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Les commentaires de hugo BOTOPO



  • hugo BOTOPO 4 mars 2015 11:49

    @Christian
    Il ne faut pas confondre laïcité et athéisme : ce dernier est une croyance en la « NON existence de DIEU » donc en l’absence de spiritualité surnaturelle, de transcendance, de royaume des cieux et des enfers. Un athée convaincu peut aussi être un militant plus ou moins intégriste ! Il existe des pseudo athées qui sont hors de ces questions, dans le je-m’en-foutisme et le consumérisme béât. Même pas agnostiques. La laïcité moderne se distingue des anciennes classes de clercs et laïcs associés dans la religion chrétienne.
    De fait on peut considérer comme laïcs les premiers disciples du Christ dont la règle de vie se limitait à aimer ou adorer son Dieu unique, et aussi, surtout à aimer son prochain comme soi-même ! Donc à respecter ses croyances et sa liberté.
    Les religieux « professionnels » et les croyants militants et parfois bornés (par les dogmes et injonctions), inculquant la religion à leurs enfants, les formant ou les formatant, tout comme les idéologues intégristes prêcheurs et acteurs (khmers rouges, staliniens, communistes purs, adorateurs des marchés et de la divine finance...) ne sont pas dans la laïcité humaniste et respectueuse des individus et de leurs pensées.
    En confondant ou en refoulant la laïcité dans l’athéisme, dans une autre forme de religion, cela permet aux religions de s’exonérer d’une démarche comportementale de laïcité.



  • hugo BOTOPO 3 mars 2015 16:59

    Les « pères » de la Laïcité et des diverses religions monothéistes sodomisent les diptères ou s’engueulent sur le sexe des anges.
    Les individus ont le droit de penser, d’avoir des croyances (de la Foi) dans le domaine du surnaturel où l’homme ne serait pas qu’une accumulation de matière mais posséderait une âme. La Laïcité se doit de respecter et de favoriser la libre expression des croyances intimes et personnelles.
    Les religions sont une organisation de pouvoirs sur les hommes et sur le monde matériel. Les 3 monothéistes (Judaïsme, Christianisme, Islam) se réfèrent à Abraham, donc à son Dieu avec 3 puis 5 facettes : Yahvé le Dieu puissant, vengeur, punisseur, dominateur ; Dieu le Père, son alter ego chrétien plus paternel et son fils Jésus prônant l’Amour et la Charité car Yahvé ne contrôlait pas bien son peuple (les Pères ont ajouté l’Esprit-Saint, bien utile) et enfin Allah, le Dieu de pleine miséricorde. Les dirigeants humains ont tous dissociés les adeptes sous contrôle, des mécréants, infidèles ou gentils, ces trois groupes pouvant être trucidés selon le bon plaisir des adeptes et de leurs chefs bien-aimés. La réunification en une seule religion monothéiste universelle des descendants d’Abraham et des contempteurs devrait être leur grande priorité. Cette religion se devant de respecter toutes les croyances et tous les hommes hors de la religion. On en est loin !
    Enfin il existe un Dieu Universel, L’ARGENT ou la divine finance, avec tous les attributs d’une religion : les prophètes (prévisionnistes) les cardinaux, évêques et prêtres, les conclaves (Davos), les conciles (G7 et G20), les dogmes des lois des marchés et de la libre concurrence (par essence FAUSSÉE), ses séminaires (écoles de commerces et de finances, congrès), et naturellement une caste de dominateurs hyper puissants. C’est la Grande Religion Universelle responsable d’une multitude de crimes de masses et individuels ; elle affecte même les pays hors des monothéistes (Chine, Japon...). Aux USA elle fait semblant de s’appuyer sur une branche du Christianisme « In GO(L)D we trust » !
    Le choc des civilisations disparait avec les civilisations : il ne subsiste plus que le choc des BARBARIES !



