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Les commentaires de Jean Keim



  • Jean Keim Jean Keim 30 mars 08:28

    Que voulons-nous, que recherchons-nous ? Une religion parmi tant d’autres qui invente Dieu et monopolise les esprits, ou des esprits libres ouverts à l’altérité.

    Maintenant que nous avons dépassé les 8 milliards d’âmes, la société humaine ne peut se développer harmonieusement sans une organisation et donc une discipline (étymologiquement apprendre) ; nous ne pouvons plus chacun faire ce qu’il nous plait dans notre pré carré sans tenir compte des autres, l’autre commence à notre voisin, chaque être humain doit se sentir en sécurité et ne pas avoir le sentiment que le monde lui est hostile ; seulement le ‘’vivre ensemble’’ ne peut et ne doit s’appliquer qu’aux aspects concrets de l’existence.

    Une organisation idéologique – religieuse ou autre, n’a pas sa place dans une démarche objective, ainsi la spiritualité est une affaire strictement personnelle.



  • Jean Keim Jean Keim 29 mars 18:34

    @Hamed

    << Qui nous a trompé ? Est-ce nous ? Ou notre pensée ? Et surtout pourquoi ? >>

    Nous sommes d’instant en instant ce que nous pensons, c’est d’ailleurs la définition de la personnalité ou encore ego.

    La réponse est simple si on perçoit que la pensée exprime des choses connues qui peuvent être vraies, fausses ou non connues mais inventées en faisant appel encore à des savoirs.



  • Jean Keim Jean Keim 29 mars 08:29

    Si l’au-delà existe, alors quand nous en franchirons le seuil, il sera tel que nous l’avons pensé dans notre présente existence, la pensée est donc relative à un contexte – notre mode de penser – et de ce fait elle est provisoire, elle est impermanente, tout ce qu’elle a imaginé est appelé à disparaître (dans les strates de l’espace-temps ?) y compris elle-même.



  • Jean Keim Jean Keim 29 mars 08:17

    Le désir, y compris celui de l’immortalité de l’âme, trouve sa source dans une pensée, or il n’y a pas une pensée sans un savoir pour lui donner du blé à moudre, la pensée est donc soumise au temps et à l’espace, la pensée trouve ainsi son origine dans le passé, la pensée exprime uniquement du connu, telle est sa nature ; l’immortalité de l’âme, quelle que soit leur réalité (de l’immortalité et de l’âme), lui est donc inaccessible sinon comme un concept parmi les innombrables concepts inventés par le processus de la pensée.



  • Jean Keim Jean Keim 29 mars 08:02

    @bluerider

    Quel est le pourcentage de victimes acceptable ?



  • Jean Keim Jean Keim 28 mars 16:29

    @chantecler

    Autant ‘’mode de penser’’ comme ‘’mode de vie’’ se rapportent à des aspects importants de l’existence, autant ‘’mode de pensée’’ se limite à un instantané d’un processus global qui littéralement encadre toute notre existence, de plus l’emploi des termes ‘’mode de penser’’ peut provoquer un étonnement suivie d’une interrogation qu’un banal ‘’mode de pensée’’ probablement ne provoquera pas.



  • Jean Keim Jean Keim 28 mars 08:27

    @chantecler

    Le français est une langue vivante qui a des racines et donc évolutive.

    Le penser, nom masculin venant du vieux français, désigne le ‘’processus’’ qui produit la pensée ; le penser caractérise notre espèce, sans présumer pour les autres formes de vie ; toute pensée est propre à chaque être humain ; on dit avec justesse par exemple le ‘’mode de vie’’, pourquoi ne dirait-on pas le ‘’mode de penser’’.



  • Jean Keim Jean Keim 28 mars 07:40

    Connaîtrons-nous un jour l’identité des ‘’vrais’’ coupables ? Et une fois connue que ferons-nous, la cause profonde ne sera même pas envisagée. L’histoire nous apprend-elle quels sont les vrais responsables de la guerre 1914-45 ?

    Nous sommes capables de comprendre voire d’élaborer des analyses tarabiscotées, mais nous sommes incapables de comprendre, à défaut de percevoir, la source de tous nos maux.

