@taktak
Bonsoir,
Si je n’ai absolument rien à objecter à ce que vous avez écrit dans votre article, je suis en revanche très étonné de lire dans votre commentaire :
"Si rien n’est possible sans sortir de l’UE et de l’Euro, cela ne signifie pas qu’il n’y a pas des problèmes par ailleurs. Le numerus clausus en est un, mis en place par les médecins libéraux pour s’assurer une clientèle, et qui a conduit à une pénurie de médecin dans certains zones urbaines ou rurales.(...)"
Tiens donc ! J’avoue ma grande surprise, d’autant que j’ai longuement cherché une directive ou un article des traités européens à l’origine de cela. En vain.
Aussi, j’aimerais bien que vous nous en disiez plus à ce sujet, et ce de manière sourcée et datée, SVP.
a)les médecins libéraux seraient à l’origine du numerus clausus.
b) les mêmes auraient décidé de son resserrement.
Cordialement.
Thierry Saladin
John Tuld : Permettez-moi de vous dire quelque chose, monsieur Sullivan. Vous souciez-vous de savoir pourquoi je suis sur cette chaise avec vous tous ? Je veux dire, pourquoi je gagne beaucoup d’argent.
John Tuld : Je suis ici pour une raison et une seule raison. Je suis ici pour deviner ce que la musique pourrait faire dans une semaine, un mois, un an. C’est ça. Rien de plus. Et debout ici ce soir, j’ai peur de ne rien entendre. Juste ... silence.
Bonjour Renaud Bouchard,
Ravi de vous lire à nouveau. Vraiment.
Un bémol cependant. Et si vous me le permettez, bien sûr.
Comment un homme de votre qualité peut-il se permettre de mettre un dialogue en VO — c’est-à-dire en anglais — dans un article rédigé en français, donc pour francophones ?
Auriez-vous agi de même si ce dialogue avait été écrit en allemand, en italien ou en néerlandais ? Je crains que la réponse ne tombe sous le sens.
En agissant ainsi vous contribuez, probablement sans y avoir bien réfléchi, à promouvoir certaines idées reçues, comme par exemple :
l’anglais serait LA langue internationale,
Quasiment tout le monde la maîtriserait,
Cette situation de fait n’aurait absolument rien à voir avec ce que nous vivons actuellement : un plan d’asservissement des masses voulu par l’oligarchie et mis en application depuis au moins des décennies.
(...)
Et je ne parle pas des conséquences à long terme, si cette prétendue universalité du globiche — variante altérée de l’anglais qui est une langue bien plus difficile que d’aucuns l’affirment — devait se prolonger, ni du manque de respect pour vos lecteurs qui doivent ensuite aller sur Internet pour, en somme, faire ce que vous auriez dû faire : traduire en français ledit dialogue.
Nul doute dans mon esprit que vous aurez parfaitement intégré ce que j’essaie de vous dire.
Croyez en mon plus profond respect, et en mes regrets.
Thierry Saladin
Bonjour Durand,
Je suis vos échanges avec l’auteur avec le plus grand intérêt : pour tenter de comprendre.
Dans votre commentaire du 30 avril à 12h09 vous écrivez :
"En 2017, L’affaire « Philippot » et des subsides conséquents qu’il
offrait en échange d’une troisième place à l’upr est tout à fait
emblématique de cette incongruité conceptuelle consistant – pour un
mouvement dit « de rassemblement national » – à ne favoriser qu’un seul
leader.«
Pouvez-vous en dire un peu plus sur »l’affaire Philippot", SVP ?
Merci.
Cordialement.
Thierry Saladin
@cettegrenouilleci
Merci pour ce témoignage.
Bien cordialement.
Thierry Saladin
@Jean Dugenêt
« Ceux qui disent qu’il veulent un
nouveau CNR, mais ne font rien pour cela, cherchent à faire porter la
responsabilité de l’échec aux autres.
