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Les commentaires de Laurent Simon



  • Laurent Simon 5 septembre 2014 11:37

    @Souloumiac Merci bien de cette réponse, argumentée.

    Mais j’ai du mal, je m’y perds, alors que c’est pour vous un sujet ’évident’, que vous maîtrisez manifestement. (ce qui ne veut pas dire d’ailleurs que vous ayez raison simplement parce que vous rappelez un fait historique : votre rappel sur la monarchie ne me semble pas suffisant)

    Il me semble que pour faciliter le débat (entre un spécialiste comme vous, et des non spécialistes lecteurs de cet article) , il faudrait faire un ou plusieurs tableaux, avec les caractéristiques de l’invention, de la création (en colonne par exemple) ; et des caractéristiques / avantages du brevet, de la création (en ligne).



  • Laurent Simon 5 septembre 2014 08:00

    @M. Hum. « La responsabilité se partage, la propriété se dispute. » Je ne suis pas sûr de ce que vous voulez dire, peut-être sommes nous d’accord.

    En tout cas pour moi la responsabilité ne se divise pas ! J’ai fait moi-même cette erreur, longtemps, et j’ai bien été obligé de constater, à mon tour, que « la responsabilité ne se divise pas » ; c’est-à-dire que si je suis responsable officiellement de quelque chose, et si j’en délègue tout ou partie à quelqu’un, j’en reste responsable.

    Ce qui explique pourquoi souvent c’est le dirigeant d’une entreprise ou d’une administration qui « saute » alors que c’est une personne inconnue de lui qui a fait une grave erreur, non vue par son supérieur, etc.



  • Laurent Simon 5 septembre 2014 07:47

    @ Helios : Merci pour cette réponse, très complète et extrêmement intéressante. Votre explication sur les marges d’erreur est intéressante, et semble correspondre à au moins un lancement d’Ariane, le premier et peut-être le deuxième, si ma mémoire ne me fait pas défaut.

    Il a été constaté, par la suite, qu’un échec complet aurait été possible, et qu’on est passé tout près (je parle bien d’Ariane 1, mais il est effectivement tout à fait possible que la même chose s’est reproduite plus tard).

    Mais dans ce cas précis, il y a bien autre chose, et il semble même que les données transmises de Sibérie, en temps réel, laissaient entendre que les paramètres étaient ceux attendus, alors qu’on s’aperçoit plus tard que les paramètres des orbites étaient loin d’être nominaux ... Si c’est vraiment le cas, cela accréditerait l’idée d’un sabotage, très bien fait... et qui pourrait tout autant être réalisé par un service russe que par un (ou plutôt plusieurs) agent(s) double(s) très bien placé(s) chez les agences ou entreprises russes... (il faut au moins une personne pour programmer anormalement l’étage Fregat, et une (autre ?) pour transmettre (en temps réel) des données « nominales » mais qui ne correspondent pas aux mesures faites...) De l’excellent travail assurément (si c’est le cas bien sûr) !



  • Laurent Simon 4 septembre 2014 01:25

    @ Helios : Merci pour ce témoignage, même s’il n’est pas réjouissant... j’espère simplement qu’il n’est pas la règle. De mon côté, je sais que des démarches Qualité peuvent aboutir à des aberrations, quand elles sont menées par des « ayatollahs de la qualité », qui oublient l’esprit, et appliquent la lettre, en dépit du bon sens. Avec des dérives bureaucratiques, qui ne sont vraiment pas recherchées normalement !

     Mais je sais aussi qu’il y a pas mal d’entreprises où ces démarches ont permis des succès spectaculaires. Par exemple chez Renault, au moins pendant certaines années (je ne sais pas où ils en sont maintenant).

    Pour le spatial, je ne peux pas croire que les résultats exceptionnels obtenus par Arianespace (aucun échec en 12 ans, même partiel, environ 70 lancements réussis d’affilée) aient pu l’être sans une démarche Qualité authentique.