    Ceux qui ont perpétré ce crime organisé – depuis les instigateurs jusqu’aux exécutants de tous bords – ont obéi à ce que leur dictait leur mode de penser, La guerre sous toutes ses formes, y compris le terrorisme, profite à ceux qui la trame, la cupidité oblitère la part humaine de la conscience, le profit n’est pas seulement matériel, la part psychologique est importante.



  • Jean Keim Jean Keim 27 mars 07:49

    Un général, ce général, fait une analyse en se référant à ce qu’il sait, et nous ré-agissons en fonction de nos propres savoirs, qu’est-ce que nous ne comprenons pas dans ce processus pluri séculaire infernal ?

    Comment peut-on espérer l’émergence d’un monde nouveau avec une énième guerre ?

    Faire la guerre c’est précisément la méthode de l’ancien monde, c’est-à-dire de l’actuel, c’est même devenu un métier

    Vous avez écrit : « La Russie s’est sentie trahie et humiliée. » voilà un bel exemple de ce que peut ‘’pondre’’ la pensée, la Russie est un concept, si nous voulons dialoguer avec elle, nous devrons rencontrer nous pas des russes car c’est aussi un concept, mais des gens qui cohabitent sur un territoire usuellement nommé Russie.

    Les humains ont tous un point commun : un esprit qui pense, et une singularité : il y a autant de modes de penser que d’humains sur terre, actuellement grâce à une propagande savamment entretenue par ceux qui vivent très bien de la guerre, celle-ci semble naturelle, c’est-à-dire aller de soi.

    La guerre commence dans la vie de tous les jours, quand deux quidams en viennent aux mains parce que l’un aurait regardé l’autre de travers, parce que l’un porte une djellaba et l’autre un jean, parce que l’un dit Yahweh quand l’autre dit Allah, c’est dérisoire mais les conséquences sont considérables.



  • Jean Keim Jean Keim 26 mars 13:41

    @grangeoisi & Panoramix,

    La guerre ne vient pas de rien, en fait elle prend naissance dans un mode de penser, tout le reste y compris les analyses dites géopolitiques ou idéologiques vient après c’est à dire en ré-action, les propagandistes trameurs de conflits (ou de vaccinations) savent très bien préparer le terrain mental.



  • Jean Keim Jean Keim 26 mars 09:57

    @Francis, agnotologue

    La guerre est une activité économique juteuse qui a en horreur l’absence de guerres ce qui pour autant n’est pas la paix.



  • Jean Keim Jean Keim 26 mars 09:53

    @grangeoisi

    << Quid des russes et ukrainiens dans tout cela ? >>

    Certains en pensées-paroles, d’autres en actes, acceptent de participer à la guerre.

    Si mon pays devait connaître de nouveau la guerre, que ferais-je ? Je ne sais pas, en fait c’est bien avant la déclaration de guerre que nous devons refuser toute participation.

    Ne pas participer ne se limite pas à ne pas porter les armes, notre refus de s’impliquer doit se situer bien en amont, il consiste à refuser toute participation quelle qu’elle soit, depuis le refus de faire des études en rapport avec la guerre, jusqu’a refuser l’engagement militaire, en passant par le refus de fabriquer des armes dans des usines...



  • Jean Keim Jean Keim 26 mars 08:29

    Ce n’est pas que le chef des Russes ou celui des Ukrainiens qui est en cause, une guerre ne peut avoir lieu que s’il y a des participants, seulement une fois les hostilités engagées, il est difficile, quasiment impossible, de faire marche arrière.

    La guerre est une manifestation névrotique voire psychopathique de tout un peuple contre un autre peuple, dont les individus considérés individuellement ne sont pas plus (pas moins non plus) mentalement malades que les autres ; le nationalisme, cette plaie purulente qui résulte toujours d’une propagande abjecte, recouvre tout un pays comme les nuages noirs d’un ciel d’orage, l’autre est le mal et l’autre en face pense de même, ‘’penser’’ là est le point de départ de cette folie, alors il faudra le fracas des armes et son lot de meurtres autorisés pour que la situation se calme avant la prochaine déflagration, 5 000 ans de guerres connues n’ont servie à rien.

