous soyons décidés d’arrêter cette entreprise malsaine de discriminations qui veut broyer les plus faibles ou ceux qui sont différents, parce qu’ils sont handicapés, noirs, jaunes, indiens, maghrébins, femmes, homosexuels, etc. Pourquoi faut-il laisser faire ces personnes qui ourdissent leurs forfaits ? Combien de personnes ont été licenciées ? Combien de personnes se sont retrouvées en dépression ? Combien se sont suicidés ? Quand va t-elle disparaître cette maladie de supériorité qui tend à faire souffrir ceux qui sont différents et qu’on ne veut pas voir s’épanouir. Je suis décidé à mettre un terme à cette entreprise de « démolition » psychologique des employés (tant du privé que du public). Je veux protéger mes enfants et les autres contre de tels individus dans quelques années lorsqu’ils seront adultes. Il faut qu’une fois pour toutes les discriminations sous toutes les formes soient brisées. Que cesse ce népotisme qui sied tant à certaines collectivités territoriales. Que règne enfin une justice sereine. De toute façon, les directeurs des services qui usent de ces solutions discriminatoires doivent être sanctionnés par leur hiérarchie. Cela ne peut durer indéfiniment. Car que de vies sont détruites tant sur le plan professionnel que familial.
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J’y crois moi à la fin des discriminations. La France se targue d’être le pays des Droits de l’Homme, elle doit en conséquence être exemplaire, or ce n’est pas le cas. D’ailleurs combien de fois voit-on (ou entend-on)des situations alambiquées présentant des transgressions des droits de tout un chacun.
Votre post pu, l’auteur parle peut être pour vous aussi, qui vous dis si un jour vous n’allez pas vous retrouver dans une situation analogue même français de souche, la discrimination envers les vieux existe.
Je crois que ce polo n’a rien compris de mon article, il distille sa petite rage "vulgaire". Je crois que lorsque nous parlons de discriminations, il faut sortir de cette engeance bête et stupide que ce "POLO" veut faire passer.
Juste pour info au sieur POLO, demnade à notre Président de la République de rentrer chez lui si tu as du cran, je pense que tu auras très vite de ses nouvelles avec en prime une attaque dont tu ne t’en remettras pas.
Miwari, merci pour votre billet, j’ai omis les vieux (en fait les personnes âgées) mais ils rentrent bien dans le cadre des personnes discriminées en FRANCE.
malheureusement il n’y a pas grand chose à faire : l’abus de pouvoir n’est pas vraiment puni en France : l’administration compte un bon nombre de petits chefs (avec ou sans tallonettes) qui croient avoir(et ont, en effet) tous les pouvoirs. Après 26 mois d’harcelement subi dans l’administration dont je fais partie, j’ai essayé de porter plainte, le tribunal administratif a reconnu "l’excès" de pouvoir, mais... il ne s’est rien passé. avec mon avocate on avait décidé de faire appel jusqu’en arriver à la cour européenne, et après éventuellement au pénal, mais s’était mal connaître le fonctionnement "mafieux" de cette administration : au final, mon avocate a "oublié" de faire appel...après quelques pressions du recteur (l’accusé en question).
plus ou moins la même chose s’est passée dans une autre administration, et autour de moi, mes collègues et amis en connaissent un rayon sur les abus de pouvoir et les petit chefs de tradition vichoise.
conseil : si tu arrive (et ce n’est pas difficile) à te procurer quelques preuves écrite d’un comportement illegale, menace (méthode mafieuse) de recourir au pénal : ça marche ! j’ai essayé, maintenant j’en ai fait une règle, de toute façon ils sont tellement sûr de leur impunité qu’il ne se genent pas pour mettre à l’écrit des choses complétement illégale ! par contre ils ne s’attendent pas qu’on leurs renvoie leurs propres méthodes à la figure.
et amuse toi bien !
vous savez, ce n’est pas franchement mieux dans le prive... Suivre pendant quelques temps les dossiers plaides aux prud’home ou en justice peut vite degouter de la nature humaine.
Bonjour Mimine, j’ai lu votre billet, je crois en fait que malgré la traîne de la justice administrative, il ne f aut pas baisser les bras. La France se targue de faire les leçons de morale à l’étranger, mais chez elle, elle se voile les yeux, je dirais la face et joue l’effarouchée.
Comme vous, j’ai porté plainte, celà dure depuis près de trois ans et demi, je pense que si d’autres le font, car je ne crois pas que vous ni moi, soyons les seuls à subir ces méthodes "mafieuses" de pression et d’animosité de certains supérieurs (es) qui se croient investi d’un pouvoir de destruction sur les autres sous des prétextes fallacieux de tout ordre. La Justice si elle se fait submerger par ces dossiers, finira par réagir promptement. J’espère que je ne reste pas qu’optimiste.
