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Accueil du site > Tribune Libre > Quand un médicament pour les bouffées de chaleur devient un tueur (...)

Quand un médicament pour les bouffées de chaleur devient un tueur !

Qui a entendu parler du médicament AGREAL ? Personne ou presque vu que l’affaire a été vite étouffée par le laboratoire SANOFI qui est le fabriquant de ce médicament !
 
 
Ce médicament est interdit depuis septembre 2007 en Europe ! Il l’était depuis 2006 en Espagne et avant aux Etats-Unis.
 
Mais qu’est-ce qu’AGREAL ?
 
Un médicament donné aux femmes ménopausées contre les bouffées de chaleur ou donné aux femmes opérées du sein. Un médicament tellement banal qu’il n’avait aucun effet secondaire grave, c’est le bon médecin référent qui dit ça à sa malade !
 
Sans effets secondaires dites-vous ? Pas si sûr, puisque 1400 femmes espagnoles sont en procès avec le laboratoire et que 15 d’entre elles obtiennent réparation pour le moment mais le procès continue et les juges espagnols ne comptent pas en rester là avec ce laboratoire.
 
Les effets secondaires rencontrés par madame A. B. de la Région Centre entre mars 2003 et juin 2007 :
 
AU TRAVAIL
• Grosse fatigue générale depuis 2003 qui va en grossissant et m’handicape depuis septembre 2003 avec des endormissements de plus en plus important sur mon lieu de travail aboutissant à une non reconduction de mon Contrat Emploi Consolidé de 3 ans. Je n’étais plus en état de travailler comme il faut et d’assurer les consignes données par mon responsable.
 
• Lorsque je rentrais à 15h30 chez moi, je n’avais qu’une idée : DORMIR !
 
• Difficultés de recherche de travail auprès de l’ANPE car toujours très fatiguée !
 
• Mis fin à un stage de 8000 euros pour une réinsertion professionnelle car je m’endormais durant les cours et j’étais incapable de suivre les gestes du formateurs puisque c’était des cours de langue de signes.
 
• Je me suis plainte durant des années à mon docteur traitant de 2003 à 2007 de mes problèmes de grandes fatigues mais il n’a jamais trouvé de solution.
 
VIE QUOTIDIENNE
 
• Problème de mots de tête courant et d’endormissement de plus en plus difficile (levée 15h couché entre 3 et 6 h du matin) entre septembre 2003 jusqu’en décembre 2006. Problème signalé à plusieurs reprises lors de mes visites de contrôle depuis 2003 à mon pneumologue.
 
• Maximum de temps passé au lit car plus de motivation alors que j’étais sortie d’une grosse dépression depuis 2001 après un suivi auprès de mon psy durant 7 ans. J’ai encore des problèmes de sommeil d’endormissement car impossible de me coucher avant minuit, je suis prise d’angoisses incontrôlables sans savoir pourquoi ! je me mets sur Internet toute la journée c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour ne pas replonger dans le sommeil dans la journée. J’ai encore des problèmes mais c’est des insomnies récurrentes !
 
• Tentative suicide involontaire en mars 2006 avec des médicaments, je n’étais plus moi-même et obéissais à une chose qui me poussait à prendre ces médicaments, impossible de résister.
 
• Cela m’arrive encore de me retrouver dans un état second mais connaissant l’origine de cette pulsion, je me bats pour résister et espère ne pas replonger dans le suicide
 
• Impossibilité de faire mon ménage, de prendre soin de moi comme avant, difficultés à me motiver pour me laver, à sortir dehors car je ne supporte plus la foule, je fuie les autres ! Je m’enferme le plus possible chez moi ! Je n’ai plus de vrai but dans la vie ! Là, en 2009, c’est le ménage qui me pose problème mais je lutte !
 
• J’ai du mal à m’apprécier pourtant je ne suis pas malheureuse et aucune raison insurmontable de replonger dans la dépression mais, je reconnais que vivre est très difficile pour moi ! En 2009, cela va mieux de ce côté-là !
 
• J’ai dépensé en 2006, lors d’un héritage, 15 000 euros sans savoir ce que j’ai pu acheter et cela en 1 mois. En 2009, plus de problèmes de ce genre
 
• J’ai fais des crises d’hystérie entre juin et mi juillet 2006 au point de demander au docteur de me faire rentrée en clinique psychiatrique car je ne voulais plus vivre dans la société. Mon fils m’a épaulé et je suis revenue chez moi (car j’ai vécue plus d’un an chez mon ami entre mai 2005 et juillet 2006) cela a provoqué un éclatement de mon couple et des problèmes avec les enfants de mon ami qui m’ont fait passer pour folle auprès de leur entourage.
 
