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Accueil du site > Tribune Libre > Mariage Génétiquement Modifié et OGM : même combat ! (2/2)

Mariage Génétiquement Modifié et OGM : même combat ! (2/2)

Suite de l’article « Mariage Génétiquement Modifié et OGM : même combat ! (1/2)  ».

Nous avons vu qu’il était possible d’établir une comparaison entre les cellules qui constituent un être organique végétal, végétal ou humain, et les familles qui sont autant d’éléments constitutifs d’une nation. Nous avons vu également que dans cette métaphore, l’ADN est à la cellule ce qu’est le code civil au mariage civil, et qu’en touchant au code civil, on modifiait génétiquement le mariage. Maintenant, regardons quelles peuvent être les similitudes entre les problématiques des OGM et celles du « mariage pour tous ».

 

C) Points de ressemblance entre les problématiques des OGM et du mariage pour tous

Dans un OGM, les modifications de l’ADN d’une plante ou d’un animal peuvent se retrouver dans votre assiette mais aussi sur l’ensemble de toute la chaine alimentaire, à l’issue d’un processus qui peut être long. Les impacts peuvent toucher ainsi tous les organismes vivants : plantes, animaux, êtres humains…et être à la fois considérables et irréversibles.

Avec le Mariage pour tous, on introduit une modification substantielle de tout le code civil en supprimant par exemple de nombreuses mentions « pères » et « mères » (même s’il en reste à travers l’artifice de l’amendement balais, grand moment de novlangue qui ferait sourire ou pleurer nombre de poètes : « les dispositions du Code civil s'appliquent "aux parents de même sexe lorsqu'elles font référence aux père et mère" »).

On permet surtout de transformer la structure nucléaire du couple en décrétant que deux hommes ou deux femmes peuvent constituer ce nucléon de manière parfaitement équivalente à un couple mixte. La conséquence immédiate et notable est que cette modification rend le noyau central naturellement stérile : pour compenser cet effet, il est nécessaire d’ouvrir la cellule a minima à un tiers, qui peut être un homme fournissant son sperme ou une femme prêtant ou louant son ventre (en attendant évidemment le clonage salvateur, la greffe d’utérus ou l’apparition des utérus artificiels).

Sans présager ici des effets bénéfiques ou non d’un tel changement, nous souhaitons établir une comparaison sur quatre plans de la problématique des OGM et du mariage pour tous, qui devrait amener nombre de personnes à réfléchir.

 

C1) Le principe d'équivalence en substance

Le noyau central de l’imposture des OGM est le principe d’équivalence en substance. Ce principe figure dans un paragraphe de la réglementation de la FDA qui est au cœur de la polémique entourant les OGM. On peut y lire : « Dans la plupart des cas, les composants des aliments provenant d’une plante génétiquement modifiée seront les mêmes que ou sensiblement identiques similaires en substance à [will be the same as or substantially similar to] ceux que l’on trouve communément dans les aliments, comme les protéines, les graisses, les huiles et les hydrates de carbone. »

Ce principe d’équivalence en substance ne repose sur aucune preuve scientifique ; il ne s’agit que d’un concept abstrait façonné par les autorités politiques afin d’intégrer les OGM dans la chaine alimentaire sans test de toxicité, tests qui sont normalement nécessaires à toute autorisation de mise sur le marché de nouveaux produits alimentaires. Ce concept a des répercussions très importantes puisqu’il permet de contourner l’amendement du Food Drug and Cosmetic Act, voté en 1958 par le Congrès. Intitulé « Food Additive Act », il impose des tests de toxicologie aux additifs alimentaires.

Pour bien comprendre ce principe, c’est comme si l’on disait qu’un tableau de Picasso était équivalent à une peinture de votre enfant à partir du moment où vous avez mis la même quantité de peinture sur la toile : seul change l’ordonnancement, mais aux yeux de la FDA, ça n’a pas vraiment d’importance.

Dans le cas du mariage pour tous, nous retrouvons ce principe. Un couple historique est constitué de deux personnes, les parents et qui sont un papa et une maman. Un nouveau ménage, dans le cadre de cette loi, sera également constitué de parents, mais ces derniers pourront indistinctement être de même sexe ou de sexe opposé. Selon le dictionnaire, on ne pourra dès lors parler de couple mais de paire, puisque les couples assemblent des opposés alors que les paires rassemblent deux éléments identiques.

On a bien ainsi ici une équivalence en substance, puisque les parents sont toujours constitués de deux êtres humains. A l’instar du tour de passe-passe sur les OGM, cette équivalence en substance (humaine) doit automatiquement nous dissuader de mener quelconque étude d’impact sérieuse sur les enfants ou la société.

L’affirmation péremptoire qu’un ménage mixte équivaut en tous points à un ménage de personnes de même sexe est à l’évidence une arnaque intellectuelle de belle ampleur.

