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Les commentaires de Véronique Anger-de Friberg



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 1er mai 2009 20:40

    J’ai oublié d’indiquer le lien vers la vidéo (documentaire en 5 parties) de Chris Paine sur Dailymotion : http://www.dailymotion.com/video/x3agq4_qui-a-tue-la-voiture-electrique-1_auto. La vidéo est également diffusée sur mon tout nouveau blog : http://blog.veroniqueanger.org/



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 24 mars 2009 14:30

    Juste une précision : "l’auteur n’est pas québecoise"... mais bien française ! C’est d’ailleurs indiqué dans ma "présentation". Cela change -t-il qque chose pour votre compréhension de l’article ?



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 31 janvier 2009 14:16

    Si vous pensez que les blogueurs peuvent remplacer les journalistes professionnels, demandez-vous quand même si les mêmes journaux seraient prêts à leur ouvrir leurs colonnes s’ils devaient rémunérer les contributeurs... Je crois que leur choix serait vite fait et, à de rares exceptions près, entre un amateur et un professionnel, ils auraient vite fait de choisir d’investir sur un journaliste de profession...



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 8 janvier 2009 18:49

    Qui est Dickin signant BL ? J’ai une petite idée, mais j’aimerais bien que l’universitaire qui se cache derrière le pseudo signe sous son nom puisque visiblement cet échange JJK/BL est un dialogue entre érudits (et non de sourds smiley) le débat y gagnerait en légitimité non ?
    Merci !



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 4 janvier 2009 21:57

    Un article intéressant sur la Recherche et les chercheurs : "Chercher et enseigner à l’université" , par Jean-Pierre Dufoyer et Carolyn Granier-Deferre, maîtres de conférence à Paris Descartes :
    http://www.lemonde.fr/opinions/chronique/2008/12/18/chercher-et-enseigner-a-l-universite-1-la-recherche_1132439_3232.html
    publié dans la rubrique "Chronique d’abonnés" du Monde du 17 décembre 2008.



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 21 décembre 2008 17:04

    Et moi je vous invite à lire son ouvrage avant de "critiquer". Quand vous aurez terminé, rien ne vous empêche d’écrire un article pour exprimer un point de vue argumenté. Cela demande évidemment plus d’effort intellectuel que de balancer 5 lignes péremptoires...



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 21 décembre 2008 14:35

    Ah... tout est revenu... il s’est passé un truc bizarre à l’écran... sans doute un bug ! Mais tout est rentré dans l’ordre à présent.
    Jean-Jacques, merci pour vos réponses aux commentaires et, effectivement, on ne saurait trop recommander la lecture de votre ouvrage aux blogueurs qui voudraient approfondir le sujet. D’ailleurs, comme vous le dites : toutes les réponses sont dans votre ouvrage et il paraît difficile de résumer l’ensemble en qques lignes dans votre commentaire.
    Bonnes fêtes de Noël à tous !



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 19 décembre 2008 23:23

    Intéressante vision des choses... un tantinet caricaturale toutefois. Si je peux me permettre de paraphraser Freud : parfois, une poupée Barbie n’est qu’une poupée Barbie... smiley
    Par ailleurs, lorsque vous écrivez : « Je démontre donc la présence totale et entière de l’entité féminine dans nos sociétés du XXIème siècle. La société ne peut pas avancer sans elles, la société ne peut pas avancer contre elles. Les hommes ne peuvent qu’avancer avec elles. ». J’ajouterais : Et réciproquement…
    Vision un tantinet caricaturale (« l’amazone affranchie »… hum…) autant que traditionnelle (la beauté, les charmes...). Tout en exprimant une certaine tendresse et une admiration pour la femme, vous opposez l’homme à la femme. Pas très moderne comme analyse, et je ne pense pas que la question se pose en ces termes.
    Pour terminer : et non, la femme n’a pas attendu le XXIème siècle pour s’affirmer (les éminences grises ont toujours existé, de même que les femmes libres qui s’assument et se placent sur un pied d’égalité avec les hommes... ou les autres femmes). Mais peut-être venez-vous seulement de prendre conscience qu’il fallait, quoi qu’on en pense, compter avec elles ?