  • hugo BOTOPO 9 février 2015 13:36

    Pourquoi mettre les personnes dans des cases, dans des cellules d’emprisonnement selon les idées reçues, manipulées et variables avec l’emprisonneur ? Les cases « sémites », « pro-sémites », « antisémites », « sionistes », « antisionistes », « judéophobes » sont à géométrie variable et se limitent parfois à la simple injure d’exclusion ! Il en est de même pour les équivalents dans d’autres religions (christianismes, islamismes, bouddhismes...) et d’autres idéologies (communismes stalinistes, khmers rouges, maoïstes... néolibéralismes et capitalismes avec leur dogme de la loi du marché et leur divinité : la finance). L’auteur refuse de se faire enfermer dans les cases de la prison pseudo-intellectuelle du prêt-à-penser. C’est en simple laïc, en dehors des idéologies et des religions, que l’auteur s’exprime sur des faits ou des comportements (ou attitudes) liés à l’actualité, sans faire siens les idées et dogmes de justification utilisés par les hommes de pouvoir politique, religieux, idéologique, économique ou financier. Les idées personnelles de l’auteur n’ont rien à voir avec l’article : son idéal de vie, son « idéalogie », c’est le respect de tout Homme d’aujourd’hui et de demain, le respect de la Planète et de ses ressources, c’est donc d’abord la Fraternité puis l’Égalité dans le partage et l’accès aux ressources et enfin la Liberté de pensée et de conscience éclairées. Si l’auteur « comprend » le cynisme et l’hypocrisie des humains détenteurs du pouvoir sous toute ses formes, s’il en révèle une partie, il ne les partage pas ! Il laisse aux lecteurs la possibilité de réfutation, d’approbation et de condamnation.



  • hugo BOTOPO 24 janvier 2015 11:24

    Dans ce marigot financier tous les poissons rédacteurs et commentateurs ne sont que du menu fretin pour les crocos qui tirent les ficelles et se goinfrent. A mon tour de balancer des pensées auto-satisfaites, car la vérité est fuyante et relative :
    - la monnaie est devenue totalement virtuelle ; c’est une succession de 0 et 1 qui circulent à la vitesse de la lumière dans les fibres optiques à laser. La référence à l’or ou autres richesses matérielles disparait au profit d’une dématérialisation.
    - les 1000 Md € de fin 2011 début 2012 injectés par la BCE étaient à court terme avec un maximum de 3 ans. Ils ont servi en grande partie à souscrire aux emprunts d"état liés aux dettes. La BCE via les banques nationales va racheter, aux banques, principalement des obligations d’état au rythme de 60 Md € /mois. Les banques vont d’abord rembourser les anciens emprunts souscrits auprès de la BCE ! Simple jeu d’écriture. Les banques vont à nouveau téter la BCE pour se gaver d’€ pour leurs opérations rentables de marchés et pour souscrire à de nouveaux emprunts d’état : les déficits n’ont pas disparus. Le financement de création de richesses vraiment nouvelles attendra !
    - Les jeunes et les générations futures ne sont pas plombés par les dettes des anciens : ils ne naissent pas avec 30 000 € de dettes sur la tête. Depuis leur conception jusqu’à leur pleine et entière formation professionnelle ils vont coûter à la collectivité 200 000 € (frais sociaux et médicaux, frais de scolarité et d’enseignement professionnel comprenant les salaires et les infrastructures -bâtiments, équipements scolaires, sportifs et culturels, fonctionnement, entretien- les diverses allocations familiales, les réductions d’impôts...) sans compter les dépenses des familles pour la nourriture, les loisirs, l’habillement... de leurs chers bambins.
    - en passant, la bienveillante Allemagne, modèle de bonne gestion, profite chaque année (en solde positif de mouvements de MO pour compenser le manque de naissances) de l’immigration de 300 000 immigrés élevés et formés aux frais de leurs pays d’origine, soit une économie annuelle de 60 Md €, principalement sur le dos de ses voisins. La France avec ses excédents annuels de 200 000 jeunes a un surcoût de 40 Md € ! et une augmentation du parc de jeunes ou vieux chômeurs à maintenir en survie économique, la stagnation économique ne permet pas de créer des emplois.
    - les charges sociales excessives, ne le sont que du fait de dépenses sociales excessives : le budget de l’État doit même venir boucher les trous ! Pourquoi les Français dépensent par personne 2 fois plus en médicaments que les Allemands ou les Hollandais ? Où va l’argent ? De même pour les consultations et la densité médicales en médecins, et pour les hospitalisations qui se rémunèrent beaucoup sur les nuitées. Il y a une connivence entre les Autorités de santé, les industries pharmaceutiques et le corps médical : les clients ou patients subissent les diverses propagandes ! Où sont les citoyens insurgés ? et les pétitions des clients ? et les Indignés ou podémos ? ALORS ???



