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Les commentaires de Raoul-Henri



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 15 janvier 2017 04:53

    @ Laurent,

    pour qu’un jour nous puissions nous rejoindre fume un joint.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 15 janvier 2017 04:50

    @Yaurrick

    La volonté d’en finir avec ce monde pourri est évidente. La cigarette a la même racine étymologique que ciguë. Nous parlons de suicide collectif là, de can-abysse. Bien que cette descente aux enfers soient paradoxalement salutaire. Un p’tit calumet ?

    Le rapport avec le capitalisme exclusif est de se mettre en adéquation psychanalytique avec un monde économique qui ne pense que par le sale-air. Pour l’alcool et autres drogues dures leur consommation tiens peut-être à une position plus radicale quant à l’auto-destruction.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 15 janvier 2017 04:23

    Et avec une CSG à 100% et une répartition à égalité stricte ? Cela donnerait aujourd’hui environ 30k euros par Français et par an (tous les Français ; bébés et Lagardère compris) si les chiffres du PIB que j’ai sont corrects.

    Bien entendu il faut pour cela envisager la transformation monétaire multi-points en circuit fermé ainsi que la souveraineté monétaire individuelle gouvernementale et un compartimentage des monnaies nationales comme le faisaient nos démocrates ancêtres les Gaulois avant l’invasion romaine et la mise forcée au sesterce (l’équivalent de la monnaie unique euro/dollars d’aujourd’hui).



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 14 janvier 2017 07:50

    Bonjour Touriste,

    Je trouve que votre article pose correctement quelques situations et quelques concepts. Pour autant j’ai trouvé étrange cette affirmation :

    « le travail ne suffit plus pour nourrir la population ».

    J’imagine que par « travail » vous entendez la totalité des revenus, qui, mal répartis, font que certains ne pourront acheter de quoi se nourrir, se loger et se soigner, etc. (pour faire court je garderai le terme générique ’nourriture’ dans la suite).

    Donc, si j’imagine bien, il ne s’agit pas du travail qui « ne suffit plus », puisque nous jetons une grande partie des surproductions alimentaires, mais bien de la monnaie servant de contre-partie à l’achat de cette nourriture.

    Ce point sémantique, je l’espère, éclairci la question devient : manque-t-on de monnaie ?

    La question est simple mais la réponse compliquée pour ne pas dire complexe (entre les deux je dirais). La réponse est compliquée parce que peu d’argumentateurs politiques n’envisagent de concevoir la nature de la monnaie alors qu’ils ne font presque de ne parler que de cela. Qu’est-ce que la monnaie ? Quels sont ses circuits ? Est-elle seulement un moyen de comptage ? Un moyen d’asservissement ? Un moyen de domination ? Un moyen du bonheur ?

    Revenons à la technique. A certains moments quelques ’spécialistes’ parlent de création monétaire. Beaucoup moins (pour ainsi dire personne) parlent de destruction monétaire.

    A ce point de la lecture certains pourraient se demander pourquoi parler de destruction monétaire alors que le postulat est qu’il en manque pour nourrir tout le monde. Remarquez au passage la récurrence de la digression sémantique puisque la monnaie ne se mange pas ; pas plus que le travail.

    L’association étroite entre travail ; monnaie ; nourriture, à ce stade de la réflexion, est une épine dans le pied de l’intelligence. C’est pourtant sur la base de cet imbroglio conceptuel que pratiquement toutes les analyses et projections politiques se font.

    La nourriture et le travail pour l’obtenir : chacun sait les définir précisément. En revanche pour ce qui est du vecteur intermédiaire qu’est la monnaie il n’y a aucune définition correcte ; nulle part ; hormis dans quelques coins perdus du web et quelques approches dans des ouvrages méconnus. Étrange non ?

    Cette absence de définition est peut-être une clé de l’énigme qui fait que se trouvent des démunis dans ce monde qui est devenu surproducteur au point de se mettre en danger lui-même. Nous avons un très grave problème de recyclage ; qu’il soit celui de la monnaie ou de nos productions.

    La monnaie a connu successivement plusieurs étapes que vous trouverez précisément décrites ici. Pour résumer, elle fut d’abord biologique (par exemple le terme blé est resté dans le langage pour la désigner), puis scripturale. C’est à partir de cette écriture que la monnaie est devenue une abstraction.

    A partir de la conceptualisation de la monnaie en tant qu’abstraction et de l’absence de plus en plus grande de l’obligation de travailler pour se nourrir nous pouvons alors décider de définir précisément quels seront les circuits de circulation de cette abstraction.

