@Gilbert Spagnolo dit P@py
On trouve dans le commerce des trottinettes électriques capables de dépasser les 70 km/h (vitesse à laquelle même les meilleures voitures n’arrivent plus à assurer l’intégrité physique des occupants en cas d’accident).
Il n’en reste pas moins qu’en agglomération, les personnes utilisant des trottinettes électriques sont tenues de respecter le code de la route (règles de priorités, passages piéton, feux rouges et stops, lignes blanches, etc.), et de circuler :
— sur les pistes cyclables quand elles existent,
— ou, à défaut, sur la chaussée des routes limitées à 50 km/h ou moins,
— ou, lorsque la mairie du lieu l’autorise, sur les trottoirs, mais à une allure modérée (6 km/h) et sans gêner les piétons.
Comme la majorité des accidents de trottinettes électriques impliquant des tiers résulte directement du non respect de ces obligations légales, il faudrait que la maréchaussée fasse son travail en réprimant systématiquement les contrevenants comme il se doit. De même pour les vélos classiques ou électriques, hoverboards et monocycles. Les rues redeviendraient vite plus sûres.
@lecoindubonsens
D’après les données publiées par RTE, en moyenne la période 12h-14h correspond à la pointe de consommation de la journée.
Il est intéressant d’arrêter les ballons d’eau chaude à ce moment, car cette pointe survenant durant une vague lente de consommation (étalée sur environ 8 heures et majoritairement prise en charge par les centrales nucléaires), elle implique des moyens de production comme les centrales thermiques ou les barrages hydroélectriques.
La période 18h-21h correspond à une autre pointe de consommation, survenant avant et après les creux de 17h et de 22h15. Faire des coupures à ce moment permet notamment d’éviter de relancer certains moyens de production cités précédemment.
@Robin Guilloux
« Comment parler des livres qu’on n’a pas lu ? »
Nous prenez-vous pour des imbéciles ?
Peut-être avez-vous déjà oublié que vous venez de nous soumettre cet article qui, au travers de passages bien choisis (ce dont on peut vous féliciter), nous démontre que nous avons affaire à un ouvrage à charge, utilisant des procédés de falsification malhonnêtes. Il suffit d’avoir su prendre quelque recul vis-à-vis de la propagande grossière déversée à longueur de journée par nos médias main stream pour se rendre compte, en lisant votre article, que ce livre sort du même tonneau.
... À moins que vos citations soient en totale contradiction avec le reste du contenu du livre, auquel cas il faudrait plutôt vous retourner votre question.
Par ailleurs, comme il le précise, Opposition contrôlée ne parlait pas du contenu du livre, mais des personnes que vous avez citées.
Ce n’est pas le vieillissement de la population qui, en soi, constitue un problème, mais les conséquences d’une situation dans laquelle il n’est que l’un des éléments à prendre en compte.
Pour comprendre le soucis dans la façon d’aborder ce sujet, on peut faire le parallèle avec l’évolution de l’agriculture en France :
Alors que la population est passée de 40 millions d’individus en 1945 à 67 millions de nos jours, la proportion du nombre d’agriculteurs dans cette population est passée d’environ 25% à moins de 1%.
Des raisonnements simplistes avaient prédit que l’explosion démographique et l’exode urbain allaient conduire le pays à la famine, du fait du nombre croissant de bouches à nourrir face à des terres cultivables en quantité limitée et à des agriculteurs de moins en moins nombreux. On sait aujourd’hui qu’il n’en a rien été, ces facteurs ne s’étant finalement pas avérés déterminants dans la capacité du pays à nourrir sa population, au contraire de l’augmentation des rendements agricoles par exemple.
Pour être pertinent, a minima l’article aurait dû expliquer en quoi le vieillissement de la population serait problématique, en précisant quels facteurs sont déterminants pour chacun des problèmes répertoriés.
Faute d’analyser correctement la situation et de préciser les objectifs poursuivis, on risque de s’orienter vers de mauvaises solutions à des problèmes qui n’en sont pas vraiment.
@Vera Mikhaïlichenko
Et quand vous présentez RR comme un « anti-complotiste de compétition » et un « 5e Dan en matière de débunkage », n’est-ce pas plutôt vous qui utilisez un « argument d’autorité » ?!