  • hugo BOTOPO 17 janvier 2015 17:49

    Inutile de parler du dihydrogène, car l’hydrogène c’est déjà H2 ; le « pseudo monohydrogène » à un seul atome, c’est un proton ou un ion hydrogène sans son électron !
    La centrale considérée n’utilise pas de l’hydrogène produit par des bactéries, du solaire, de l’éolien ou de l’hydraulique : ce serait un non sens absolu de produire de l’hydrogène à partir de l’électricité avec un rendement inférieur à 1 ou 100%, puis de brûler l’hydrogène dans une centrale thermique avec un rendement inférieur à 0,5 ou 50% ; il est plus simple d’utiliser directement l’électricité. L’argument du stockage d’énergie n’est pas recevable du fait de la très grande difficulté de stocker de l’hydrogène.
    L’usine qui produit l’hydrogène en grande quantité peut avoir un optimum de fonctionnement en capacité qui incite à produire plus que nécessaire pour les utilisations de base. L’hydrogène produit résulte de la transformation des hydrocarbures contenant du carbone ou directement du charbon en apportant de la chaleur extérieurement (vapeur à haute température) et surtout en interne par la combustion du carbone ou charbon en CO2. Dans le cas présent la vapeur ne venant pas d’un réacteur nucléaire à moyenne ou haute température (ce dernier pas encore industrialisé), la vapeur vient d’une combustion avec production de CO2.
    Les réactions chimiques de base sont :
     C + 2H2O + chaleur—> CO2 + 2H2 
     ou C + H2O + chaleur—> CO +H2 (gaz à l’eau des anciennes usines à gaz)
    Dans le dernier cas il faut séparer le monoxyde de carbone de l’hydrogène avant de le brûler !
    Pour ne pas réduire à zéro l’argumentaire de l’article, l’hydrogène pourrait provenir de déchets d’hydrocarbures qu’une hydrolyse à haute température réduirait en CO2 et en H2 (et en H2O résiduelle) afin d’éviter une combustion directe des déchets générant une forte pollution.
    Effectivement General Electric est très engagé dans la gazéification du charbon donc dans sa transformation en CO2 et en H2 avec une consommation d’énergie supplémentaire



  • hugo BOTOPO 14 janvier 2015 17:52

    Bon article d’auto-intoxication : la finance mondiale, divinité insurpassable de notre époque, a ses prosélytes qui glorifient les lois insurpassables des marchés, de capitaux ou de marchandises, ainsi que la transcendance de la spéculation. La finance et les capitaux sont virtuels, ce sont des suites de 0 et 1 qui circulent sur des réseaux et qui peuvent être manipulées, créées même par les grands-prêtres des banques centrales. Les manants ignorants croient à la toute puissance de cette divinité et de son Big Brother. Les éduqués sont les prêtres et vicaires qui marmonnent les lois divines, création des hommes, de certains hommes ! La réalité des pays et des peuples est tout autre.
    La Russie est le plus grand pays du monde plein de ressources naturelles avec de grands restes d’industrie. Elle reste le premier producteur mondial de fusées spatiales et de moteurs de fusées (vendus aux américains). Sa production d’acier, de produits métallurgiques, de camions,de ciment, de pétrole et de dérivés est énorme ; le nombre de ses techniciens et ingénieurs est considérable. Vouloir faire une comparaison avec l’Algérie sous-industrialisée n’a pas de sens économique. Pour construire des milliers de KM d’autoroutes ou des centaines de milliers de logements, la Russie n’a pas besoin de dollars : elle n’a pas besoin de produits d’importation et les roubles fonctionnent bien à l’intérieur ; et la banque de Russie peut en créer pour usage interne. Ces programmes d’infrastructures ne demande qu’une volonté politique et la main-d’oeuvre, assez abondante sur place. Pas besoin de dollars qui ne servent qu’aux spéculateurs du fait de la convertibilité insensée du rouble.
    La Russie en se liant au dollar se place en soumission du système économico-financier international : Poutine a le choix entre la soumission, sans le moindre respect des dominateurs, et la résistance dans l’isolement ou dans des alliances naturelles. La meilleure et la plus conforme au peuple russe serait une alliance/intégration avec une Europe libérée de l’emprise américaine : dans ce cas, cet ensemble devient la première puissance mondiale, devant la Chine, les USA se contentant du troisième rang. Position inadmissible que les USA sabotent par des actions politiques, économiques et financières. Ainsi l’Europe paye les pots cassés de l’embargo (imposé par les USA) économique sélectif des produits européens, et la Russie se jette dans les bras de l’ogre chinois qui n’en demandait pas tant !
    Ouvrons les yeux aux réalités !