    La plupart des consommations sont le terminus d’un circuit de production et de distribution ; avant le recyclage.
    A chaque fois qu’un achat se fait en vue d’une consommation il y a un croisement entre le produit et la monnaie correspondante nécessaire à qualifier l’achat.

    Mais alors que le produit se voit plus ou moins rapidement recyclé la monnaie, elle, ne l’est pas. Il y a une absence de symétrie entre le circuit réel de la production et le circuit de l’abstraction monétaire correspondant à cette production. Et là se trouve, à mon avis, l’origine de l’éclatement périodique des bulles monétaires, qui, au lieu de se recycler s’accumulent dans l’épargne.

    Ce n’est pas, et de loin, le seul problème que cette absence de symétrie de parcours pose ; la liste en est interminable. Comme je crains de passer à côté de notions fondamentales nécessaires à une compréhension complète de mon propos je préfère vous renvoyer vers cette suite d’articles que je vous invite à déchiffrer soigneusement.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 12 janvier 2017 23:21

    @Le421
    « Primaires SOCIALISTES » ??

    Même pas : ce sont les primaires d’une poignée qui ont volé l’appellation.
    Primaire MONARCHIQUE oui.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 10 janvier 2017 04:37

    @Eric de Trévarez
    Pensez-vous que les anciens n’avaient pas la même logique que nous ? Ils ont couché sur parchemin des histoires à dormir debout, certes, mais c’est sans doute pour cacher quelque chose d’extrêmement explosif pour les puissants de l’époque. D’ailleurs, pourquoi a-t-il fallu attendre plus d’un demi siècle après le début de l’ère pour consigner la « vérité » ; qui plus est, tous en même temps et par une concurrence qui a vu quatre nominés au Goncourt. Comme à l’école des fans, tout le monde a gagné et la naissance de l’inénarrable vulgate en dit long sur la ’pragmatique’ du message devenu bien obscurci. Gloubiboulgesque mythologie qui, de paraboles en métaphores et à l’image des récits grecs et égyptiens, ne révèle rien. Même les contes pour enfants sont nettement plus intéressants.

    Et pourquoi des écrits apocryphes ? Trop mauvais ? Ou trop disant ? Dans cette manifestation l’hermétisme est pour moi l’ennemi numéro un à abattre. La laïcité et son pendant l’athéisme ne sont que les champignons paganistes du capitalisme exclusif et n’ont aucune espèce d’importance.
    Hormis par les quelques papous d’Amazonie et autres Aborigènes qui ont conservé les principes premiers jusqu’à récemment, il n’y plus de religion sur cette planète depuis bien longtemps.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 8 janvier 2017 02:50

    Le dernier disque de plastique et d’aluminium que j’ai acheté il y a deux ans et bien consommé comme il se doit car cet album regorge de trésors. J’ai fais cette dernière entorse à ma règle de non pollution physique à l’heure du stockage massif sur disque dur mais c’est promis je ne recommencerai plus. Voilà pour mon propre égo.

    Je pense que ce que vise Stromae dans ce titre n’est pas seulement le réseau dit social. Lorsque l’on voit vers la fin du clip Obama et la reine d’Angleterre sur leurs piafs respectifs, que son propre twitter dépasse, il s’agit de dénoncer la notoriété : célébration de l’individu.
    Il y a donc une auto-critique très bien vue en même temps qu’une dénonciation de l’effet moutons-niais des faux-lovvers (en franglish dans le texte). Dénonciation de la reproduction mécanique de ’l’amour’ ainsi que de la concurrence maladive des égos.

    C’est cette notoriété (étym. not able) qui phagocyte tous débats démocrates ; le poids des dires des notables étant perçu comme ayant plus de valeur que ceux d’un autre.

    Mais la radio et la télévision faisaient déjà office de twitter bien avant l’heure numérique et parfois en moins de 140 caractères (les petites phrases). Des cui-cui à tous bouts de champs tels des moulins à sel qui ne disent rien ou si peu que la perte de temps en commentaires journalistiques en est extraordinaire et rempli tout l’espace médiatique. Il faut bien occuper ces peuples ne travaillant presque plus en inepties auto-justificatrices, puisque progressivement remplacés par la machine aux noms de la rentabilité et, effet secondaire facultatif, du confort de ces peuples. Depuis que cette machine est elle même devenue numérique et supporte aussi la misère : la boucle est bouclée.

    Le clip s’achève sur cet énorme twitter qui symbolise la mort et l’inanité du mouvement. Bouffés par leurs succès les méga-geeks vont se recycler dans de nouvelles productions poubelle.

    Merci pour l’article rosemar.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 6 janvier 2017 20:51

    Hello.
     