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 19 décembre 2008 17:39

    Ben... tous les commentaires ont disparu ? Ou bien c’est mon PC qui me joue des tours...



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 19 décembre 2008 16:27

    Je transmets à M. Kupiec, qui essaiera de faire une réponse "groupée" à toutes vos questions ce soir... Merci !



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 19 décembre 2008 13:53

    Bonjour Bernard,
    N’étant que le "passeur "du savoir et non le savoir... j’ai invité Jean-Jacques Kupiec à répondre à vos commentaires s’il le souhaitait, comme je le fais habituellement avec des sujets un peu "pointus, n’étant pas scientifique moi-même. A suivre donc ! smiley



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 18 décembre 2008 22:20

    @ l’auteur : Merci pour votre article sur les neurones miroirs :: http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=48805
    Vous n’avez pas perdu de temps ! N’ayant donc plus besoin de l’écrire, je vais le conseiller sur ma page Facebook... Sans rancune smiley



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 18 décembre 2008 22:18

    Les plus beaux chiens du monde... Vous prêchez une convaincue...  smiley



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 13 décembre 2008 19:00

    Ce n’est pas de la jalousie, c’est juste la preuve que le chien ne reconnaît pas d’autre chef de meute à la maison que lui-même... Les chiens sont des animaux de meute et ont besoin de savoir qui est leur chef et où est leur place. Bien des propriétaires de chiens ne connaissent rien à la psychologie canine (ils ne font pas l’effort de s’y intéresser en réalité...) et semblent surpris qu’un chien n’accepte pas un autre chien, un enfant ou simplement un visiteur... Pourtant, il n’est pas très compliqué d’établir des règles simples ; le chien est par nature très bon élève si tant est que l’on comprenne comment il fonctionne au sein d’un groupe. Toute violence étant proscrite évidemment (témoignage d’une propriétaire depuis une 12aine d’années d’un couple de weimaraners hyper sociables et pas vraiment stressés... smiley)



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 13 décembre 2008 16:34

    Vous avez raison de signaler que trop peu d’articles sont consacrés aux "neurones miroirs". Je profite de l’occasion pour rappeler les théories de René Girard sur le "désir mimétique" (un grand Monsieur des sciences humaines, trop peu connu du grand public en France) en avance sur son temps puisqu’il évoquait déjà ce phénomène (sans le nommer neurones miroirs, mais l’effet est identique) plusieurs années avant que l’on parle de ’neurones miroirs". Les neurologues découvreurs des neurones miroirs se sont penchés sur la théorie "mimétique" et ont découvert des convergences étonnantes entre leur découverte et les observations de René Girard. Il faudrait que je prenne le temps d’écrire un article sur ce sujet passionnant...



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 12 décembre 2008 23:03

    Les Tumultueuses peuvent obtenir une chose, à savoir en finir avec l’étalage de femmes à moitié ou totalement à poil dans les pubs, à la télé, etc. En revanche, elles ne réussiront pas à changer le cerveau des hommes qui, rappelons-le au passage, peuvent aimer le corps féminin et le trouver sexuellement attirant sans pour autant être des obsédés... et à les contraindre à ne plus voir de sexe dans la nudité. A moins de changer radicalement notre culture... Il semblerait que dans certaines tribus indiennes d’Amazonie, les seins n’ont rien de sexuel ni de sexy, mais une autre partie du corps si. Désolée, j’ai oublié s’il s’agissait des cheveux ou du cou, mais cela montre effectivement que nos réactions sont conditionnées par notre "culture"... Cela dit, si les femmes amazoniennes n’ont pas à se plaindre sur ce plan-là, j’ai cru comprendre qu’il y avait certains autres inconvénients... smiley



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 12 décembre 2008 20:29

    "Est-ce que l’action de mercredi soir permettra d’établir une nouvelle loi, plus précise, qui accorderait le droit aux femmes de ne pas avoir les seins considérés comme « sexuels » ? "