  • Laurent Simon 3 septembre 2014 16:00

    @ Helios : « pour les salaires qu’ils ont reçu et le respect qu’on leur démontre dans l’entreprise, pourquoi auraient ils dû s’en faire ? » Je ne crois pas qu’on puisse dire ceci, en tout cas dans le domaine spatial. De plus la démarche Qualité consiste à ne pas accuser le lampiste (qui a oublié son chiffon, etc.), mais à chercher à créer les conditions les meilleures pour que même si une erreur se produit, elle ne dure pas longtemps et puisse être corrigée quand il en est encore temps.

    SVP, ne parachutez pas des lieux communs, des considérations du genre « café du commerce » ! Non, il n’est pas vrai que « Le GPS ou Galileo ce n’est qu’une activité comme une autre »



  • Laurent Simon 3 septembre 2014 15:14

    Complément à l’article (Futura sciences, 3 sept.) : "...les deux premiers satellites Galileo de la phase opérationnelle seront tout de même utiles à la constellation. Ils ne pourront pas servir au fonctionnement même de la constellation Galileo, donc au positionnement, la fonction de ce GPS européen, mais seront utilisés à des fins de validation et de test.«   »Les satellites Galileo égarés seront utiles à la constellation" :
    ... s’ils ne sont pas les premiers satellites Galileo en orbite, ces deux-là sont les premiers dits opérationnels et font partie d’une série construite à la chaîne par OHB. Les précédents satellites déjà en l’air, les Giove et IOV, ont eux été construits par Airbus Espace et Thales Alenia Space.

    Il est donc très important de s’assurer que la série d’OHB fonctionne correctement. C’est pourquoi la recette de ces deux satellites sera faite et les charges utiles testées. Et pour l’Esa, réaliser ces deux phases, la LEOP et la recette, est un succès qui sauve une grande partie de la mission.



  • Laurent Simon 3 septembre 2014 12:50

    « l erreur est humaine. »... Oui, mais l’approche Qualité totale consiste justement à éviter les erreurs, même humaines, et à faire en sorte que quand il y a erreur elle puisse être corrigée à moindres coût et conséquences. Là le moindre qu’on puisse dire est qu’il y a bien une faille.



  • Laurent Simon 3 septembre 2014 12:46

    « Glonass, Beidu... » ben oui, voir l’article. Et le système indien, mais qui effectivement est seulement régional, raison pour laquelle je n’en ai pas parlé (concurrence très limitée).



  • Laurent Simon 3 septembre 2014 01:10

    Pour avoir des véritables informations, et des questions plus concrètes que celles posées ici, à partir d’articles écrits ailleurs (et cités) :
    « Galileo, Soyouz, Arianespace... et le management de projet (international) »

    Quelques exemples - extraits :

    • "Même lorsqu’il s’agit de corriger une orbite de 1 à 2 degrés, c’est souvent toute une histoire pour la remettre dans le bon plan, et cela demande une très grande quantité d’énergie. Alors corriger plus de 5 degrés... Il faudra se poser la question de savoir si les moteurs le permettent, et si le jeu en vaut la chandelle"
    Les deux satellites semblent donc bien perdus, sans que cela ne soit dramatique :
    •  ni pour le déroulement du programme Galileo ...
    •  ni pour son coût global...

    selon Jean-Yves Le Gall,« ce qui est le plus probable, c’est que le dysfonctionnement se situe au niveau du quatrième étage du Soyouz, l’étage supérieur Fregat, qui place les satellites sur leur orbite définitive après deux impulsions consécutives ».

    selon nous une autre question est essentielle : pourquoi l’erreur d’orbite n’a t elle pas été détectée aussitôt ?

    Comme le remarquait la NASA, « le problème n’a pas été l’erreur en elle-même, mais l’incapacité à détecter l’erreur »

    Autre question pour la Commission d’enquête : vers plus de professionnalisme des lancements Soyouz ?

