Pourquoi Israël est obligé de mettre fin à la Guerre à Gaza ? Et comment ? Le sens de l’histoire de l’Europe et du monde
Les pays européens ont vécu des révolutions agricoles et industrielles ; puis pendant des siècles, il y a eu des guerres intestines en Europe. Pourquoi ? Parce que les monarques qui gouvernaient avaient des liens de parenté ne cessaient de se guerroyer entre eux. Pourquoi ? Parce que l'esprit européen est ainsi conçu ainsi, et par ainsi, les Européens relèvent de Celui qui les a créés ; et très nombreux, une forte démographie alors que le reste du monde moins avancé y compris les pays musulmans, les populations vivant sur de vastes étendues.
Prenons la guerre de Cent ans pour quelques arpents de terre entre la France et l'Angleterre ; la guerre de 30 ans en Europe qui a été une guerre de religion ; des guerres qui ont été dans la nature européenne.
Forcément l'Europe a avancé, puis elle s'est étendue au monde par des expéditions et la colonisation ; elle a donc exporté ses guerres. En fait, c'est un mouvement de l'histoire voulu ainsi ; ce n'est pas l'Europe qui commande la marche du monde ; c'est venu d'en Haut ; je ne sais si l’humain peut comprendre que tout ce qu’il fait ne le fait pas totalement par ou de lui-même ; s’il fait totalement par lui-même, et sans une action étrangère à lui-même qui en fait n’est pas étrangère en lui, elle existe en lui, il serait alors un Dieu sur terre. Et surtout qu’il est mortel, et pourquoi mortel ? Parce que c’est ainsi.
Donc les réponses à des questions « Et pourquoi les pays africains et musulmans sont-ils pauvres ? Pourquoi cette avance sur le plan technologique, industriel, scientifique de la société européenne et chrétienne ? » des commentaires que j’ai reçus relèvent d’un processus que l’on peut dire immanent venu de lui-même.
Le monde est ainsi structuré, et surtout on doit comprendre que si tous les êtres humains étaient avancés, il n'y aurait pas d'Europe plus avancée que les autres. Et les guerres auraient continué encore en Europe entre monarchies, entre républiques alors que le reste du monde qui serait avancé, il y aurait eu moins de guerre.
Et c'est la raison pour laquelle l'Europe transportant sa guerre partout dans le monde a permis en fin de compte à mondialiser le monde. Et cela a été voulu par Celui qui construit en permanence le monde. Je ne sais si nous parvenons à comprendre, et cela n’a rien à voir avec la religion. C’est une question de raison, et simplement de raison ; l’Europe est avancé, c’est une vérité et une réalité ; le Japon est devenu une puissance économique, industrielle, technologique, de même la Corée du Sud, la Chine, et d’autres, y compris les États-Unis, elles ne le sont devenues que grâce au progrès dont l’essentiel a pris en Europe. Et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle on parle de l’Europe, du vieux continent ; et ce n’est pas en termes de culture ou autre ; le monde moderne, les progrès moderne qui se sont étendus à tous les continents viennent de la vieille Europe qui a colonisé le monde.
C’est une réalité, et on ne peut pas aller contre. Qui a « construit » les États-Unis ? Le Canada ? Le Mexique ? Le Brésil ? L’Argentine ? Le Japon ? La Chine d’aujourd’hui ? La Russie faisait partie de l’Europe. Pour cause Mendeleïev et d’autres savants russes.
Cependant, l’humanité, et les êtres humains qui la constituent doivent en permanence s'auto-construire, une destinée qui leur échoit malgré tout sans même qu'il sache qu'en fait ils sont menés pour se développer, se moderniser, s'humaniser et sortir de la barbarie des siècles passés et la barbarie continue comme on le voit aujourd'hui… et aller jusqu'à son extinction.
La question : « Pourquoi tant de pays musulmans (tous ?) sont pauvres et en retard sur tous les plans cités plus haut ? La richesse ne dépendant que de la manne pétrolière (Arabie Saoudite et autres EAU) n’est pas représentative d’une société avancée.