• Depuis la prise de l’AGREAL, je n’ai plus de libido.
 
• Prise de poids d’un seul coup (23 kg) en même pas 6 mois en 2006 ce qui a aggravé mon diabète qui s’est déclenché en juillet 2003 après une prise de poids sans explication puisque j’avais des problèmes pour m’alimenter, justement depuis que je prenais l’AGREAL . J’ai perdu 30 kg après une opération de l’estomac en 2008.
 
• J’ai toujours des douleurs au niveau de la nuque. Je n’avais jamais eu ce problème avant l’AGREAL. Il m’arrive d’avoir des problèmes avec la mâchoire, j’ai l’impression que je vais faire une crise cardiaque car j’ai des douleurs dans la mâchoire comme si je faisais un infarctus. En 2009, cela m’arrive encore assez souvent.
 
• Je ne peux plus me concentrer, je ne peux plus écrire avec un stylo ou un crayon car mes mains ne suivent pas les ordres de mon cerveau même quand j’écris au clavier, je pense une chose et c’est autre chose ou le mot amoché qui s’inscrit. Je souffre énormément de cet état de chose. J’ai du mal à m’intéresser à quelque chose. En 2009, la concentration est difficile mais je m’améliore.
 
• Je souffre de mes mains surtout la main gauche, j’ai beaucoup de mal à m’en servir pour tenir quelque chose car elle faiblit rapidement. J’ai encore ce problème en 2009 mais c’est par moment.
 
• J’étais quelqu’un de gaie depuis ma sortie de dépression en 2001, je suis devenue triste depuis 2003 et j’ai du mal à garder le sourire et j’ai l’impression d’avoir les épaules lourdes et ne plus pouvoir marcher la tête haute. En 2009, j’ai repris goût à la vie !
 
• J’ai de plus en plus de mal à marcher et je suis obligée d’être accompagnée car je ne me tiens plus toute seule pour avancer. En 2009, tout est redevenue normale sauf quand les effets d’AGREAL prennent le dessus quand je suis très stressée.
 
• Je suis incapable de me projeter dans le futur, ma vie professionnelle est foutue alors que je n’ai que 52 ans, j’étais une battante, je suis devenue une loque ! je ne vous parle pas de la réaction de mon entourage qui me rabaisse, qui me prends pour une déséquilibrée et pour une fainéante. Je suis mise à part de tout mon entourage et professionnellement. En 2009, je me suis revalorisée et ne tiens plus compte de mon entourage. Je fais du bénévolat puisque je suis en invalidité.
 
Vous avez dit sans effets secondaires graves Docteur ? Alors qu’est-ce que « des effets secondaires » selon le corps médical ?
 
Madame A. B. a arrêté d’elle-même le médicament en juin 2007 et s’est sevrée sans autre médicament mais a traversé les douleurs que subissent les drogués en manque.
 
Son ami et son fils l’ont aidé à traverser ces mois si difficiles où elle était en manque ! Elle a pris connaissance des effets d’AGREAL par le biais d’un magasine de retraités !
 
Elle n’aurait dû le prendre que 3 mois d’affilé à raison d’un comprimé par jour durant 28 jours par mois mais elle l’a pris 4 ans dont les 2 dernières années à raison de 2 comprimées par jour !
 
Car ce médicament si anodin n’est ni plus ni moins qu’un neuroleptique !
 
Les médecins et les pharmaciens étaient au courant mais ils n’ont jamais averti leurs patientes des risques.
 
Ils sont complices du laboratoire mais ce médicament représentait une vraie fortune pour les actionnaires du laboratoire. Ne parlons pas des contre parties pour ceux qui le diffusaient ou le vendaient.
 
Les politiques aussi ont fermé les yeux même encore maintenant bien que Roselyne Bachelot ait été avertie grâce à une pétition qui lui a été envoyée en 2008 par des victimes mais qui n’a jamais été suivie de réaction de la part de la ministre. Pourtant c’est une femme qui a connue la ménopause et les bouffées de chaleur !
 