    Et... si Jean Yves Le Gall concluait : «  Est-ce que c’est lié à un élément mal programmé ou un équipement défectueux ? La commission d’enquête devra le dire. », dans ces deux cas la responsabilité d’Arianespace semble engagée



  • Laurent Simon 3 septembre 2014 00:43

    5. Il y a un terme qui manque dans votre titre (très pertinent) : le risque.
    Et cette notion fait énormément défaut à l’analyse marxiste, ainsi que la notion de création, de créativité. Ce qui explique, en partie, pourquoi les « marxistes » (en tout cas ceux qui s’en réclament, car Marx était bien plus intelligent que la caricature qu’ils en font) sont complètement à côté de la plaque, et que les régimes qu’ils ont justifiés n’ont apportés qu’appauvrissement et régression, sans parler des restrictions évidentes envers les libertés ’formelles’.
    Et la prise de risque est une lacune énorme en France, qui explique une bonne partie de nos difficultés à sortir d’une situation de plus en plus compliquée.
    D’une certaine manière l’auteur, le créateur, l’inventeur prennent un risque, celui d’essayer autre chose, et de consacrer beaucoup de temps à préciser / valider leur création - invention, et il faut bien qu’il y ait rémunération de ce risque (et ceci les théories ’marxistes’ ne le permettent pas)

    6. Votre article aborde très utilement la notion de responsabilité, qui n’est pas assez prise en compte en France (cf les fonctionnaires, dans les « anciennes » administrations, qui ne sont responsables de rien, ce qui permet toutes les aberrations constatées dans ces administrations. Alors que dès que la responsabilité est reconnue dans une organisation, fût elle une administration, les choses se mettent à mieux marcher, comme par enchantement)..

    A contrario, votre insistance à parler d’une responsabilité de l’inventeur - créateur me semble (donc) excellente. En tout cas c’est une piste de réflexion très intéressante. Et j’espère que le débat ici permettra de développer ces aspects.



  • Laurent Simon 3 septembre 2014 00:29

    4. Quant aux aspects environnementaux, auxquels je suis très sensible, je ne vois pas de rapport direct et univoque avec ces questions (sauf évidemment qu’il n’y a pas de raison de breveter du vivant, et donc d’empêcher un agriculteur de continuer à produire ce que ses ancêtres, ou lui-même utilisaient / utilisent) :
    Il n’y a aucune raison de s’inscrire dans un cadre « socialiste » pour protéger l’environnement et l’humanité contre les aberrations que certains font par simple intérêt à court terme (cela n’a pas de rapport direct et exclusif avec le capitalisme, preuve en est que les pays qui ont le plus détruit l’environnement sont les pays communistes, bien plus encore que les pays où le capitalisme existe).
    Ce qui ne veut pas dire que je sois naîf ! (ce que je veux dire c’est qu’il est bien vain de chercher une solution dans un cadre qui est encore pire que le capitalisme, de ce point de vue)..



  • Laurent Simon 3 septembre 2014 00:27

    3. Ce débat est passionnant, mais il faudrait peut-être par commencer à se mettre d’accord sur des termes et définitions, à préciser des exemples et voir en quoi il est bon ou non qu’un tel bénéficie d’une protection, et comment, etc.
    Car sinon ces aspects ’politiques’ extrêmement présents dans plusieurs commentaires empêchent d’avancer vers quelque chose qui pourrait faire l’objet d’un consensus. Exemple : si l’on refuse à un auteur - créateur - inventeur un quelconque droit à obtenir une rémunération par rapport à ce qu’il a créé - inventé, il n’y a plus de possibilité que cette personne continue à créer inventer (voir tout le débat sur la protection des oeuvres artistiques et littéraires).
    Conclusion : il faut donc installer ces droits et devoirs dans un cadre libéral, authentiquement libéral. (pas dans cette caricature que nous voyons en France, qui empêche aux créateurs de créer des richesses, et d’en faire bénéficier leur environnement, donc leur pays, notamment bien sûr par des emplois)