  • hugo BOTOPO 10 janvier 2015 17:08

    Être laïc c’est avoir des devoirs et des droits dans le vivre ensemble, dans la gestion des ressources planétaires, dans la Fraternité et le Respect. C’est aussi une démarche solidaire constamment réactualisée. La laïcité est la morale du vivre ensemble. Soyons fier que notre République se veuille laïque : toutes les Républiques de par le monde ne revendiquent pas la laïcité, telles certaines républiques populaires de Corée et d’ailleurs.
    Les religions et l’athéisme sont des croyances, les idéologies matérialistes aussi d’une certaine façon.
    Toutes ces émanations de l’esprit, de la spiritualité pour certaines, se doivent de respecter une « laïcité universelle humaniste ». Un citoyen non laïque ne peut se dire citoyen. Un moine, un prêtre, un religieux qui « rentrent dans les ordres » sont d’abord des civils, des laïcs, qui d’une façon « éclairée et murie » décident de renoncer à certaines libertés associées à la laïcité. Ce renoncement est une démarche individuelle, elle ne devrait rester valable que tant que l’intéressé le souhaite. Les religions n’ont pas à sanctionner physiquement un blasphème ou la volonté de quitter la religion : seule une exclusion morale et spirituelle reste possible.
    Quant à la liberté de conscience, quel problème, quel programme ! Pour la liberté, il faut une pluralité de choix « éclairés » et bien définis. Pour la conscience, comment est-elle formée et éveillée ? Sur quels critères et par qui ? Par des religions et leurs écoles chrétiennes, talmudiques, coraniques, bouddhistes, ou par des sectes spirituelles ou financières ? L’information et la formation sur la concurrence de pensée, sur le vrai libre arbitre, ne peuvent alors être assurées que dans le cadre d’une laïcité idéale et forte. Mais où trouver des formateurs indépendants ?
    Enfin la loi ne peut être envisagée et imposée que comme rappel à l’ordre des dérives sectaires et dominatrices des religions, sectes, croyances, idéologies,... imposées contre leur plein gré à un ou plusieurs individus.



  • hugo BOTOPO 10 janvier 2015 14:46

    Certes la divine et sacralisée finance, avec la concurrence -par essence faussée- selon les lois des marchés, dirige tout le monde occidental et une grande partie de l’économie mondiale. L’appartenance religieuse des co-opérateurs du monde économico-financier est secondaire : les monarchies islamiques riches en hydrocarbures ne sont pas stigmatisées et soumises à embargo du fait de leur religion si proche du sectarisme. Les intérêts de la finance incitent même à fermer les yeux devant des atteintes manifestes aux droits de l’homme dans certains pays. La colonisation revendiquée en Palestine et implicite en Irlande du Nord (transformée en fausse guerre de religions) ne gêne pas les profiteurs du système. Si certains donneurs de leçons sont de culture ou de religion juive, il y a amalgame entre la situation de profiteur du système et le soutien moral à une religion s’assimilant à un Etat. Par contre, Cuba en souhaitant remplacer un dictateur par une démocratie socialiste refusant la soumission à la finance capitaliste américaine, a été contraint de chercher un appui dans les bras de Kroutchev -crime impardonnable- et de subir depuis plus de 50 ans un sévère et illégal embargo : le catholicisme des cubains n’est pourtant pas assimilé à l’intégrisme terroriste islamique ! L’esprit laïque de la République est une base indispensable du vivre ensemble en harmonie : il doit s’imposer dans une lutte incessante et pacifique à toutes les religions monothéistes et polythéistes, aux sectes et aux idéologies allant du simple athéisme personnel au communisme stalinien, aux Khmers rouges, au maoïsme du grand bond en avant et de la révolution culturelle et surtout aux thuriféraires de la divine finance et de son dogme des lois du marché. Ces derniers ont mis la main sur de nombreux médias et contrôlent toutes les informations véhiculées par le net : la rentrée en résistance, en ignorant et évitant la toute puissance des « big brothers » de contrôle et de soumission, est un devoir civique et moral.