L’Association des Victimes du Médicament essaye de regrouper les femmes et les familles touchées par ce médicaments afin de mener une action en justice contre le laboratoire sur le sol français.
 
Depuis 2006, les docteurs et les pharmaciens étaient prévenus des effets secondaires mais n’ont jamais répercuté l’information auprès des patientes.
 
Il y a des femmes qui se sont suicidées, entre autre : défenestrées sous les yeux de leur entourage !
 
D’autres sont en psychiatrie, enfermées pour une durée non précise !
 
D’autres vivent un enfer permanent avec les douleurs, avec des problèmes d’hypothermie, des problèmes musculaires handicapants et autres souffrances.
 
Des parents, des enfants, ont vu ces femmes devenir des loques alors qu’elles n’avaient jamais été malade ni fait de dépression de leur vie. La seule chose qu’elles avaient eu : des problèmes de bouffées de chaleur soignées par AGREAL !
 
Apparemment, le côté gauche du corps serait le plus touché au niveau des douleurs et autres problèmes rencontrés !
 
Peut-on encore faire confiance à notre docteur ? Peut-on encore faire confiance aux laboratoires ? Peut-on encore faire confiance à notre pharmacien du coin ? Je dis NON !
 
Mesdames, si vous vous reconnaissez dans ces symptômes alors, contactez sur Internet le lien suivant : http://www.aaavam.eu/ ou écrivez à : AAAVAM, 10 rue de la Paix – 75002 PARIS.
 
Ils vous aideront pour obtenir réparation !
 
 

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13 réactions à cet article    


  • paul muadhib 10 septembre 2009 10:57

    salut, triste affaire !! confiance au docteur,laboratoires,pharmacien ??
    pour moi c’est non, avec discernement cependant, certaines « choses » marchent ,d’autres ont plus d’effets très négatifs que positifs, parce que leur finalité n’est pas de soigner. leur finalité unique d’origine est de faire du profit et pour cela ils investissent le thème de la santé, donc tout et n’importe quoi est possible..certes il y a des résultats, comme on pourrait dire que la guerre a du bon ,par ce que ca a contribue a améliorer les ....avions par exemple, cette médecine laisse la maladie arriver, quid des causes ? une société malade produit des malades par la toxicité des aliments , par un stress permanent , par un non sens total ce qui affecte aussi le corps par réaction etc..de plus cette médecine a volontairement mis hors d’état ,quasiment hors la loi , l’herboristerie et plein de remèdes parallèles, avec certes eux aussi leurs charlatans, comme en médecine normale ,et si vous en parlez vous êtes qualifie d’assassin.. c’est la médecine de la dernière chance quand la maladie ronge le corps certes, mais avant ?
    et cette arrogance, cette suffisance,c’est insupportable,non ?
    a 70 ans après un bilan de santé approfondi, les médecins disent a ma mère , tout va bien, vous avez un cœur impeccable, 3 jours après elle mourrait d’un arrêt du cœur ,dont on n’a jamais trop su ce que c’était, après cet événement mon père du même age a alors refuse toute médecine , il est mort a 85 ans, en mangeant gras, buvant bon vin et whisky.........
    bien sur il y a de vrais médecins qui essayent vraiment, qui ont un vrai talent de médecin et un talent humain et bien sur ceux la se reconnaîtrons et ne sont pas concernés par ce propos, mais.................faire de la médecine une source de profit mais quelle aberration !!
    il est criminel de laisser la médecine entre les mains du business, regardez ce délire de la pseudo grippe ,la médecine sert a introduire une forme de totalitarisme maintenant, le silence complices des médecins est affligeant,non ?
    en fait il faut totalement remettre en question le profit comme finalité,
    car profit=vol du collectif=injustice=chômage=famines organisées=guerres pour le profit...
    un simple vœux pieux ne suffira pas ,depuis le temps que le foutoir humain dure ca aurait déjà fonctionne ,non ?
    Alors que finalement médecin ,si ce n’est pas pour le business ou pour la satisfaction de son ego, ca le fait bien,non ??


    • Cantalou 10 septembre 2009 11:15

      Bonjour,

      Je fais partie de ces femmes droguées, et ce durant 16 mois.

      Tout d’abord, j’apporterai une petite rectification au texte ci-dessus, AGREAL a été retiré en Espagne en 2005 et non en 2006. L’AFSSAPS, notre bonne et merveilleuse AFSSAPS, s’est contentée de faire une enquête en catimini.