Bonjour K, comme je l’ai dit à Mimine, il ne faut pas baisser les bras. Il faut dénoncer tous ces comportements irréguliers des supérieur(e)s surtout lorsque ces derniers détruisent des vies. Dans mon texte, je sous-entends certaines choses, j’ai une force de caractère particulière, néanmoins j’ai connu la dépression, en discutant avec mon médecin.
Bien m’en a pris de ne pas utiliser les médicaments qui m’avaient été prescrits. Ainsi je n’ai pas eu d’arrêts maladie suite à cette misère que cette femme (directrice) m’a fait endurer avec la complicité de sa copine la directrice des ressources humaines.
Soyez « rassuré », la discrimination est universelle comme la bêtise.
Pour avoir travaillé en Afrique, pendant une période de choléra, je me suis fait insulter.
Simplement pour avoir repris un autochtone qui dérobé des bassines. Celles-ci servant à la désinfection des chaussures. Et oui, j’étais un sale blanc. La prophylaxie n’étant pas importante pour certaines personnes.
Dans ce cas, on passe outre, et on continu son travail. ...
Papybom, comme vous dites, on continue son travail, ce n’est pas évident. Combien de collègues j’ai connu qui ont été en dépression (que ce soit au service jeunesse, au service social, au service informatique...), certaines sont revenues après quelques années, marquées par le temps ; d’autres y sont encore après près de neuf ans d’arrêt maladie pour pression du supérieur hiérarchique.
Je peux en parler Papybom, j’ai pris sur moi, même si des supérieurs continuent à me le faire payer, car j’attends en vain une nomination depuis ONZE MOIS, et je risque de perdre le bénéfice d’un concours important pour moi, à cause de la lâcheté de ces supérieurs qui se tiennent les coudes.
Si ce n’avait pas été le cas, on aurait pulvérisé mon argumentation avec des arguments plus pertinents, on ne l’aurait pas supprimée. La suppression est un aveu de faiblesse.
Bois-Guibert, es-ce toi le POLO qui tient des propos haineux. si c’est toi, celà ne mène à rien. Tu attises la colère et veux mettrre du boxon là où nous ne le souhaitons pas. bon courage dans ta vie tout de même.
Ce que vous oubliez apparemment c’est que la "discrimination" peut parfois être justifiée et je me demande si vous n’en êtes pas un exemple... Car enfin, que voyons-nous dans votre "article" ?
Vous nous expliquez de façon assez confuse et en extrapolant en toute modestie votre cas personnel à la France entière (heureusement que vous dites l’aimer) que vous êtes "discriminé", persécuté, harcelé ... mais sans jamais dire par qui, ni comment , ni pourquoi...
Ce qu’on apprend en revanche, c’est que vous mettez un point d’honneur à "démasquer" vos supérieurs, à porter plainte contre eux, à les dénoncer à SOS racisme, à la SPA , à l’ONU, à l’Armée du Salut et que sais-je encore...
Déjà, je trouve suspect qu’aucun de ces nobles organismes n’ait donné suite... Peut-être que votre dossier n’était pas très solide ?
Ah si ! La HALDE ! Cet organisme de flicage des opinions et des comportements, aux prérogatives exorbitantes et dépourvu de toute légitimité démocratique, vous le trouvez très bien. Vu votre état d’esprit, je comprends ça...
Ensuite, et ceci explique sans doute cela, vous nous expliquez que vous êtes depuis onze mois sur la liste d’aptitude aux fonctions d’attaché territorial et que parmi les dizaines de milliers de collectivités existant en France, il ne s’en est trouvé aucune pour vous proposer un poste.J’avoue en être moins étonné que vous.
Mettez-vous à la place d’un élu ou d’un DRH qui envisage de vous recruter. Il regarde votre dossier et il se renseigne auprès de votre collectivité locale d’origine. Ou tout simplement, il tape votre nom dans un moteur de recherche.
Il lui suffira de tomber sur votre article pour être édifié et pour conclure que vous êtes au minimum quelqu’un qui crée des histoires, un procédurier, un adepte de la dénonciation sans motifs et sans preuves, limite parano.
Sans parler de l’idée qu’il se fera de vos capacités rédactionnelles...
Il y a quelques mois, suite à un autre article où vous proposiez rien de moins que d’interdire de fumer en plein air, je vous avais répondu que les élus locaux tiennent d’abord à être réélus et qu’ils risquaient d’y regarder à deux fois avant de recruter quelqu’un avec des propositions pareilles.
Croyez bien , car je n’ai aucune raison de vous vouloir du mal, que je suis désolé d’avoir eu à ce point raison....