La connaissance des CV est hautement instructive, et c’est probablement pour cela que cette information vous dérange.
Car ici, c’est manifestement vous qui tentez de nous faire passer des vessies pour des lanternes en choisissant d’opposer, non sans arrière-pensée, un médecin expert à un propagandiste incompétent sur le sujet. Et par dessus le marché, vous osez interdire aux commentateurs ce que vous ne vous gênez pas de faire vous-mêmes.
Le contenu de votre article n’ayant aucun intérêt, la seule chose qui importe est d’apporter aux lecteurs peu avertis les éléments d’information qui leur éviteraient de succomber à votre manipulation grossière.
@yakafokon
Nos « crânes d’œufs » de l’UE ne sont pas des idiots. Ils défendent seulement des intérêts qui ne sont pas ceux des populations européennes. Il ne faut donc pas s’attendre à ce qu’ils admettent que « l’ennemi » serait de l’autre côté de l’Atlantique puisque, de fait, ils en sont les agents serviles. Mais cela ne change pas grand chose à vos conclusions, sinon la difficulté de nous sortir de cette situation.
@Matlemat
Comment ça « peut-être » ?
Saviez-vous que lorsque Colin Powell a brandi la fameuse fiole devant l’ONU en 2003, les services de renseignement américains l’avaient déjà informé que Saddam Hussein ne disposait plus de ces armes chimiques ?
@olivier cabanel
Éventer un secret de polichinelle ne constitue pas une gaffe.
En huit ans, tout le monde a largement eu le temps de s’apercevoir que la France fournissait des armes au régime ukrainien et n’aidait en rien au respect des accords de Minsk. On en a également déjà vu les conséquences dans le déclenchement de l’opération militaire spéciale russe.
Mais tout cela est du passé. Ceux qui ont compris la situation n’apprennent rien de ce discours, et les autres, très largement abrutis par propagande, ont été convaincus de la nécessité d’armer le gentil régime ukrainien contre le méchant envahisseur russe.
Le discours a ici pour but de convaincre qu’en ayant contribué à l’armement du régime ukrainien, la France a déjà fourni pour une grande part les efforts qu’on lui réclame. Notons par ailleurs que ces décisions ont été prises sous le mandat de François Hollande, alors que Gabriel Attal est ministre délégué chargé des comptes publics dans un gouvernement d’Emanuel Macron.
Pour savoir si cet aveu est problématique, il suffit de mettre en balance ses conséquences positives et négatives. Or, d’un côté le discours atteint son objectif (rappelé ci-dessus), et de l’autre, à part faire jaser, il ne porte pas vraiment à conséquence. En effet, l’impunité du pouvoir autorise à dire des vérités censément inavouables.
@lecoindubonsens
Ou plus exactement, il fait mine de s’étonner et de s’offusquer de la réaction russe, alors que le problème n’a été créé que dans le but de susciter cette dernière afin de pouvoir s’en servir comme d’un prétexte.
On n’a pas affaire à des bras cassés, mais au contraire à des complices d’une redoutable efficacité.
@Aristide
J’avais fait marche arrière en pensant m’être trompé dans l’interprétation de vos propos. Mais finalement ma première impression n’était pas totalement erronée : vous semblez faire une fixation sur Poutine alors que ce n’est pas le sujet, et vous avez un vision singulière de la légitimité.
Pour ma part, je ne soutiens pas le Poutine, et sa légitimité n’est pas mon problème. Mais s’agissant de trahir les intérêts de la Nation et de l’État, je constate juste qu’il reste à des lieues de la forfaiture de Macron et de ses prédécesseurs.
Quoi qu’il en soit, ce n’est pas Poutine qui a mis son pays au « ban international » comme vous dites, mais les États-Unis et ceux qui leur sont soumis.
D’une part, Poutine n’a fait que réagir en chef d’État à des menaces étrangères (en l’occurrence celles des État-Unis, via l’Ukraine dont ils ont pris le contrôle en 2014).
D’autre part, cette communauté « internationale » à laquelle vous vous référez ne représente qu’une minorité qui soutient ou subit une vision unipolaire du monde sous diktat américain. Les autres pays, dont la Chine, sont majoritairement en faveur d’un monde multipolaire, ce qui explique qu’ils s’occupent de leurs propres intérêts avant de ceux de la Russie. Il n’en reste pas moins qu’aujourd’hui ce sont bien des formations navales sino-russes qui patrouillent à portée de missile des côtes américaines.