(...)Au lieu de chercher des bonnes raisons
de dire qu’il est impossible de faire quoi que ce soit avec untel ou untel et
que je suis le seul à être beau et pur et qu’il faut donc venir avec moi
j’essaie tout au contraire de voir comment l’unité peut se réaliser avec
chacun. »
CQFD.
Mais voilà, j’ai peur que tout cela ne soit qu’un dialogue de sourds. Des raisons relevant de la psychologie humaine n’étant pas étrangères à ce que vous essuyez depuis hier.
Du reste, souvenons nous du mal que rencontra Jean Moulin pour parvenir à fédérer tous les réseaux de résistance...
Bravo quand même d’avoir essayé.
Et je le répète : pendant ce temps-là l’oligarchie continue (et va continuer) à dézinguer la France. Hélas.
Bien à vous.
Thierry Saladin
Bonsoir Jean Dugenêt,
Vous ne serez pas étonné si je vous dis que je soutiens en tous points votre thèse.
Vous rappelez avec raison que l’UPR n’a pas le monopole de l’idée du Frexit. Ni même d’ailleurs l’antériorité, puisque les faits révèlent qu’au moins le PRCF a adopté cette posture en 2003. Soit quatre ans avant la fondation de l’UPR.
Ce qui n’empêche pas de reconnaître que l’UPR est de loin la formation pro-Frexit la plus importante.
Mais voilà, dans ce mouvement il y a deux inconvénients. Lesquels sont majeurs, de mon point de vue.
Comme vous le dites très bien, c’est une formation de type bonapartiste : tous derrière le chef !*
Je l’ai écrit sur AV au moins depuis janvier 2016 et encore tout récemment (N.B. : avant le 16 mars 2020) : la stratégie de l’UPR consiste à espérer que d’autres (des formations ou des individualités) finiront par le rejoindre, charte de l’UPR oblige.
Pour qui a une once de sens politique, il est évident que cette stratégie ne peut réussir.
Mais voilà, allez expliquer ça à un adhérent de l’UPR, et même si vous dépensiez sang et eau pour ce faire : c’est peine perdue. Ces gens-là, qui pourtant ont compris où se situait le salut du pays, sont dans l’impossibilité d’envisager une sorte d’alliance, un programme commun de gouvernement, autrement dit un nouveau CNR avec d’autres formations.
Pourquoi ?
Parce que François Asselineau (FA) n’est pas du tout dans cette logique. Et c’est le second inconvénient.
S’il cherchait à nouer des alliances, eh bien les militants suivraient. Mais voilà, ce monsieur ne fait rien pour. Mais alors rien du tout. Allez donc poser la question, ne serait-ce qu’au Pardem ou au PRCF… Vous verrez.
Tout se passe comme s’il jouait sa carte personnelle.
Autrement dit FA, qui est probablement un homme sincère, et a de réelles compétences, n’a aucun sens politique. C’est comme ça. Il a adopté une stratégie qui ne mènera à rien.
Et pendant ce temps-là, notre pays se fait dézinguer. Soupirs.
* En supposant que les « putschistes » auraient agi ainsi parce qu’ils partageraient notre position commune (ce qui reste à prouver), eh bien force est de constater qu’ils s’y sont pris comme des branques. Tant sur le fond que sur la forme.
Bien qu’étant non-adhérent de l’UPR, mais votant régulièrement pour ce parti depuis 2013, je condamne avec la plus grande vigueur leur manière de faire.
Bien cordialement.
Thierry Saladin
@alinea et à l’auteur,
« Très sympa cet article, ça fait plaisir, merci Krokodilo »
Absolument.
Bravo.
Thierry Saladin
Bonjour Jean Dugenêt,
J’ai répondu à votre proposition de déclaration commune. J’ai recopié la réponse dans la deuxième partie et aussi au début des commentaires de la troisième partie de Moi, milliardaire...
Cordialement.