    Parce qu’une question me taraude au delà des dissensions ecclésiastiques entre obédiences caractérisées : pourquoi se forment ces concrétions écrites (bibles) ? Quelle en fût la raison objective ?

    Autre question, en lien avec la première, cette fois-ci sur votre texte. Se pourrait-il qu’il existât un sixième niveau de lecture ? Ou que ce niveau corresponde en fait à l’un des cinq cités par vous (quatre selon Wikipédia) ? Je pense à la ’pragmatique’ qui semble se rapprocher sémantiquement de ’anagogique’.

    Merci.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 6 janvier 2017 17:55

    Elabe c’est du Bolloré. Je me disais aussi que ces chiffres étaient bizarres.
    Arrêtez de vous faire manipuler et cherchez un minimum de références avant de gloser sur du vent mauvais et d’encombrer l’espace avec des romans de ’garde à vous’.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Sananès



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 6 janvier 2017 16:31

    Ah, L’OPAC. Vous m’avez fait remonter un vieux souvenir devenu opaque.
    Merci pour votre article (avez-vous un lien ?) qui rappelle l’histoire de celui qui tue son chien en prétendant qu’il avait la rage.
    Inutile mesure que cette démolition car un « terrain » de vente se déplace plus vite que son ombre. Pas de patente, ni RC, ni rien en rapport au commerce traditionnel et légal. Pas de locaux fixes ; les dealers savent déménager dans la minute ; ils ont mis en route les proxys et les pare-feux.
    Donc ce faux prétexte en cache sûrement un autre bien inavouable, comme nous ont habitués les dirigeants de l’OPAC. Qu’en dit l’entreprise Brézillon ou autre bétonneur local ?
    Ailleurs c’est pareil : une mafia de grand banditisme qui ne s’en prennent qu’aux pauvres.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 20 décembre 2016 15:24

    Aucun grain de sel à ajouter tant la cuisine est parfaite.
    Et hop ! + un abonné RSS au blog. Merci.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 16 décembre 2016 15:22

    Avec ma famille j’ai emménagé à Sevran il y a une dizaine d’années. Sevran cosmopolite avec 58 nationalités ; j’y vois de tout ; y compris un salon de thé où il n’y a que des hommes. Mais dans le troquet d’en face l’on y croise du féminin qui ne fait pas que passer. Juste à côté du salon de thé il y a un restaurant grec extra où il est arrivé à ma Compagne de se rendre seule très récemment.

    Je ne sais pas si Clémentine Autain a raison ou pas de remettre en cause « le sexisme » prétendu. Qu’un homme n’ait pas envie que sa femme soit reluquée par d’autres que lui ne me parait pas spécial aux hommes musulmans. Au moins quand ils sont au salon de thé, ils laissent tranquilles leurs femmes qui pourront faire des bêtises de Cambrai.
    Peut-être que le simple fait de s’afficher dans ce genre de lieu comme l’a fait Clémentine permet de tordre l’imaginaire et fabriquer un nouveau réel. D’autres pourraient nommer cela propagande ; alors je leur dis : si c’est votre territoire venez l’occuper comme nous le faisons.

    Ce que je remarque en revanche, c’est qu’il faut toujours trouver un punch-in ball à ceusses qui n’ont pas le cerveau pour envisager une révolution. Avant les immigrés c’étaient les communistes ; avant les communistes c’en étaient d’autres : fascistes, juifs, etc.

    Bref ; quand çà va mal au plan économique et que l’on ne se donne pas la peine de réfléchir à ce qui se passe de façon récurrente au plan monétaire - d’un simple problème d’écriture de l’abstraction du réel et non du réel lui-même - l’on préfère éliminer physiquement les voisins qui ne causent pas comme nous et laisser le merdier en l’état provisoire d’embelli jusqu’à la prochaine crise de constipation monétaire. Ce qui entraînera inévitablement une nouvelle défaite économique encore plus ’moderne’.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 16 décembre 2016 12:06

    Que n’a-t-il utilisé le 49.3 afin de supprimer le 49.3 juste avant de rendre jaquette ?
    Non ; mieux : il aurait dû en user et se promulguer directement « Président ».

    Mais qui va virer ces clowns tristes des téloches ? Un spécialiste de la taloche ? Ou quarante mille neuf trois ? Çà urge là.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 15 décembre 2016 17:40

    « Ma vie mon argent »
    Oulàlà c’est compliqué et çà fait mal à la tête un nom pareil. Lorsque je donne de la monnaie au commerçant, s’agit-il toujours de « mon » argent ? Et pour l’exploiteur, heu pardon, l’employeur qui donne « son » argent au salarié ? Quant aux impôts que tout le monde verse dès qu’il consomme et qui revient sous forme de prestations tant en nature qu’en numéraires.... A partir de quel moment la monnaie ’appartient-elle’ à quelqu’un ?