Vous êtes légaliste, et à mon sens c’est une tare. Les lois étant faites par et pour ceux qui nous dominent, la légalité ne peut être synonyme de légitimité. En suivant votre point de vue, n’importe quel dictateur serait légitime dès lors qu’il prend la peine d’adapter la législation de son pays à la politique qu’il mène. C’est d’ailleurs ce qui s’est passé chez nous.
Notre Constitution de 1958 instaurait déjà un régime plus proche d’une monarchie élective que d’une démocratie. Et pourtant, la légalisation du régime actuel a nécessité qu’on la modifie à plusieurs reprises. De fait, le référendum du Traité de Maastricht (rendu possible par seulement 30% des citoyens, dont la plupart n’avaient probablement rien compris à sa signification) a signé la fin de la Ve République en mettant à bas la souveraineté nationale. Et aujourd’hui, notre Constitution française est supplantée par celle de l’UE (instituée par le Traité de Lisbonne) dont le rejet par référendum avait été superbement ignoré par nos soi-disant représentants politiques.
La démocratie, elle, ne repose pas sur la loi, mais sur la légitimité populaire, laquelle réclame l’adéquation entre l’intérêt général de la Nation et les actes de ses représentants.
@Aristide
Au temps pour moi.
Je n’avais pas saisi votre second degré, croyant répondre à Antoine qui avait commencé à remettre ici l’histoire des Russes sur le tapis.
@Aristide
Ici on parle de la France et de la légitimité de Macron !
Est-ce le désespoir de ne pas trouver d’argument contradictoire qui vous pousse à détourner la sujet sur Poutine ? Ou bien votre fanatisme anti-russe vous rend-t-il incapable de vous intéresser à la situation française ?
Par ailleurs, puisque vous tenez absolument à parler de Poutine, parlons-en.
Vous devriez au moins admettre qu’il a réussi à relever la Russie en la sortant de l’ornière dans laquelle la chute de l’URSS et les charognard occidentaux l’avaient plongée dans les années 90’... contrairement à Macron qui, à la suite de ses prédécesseurs, a continué de démolir la France, de dilapider de ses richesses et d’abandonner sa souveraineté aux puissances étrangères, se faisant même l’exécutant servile des injonctions de ces dernières.
Si vous n’êtes pas clair sur les concepts de démocratie et de légitimité, l’êtes-vous au moins sur celui de trahison ?
Ou êtes-vous de ceux qui préfèrent rejeter sur Poutine les responsabilités du monarque néolibéral européiste atlantiste et mondialiste Macron dans l’inflation et les pénuries qui touchent aujourd’hui la France ?
Enlevez la poutre que vous avez dans l’œil pour voir enfin ce qui se passe chez vous !
@sylvain
Parce que vous pensez que le syndicalisme global fait mieux ? Cela fait un bon moment qu’il sert surtout à empêcher les salariés d’échapper au tour de vis des patrons.
@lecoindubonsens
Qu’est-ce qui vous fait croire que des règles, largement acceptées parce qu’elles seraient présentées comme équitables, règleraient les problèmes ?
Pour rappel, de telles règles ont déjà cours. Au nom de l’équité, les salaires sont nivelés par le bas dans de nombreux secteurs, et cette situation est largement acceptée par ceux qui la subissent (généralement par crainte de connaître pire).
Quant au mérite, c’est une notion éminemment subjective, qui est généralement évaluée par ceux qui détiennent l’autorité, c’est-à-dire les payeurs (qui souhaitent bien évidemment payer le moins possible) et leurs représentants politiques ou syndicaux.
Vous oubliez qu’à la base, l’emploi est censé être un marché, libre, dans lequel les conditions de travail et de rémunération résultent de négociations, individuelles ou collectives. Et même si elles partent d’un bon sentiment, les règles qui dérogent à ce principe ont toujours fini par nuire aux salariés à un moment où à un autre.
Imposez des règles de rémunération à l’ensemble d’un secteur et, sauf à changer de métier, aucun employé n’aura plus le recours de changer d’entreprise quand l’évolution de son salaire deviendra insuffisante pour maintenir son niveau de vie. En particulier, si ces règles fixent l’indexation des salaires sur un indicateur, alors il suffira aux pouvoirs publics (à la solde des patrons) de sous-évaluer l’évolution de cet indicateur pour abaisser le niveau relatif de l’ensemble de ces rémunérations.