Cela relève d’un stade de l'histoire ; l’Arabie ne s’est pas constituée ; elle a été constituée parce que cela devait être ainsi. Ce n’est pas du fatalisme, mais si l’être humain définit de fatalisme ce qui vient d’en Haut, libre à lui, l’histoire ne change, elle continue son chemin, comme elle a été « auto-construite », mais toute auto-construction où les êtres humains en sont les instruments, rien n’est pérenne ; le monde s’affine, et donc change.
Prenons la manne pétrolière, à qui elle profite en premier d’abord ? Elle profite surtout à ceux qui ont les clés ouvrant cette manne ; et qui ont les véritables clés ? Ce ne sont pas les pays musulmans, mais les États-Unis, l'Europe, le Royaume-Uni, le Japon qui ont les monnaies internationales, et seules ces monnaies ont libre cours dans le commerce mondial. Ces pays peuvent créer autant de monnaies qu’ils voudront ; qui peut les empêcher ? Aucun pays ? Même la Chine qui a son yuan devenu une monnaie internationale que il y a quelques années, plus précisément en septembre 2016, depuis que le yuan a intégré le DTS (droits de tirages spéciaux), étalon monétaire du FMI.
Prenons les peuples musulmans exportateurs de pétrole. Ils ne peuvent vendre leur pétrole qu'en dollars US, et qui émet les dollars US ? Ce sont les États-Unis. Et qui fixe les prix ? Ce sont les États-Unis.
Comprenez que si les pays musulmans sont les propriétaires des gisements de pétrole, les Etats-Unis en imposant leur dollar-pétrole, obligeant les pays importateurs de pétrole d'acheter des dollars US pour importer du pétrole musulman, forcément le véritable propriétaire, ce sont évidemment les Etats-Unis.
Puisque les pays musulmans ne sont là que pour satisfaire les ordres venant des États-Unis, et ces ordres sont les dollars US. Autrement dit, les pays musulmans reçoivent des dollars et livrent, par exemple, à l'Europe, le pétrole et le gaz.
L'argent des pays européens, il signifie qu’il représente des richesses européennes, et cet argent-richesse va aux États-Unis ; en échange de cet argent-richesse, les pays européens reçoivent des dollars US qu'ils remettent aux pays musulmans, en échange du pétrole et du gaz. Le processus s’opère comme suit : les États-Unis reçoivent de l’argent européen en échange des dollars US ; avec cet argent créé à partir de rien (planche à billet) et aucune banque centrale au monde ne peut contrôler la Réserve fédérale US (Fed), remis aux Européens, les États-Unis ont un surplus d’argent européen, et donc peuvent importer des richesses d’Europe, et ce qui est valable pour l’Europe est valable pour tous les pays (Japon, Chine, et autres pays) qui importent du pétrole et du gaz des pays musulmans. On comprend pourquoi les États-Unis n’ont pas de problème avec leurs déficits commerciaux avec le reste du monde.
Avec cette donne dans le monde musulman, les États-Unis ne risquent pas de faire banqueroute comme cela a été pour l’Union soviétique, et à la fin, l’URSS, par la crise économique des années 1980, elle a fini par être disloquée. Avec le pétrodollar, cela ne peut pas arriver. Et toute l'année, et toutes les années, c'est ainsi, l'argent européen tourne ; il va vers les États-Unis ; les dollars US reçus par les Européens vont aux pays musulmans, et ainsi de suite toute l'année, qui se répète chaque année.
On comprend, par exemple, pourquoi Israël a été implanté en Palestine ; ce n'était pas pour l'amour des Juifs ; parce que cela rapporte à l'Amérique. Israël et le pétrole des pays musulmans sont une même entité ; tant que le dollar US repose sur cette parité dollar-pétrole, Israël peut faire feu de tout bois sans être inquiété. Les États-Unis ne peuvent que soutenir Israël quoi qu’elle fasse ; crimes de guerre, génocide, etc. Israël a le blanc-seing des États-Unis parce qu’il constitue la pièce maîtresse avec l’Arabie saoudite ce que les économistes occidentaux le « pouvoir exorbitant ».