      Je suis restée pratiquement une année, après l’arrêt de cette drogue, sans pouvoir marcher, à trembler, à grelotter ; j’ai perdu 14 kgs dont 7 en 5 semaines, alors que j’avais pris très peu de poids par rapport à certaines de mes amies droguées.

      Tout était marqué dans la sainte bible des médecins LE VIDAL, mais ils n’en ont pas tenu compte... Mon médecin prescripteur savait ce qu’il me prescrivait, elle me l’a dit.....mon pharmacien aussi, mais lui se tait.

      J’avais une excellente mémoire, j’étais très bonne en français, plus rien n’est pareil. Lorsque les premiers jours de chaleur sont arrivés, je me suis mise en hypothermie et ce durant 3 jours, je n’ai pratiquement jamais quitté mon gilet de laine et mes socquettes durant cet été 2009. Je ne transpire plus, sauf de la tête........EN HIVER !!!
      Les premières fraicheurs sont arrivées, apportant avec elles, un retour assez fort de tous les symptômes ; hier 9 semptembre 2009, j’avais très froid, j’étais la seule à porter un pull polaire et j’avais à nouveau du mal à marcher.
      La fatigue est très souvent présente, alors que c’est mon mari qui s’occupe de tout ; je n’en suis plus capable, je n’ai plus aucune force.

      Je fais en sorte de ne pas avoir à consulter un médecin allopathique, je me fais suivre en homéopathie.

      Il est demandé à toutes les femmes de fournir TOUTES leurs ordonnances, certaines femmes ont pris cette drogue durant 15 à 20 ans, chose impossible.
      Le Médiateur de la République est aux abonnés absents, lorsque nous lui demandons comment faire ; on ne touche pas au grand SANOFI.
      Médicament - Poison : AGREAL : Pharmacritique

      CRAN-GEVRIER - SOCIÉTÉ Après la prise d’un médicament pour traiter la ménopause délivré sur prescription médicale : Une victime raconte son calvaire

      Dailymotion - Agréal de Sanofi, une vidéo de NosLibertes. Agréal, Sanofi, Glaxo, Pfizer, pharmacie

      Comme seul compte le profit pour l’industrie pharmaceutique, AGREAL est toujours en vente en Afrique, au Maroc et Dieu sait où encore ; on écoule les stocks vers les pays pauvres, dans le plus grand silence.


      • lou11 10 septembre 2009 13:24

        une honte,une abérration,un scandale..........

        je suis tres en colére envers mon médecin qui m’a prescrit cette cochonnerie d’AGREAL en 2001 jusque 2007 date du retrait du marché de ce médicament et envers le labo SANOFI qui n’a vu que l’interêt de son porte feuille au détriment de la vie des femmes qui ont pris cette merde

        j’ai vécu l’enfer durant 6 ans ,dépressions avec tentatives de suicide,douleurs dans la nuque ,la tête prise dans un étau ,prise de poids (18 kilos)déséquilibre avec marche difficile puisque je pars vers la gauche
        maladie des jambes sans repos
        peur de tout
        j’ai pris agréal durant 6 ans à raison de 1 gélule par jour sans la pause des 10 jours sur les conseils de mon médecin

        le sevrage fût rude comme une droguée en manque

        aujourd’hui apres 2 ans d’arret de ce médicament je reste déséquilibrée ,maladie des jambes sans repos ,la peur de tout et tres fragile psychologiquement

        pensez aux dégats que peut faire un neuroleptique(je ne savais pas que c’était un neuroleptique)qui aurait pû penser qu’on donnait un neuroleptique pour les bouffées de chaleur

        moi qui était avant agréal une femme gaie toujours prête à aider les autres je suis devenue une loque

        même s’il y a un mieux aujourd’hui il me reste des séquelles qui ne partiront peut être jamais

        c’est ça la vie d’une femme de 55 ans !

        nous nous battons et nous continuerons

        il faut que justice soit faite



        • nadin53 10 septembre 2009 14:17

          Voici mon parcours AgréaL...Le poison qui m’a détruite ....

          Après avoir pris agréal pendant 2 ans dont 1 en continu,j’ai commencé à me sentir,dès lors de la pause des 10 jours,de plus en plus mal....,mais chose surprenante avec une furieuse envie de le reprendre pour me sentir mieux...