  • hugo BOTOPO 31 décembre 2014 16:57

    Merci Astérix,
    Pour le refus du loyer par Castro j’étais au courant : le montant, réévalué bien avant la seconde guerre mondiale, était dérisoire. Accepter le loyer c’était reconnaître la colonisation d’une partie de Cuba par les USA, si ce n’est l’annexion. L’échéance du bail de 99 ans est dépassée depuis de nombreuses années ! Guatanamo n’est un centre de détention que depuis 2002. C’était et c’est toujours une base militaire, navale et aéronavale de surveillance et de contrôle des caraïbes.
    Les agissements de la bande à Castro sont bien connus, divulgués par de nombreux médias. Les crimes de même nature commis par la CIA et couverts par tous les gouvernements US (sauf peut-être récemment : attendons les sanctions pour les vrais coupables et responsables) ne sont pas exposés à la même publicité.
    Les USA avec leur blocus économique ont une attitude bien différente de celle qu’ils ont avec des régimes comparables : aujourd’hui encore le Vietnam et hier la Chine. Quand aux droits de l’homme et à la démocratie dans les pays du golfe arabo-persique, le pétrole et le gaz oblige à fermer les yeux.



  • hugo BOTOPO 24 décembre 2014 17:42

    D’accord sur la diatribe justifiée contre les cupides avides de profits.
    Les profits à accumuler ne sont pas des richesses mais des dollars et autres devises, bref de l’argent virtuel : une suite de chiffres sur un compte bancaire sans contrepartie matérielle de la part de la banque. La FeD et autres banques centrales savent créer de l’argent ab nihilo ! du virtuel !
    Les vraies richesses sont soit des ressources fossiles épuisables, appartenant à la planète et à tous ses occupants actuels et futurs ! soit le fruit du travail des hommes. Dans l’Antiquité le travail des hommes, des esclaves (doués de valeur) créait des richesses. Aujourd’hui le travail des hommes est un coût à réduire ou supprimer : cherchez l’erreur ?
    Considérer la nécessaire croissance de production de richesses, tout en épuisant les ressources fossiles et en polluant la planète, sans se poser la question de la croissance démographique des humains est une grave erreur (surtout sans définir le bon équilibre démographique : celui d’il y a un siècle, un millénaire ou les 10 milliards d’un futur proche ?)



  • hugo BOTOPO 23 décembre 2014 17:32

    Le boom des naissances des années 70 pris en compte concerne l’Allemagne dans l’article, selon les tableaux de l’évolution de la démographie recoupant les deux Allemagne (source Wikipédia)



  • hugo BOTOPO 23 décembre 2014 11:47

    La croissance démographique continue et mondiale actuelle n’est certainement pas la solution à long terme !



  • hugo BOTOPO 10 décembre 2013 17:45

    Euro, beau masque vénitien des turpitudes et insuffisances de nous tous (économistes, financiers, politiques, citoyens déboussolés...L’euro n’a jamais été attaqué depuis le crise financière des subprimes, et auparavant seulement dans les débuts de sa mise en service. Au contraire beaucoup souhaitent une attaque des financiers pour faire baisser son cours (par rapport à quoi ? le $). La politique des taux bas de la CE a fait légèrement baisser le cours de l« euro. La Banque d’Angleterre a »dévalué« la livre de 25% en jouant sur les taux et l’émission de monnaie. Le PIB britannique baisse du même % en $ ! Ces 25% ne sont pas récupérés. Quant aux taux de chômage et de forte précarité les statistiques sont toujours faussées. Mais les très riches restent nombreux et les très pauvres sont plus nombreux.
    Au Japon la baisse du yen de 25% /$ par l’injection massive de liquidités pour des pseudo plans de relance et pour sortir de la déflation vers une inflation proche de 2% donne de piètres résultats : si les matières premières énergétiques (gaz, pétrole et charbon) creusent enfin la balance commerciale, les exportations ne s’envolent pas car la plupart sont facturées en $ comme la très forte sous-traitance pour la fabrication du Boeing 787. Les marges sont restaurées pour les entreprises et le volume de vente, pour les autres produits,augmente peu. Le Gouvernement envisage une forte seconde tranche de relance. Les dettes publiques japonaises sont en yens et souscrites à des taux très faibles par les Japonnais pour leurs retraites. Enfin, la très faible natalité au Japon avec des arrivées réduites de jeunes sur le marché du travail pour remplacer les anciens, contribue au faible taux de chômage.
    Certes la BCE a émis un peu de liquidités et racheté »aux banques« des emprunts publics sous-évalués. Ce n’est pas suffisant.
    Une dévaluation ou une baisse de l’euro /$ ne changerait rien aux échanges internes à la zone euro, et à son énorme déficit vis-à-vis de l’Allemagne.
    L’Italie, dite en piteuse situation a une balance commerciale légèrement excédentaire !
    Les dégradations des comptes publics avec augmentation de la dette résultent de taux d’intérêts supérieurs à l’inflation, surtout quand la politique super intelligente de la »Troïka" d’austérité plonge les pays en récession forte : le PIB baisse et le prélèvement pour la finance mondiale augmente : les pays s’enfoncent de plus en plus. Et ce sont les agences de notation qui font monter les taux d’intérêts tout en sachant que les pays européens ne se mettront pas en faillite : Merci les grands voraces des marchés financiers !