    Hum... on peut toujours le demander ! Mais qui obligera les hommes à "penser" de la "bonne" façon ? Si tant est qu’il y ait une bonne façon de penser... Pour certains, même nos mains ou nos chevilles sont "sexuelles" alors... Est-ce un problème si grave ? Vive le féminisme pour tout ce qu’il a pu faire obtenir aux femmes dans les années 60 et suivantes, mais très sincèrement quand on n’a plus que ce genre de problème, je crois que le plus gros est fait non ? Je parle de la France bien sûr et des pays dont les mentalités sont voisines pour ce qui est de la difficulté à distinguer corps et sexe... Et les femmes ont-elles toutes envie que l’on regarde leurs seins comme des parties de leur corps non sexuées ? Pas si sûre... Pour ma part, je trouve ce petit coup d’éclat très frais, un peu potache même. En revanche, je crois qu’il y a d’autres problèmes, beaucoup plus graves dans le monde, et j’ai un peu de difficulté à compatir...



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 11 décembre 2008 17:44

    J’ai trouvé votre article très intéressant. Personnellement, je n’aime pas bcp cette association antinomique des mots « discrimination » et « positive ». Comment le fait de « discriminer » peut-il être un acte positif ? On démarre sur de mauvaises bases en insinuant qu’à compétence égale, on s’engage à favoriser certains citoyens au détriment d’autres. Le fait d’être « favorisé » peut-être reçu comme une humiliation de plus pour les minorités, et je le comprends. Toutefois, ainsi que vous le soulignez dans votre texte, une personne appartenant à une minorité a 4 fois plus de risques d’être au chômage qu’un Français dit « de souche » (au passage, j’avoue que cette expression « de souche » me fait doucement rigoler car si les Français « de souche » avaient la curiosité de rechercher leurs origines ethniques dans un test ADN, ils seraient nombreux à tomber des nues en découvrant qu’ils ont du sang coloré dans leurs veines... Ce serait peut-être un début de solution pour éradiquer le racisme si personne ne pouvait prétendre être « de souche » sur plus de quelques générations ? Bien sûr, certains pourront toujours prétendre qu’ils sont « un peu plus Français » que d’autres…). Compte tenu des statistiques, la discrimination positive serait donc un mal nécessaire. Aux Etats-Unis, grâce à ces « quotas », de plus en plus de personnes de couleur ont accès à des postes jusque-là réservés aux WHASP. Un candidat métis aurait-il pu être élu si les Etats-Unis n’avaient pas fait le choix de la discrimination positive ?
    En discutant avec des amis nés en France de parents d’origine maghrébine notamment, j’ai été étonnée de découvrir à quel point le racisme était encore présent en France (comme dans d’autres pays cela va sans dire...). Dans mon esprit, il me semblait que ce problème était en passe d’être réglé. A 30 ans, on prête moins attention aux différences de peau ou d’origine religieuse, me disais-je. Nous sommes entrés dans le III° millénaire, alors on a dépassé ce stade non ? Il me semblait, naïvement, que les générations les plus jeunes étaient les plus familiarisées avec la "différence", que les Français d’origine étrangère étaient mieux intégrés chez les 20 à 40 ans pour une raison logique : la France est un pays de plus en plus métissé et l’intégration se fait dès le berceau, dans les crèches et les écoles. Donc, les personnes appartenant à une minorité visible ou portant un nom un peu exotique font « partie du décor » dans nos écoles républicaines. Erreur…
    Il semblerait en effet, dans les faits, que les choses soient totalement différentes et que les esprits n’aient pas tant évolué que cela. La question est : pourquoi ? Qu’est-ce qui « bloque » ? Au risque de faire de la psychanalyse sauvage, j’ai le sentiment que la réponse est liée à nos comportements « de meute ». L’humain est un animal social et il a besoin de se situer dans la meute que représente son petit (ou vaste) monde à lui. Nous acceptons plus facilement d’intégrer de nouveaux venus à notre meute si nous ne nous sentons pas menacés. Or, nous vivons dans des mondes perpétuellement en crise… Même en temps de paix, les peurs sont légions (peur de la maladie, peur de l’avenir, peur de manquer : menace de perte d’emploi chez les seniors, difficultés à trouver un emploi chez les jeunes, compétition exacerbée pour tout le monde, insécurité (économique, physique). Nous vivons dans la peur de tout (je ne dis pas que certaines peurs ne sont pas fondées, mais je crois qu’elles sont souvent exagérées, notamment l’insécurité physique, qui est surtout concentrée dans les quartiers et les zones défavorisées) et la peur conduit immanquablement au repli sur soi et à l’agressivité. Quand on a peur de manquer, on est moins disposé au partage, et on favorise donc sa « meute » (ses enfants, le cercle familial et amical puis le groupe (social, ethnique, religieux etc) d’appartenance, ceux qui partagent nos valeurs, notre culture, vivent ou pensent comme nous…). Les gens croient se protéger en pratiquant une politique de l’exclusion.
    Les comportements de meute sont prévisibles et c’est pour cela qu’on devrait réussir à les modifier. Mais encore faut-il une volonté politique forte, une volonté citoyenne, un désir réel d’améliorer notre rapport à l’autre (en particulier à celui qui ne nous ressemble pas a priori). Comment aider ceux qui ont peur (notamment de la différence) à porter un regard nouveau sur une société de plus en plus métissée ? Si, comme le prétendait Mitterrand, jusqu’à ce que nous devenions adultes, « nous sommes le produit de notre éducation », il est grand temps d’intégrer des principes de tolérance, et d’ouverture aux autres dans notre système éducatif. Les Français, qu’ils soient nés en France d’origine étrangère, de première ou seconde génération, naturalisés Français,… ont soit fait le choix d’appartenir à la « nation française », soit sont « nés Français ». La volonté de « faire France », pour reprendre une expression trop souvent galvaudée, a un sens pour toutes ces personnes forcées de fuir leur pays en guerre et dont on n’imagine pas la détresse que représente l’abandon de sa patrie d’origine. Elles croient trouver protection et compassion auprès de nous, Français de souche ou d’adoption. Faire France a un sens aussi pour tous ces enfants issus de l’immigration qui en ont assez qu’on leur demande, sous prétexte de la couleur de leur peau ou de leur nom étranger : « De quelle origine es-tu ? » quand ils sont nés à Lyon ou à Marseille, parfois ne parlent même pas la langue de leurs parents, et se sentent Français à part entière.
    Notre conception « ethnique » de la nation, reposant sur l’idée que les Français « de souche » partagent des racines communes est non seulement une illusion, mais un concept d’un autre âge. Il serait temps d’en prendre conscience et de transmettre l’idée qu’une nation se forge aussi de manière « élective ». Rappelons-nous que tous les citoyens français sont libres et égaux devant la Loi (mêmes droits, mêmes devoirs) et qu’on peut être Français sans avoir à rougir de ses origines, ni à nier les différences liées à sa culture ou à sa religion.