Ce n’est pas de la science fiction, juste de l’Histoire.
@Antoine
Réaction qui démontre votre ignorance de ce qu’est la démocratie (représentative, en l’occurrence).
Vous confondez les régimes où des dirigeants élus par la population la représentent effectivement en œuvrant à l’intérêt commun, avec ceux où les dirigeants tirent prétexte de leur élection pour dicter les règles qui les maintiennent au pouvoir, assurent leur impunité, étouffent les oppositions et la contestation, et permettent à des puissances privées ou étrangères d’exploiter la population à ses dépens.
N’en vous déplaisent, les traitres à la Nation ne sont pas légitimes, quand bien même ils seraient élus avec 100% des voix.
@Antoine
Au second tour de l’élection présidentielle, Macron a obtenu 18,78 millions de voix, représentant 35,2% des citoyens français, dont une grande partie a en réalité voté contre Marine Le Pen. Au premier tour, il avait obtenu 9,78 millions de voix, représentant seulement 18,3% des citoyens français.
Son score était donc déplorable. En particulier s’agissant du candidat produit et porté par le système politico-médiatique en place.
Déjà, il ne suffit pas d’une élection pour assurer une légitimité populaire (rappelons d’ailleurs qu’en ce bas monde, nombre de dictateurs ont été élus). De plus, le mépris, les mensonges, les manipulations, la casse et le hold-up permanents et la soumission aux puissances étrangères dont il nous gratifie en font une menace pour la France et pour les Français. Ce n’est manifestement pas nous ni nos intérêts qu’il représente, ce qui le rend définitivement illégitime.
En parlant au nom d’une minorité toxique, c’est plutôt vous qui regardez votre nombril et qui tenez des commentaires risibles. Mais vous le découvrirez bientôt par vous-même, parce qu’il est peu probable que vous échappiez aux conséquences des turpitudes de votre idole, quand bien même vous feriez partie des happy few qui profitaient jusque là de sa politique.
@rosemar
Pour en revenir à l’article, votre propagande est grossière et risible.
Avant de parler de mensonges et de négationniste, vous devriez commencer par reconsidérer ceux que vous présentez ici à longueur d’articles et de commentaires comme des vérités acquises, alors qu’ils correspondent manifestement bien plus à vos désirs qu’à la réalité.
Vous devriez commencer par soigner votre déni des événements survenus depuis fin 2013. Ce serait pour vous un bon début.
@rosemar
Kartapolov est un homme politique. Il a des objectifs, et pour les réaliser il dit ce que les gens doivent entendre. (Et cela semble marcher puisque vous avez compris seulement ce que vous vouliez.)
De plus, loin de « dévoiler la vérité » sur le déroulement des opérations, il réagit en fonction du ressenti actuel des populations (russe, mais pas que) face aux informations qu’elles attendent et à celles (vraies ou fausses) qu’elles ont déjà reçues. Ce qui, je le rappelle, n’a rien à voir avec le point de vue très relatif du bon ou mauvais déroulement des opérations sur le terrain.
D’ailleurs, ce « parler vrai » qu’il dit appeler de ses vœux (et qui n’est pas sans rappeler une posture politique qu’on a déjà connue en France) est tellement effectif que vous en êtes toujours à émettre des suppositions pour évoquer la situation du côté russe.
L’âne, c’est celui dont la raison repose sur les sentiments qu’on lui suggère, et qui ne sait pas faire la différence entre l’info et la com’.
Déjà que vous avez succombé à la com’ servie aux populations occidentales anesthésiées, vous ne risquez pas d’appréhender celle, d’un tout autre niveau, destinée aux Russes (qui ont su résister à celle de l’URSS et de la Pravda).
@rosemar
Vous désirez des arguments sur le sujet évoqué ?
On ne communique pas sur les batailles en cours ou récemment survenues, c’est le b.a.-ba des opérations militaires.
C’est un principe qui a également cours dans l’armée française.
Bref, le sujet de votre article est juste une ânerie qui vous semblait pouvoir apporter de l’eau à votre moulin. Mais ça n’en reste pas moins une ânerie.
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