  • hugo BOTOPO 5 décembre 2013 15:56

    Faire payer ou taxer les clients d’un acte sexuel c’est la définition de la prostitution et/ou du proxénétisme. L’État devient un proxénète en prétendant -comment ?- lutter contre la traite sexuelle des êtres humains. La loi ne sera guère efficace dans la lutte contre le proxénétisme.
    Les relations sexuelles entre adultes consentants ne sont pas interdites. En absence de consentement c’est du viol imposé sous la contrainte du client ou du proxénète !
    Depuis de nombreuses décennies la consommation modérée de boissons alcoolisées est autorisée aux adultes : les excès, l’ivresse étaient condamnées et réprimées, autrefois, selon les affiches placardées sur les débits de boisson. Aujourd’hui la répression se limite à la conduite sous l’emprise alcoolique, même légère.
    Les drogues, surtout les drogues dures -cocaïne, héroïne, LSD, ...- sont interdites et tout possesseur de drogue est supposé être un trafiquant et devrait se faire verbaliser ou emprisonner. POURQUOI TOUS LES CLIENTS CONSOMMATEURS OU REVENDEURS DE DROGUES NE SONT-ILS PAS SYSTÉMATIQUEMENT SANCTIONNÉS ? Ce serait une mesure radicale contre les trafics et l’usage des drogues. Les consommateurs de « coke » et autres stimulants seraient-ils trop nombreux dans les microcosmes, dans les hautes sphères de la politique, des médias, des arts, de l’économie et de la finance, pour ne plus faire appliquer la loi ?



  • hugo BOTOPO 20 octobre 2013 14:18

    Merci BA pour tes chiffres, sur les dettes publiques des nations les plus endettées, en valeur relative au PNB.
    Il serait bon de joindre les dettes privées des particuliers (consommations, investissements) et les dettes financières des entreprises vis-à-vis des banques : ce serait catastrophique !
    Pour qu’il y ait cessation de paiement il faut que les créanciers réclament leur dû aux échéances des prêts ; et pour en faire quoi si ce n’est, actuellement, de souscrire à de nouveaux emprunts.
    Une grande partie des dettes publiques sont souscrites auprès des banques centrales, soit directement (le Japon encore tout récemment en demandant à sa banque centrale d’émettre des centaines de Md$ - en équivalent yens- pour que le gouvernement relance la machine économique par de grandes dépenses budgétaires), soit indirectement (les USA, à plus de 50%, via les banques par le rachat des bons du trésor par la Federal Reserve). Il en est de même pour tous les pays ayant une banque centrale nationale (Royaume-uni,.. les pays de UE avant la zone euro et sa BCE castratrice refusant ce type d’émission). Les banques centrales nationales sont les banques de leur nation, appartenant à chaque nation. Quel intérêt de demander dans ces conditions le remboursement d’émissions de monnaie à partir de rien, et au profit de qui ? Sinon, il faudrait alors un programme concerté de réduction massive des masses monétaires en circulation, avec des impôts exceptionnels : les situations économiques actuelles ne le permettent pas.
    L’Italie présente actuellement un déficit de 2,5 à 3% du PNB, avec des taux d’intérêts de la dette supérieurs à 5%. Avec les taux de 2%, ceux de l’Allemagne, appliqués sur la totalité de la dette, l’Italie serait en excédent budgétaire et réduirait sa dette !
    Vers l’an 2000, sous Bill Clinton, un démocrate nécessairement dépensier contrairement aux excellents gestionnaires républicains, le budget fédéral US a été en excédent, avec une réduction induite de la dette : il ne faut donc pas désespérer !
    L’économie financière mondialisée est actuellement un affrontement entre les VORACES partisans de faire suer la bête, avec des taux d’intérêts supérieurs à l’inflation et les CORIACES
     résistants pour sauver les économies réelles et les emplois.
    La menace de cessation de paiement sert à maintenir les peuples tranquilles : c’est le management par la peur et le stress permanent. RESTONS COOL ET SEREINS !