 

C2) Le principe de précaution

Le principe de précaution est inscrit dans le droit français pour protéger l’environnement contre des risques qui ne sont pas encore bien évalués. Il faut donc pouvoir prouver l’absence et non la présence de risques potentiels, un travail ardu en ce qui concerne les OGM.

Le Conseil d'État donne en 1998 cette définition précise : « Ce nouveau concept se définit par l'obligation pesant sur le décideur public ou privé de s'astreindre à une action ou de s'y refuser en fonction du risque possible. Dans ce sens, il ne lui suffit pas de conformer sa conduite à la prise en compte des risques connus. Il doit, en outre, apporter la preuve, compte tenu de l'état actuel de la science, de l'absence de risque ».

Si les premières formulations de ce principe sont restées strictement liées aux questions d'environnement, elles se sont petit à petit étendues à des domaines de plus en plus éloignés de l'environnement. Le cas des OGM a permis notamment de passer de l'environnement à la santé.

L'excellent rapport remis au Premier ministre, le 15 octobre 1999, par Philippe Kourilsky et Geneviève Viney dit : « Le principe de précaution doit s'imposer à tous les décideurs ». Il s'agirait d'un nouveau principe de responsabilité s'appliquant à « toute personne qui a le pouvoir de déclencher ou d'arrêter une activité susceptible de présenter un risque pour autrui ».

Ce rapport précise notamment les 10 principes ou 10 commandements du principe de précaution :

  1. Le risque a-t-il été défini, analysé, évalué et gradué ?
  2. Les conséquences des différentes options ont-elles été comparées ?
  3. Une analyse économique a-t-elle été effectuée en préparation à la décision ?
  4. La structure d'évaluation des risques est-elle indépendante ?
  5. La décision envisagée est-elle révisable et la solution réversible et proportionnée ?
  6. A-t-on prévu un programme de recherche qui vise à sortir de l'incertitude ?
  7. Les circuits de décision et les dispositifs de sécurité mis en place sont-ils appropriés ?
  8. Sont-ils fiables et assujettis à une approche d'assurance qualité ?
  9. La transparence est-elle assurée, grâce notamment à la traçabilité et l'étiquetage ?
  10. Le public est-il bien informé et/ou associé ?

Lorsqu’on regarde ces 10 commandements et qu’on les place en regard du Mariage pour tous, on ne peut s’empêcher de sourire car rien de tout cela n’a été mis en place. Sur le dernier point, le public s’est invité de lui-même dans la rue, mais on lui a opposé un glacial mépris dont il se souviendra longtemps.

Le plus étonnant ici est alors que ce principe devait naturellement être envisagé a minima par tous les chantres des mouvements écologistes, il n’en a rien été : tous les partis écologiste se sont au contraire massivement prononcés en faveur du mariage pour tous et de ses corollaires naturels, la PMA (Procréation Médicalement Assistée) et la GPA (Gestation pour Autrui), même si certaines voix discordantes se sont faites entendre.

En France, le principe de précaution appliqué aux OGM a permis de mettre en place un cadre législatif et règlementaire basé sur les quelques principes suivants :

  • L'autorisation de mise en culture n'est accordée qu'au terme d'une longue série d'évaluations par les commissions compétentes (CGG, CGB) uniquement pour les variétés OGM ne présentant pas de risques pour l'environnement, ni de risques sanitaires, notamment liés à la consommation
  • Lorsque la variété OGM n'offre pas ces garanties, l'autorisation de mise en culture n'est pas délivrée et les recherches sont poursuivies pour maîtriser l'ensemble des risques théoriques
  • L'agrément temporaire d'une plante OGM doit s'accompagner d'une période complémentaire de surveillance avec la possibilité de retrait du marché (comme c'est par exemple le cas aux USA)
  • Un suivi environnemental de longue durée sera assuré pour les cultures
  • Les consommateurs doivent être informés par un étiquetage précis de la présence d'un OGM ou lorsque le produit issu d'une plante génétiquement modifiée n'est pas équivalent à l'aliment traditionnel

Nous pourrions légitimement nous inspirer du principe de précaution appliqué aux OGM, en se reportant notamment aux 10 commandants édictés précédemment et faire évoluer ce principe à des considérations sociales et humaines.

 

C3) Les impacts sur la chaîne alimentaire

On ne connait pas précisément aujourd’hui les impacts des OGM sur la chaîne alimentaire.

L’étude de Gilles-Éric Séralini, certes controversée, présente des résultats inquiétants : elle démontre que les rats nourris pendant deux ans avec un maïs OGM meurent plus jeunes et souffrent plus souvent de cancers. Au poids des mots s'ajoute le choc des photos. Grosses comme des balles de ping-pong, les tumeurs mammaires de certains rats sont de nature à affoler l'opinion.