  • Laurent Simon 3 septembre 2014 00:25

    2. Il me semble que le débat est pollué par des aspects ’politiques’ : un vrai libéralisme permettrait à l’inventeur d’avoir accès aux moyens financiers qui lui permettraient de protéger son invention. (nous ne bénéficions pas en France de ce vrai libéralisme, un des aspects évident est que les banques ne prêtent pas, ne prennent pas de risque, et tout est fait en France pour le salarié, rien pour l’authentique créateur de richesses)
    Voir par exemple les moyens importants qui irriguent la Californie, et les Etats Unis en général, au niveau du capital risque (ordre de grandeur : 100 aux US, 10 au Royaume Uni, 1 en France...) ce qui permet aux petites entreprises comme Apple, Sun, HP, Google, Amazon, etc. de se développer et de devenir très grandes.
    Et le fait que ces entreprises devenues grandes prospèrent n’empêche pas les nouvelles entreprises, très petites, de prospérer à leur tour et de se développer, souvent d’ailleurs dans le sillage de ces plus grandes entreprises.
    Donc le fait que vous écriviez votre article en France, où nous avons une économie complètement ’à l’ouest’, qui ne permet justement pas de développer des entreprises, ne donne pas les meilleures conditions pour que votre article soit pertinent dans un vrai contexte (’normal’). Les différents biais qui résultent de votre vision trop française empêchent à votre article d’être vraiment pertinent, et c’est vraiment dommage.
    Car je suis bien d’accord avec vous, l’immatériel est source de richesses incomparables, et la France passe complètement à côté !



  • Laurent Simon 3 septembre 2014 00:16

    Article intéressant, même si de temps en temps interviennent des notions qui ne me semblent pas pertinentes. Par exemple vous avez le tort bien français de considérer que le monde entier est en crise économique (depuis longtemps) alors que ce n’est vrai, que pour certains pays particulier, dont malheureusement la France.
    Je vais éclater ma réponse en plusieurs morceaux.
    1. Au sujet de la différence entre le brevet et le droit d’auteur, j’ai des questions ; le lien (consubstantiel) que vous faites avec la monarchie me semble non pertinent, même si historiquement vous semblez avoir raison.
    Pour m’intéresser à ces questions depuis longtemps, et pour avoir fait des démarches pour déposer un brevet, j’avoue avoir une préférence ’spontanée’ envers ce système de brevet, même si je suis bien obligé de constater que c’est effectivement très cher.
    J’avoue ne pas voir comment le droit d’auteur peut contourner la difficulté essentielle, rappelée ici par plusieurs commentateurs, relative au fait qu’une création s’appuie sur les créations précédentes... Le brevet vise justement, à mon avis, à permettre de bien identifier en quoi une invention (qu’il faudrait distinguer de création) est attribuable à quelqu’un, et non à ses prédécesseurs, ou à ses contrefacteurs.



  • Laurent Simon 2 septembre 2014 17:09

    « n’était-ce pas une bonne idée d’agacer les Russes ? »
    C’est une possibilité, certes, mais dans ces échanges Russie - UE les deux sont gagnants, normalement, et si le contrat avec Soyouz s’arrêtait, cela serait une sérieuse perte pour la Russie. Donc je ne pense pas que ce soit une volonté délibérée de la Russie.

    Mais rien n’empêche une action d’un individu, par exemple, « bien placé » pour écrire de mauvaises données dans le logiciel...