  • hugo BOTOPO 1er octobre 2013 17:37

    epicure, merci ;
    Tu t’es dévoué pour porter la parole de la bien-pensance médiatique ; tu es politiquement correct.
    Mais pourquoi commencer par de la hargne, des condamnations sans appel en se retranchant derrière la science et le rationnel ; cela rappelle les arguments des procès de l’Inquisition ou du stalinisme : au choix. La démographie et surtout l’économie ne sont pas des sciences exactes, mais des sciences humaines soumises aux aléa humains, à de l’irrationnel : si l’économie était une science exacte, rationnelle, cela se saurait et les problèmes seraient résolus,et les prévisions certaines. Mais tes arguments se veulent scientifiques : le fait de présenter des nombres n’a rien de scientifique.
    A te lire, c’est toi qui écrit : « les femmes pondent des enfants à foison » ; merci pour ta misogynie.
    Rien dans mon texte ne stigmatise les femmes ; cependant c’est bien la forte natalité encouragée par les gouvernements de la IVième et de la première décennie de la Vième République (Michel Debré) qui a encouragé et soutenu le baby boom : les familles nombreuses étaient à l’honneur et les plus grandes étaient même primées. Il y a eu un fort excédent de natalité, de filles et de garçons, dépassant de beaucoup le renouvellement des générations.
    Depuis quelques décennies les françaises ne « pondent pas des enfants à foison » même si quelques femmes ont encore de nombreux enfants. Prétendre comme tu le fais que « la hausse de la population ne vient pas d’une hausse de la natalité » est contredit par l’évolution de la population française pendant le baby boom ! Que la baisse ou le report de la mortalité y soit pour quelque chose, c’est vrai. Depuis la fin du baby boom, ce sont les filles ou les femmes, nées en quantité pendant le baby boom, qui sont venues engendrer les nouvelles générations.
    Bravo pour ton argumentation qui transforme les excédents de 200 000, entre naissances et décès, directement en 200 000 vieux et retraités annuels supplémentaires, sans passer par la case chômage et la case activité rémunérée ! Certes c’est l’avenir à terme de certains jeunes au chômage, mais attention aux raccourcis ! Le chômage n’augmenterait pas de plus de 200 000 chaque année depuis plus d’une décennie !
    Quelle est ta définition « scientifique » des vieux ou du vieux ?
    Les retraités, cadres, enseignants, fonctionnaires de bureaux, entre 65 et 70/80 ans sont-ils des vieux tout en étant retraités.
    Les PdG, directeurs, sénateurs, chefs politiques, personnalités du show-bizz (animateurs, comédiens, chanteurs) vieux de plus de 70 ans, si ce n’est de 80 ans, en âge d’être classés en retraités (un grand nombre cumule avec la retraite) auraient besoin de « personnes pour s’en occuper » : où est le corps d’assistants de fin de vie pour les sénateurs âgés en plein exercice ?
    Tous ces personnes alertes et bien dans leur tête et leur corps, sont-ils des gâteux et des grabataires pour nécessiter une assistance ?
    « Petite piqure de rappel : en France la période la plus florissante au niveau économique c’est les trente glorieuses, mais ça correspond au baby boom,
    donc cela démoli ton argument sur le lien entre la baisse de la natalité et prospérité économique »
     
    Bravo, quel raisonnement rationnel et scientifique !
    J’ai vécu en plein comme jeune enfant puis adulte les trente glorieuses dans leur intégralité : ce n’est pas le travail des enfants comme au Bangladesh et dans d’autres pays à forte natalité et peu développés, qui a généré la création de richesses : ce sont leurs parents (jusqu’à 65 ans minimum, ou la mort prématurée) qui ont beaucoup travaillé pour reconstruire le pays après des dégâts de la guerre, pour construire des logements pour leur famille (dont le nombre dépendait de la natalité assez faible des années 20, 30 puis 40) puis ont fabriqué dans des usines françaises les principaux équipements dont la très grande majorité de français ne disposait pas : gazinières, machines à laver le linge, réfrigérateurs, vélomoteurs, première petite voiture, lave-vaisselle, poste de radio, tourne-disques, téléviseurs noir et blanc, le trop limité téléphone,... et sur le plan national les barrages hydro-électriques et même à partir des années 60 les premières centrales électro-nucléaires, sans oublier les moyens attribués pour la création et constitution de la force de frappe nucléaire. Si c’était « une période la plus florissante au niveau économique » selon tes écrits, ce ne l’était pas au niveau du confort et des commodités pour ceux qui la vivaient : le seul élément positif c’est qu’il y avait du travail pour tous, car tous les équipements nouveaux étaient fabriqués en France, au lieu de délocaliser le travail avec 50 à 65 Mds € de déficit commercial annuel (principalement avec l’Allemagne et la Chine). Les chambres de nos enfants débordent de jouets, de microordinateurs, de consoles et de smartphone dernier cri importés et nous déplorons plus de 3 M de chômeurs catégorie A, plus les temps partiels subis et les préretraités sortis des statistiques. Bravo pour la science économique !!!
    Enfin, je ne comprends pas ton argumentation sur « il y a quand même une bonne nouvelle » liée à « la baisse de natalité » pour « impacter la croissance démographique mondiale » ; Quelles contradictions avec les arguments que tu m’as opposé ?