Thierry Saladin
Bonjour à tous,
Une erreur technique fait que la légende figurant sous la photo de Guaino et de MLP a disparu. La voici :
14’21’’-14’25’’ « Cela [ndr : sortir unilatéralement de l’UE et de l’euro] n’a jamais été mon projet » dixit Marine le Pen le 24 février 2012.
Avec mes regrets
Cordialement.
Thierry Saladin
@Jean Dugenêt,
Pardon pour le délai que j’ai mis pour vous répondre, mais la
finalisation de la dernière partie de cet article (encore au stade de la
modération, à l’heure où j’écris) a exigé tout mon temps disponible.
Mais j’avais pris bien soin de vous lire, n’en doutez pas.
Une déclaration commune avec les sept organisation citées, pourquoi
pas ? Compte tenu de la situation actuelle du pays et de l’aggravation
qui est à prévoir, rien n’est à exclure. Pourtant je continue à penser
qu’écarter la formation de Jacques Cheminade serait une erreur.
Il est pour la sortie de l’UE et de l’OTAN, même s’il ne le dit pas toujours d’une manière explicite.
Peut-être faudrait-il trouver une formule pour l’associer, au moins comme destinataire de cette déclaration, et que les autres le sachent.
Qu’en pensez-vous ?
Bien cordialement.
Thierry Saladin
@Jean Dugenêt,
Pardon pour le délai que j’ai mis pour vous répondre, mais la finalisation de la dernière partie de cet article (encore au stade de la modération, à l’heure où j’écris) a exigé tout mon temps disponible.
Mais j’avais pris bien soin de vous lire, n’en doutez pas.
Une déclaration commune avec les sept organisation citées, pourquoi pas ? Compte tenu de la situation actuelle du pays et de l’aggravation qui est à prévoir, rien n’est à exclure. Pourtant je continue à penser qu’écarter la formation de Jacques Cheminade serait une erreur.
Il est pour la sortie de l’UE et de l’OTAN, même s’il ne le dit pas toujours d’une manière explicite.
Peut-être faudrait-il trouver une formule pour l’associer, au moins comme destinataire de cette déclaration, et que les autres le sachent.
Qu’en pensez-vous ?
Bien cordialement.
Thierry Saladin
@Séraphin Lampion
Avec votre autorisation, je me permets de corriger votre traduction, que l’on voit partout, d’ailleurs.
En français, le mot alternative est un choix entre deux options. Exemple : de deux choses l’une, ou bien je sors ou bien je reste à la maison.
En anglais le mot alternative a le sens d’autre solution, d’autre possibilité.
La traduction de la phrase de Thatcher devrait être en français correct : il n’y a pas d’autre option (ou d’autre solution). Sous entendu : que celle que je propose. Et ce quel que soit ce que pouvait penser Thatcher.
Cordialement.
Thierry Saladin
Bonjour,
Merci à tous mes lecteurs et aussi pour vos commentaires.
Bien à vous.
Thierry Saladin
@Gilles Mérivac, et aussi à tout le monde,
Je viens de rentrer d’une manifestation, et ai pris connaissance des réactions arrivées ce matin.
J’apprends par ma messagerie électronique qu’un certain « Églantine » s’est permis de venir polluer cet endroit, laissé à la disposition des lecteurs. Et avec six tartines hors sujet, SVP !
Gilles Mérivac a réagi comme il convenait et je lui en sais gré.
Lesdits messages-tartines n’étant plus là, je suppose que quelqu’un a fait ce qu’il fallait pour dégager cet intrus.
Quelle que soit la personne qui a pris cette initiative, qu’elle sache que je l’approuve. Et même l’en remercie.
Je profite de l’occasion pour vous redire, à tous, que je m’enrichis à la lecture de vos commentaires
Bien à vous tous.
Thierry Saladin
Bonjour à tous les lecteurs,
Je remercie les lecteurs et auteurs de commentaires lors de la première partie de cet article. Ainsi que ceux qui ont approuvé cet article, lors de l’étape de la modération.
