J’avoue ne pas avoir lu toutes les réactions. Je vais être un peu hors sujet , mais peut-être aussi au coeur de la problématique : aujourd’hui, la pédagogie, le talent des profs et les programmes sont une chose.
Une petite correction : 132 MILLIONS d’euros...
Une p’tite correction : 132 MILLIONS d’euros.
Vous confondez d’une part :
Il suffit de regarder l’analyse détaillée du livre « Ma vérité sur la planète », par JM Jancovici, pour se rendre compte que Claude Allègre fait aussi très souvent dans l’indigent .
Courtillot n’est pas allègre, mais il ne devrait pas se sentir à l’aise non plus, vu ses compétences sur le sujet (il a en effet remis par deux fois à 2 ans d’intervalle un rapport sur le climat truffé d’erreurs grossières, lequel a été vivement dénoncé par ses pairs : http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2008/02/soleil-et-clima.html )
Oups, la fin n’est pas à lire
Je retiens de cet article :
Excellent article ! Il résume très objectivement et surtout de façon argumentée et documentée les pensées d’un grand nombre de citoyens épris de démocratie, et lassés, pour ne pas dire dégoûtés, du concert à une voix chanté par l’industrie médiatique.
Toujours les mêmes deux sites (« climat sceptique », qui propose des articles intéressants mais souvent sans les remettre dans un contexte plus général, et surtout « pensée unique », tenue par un pseudo expert qui patauge quelque peu, amalgame beaucoup, et prête à ceux la même qu’il dénigre les insuffisances cognitives et culturelle dont il souffre visiblement lui-même...)
@ kata : « on ne peut rentrer en contacte avec DIEU qu’en se prosternant »
« Qu’auriez-vous fait ? », dites-vous, plume.
A Polemikvictor : l’auteur de l’article mérite effectivement un blâme pour amateurisme scientifique. Mais expliquez-nous donc pourquoi vous identifiez spécifiquement les écolos à cette déplorable tendance ???
@Jordan
@ Mike57 : bel usage du principe du cheval de Troie : citer l’article 1 pour conférer des vertus démocratiques à l’article 2. C’est consternant.
Exposez-nous maintenant en quoi une milice bien organisée serait nécessaire à la sécurité d’un état libre dans une société sans arme. Et en quoi son absence dans la dite société relèverait du fascisme. Cela pourrait être rigolo.
Comment faire coexister l’obligation – ou pas – d’un fédéralisme global et sélectif avec la recrudescence d’un nationalisme aussi épidermique que fragile ?
Cet exemple de votre façon d’écrire nous laisse supposer que vous utilisez le célèbre tableau à 4 colonnes pour les amateurs de novlangue de bois . Que veut dire ce charabia ? Et quel rapport avec le texte initial ???
" Les hommes qui ont la passion des jouissances matérielles découvrent d’ordinaire comment les agitations de la liberté troublent le bien-être, avant que de s’apercevoir comment la liberté sert à se le procurer ; et au moindre bruit des passions publiques qui pénètrent au milieu des petites jouissances de leur vie privée, ils s’éveillent et s’inquiètent ; pendant longtemps la peur de l’anarchie les tient sans cesse en suspens et toujours prêts à se jeter hors de la liberté au premier désordre. Je conviendrais sans peine que la paix publique est un grand bien ; mais je ne veux pas oublier cependant que c’est à travers le bon ordre que tous les peuples sont arrivés à la tyrannie. Il ne s’ensuit pas assurément que les peuples doivent mépriser la paix publique ; mais il ne faut pas qu’elle leur suffise. Une nation qui ne demande à son gouverneur que le maintien de l’ordre est déjà esclave au fond de son cœur ; elle est esclave de son bien-être, et l’homme qui doit l’enchaîner peut paraître. "
Tocqueville
Merci Helios, je comprends un peu mieux le problème. Cela donne effectivement à penser, indépendamment des autres arguments, que l’acharnement à faire passer une telle loi en dépit du simple bon sens technique offre quelque chose de suspect...
@ Boisguibert :
Quel rapport avec le sujet de l’article ??
@ Olivier :
je suis bien d’accord. Et sur le fond, ce reportage est bien utile. C’est sa forme que je conteste : trop fragile, mal construit, pas assez "béton" (il n’y a qu’à constater comment le porte parole d’Aréva a renvoyé la journaliste dans les bâches). Tout émoustillés de lever un beau lièvre, et apparemment peu au fait que les industriels du secteur sont rompus à tout type de combat d’arguments, les journalistes ont un peu gâché une belle occasion d’éclairer les esprits. Ce que je déplore.
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