  • hugo BOTOPO 23 septembre 2013 16:22

    Cher olivier,
    J’ai beaucoup de réflexions et analyses dans les implications de la démographie dans le développement européen et mondial ; d’accord pour échanger en direct et collaborer ;
    Dans ton site http://olivier-cabanel l’article concernant tes coordonnées sur pages blanches ne comprend pas la ville ou à défaut le département ; et il y a 75 réponses possibles !!!
    Merci pour plus de précisions.



  • hugo BOTOPO 23 septembre 2013 11:53

    Par hugo BOTOPO

    Merci de rappeler quelques vérités sociales et économiques : la société du profit maximum se renforce chaque jour ; c’est normal vu qu’en période de stagnation ou de récession les riches deviennent plus riches donc les pauvres plus nombreux plongent vers la misère. Ah ! s’ils pouvaient réduire leur durée de vie, cela améliorerait les retraites des bonnes classes moyennes !

    Un élément important systématiquement minimisé ou ignoré par les « experts » de la politique économique, est la DEMOGRAPHIE et surtout son évolution : la croissance démographique française serait un atout ! Pour QUI ? Pour la France ou pour l’Allemagne  ? Avant de répondre signalons qu’avec un déficit de 65000 naissances par apport aux décès annuels l’Allemagne s’en sort bien, son chômage diminuerait selon la politique dénoncée par Olivier Cabanel ; et elle fait appel à des travailleurs immigrés bien formés aux frais de leur pays d’origine (ça creuse les déficits budgétaires honnis de ces pays) avec un solde migratoire d’environ 300 000 par an : quelle économie énorme dans les frais de formation ( de la naissance jusqu’à l’employabilité) pour le budget allemand !
    Pour la France, avec ses 300 000 excédents de naissances sur les décès et une stagnation économique (même avec une faible croissance l’emploi reste stable du fait des gains de productivité), il faut élever les jeunes de la naissance jusqu’à la formation professionnelle ; pendant une vingtaine d’années ces excédents de naissance forment au même rythme les nouveaux chômeurs (300 000 de plus chaque année, avec les diverses allocations pour leur permettre de vivre). C’est donc actuellement (car on ne crée pas les 300 000 emplois annuels supplémentaires indispensables) une charge de quelques % du PNB pour le budget français et un gain équivalent pour le budget allemand. Après correction le déficit français serait presque annulé et le solde budgétaire allemand plongerait dans le déficit.
    Ce qui est valable pour la France l’est aussi en partie pour les pays du sud européen (et de l’Est) formateurs et pourvoyeurs de main d’oeuvre qualifiée à la florissante Allemagne !



  • hugo BOTOPO 5 septembre 2013 15:34

    Les circonvolutions des hypothèses présentées nous invitent à l’onirisme. Que serions-nous sans les rêves ?
    Pourquoi les notions de champs sont-elles absentes ?
    Le champ électromagnétique est le seul porté et créé par des mouvements organisés de photons ;
    les champs purement électriques, magnétiques et gravitationnels se présentent comme une organisation de l’espace avec une variation de la notion de potentiel. Les champs des nombres, entiers, réels, transcendants et complexes, structurent notre espace (temps ?) ils existent en soi hors de tout support matériel.
    Alors pourquoi ne pas introduire et prendre en considération un « champ de vie » capable de créer, structurer la vie ou les composantes du vivant ? dans une version plus évoluée de la vie les bases et gènes de l’ADN ne seraient que des empilements de constantes spécifiques aux équations de l’expression du vivant, tout comme les suites organisées de 0 et 1 dans les mémoires informatiques et dans les logiciels !