          Et un jour crise énorme...tachycardie à 130.. vertiges...angoisses énormes...oppression...diagnostic des urgentistes :surmenage...j’étais encore dans la période d’arrêt ...et j’ai compris qu’agréal était le responsable de mes problèmes...je l’ai donc stoppé....

          Là ,l’enfer s’ouvrait devant moi...une vraie toxico en manque...tremblements...douleurs atroces dans tout le corps ...tachycardie jour et nuit....je ne pouvais plus ni marcher ,ni dormir ,ni manger.

          Après avoir consulté plusieurs neurologues aussi sceptiques ,les uns que les autres,quant à l’origine de mes maux...,je décidais de refuser leur prescription anti dépresseur,anxiolityque,somnifère,et de suivre des thérapies dites douces....

          Je suis actuellement à 32 mois d’arrêt de ce poison,et je souffre toujours beaucoup....de plus ,j’ai perdu mon emploi et toute vie sociale....

          Tout celà, pour une simple petite gélule censée atténuer mes bouffées de chaleur.

          Je ne savais pas non plus qu’agréal était un neuroleptique.,si la mention neuroleptique avait été notée sur la notice..jamais je n’aurais pris une telle médication...

          Nous avons toutes été dupées....et celà durant des années.... 

          J’espère de tout coeur que toutes les victimes d’agréal qui s’ignorent...pourront reconnaitre enfin l’origine de leur désespoir .. ..


          • chmoll chmoll 10 septembre 2009 15:12

            Mengele est ressuscité ?


            • janequin 10 septembre 2009 18:52

              Je pense véritablement qu’il y a là un manque de professionnalisme chez nombre de médecins, masqué par une capacité à porter le verbe très haut sans sourciller.

              Ils vont se gargariser de noms à coucher dehors pour nommer une affection - comme si je parlais de dihydrure d’oxygène ou d’oxyde de dihydrogène...LOL ! - et pendant ce temps, ils seront incapables de trier le bon grain de l’ivraie parmi toutes les publicités qui les assaillent.

              La moindre des choses seraient qu’ils réfléchissent par eux-même à ce qu’ils vont prescrire, et ne pas devenir des robots automatiques de prescription... un logiciel bien fait récapitulant les examens de laboratoire et faisant sortir de l’imprimante le traitement selon EBM pourrait d’ailleurs suffire.

              Ce que nous voulons, ce sont de véritables cliniciens, capables de rechercher et trier les symptômes, puis faire la part des choses pour porter un diagnostic qui ne soit pas un nom grec - perso ça ne m’émeut pas, après 4 ans d’études de cette langue - qui impressionne plutôt qu’il n’explique.

              Et puis, il faudrait aussi qu’ils étudient un brin de toxicologie, car nombre des affections attribuées à des « microbes » sont en réalité des affections environnementales, voire iatrogènes. Je pourrais donner de nombreux exemples.

              Et d’ailleurs, quand on montre qu’on sait, les médecins se départissent assez facilement de leur morgue. Et vont l’exercer ailleurs...


              • lavalle lavalle 10 septembre 2009 20:18

                Comme vous dites , un grand nombre sont véritablement des « nuls et en plus dangereux »
                Mais on laisse faire !
                Pour la plupart , ce sont des personne qui se sont appropriés un pouvoir que les pouvoirs gouvernementaux cautionnent , c ’ est scandaleux .
                la moitié des médecins devraient êtres suspendus définitivement , c ’ est clair !
                La campagne recelé le plus grand nombre de ces « nullités » normal !
                La situation est très grave , tant au point de vu traitement et surtout au point de vu diagnostic .
                Il vaut mieux consulter « un vétérinaire » ........



                • morgane451 morgane451 11 septembre 2009 10:45

                  Ce type de réponse est prié de changer de sujet !

                  Quand des femmes ont une vie brisée ou qu’elles en meurent, on reste respecteueux, on ne se moque pas ne esrais que pour celle qui viennent de vous parler de leurs souffrances


                • Cantalou 11 septembre 2009 09:42

                  Ménopause : le combat des victimes d’un médicament - Société - 05/03/2009 - leParisien.fr

                  Bouffées de chaleur. Victime d’un médicament - Côtes-d’Armor - Le Télégramme

                  Mayenne - “Ce médicament m’a empoisonnée” | France Soir, votre grand Quotidien national

                  ouest-france.fr - Le combat de Liliane, victime de l’Agréal

                  Ménopause : Le médicament qui donne des sueurs froides - Société - Lepoint.fr

                  AGREAL : un neuroleptique en question : Faites passer l’INFO

                  Nous sommes persuadées que des milliers de femmes ne savent pasENCORE POURQUOI leur vie est DETRUITE ; il doit certainement y avoir des femmes en psychiatrie, neurologie, et autres, sans compter le nombre de suicides, qui ne seront JAMAIS imputés à ce pseudo médcament, afin de protéger le corps médical et les laboratoires SANOFI et GRUNENTHAL.