    Auriez-vous remarqué la proximité d’écriture du mot « Impôt » avec celui d’« imposture » (l’accent circonflexe ayant remplacé le « s » discrètement escamoté) ?
    Quant à celui de « fiscalité » : aurait-il un rapport avec la con-fiscation ? Je vais rester poli et ne pas faire ici le rapprochement avec un argot d’outre Manche qui commence aussi par « fis ».



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 15 décembre 2016 17:02

    @ Orélien
    Hormis Alinéa nul ne fait mention sur cette page de la grammaire qui est la surveillante du sens. L’orthographe n’a qu’un lointain rapport avec le sens et la mention faite sur cette page aux signifiants des sourds-muets en est un exemple.
    Pour aller un peu dans vos courants de pensées : le mot « dictionnaire » a la même racine étymologique que « dictature ». Mais c’est moins une dictature de la forme (l’orthographe) qu’une dictature du prêt-à-penser.

    Il n’y a pas lieu d’être angoissé par la forme ; l’important est d’être compris.
    La sémantique générale ; vous connaissez ?



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 15 décembre 2016 00:36

    @Marc Chinal
    « Toute monnaie est basée sur la rareté relative, et donc, crée l’injustice et la misère »

    Le problème n’est pas la monnaie mais l’absence d’un sens de circulation de celle-ci. La plupart du temps celle-ci tourne à l’encontre de ce que la nature a décidé une fois pour toute. Il suffirait de respecter ce sens et faire en sorte que chaque fois qu’une monnaie est utilisée, celle-ci revienne automatiquement à l’origine de son émission ; c’est à dire chaque individu.

    De plus, la monnaie est le meilleur des bulletins de vote que je connaisse. Remettre un sens à la monnaie résoudrait en même temps le problème ’politique’.

    Pour en savoir davantage : c’est par ici.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 15 décembre 2016 00:08

    Atchoum ! Snif. Ces pantalonnades de déculottées me rendent fébrile. Avec ce cirque gratuit Pinder va faire faillite. Mais laissons les mous choir.
    Le Fillon a entre autres été désigné pour botter la sécu. Et il vient d’enlever ce reset de son ’programme" de robot booteur. Farces et attrape-couillons : il faut recommencer la primaire de ’droite’. Héhé, encore 8 millions d’euros pour LR. Ptet que la gentille Macrounette va s’y inscrire cette fois ? Il aurait ses chances s’il n’oublie pas son nez rouge. A moins qu’il ne finisse par former un beau couple valseur Mano-Manolette manu-militari ?
    N’en déplaise à Mélenchon, les gauchos qui sont allés bouter Jupette et De Nagy-Bocsa en votant Filons à l’Anglaise ont bien fait. Mais rien n’est joué. Un deuxième tour d’érection pestilentielle GrandFrançois/Talonnette est encore possible vu que les marines nationales se sabordent entre elles.
    Qu’est-ce que je suis content de ne plus participer à ces masques à rade ! Cinq sur un.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 13 décembre 2016 21:51

    Bonjour, j’ai lu votre article avec grand intérêt et je suis resté sur ma faim. Je me demande comment vous faites pour parler ruche sans évoquer le miel et la trophallaxie qui va avec. Bien que nous le fûmes jadis, nous ne sommes pas une espèce sociale. Une espèce est dite sociale lorsqu’elle partage sa production.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 13 décembre 2016 21:22

    Juste une remarque en passant cher C’est Nabum :

    « l’égalité des chances » est un putain d’oxymore. Il ne faut voir dans cet élément de langage récemment institué par l’oligarchie qu’une schizophrénie à même d’asseoir durablement la ’normalité’ de la pauvreté dans un monde opulent. La chance est, au contraire, l’inégalité du destin.



  • Raoul-Henri Raoul-Henri 13 décembre 2016 20:51

    @CeRBèRe/ CRBR
    Vous utilisez le mot « utopiste » mais à l’origine ce mot servait à designer ceux qui suivaient les étoiles pour se diriger ; c’est à dire ceux qui savaient où ils allaient. Ne pas être utopiste est sans doute le meilleurs moyen de se planter dans un ravin.
    Cela dit je ne défends pas l’énergumène sus-nommé, bien que je m’intéresse énormément à ses actifs, comme à ceux du camps « d’en face ». Bon, l’agitoire d’ombres et lumières n’est pas terminé. De la gesticulitude pour contourner habilement, très même, le sujet central de toute politique. Et çà dure depuis, selon les mythes propagés, des siècles voire des millénaires.