    Au lendemain de la guerre 1914-45 et ses massacres, après les discours de paix et la main sur le cœur en déclarant « plus jamais ça », la France en 1946 est allée faire la guerre en Indochine, que dire de plus...

    Si encore quelques mots, dans chaque camp il se trouve des hommes du dieu patenté (serait-ce moloch ?) pour bénir les armes avant qu’elles ne crachent la mort.



  • Jean Keim Jean Keim 25 mars 13:25

    @Eric F

    << Que des Russes soient pro-Russe et des Ukrainiens pro-Ukrainiens, cela est dans la nature des choses. >>

    Absolument, seulement la guerre n’est pas (qu’)un concept, elle est bien réelle de par ses participants, tout être humain peut changer ce qui le détermine.

    Il est évident que les guerres sont fomentées bien avant leur éclosion, les dissensions intestines de toutes sortes sont savamment attisées.



  • Jean Keim Jean Keim 25 mars 09:28

    Quand c’est le capharnaüm dans les esprits, c’est le capharnaüm dans le monde, c’est dans la tête que tout commence.

    Que nous soyons pro Russes ou pro Ukrainiens, la tyrannie des idées mène la danse et oblitère le simple bon sens.

    En effet le plus effrayant dans cette affaire est que la guerre russo-ukrainienne n’est idéologique que dans la forme, dans le fond elle est une entreprise économique juteuse pour les industries de l’armement qui se foutent comme de l’an 40 des drapeaux, elles n’ont pas de patrie, dans certaines guerres les différents belligérants se tuent avec les mêmes armes.



  • Jean Keim Jean Keim 25 mars 07:53

    Si j’ai un problème de voisinage, avec mon voisin concerné nous ne le règlerons pas à coups de fusils, cela pour des tas de raisons, notamment parce que perso je n’ai pas de fusil, lui je ne sais pas, mais principalement parce que la loi l’interdit.

    Si le monde était d’aplomb il n’y aurait plus de guerres, mais des arbitrages encadrés par des institutions indépendantes, oui bon c’est irréaliste n’est-ce pas !?

    Imaginons notre monde arbitré par une institution du genre ‘’Organisation des Nations Unies’’... non ça ne peut pas marcher, le pays le plus puissant car le plus puissamment armé et ayant plein de coups foireux à son actif mènera la danse et/ou passera outre, dommage c’était une belle idée.

    La raison la plus rédhibitoire néanmoins est que le monde est dominé par des idées, toutes plus bancales les unes que les autres.



  • Jean Keim Jean Keim 24 mars 11:37

    @Eric F

    Je ne VEUX pas changer la nature humaine, pour ce faire à quelle autorité pourrais-je me référer, néanmoins nos commentaires respectifs sont à l’image de notre mode de penser.



  • Jean Keim Jean Keim 23 mars 13:44

    @quijote

    << Les étoiles n’ont généralement rien à voir avec « intéressant » ou pas. >>

    Je me suis bien rendu compte de la dérive de l’emploi des étoiles, pourtant seul le contenu d’un écrit et son intérêt devraient être retenu.

    << Il se trouve que c’est la réalité. Ça me dérange pas. C’est comme ça qu’on fonctionne. >>

    Disons plus exactement que c’est comme ça que VOUS fonctionnez.



  • Jean Keim Jean Keim 23 mars 13:31

    @Eric F

    C’est exact d’où l’intérêt de les relire une deuxième fois, une première fois pour en prendre connaissance, la deuxième pour en tirer un enseignement quelconque.



  • Jean Keim Jean Keim 23 mars 08:40

    Quel est l’intérêt de mettre une ou plusieurs * (étoile) dans un commentaire écrit pour corriger une faute de grammaire qui, ceci dit dans le cas présent, ne change en rien le sens de la phrase.

    Pour ceux qui n’auraient pas tout compris, mettre une seule étoile pour ‘’sanctionner’’ un contenu, c’est comme noter 10/20, c’est finalement quand même reconnaître une utilité à un article ou à un commentaire smiley

    Personnellement je ne mets que trois * soit rien du tout ; mettre une seule étoile est comparable au mauvais critique littéraire qui se venge de sa médiocrité en dénigrant tout écrit qui a néanmoins pour le moins le mérite d’exister.