La Banque centrale européenne a une part dans ce jeu, de même les Banques du Japon et du Royaume-Uni et aujourd’hui la Chine qui est entré dans le jeu monétaire mondial. Leur pat est moindre, elle se joue essentiellement sur les marchés monétaires ; si les États-Unis ont des forts déficits extérieurs, en crise ou en période de guerre comme aujourd’hui avec deux guerres en Ukraine et à Gaza (Palestine), ils doivent donc aider financièrement l’Ukraine et Israël, ce qui creuse le déficit budgétaire, et comme ils n’ont pas d’excédents commerciaux, que des déficits commerciaux, ils doivent donc financer un double déficit appelé jumeaux, c’est-à-dire balance budgétaire et commerciale.
Seul recours est la planche à billet, création monétaire ex nihilo. Conséquence : le prix du pétrole monte ; il évolue autour de 90 dollars, donc plus de pétrodollar. Mais, pour éviter que le prix du pétrole monte trop fort, les pétrodollars ne suffisant pas à stabiliser le taux de change du dollar US, il se déprécie sur les marchés monétaires puisqu’il y a excès de dollars US du fait qu’ils ne sont pas absorbés par la hausse du prix du pétrole.
Et c’est là où la Banque centrale européenne, à son tour, injecte des euros en usant de la planche à billet, et donc des émissions monétaires sans contreparties physiques (à partir de rien). Pourquoi ? D’abord le prix du pétrole est élevé, et celui-ci va se traduire pour l’Europe monétaire par des déficits commerciaux qu’il faut financer, ce qui explique les émissions monétaires discrétionnaires à la fois de la Fed et de la BCE ; l’entente se fait au niveau des marchés monétaires. Le dollar se déprécie par rapport à l’euro, la BCE injecte ex nihilo des euros pour contrecarrer une forte dépréciation du dollar US, ce qui nuirait aux États-Unis ; et ces euros injectés à partir de rien permettent aux pays européens de financer leurs déficits budgétaires et commerciaux avec les pays du reste du monde.
Et c’est valable pour les autres puissances monétaires, selon leur taille, bien sûr, dans le commerce mondial. Le dollar et l’euro sont les grandes monnaies mondiales ; le yuan chinois cherche à se faire une place. Une guerre monétaire commerciale et monétaire se joue aujourd’hui entre les États-Unis et la Chine ; cette guerre bien entendu est silencieuse ; elle n’apparaît pas au grand jour.
Ce processus montre pourquoi les pays européens et chrétiens sont riches et pourquoi les pays africains et musulmans sont pauvres. Cependant, ce qu’il faut comprendre c’est que ce processus, et il faut le répéter, n'a pas été conçu par les humains, c’est-à-dire par les Américains, les Européens, les Japonais, et autres puissances, certes c’est eux qui l’ont conçu, on ne peut aller contre la réalité, mais cette réalité est venue d’elle-même, dans le sens qu’elle a été voulu, c’est comme si la terre devait tourner, et elle tourne toujours, elle ne peut pas s’arrêter, parce que c’est ainsi. De la même façon, le pétro-dollar" a été un passage obligé signifiant que les USA ne l'ont pris au vol que parce qu'il le leur a été donné.
Si, par exemple, l'Arabie saoudienne n'était pas une monarchie, une république avancée, et même une puissance économique comme la Corée du Sud d’aujourd’hui ou la Norvège, et qu'elle n'avait pas accepté le pacte de Quincy, en 1945, elle n’avait pas besoin de protection américaine en échange de l’accès au pétrole aux US, le dollar n'aurait pas eu ce « pouvoir exorbitant ».
Donc tout est venu d'en Haut ; évidemment là on reste dans le mystique, mais toute l’existence humaine relève d’une mystique, l’être humain vient au monde, il existe un temps, et il n’est plus après ; entre temps, le monde évolue, le monde change. On croit faire alors qu’en fait, on « est fait ».