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 10 décembre 2008 16:37

    Je suis, comme bien d’autres contributeurs à Agoravox, membre de Facebook. Mais non accro... Je m’interroge, non pas sur le succès du réseau FB (le nombre de membres me semble parler de lui-même) mais plutôt sur la politique de FB. J’ai, autour de moi, plusieurs "amis" qui se sont vu "scratcher" leur page FB sans vraiment comprendre pourquoi. 2 sur les 5 connus de moi, ont dû reconstruire leur page à 3 reprises. Le motif, selon FB, est un nombre important d’amis "recrutés" un peu trop rapidement (l’un d’eux s’est fait 850 "amis" en 2 semaines. D’un autre côté un Loïc Le Meur en a presque 5.000 et il n’a pas dû mettre 3 ans à les réunir...), avoir posté trop de liens sur les murs d’amis ou encore pour avoir utilisé sa page FB pour vendre qque chose ou se faire sa pub (est-il interdit de faire du business via FB ?). En fait, aucun d’eux ne sait exactement pourquoi il s’est vu détruire sa fiche sans autre avertissement... La question que je me pose est : quelle est la politique de modération de FB ? Est-on membre d’un petit royaume dictatorial qui vire ceux dont la tête ne lui revient pas ou qui tremble de trouille à l’idée d’être poursuivi par une association de membres FB pour cause de "spamage" intensif ? Avez-vous une idée sur la question ?



  • Véronique Anger-de Friberg Véronique Anger-de Friberg 9 décembre 2008 18:03

    Je n’ai pas nommé le cargo en question, il s’agit de "L’Atlantic Song". J’aime bien cette explication moi aussi... smiley