                  • morgane451 morgane451 11 septembre 2009 10:48

                    Où y a t il une photo ? Un document du laboratoire GRUHENTAL - SANOFI était joint ! Y a pas d’image !


                    • LENORMAND 13 septembre 2009 11:46

                       

                       

                       

                       

                      Victime aussi de ce « poison »

                      C’est INTOLERABLE, INADMISSIBLE, combien de femmes hospitalisées dans des hôpitaux psychiatriques encore dans l’ignorance totale.

                      Combien de femmes se sont suicidées ou ont intentées à leur vie.

                      Combien de familles brisées.

                      C’est INACCEPTABLE  !!!

                      Pour ma part,

                      J’ai pris ce « poison » pendant 14 mois, celui-ci m’à été prescrit en 2004 afin de lutter contre les bouffées de chaleur.

                      En mai 2004, après quelques mois de prise de ce médicament, je ne me reconnaissais plus, pire encore, ma famille, mes enfants, mon compagnon se demandaient ce qu’il m’arrivait.

                      Plus envie de rien, dégoût de la vie, tout me semblait fade, insignifiant,

                      Tout était sombre, j’avais peur de tout et ne pensais qu’à une chose MOURIR !!!
                      Bien sûr, je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait alors j’ai cherché et découvert que ce médicament était la cause de tous mes problèmes.

                      A l’arrêt ce fût l’horreur, des douleurs atroces dans la nuque, le dos, la tête, les membres, de la torture, comme si m’on corps s’enflammait.

                      Je n’avais plus d’équilibre et ne pouvais plus faire les courses, impossible de tenir dans un magasin tant le mal être était violent.

                      Je suis maintenant à 4 ans de sevrage, toujours une tension des nerfs avec douleurs dans la nuque, la tête, les épaules, jambes raides etc …

                      Avec encore des difficultés, mal être dans les magasins etc …

                      On m’a VOLE ma vie et celle de ma famille.

                      Je ne peux plus vivre comme AVANT AGREAL, c’est inadmissible et CRIMINELLE !!!

                      vivi

                       


                       


                      • JARDINS53 14 septembre 2009 10:20

                        En août 2007, souffrant toujours de multiples maux (douleurs d’épaules, de nuques, nausées), sur les conseils d’une amie, je suis allée consulter un homéopathe parisien le Docteur M. – ce dernier devant l’importance de mes maux m’a fait prendre une préparation à base d’Agréal.
                        Si cela m’a procuré un soulagement partiel, il reste que je suis toujours dans la même galère. Si certain maux ont disparus, d’autres persistent tel que des douleurs dans ma jambe et surtout des BdC nombreuses, pratiquement une toute les heures.
                        Je me suis adressé cette année à un acuponcteur spécialisé en médecine chinoise et à une naturopathe – les deux pour rien, hélas.
                        Donc actuellement je me trouve avec ces souffrances dans mon membre inférieur droit où l’on me soigne pour déplacement de disque. Résultat : nombreuses injections, cachets anti-douleur dont certain à base morphine pris matin et soir.
                        Grâce à mon assurance, un avocat est chargé de mes intérêts et mon affaire est allée en justice. Mon ex-généraliste et mon ex-pharmacien ont du reconnaître la prescription et la délivrance de ce maudit produit pendant de trop longues années. Lors de l’expertise médicale qui a eu lieu à Nantes, tous les médecins présent ont déclarés que les effets à long termes des neuroleptiques étaient bien connus et que les praticiens avaient commis l’erreur, lors de l’apparition de mes tremblements, de ne pas s’inquiéter de la prescription d’Agréal…….
                        Verrais-je un jour le bout du tunnel ?
                        En conclusion 6 ans à me battre a cause d’un pseudo médicament qui a gâché la vie de milliers de femmes. Merci Sanovi.

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