Et la pauvreté n’est pas une tare, un état qui peut changer. Prenons la guerre à Gaza, les États-Unis soutiennent contre vents et marées Israël, mais le pétro-dollar ne peut exister éternellement, il y a eu la livre sterling qui a rayonné sur le monde ; puis est venu le dollar US. Aujourd’hui avec la puissance américaine, Israël a le vent en poupe, il massacre les Palestiniens, il attaque les hôpitaux ; il bombarde des populations de Gaza qui n’ont pas de protection ; il fait des milliers de morts, et parmi eux surtout des enfants, des femmes, des vieillards.
Mais Israël ne sait pas que le temps joue contre lui ; son État a été construit par la force, par la spoliation, et les temps vont se retourner inévitablement. Le pétro-dollar va certainement prendre fin ; les États-Unis sans le pétro-dollar redeviendront un pays comme les autres ; ils peuvent même subir ce qu’a subi l’Union soviétique, en 1991. La Californie, par exemple, le plus riche État des États-Unis, pourrait devenir un État indépendant, quittant les USA. Le Royaume-Uni a bien quitté l’Union européenne (Brexit). Et c’est possible au regard des milliers de morts palestiniens innocents. Et ça viendra d’en Haut qui regarde ce que les humains font aux humains ; tout compte sera réglé à voir les deux guerres mondiales qui ont été provoquées certes par des humains mais sans l’Ordre venu d’en Haut rien ne se serait produit. Et cet Ordre a été décrété, et les deux Guerres mondiales ont eu lieu, et par elles que le monde colonisé, plus de deux tiers de l’humanité, sont devenus indépendants.
Et même aujourd’hui, on le voit au 40e jour, des quartiers entiers ont été rasés par l'aviation israélienne, ont tué, selon des sources officielles palestinienne, plus de 11 320 Palestiniens - dont 4 650 enfants et 3 145 femmes - et blessé 29 200 autres, mais ce que l’on constate dans l’attaque de l’armée israélienne contre les hôpitaux ne dénote que l’armée israélienne s’est auto-piégée d’elle-même ; tous les experts en stratégie de guerre de renommée mondiale ont dissuadé Israël de lancer son offensive terrestre.
Or, elle a lancé l’offensive terrestre ; il est clair, Israël n’a pas voulu perdre la face et est entré tête baissée ; il est évident que l’Ordre d’entrer à Gaza est venu d’en Haut. Pourquoi l’offensive terrestre a été décrétée d’en Haut ? C’est simple, le fait qu’Israël ne sait plus comment attaquer les forces armées du Hamas tapies dans le labyrinthe des tunnels, prêt à riposter. Des tunnels de plusieurs centaines de km, de profondeur allant plus de 40 mètres pour parer aux bombardements aériens israéliens ; ce labyrinthe de tunnels est surnommé le « métro de Gaza ».
Israël ne compte que sur ses forces navales et aériennes pour bombarder Gaza, en fait c’est la population civile innocente qui en paie le prix. Et les forces terrestres israéliennes ne marchant qu’avec des chars à l’appui, pour être protégées, et donc n’avançant que dans les artères et routes qui permettent aux chars d’avancer. Et ne sachant comment s’attaquer aux forces du Hamas, bombarder et comme cela ne peut suffire, il faut des coups d’éclat pour montrer que l’armée israélienne avance, elle s’en prend aux hôpitaux, affirmant qu’ils constituent des QG des forces armées du Hamas.
L’objectif pour Israël est de médiatiser que les forces israéliennes sont à pied d’œuvre dans le combat avec le Hamas, alors qu’il n’en est rien ; elles ne s’aventurent pas dans les rues et ruelles de la ville de Gaza, où sont non seulement tapies les forces palestiniennes, mais elles organisent des embuscades qui provoquent des pertes dans les rangs des forces terrestres israéliennes.