  • Laurent Simon 1er septembre 2014 14:31

    Comme je l’indiquais (« il peut y avoir un rapport avec Arianespace, puisqu’il y a eu des évolutions demandées aux Russes pour Soyouz »),

    selon Jean-Yves Le Gall (La Tribune, 29 août 2014,« Échec de la mission Galileo : ’un problème de production, pas de conception’. »),"ce qui est le plus probable, c’est que le dysfonctionnement se situe au niveau du quatrième étage du Soyouz, l’étage supérieur Fregat, qui place les satellites sur leur orbite définitive après deux impulsions consécutives.« 

     »Pour une raison encore inconnue, la deuxième impulsion n’a pas été donnée dans la bonne direction« . Selon lui,  »Soyouz n’est pas directement concerné par cet échec. C’est uniquement l’étage supérieur Fregat qui est concerné. Ce module résulte d’un co-développement entre Russes et Européens que nous avons mené à la fin des années 90" et qui ’a fonctionné sans échec plus d’une quarantaine de fois’.

    Et de conclure : « Est-ce que c’est lié à un élément mal programmé ou un équipement défectueux ? La commission d’enquête devra le dire. »



  • Laurent Simon 31 août 2014 20:00

    Aux rédacteurs Agoravox. N’ayant pas l’adresse email du groupe des rédacteurs, je ne peux envoyer un message à tous. Si vous la connaissez, pouvez-vous faire suivre le message suivant ? Merci !
    ------- Pris par vos activités, vous n’avez pas nécessairement remarqué mon article soumis à publication  : « Eloge de la rigueur ! »

    Dans cet article, j’attire l’attention en particulier sur le minimum de rigueur intellectuelle nécessaire pour écrire un article sur Agoravox, et je présente des débuts de proposition pour améliorer la qualité d’Agoravox (en perte de vitesse chaque année depuis plusieurs années) et de ses articles.

    Car Agoravox peut être amélioré selon moi, et j’avais déjà proposé plusieurs articles, dont la publication n’a pas été approuvée :

    Je vous demande donc d’approuver sa publication, si c’est le cas bien sûr ! Merci aussi de me donner des remarques ou questions par rapport à cette démarche, et vous pouvez aussi parcourir mes articles déjà publiés, une dizaine depuis mi juillet de cette année, et dont plusieurs ont fait partie des plus lus de leur rubrique, sur 30 jours.

    à votre disposition,
    Bien cordialement,

    Laurent Simon


  • Laurent Simon 30 août 2014 21:43

    @diverna Remarques intéressantes ! Quelques mots, sans vouloir épuiser le sujet, bien sûr ! En chercher les raisons (pêché mignon, siutaion -débâcle militaire ET politique-), oui, mais aussi instabilités de la 4e République. Et justement, nous pourrions modifier la Constitution en fonction de la trop grande « stabilité », ou plutôt rigidité apportée par le fonctionnement actuel, par une dose non négligeable de proportionnelle, de même que la 5e république a succédé à la 4e. La 5e était probablement adaptée à la période d’après-guerre, de décolonisation, et de guerre froide. Elle n’est plus adaptée au 21e siècle, à internet, à la mondialisation, à l’importance grandissante de l’Europe dans notre quotidien, et dans le fonctionnement de la France, à la très grande importance des services dans l’économie française, à l’irruption des pays émergents, etc.
    Cette proportionnelle (partielle) apporterait une représentation de certains courants, y compris le FN, qui actuellement prospère en particulier parce qu’il n’est (presque) pas représenté à l’Assemblée Nationale (mais il faudra continuer à combattre activement les idées nocives du FN, bien sûr)..



  • Laurent Simon 30 août 2014 17:56

    @ELCHETORIX et aux lecteurs pour lesquels il y aurait un doute, ou plutôt une confusion : le titre de l’émission de Cdansl’air est « Valls et les patrons : la lune de miel », car l’émission était centrée sur la situation EN FRANCE.
    C’est moi qui ai fait le rapprochement avec la situation bloquée en Israel, également pour des questions de système électoral, et pas du tout Yves Calvi, ni aucun des journalistes présents sur le plateau



  • Laurent Simon 30 août 2014 17:33

    @ELCHETORIX J’ai du mal à comprendre... ou je n’ose comprendre cette réaction !
    De toute façon, j’imagine que vous vouliez dire « en aucun cas impartiale », sauf que même ainsi ce n’est pas très compréhensible