Comme précédemment, je ne réagirai pas aux commentaires. Du reste, ils se suffisent à eux-mêmes, et il est bon que les lecteurs échangent entre eux. Ils m’apportent d’ailleurs beaucoup. Qu’ils en soient convaincus.
Bien cordialement.
Thierry Saladin
Aux lecteurs,
Je ne répondrai à aucun commentaire et ce pour deux raisons :
D’abord parce que cet article est en cours de rédaction, et ensuite parce que je fais confiance à ceux qui le pourront ou le voudront de donner les références utiles à ceux qui le souhaiteraient. Et je les en remercie par avance.
Bien cordialement à tous.
Thierry Saladin
@JulietFox
On ne « déclenche » pas une grève générale en appuyant sur un bouton.
Bien sûr, et on la déclenche encore moins quand on a accepté d’adhérer à la CES (Confédération européenne des syndicats) c’est-à-dire d’aller à la soupe. Et quand on se garde bien de montrer sur ses propres tracts qui sont les vrais responsables de la casse sociale générale en France. Pensez donc...
Après vilain Sarkozy ! puis vilain Hollande ! on a droit maintenant à vilain Macron !...
Mac a bien raison de dire que tous devraient rallier les Gilets jaunes.
Cordialement.
Thierry Saladin
@Eric F
Vous dites :
"Mais il ne faut pas se faire d’illusion, dans les réunions de travail,
si on veut parler « en direct » sans traduction simultanée, l’usage de
la langue anglaise est devenu le standard, et qui ne la maîtrise pas ne
fera pas passer son point de vue. "
Exact. Et c’est le résultat de ce qu’on appelle la politique du laisser faire.
Voilà pourquoi la France se serait honorée si elle avait promu l’usage de l’espéranto à l’international. Mais nos politicards ont préféré jouer une carte exclusivement francophone (de Gaulle également, hélas), et on voit ce qui en a résulté soixante ans après.
Face à la volonté des Anglo-ricains d’imposer l’anglais, et aux moyens qu’ils avaient pour ce faire, il n’y avait après la Seconde Guerre mondiale que l’espéranto pour contrer leurs vues.
La France aurait dû jouer cette carte. Elle aurait ainsi sauvé le français, saboté le plan diabolique des EUA dont nous ne voyons aujourd’hui que le début des conséquences fâcheuses : en effet, nous n’avons pas fini de payer le prix de ce renoncement.
Enfin, en agissant ainsi elle restait fidèle aux valeurs universelles qu’elle prétend défendre depuis la Révolution, et nul doute qu’elle aurait obtenu de solides appuis. Las.
Je ne connais pas l’avenir, mais franchement je ne vois pas comment on pourrait désormais enrayer le processus d’américanisation actuel sur la planète entière.
D’autant que de nos jours combien n’hésitent pas à continuer à se moquer de l’espéranto, affichant ainsi leur méconnaissance complète, à la fois de la dynamique des langues et aussi de l’espéranto : la langue internationale par excellence. Née en 1887 et parfaitement adaptée à la communication internationale, la vraie : la communication équitable. Ce que ne peut donner une quelconque langue ethnique, l’anglo-américain inclus.
Mesdames et Messieurs les ignorants (et ou adversaires de l’espéranto) vous avez désormais la parole. Pour contrer tout ce que je viens d’écrire. Et ne vous gênez pas, surtout ! Si cela peut vous soulager...
Cordialement à tous.
Thierry Saladin
Bonjour taktak,
Merci pour cet article.
Vous écrivez :
(...)On remarquera d’ailleurs que les journalistes à gage des médias des milliardaires si prompt à hurler contre les agents publics sont bien peu à s’exprimer sur leur propre régime spécial.(...)
Pouvez-vous en dire plus, SVP ?
(...)la réforme prévoit de fait une baisse généralisée des salaires avec une diminution des cotisations patronales et une augmentation des cotisations salariales ; (...)
Même question.
Merci par avance.
Thierry Saladin
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