Conséquence : par ces bombardements aveugles contre les civils et les hôpitaux, le monde entier, même en Occident, condamne les crimes de guerre d’Israël ; ils dénotent aussi la faiblesse de l’armée israélienne. On peut même dire que la guerre va se terminer à Gaza ; Israël est obligé, sans le montrer bien sûr, de chercher un moyen qui la sortira du piège, soit par les otages en lâchant du lest ; soit unilatéralement en décidant l’arrêt de la guerre par des négociations via le Qatar et l’Égypte et l’Europe, en donnant des garanties internationales fermes au Hamas.
Bien sûr cette situation viendra lorsque Israël sera épuisé ; avec des pertes de chars, de véhicules blindés de camions de transports de troupes, etc., touchés par des attaques sporadiques mais constantes par l’ennemi en face, qui s'accumulent et des pertes humaines qu'Israël ne dévoile pas ou en donne un petit chiffre, et c'est compréhensible, il ne doit pas démoraliser les troupes. Mais les troupes israéliennes vont être excédées, elles combattent une armée fantôme ; et Israël joue sur le facteur temps, 40 jours de guerre, puis 50 jours, puis 60 jours, et pas de résultat.
Les pertes humaines et matérielles s'accumulent comme des nuages noirs ; les bombardements ne donnent rien, des morts de civils et le nombre de morts d’enfants, de femmes augmentent sans gain militaire ; la peur commence à prendre les troupes y compris les commandos. Alors qu'Israël jouait sur le facteur temps pour asphyxier les forces armées du Hamas, c'est le contraire qui se produit, le temps joue contre Israël, surtout si les soldats et soldates ne veulent pas aller se sacrifier, une mort certaine face à un ennemi qui se dérobe, qui fuit, pour revenir et attaquer de revers.
Cette guerre avec les tunnels rappelle la bataille de Diên Biên Phu, un affrontement de la guerre d'Indochine qui opposait les troupes françaises aux forces du Viêt Minh. Et Israël prendra forcément conscience qu'il ne pourra plus tromper ; son impuissance à Gaza va devenir visible ; Sans gains militaires, ses troupes excédées, cherchant plus à se protéger au combat contre des combattants invisibles, il sera alors, obligé de mettre fin à la guerre.
Après les accords négociés, il sera obligé d'appliquer tout ce qui est stipulé à savoir que l’armée israélienne se retire de Gaza ; les otages seraient libérés en échange de la libération d’un millier ou plus, selon les demandes arrêtées par le Hamas, entre enfants (emprisonnés lors des Intifada) et prisonniers adultes femmes ou hommes palestiniens.
Israël n’aura pas le choix c’est ainsi et pas autrement, il a fait suffisamment de mal, le monde entier a été horrifié par cette guerre infâme. L’après-Gaza ne le concernera plus ; Israël n’a pas les moyens de sa politique de domination, même avec les États-Unis qui déjà pataugent en Ukraine, et ont pataugés pratiquement dans toutes les guerres et interventions armées qu’ils ont menées : Vietnam, Irak, Afghanistan, Syrie, Somalie, et la liste est longue.
Une vérité cependant, c’est que ce qui se passe en Ukraine et à Gaza, vient d’Haut, et les donnes sont déjà distribuées sur ce qui sera. De même pour les pays riches et les pays pauvres, les êtres humains n’ont pas choisi leur être, n’ont pas choisi leur destinée, leur devenir, tout revient à ce qui doit être ; et ce qui doit être est l’ouverture des possibles.
Tel est le sens de l’Histoire de l’humanité par ce qui vient d’en Haut. On devine que le Très Haut, c’est le Tout Puissant, c’est Dieu. Que l’on y croit en Lui ou non, peu importe c’est Lui qui a créé l’Univers, la Terre, les planètes, et qu’est-ce que l’humain cet infinitésimal microcosme au sein des milliers de galaxies, et simplement dans le système solaire ? Un infiniment petit mais pensant, et il fait la guerre. Sauf que le Très Haut veille et fait payer toute chose sur terre.
Medjdoub Hamed
Auteur et chercheur spécialisé en Economie mondiale,
Relations internationales et Prospective
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