Les autres impacts, réels ou potentiels, sont impressionnants : 

  • Effets négatifs sur l’environnement : pollution d’autres organismes ; mutation possible des gènes avec des effets nocifs ; activation accidentelle des gènes 'dormants' et désactivation des gènes actifs ; interaction avec les variétés sauvages et indigènes ; impact sur les oiseaux, les insectes et les organismes du sol ; etc.
  • Effets potentiels sur la santé de l'homme : transfert de gènes allergéniques ; mélange de produits génétiquement modifiés dans la chaîne alimentaire ; transfert de la résistance aux antibiotiques ; etc.
  • Effets socio-économiques potentiels : perte d'accès des agriculteurs au matériel végétal (ou moyennant finance pour l’obtention de graines par exemple) ; ralentissement de la recherche à cause des droits de propriété intellectuelle ; impact des technologies de type "terminator", qui empêcheraient à une plante d'être cultivée l'année suivante à partir de sa propre semence ; faillite économique pouvant engendrer des suicides, comme en Inde où l’on dénombre plus de 200 000 suicides  ; etc.

Le mariage de personnes de même sexe, avec l’Adoption et ses corollaires évidents la PMA et la GPA, pourrait impacter considérablement les enfants sur plusieurs générations mais également l’ensemble de la société.

Il serait dangereux de vouloir faire taire d’un revers de la main tous ces cassandres  : philosophes, sociologues, juristes, scientifiques, psychologues, psychanalystes, professionnels de l’enfance et de l’adoption, médecins, parents, maires et conseillers municipaux, les centaines de milliers de manifestants, les millions de citoyens silencieux selon les sondages et études d’opinion…tous ces gens qui ont longuement averti ou qui s’interrogent sur tous les risques potentiels non connus à date d’un tel projet : suppression des liens généalogiques, pertes de repères se traduisant potentiellement par des troubles du comportement, souffrances de l’absence d’un père et d’une mère, déstructuration accentuée de la famille (les chiffres venant de Belgique font état d’une augmentation sensible des taux de divorces chez les couples de mêmes sexe) ; enfant considéré comme un objet de désir et non plus sujet de droit ; regard social défavorable pour les enfants de ces familles ; généralisation de la PMA et la GPA à tous les individus au nom de l’égalité ; ouvertures du mariage à de nouvelles possibilités toujours au nom de l’égalité ; avilissement et marchandisation des femmes gestatrices ; fermeture de l’adoption internationale ; dévoiement des principes d’égalité, de liberté et de fraternité, distorsion irréversible du langage et de la logique, « avènement-du-grand-n’importe-quoi », etc.

A la vue d’une telle liste d'impacts, ne serait-il pas raisonnable de faire jouer le principe de précaution ?

 

C4) Les polémiques sur les études

Dans le cas des OGM, il existe de nombreuses polémiques au sujet des études menées, notamment par les industriels, et sur leur niveau de transparence et de fiabilité.

Les études menées souffrent de nombreux défauts :

  • Partialité des études du fait des commanditaires, à savoir les industriels eux-mêmes ou quelques organismes financés par ces mêmes industriels
  • Durées d’études de 3 mois, trop courtes pour déceler des effets indésirables à plus long terme
  • Champs d’analyse restreints, par exemple à un seul constituant d’un produit OGM vendu et non au produit dans sa globalité ou à certains impacts limités en excluant les études de toxicologie ou de carcinogénèse sur les organismes vivants
  • Non transparence : par exemple, absence de publications officielles de la part des industriels des études ayant permis la mise sur le marché des OGM
  • Faiblesse des échantillons étudiés

Le parallèle ici est saisissant avec les études menées sur les familles homoparentales, qui souffrent de nombreux biais et dont on ne peut tirer aucune conclusion fiable et incontournable, et ce pour plusieurs raisons : elles ne représentent pas des échantillons importants (il faudrait au moins plusieurs milliers de personnes), elles n'ont pas été faites sur des longues durées (suivi a minima sur une vie entière d’un individu, voire sur plusieurs génération puisqu’on parle d’un changement de société), les indicateurs de mesure ne sont pas facile à établir et encore moins à mesurer, les enfants suivis ont fait partie de milieux plutôt aisés ce qui fausse la représentativité ; enfin, ces études sont le plus souvent partiales puisque commandées en majorité par des partisans du mariage homosexuel.

Dans son opuscule « Je veux papa ET maman » (éd. Salvator), le pédopsychiatre Christian Flavigny (directeur du service de psychanalyse et psychiatrie de l'enfance et de l’adolescence à La Salpétrière) écrit d'ailleurs : « Leur méthodologie est approximative, parce que trop évidemment apologétique. Elles ont surtout l'inconvénient fâcheux, ne posant pas le problème, de ne pouvoir logiquement proposer de réponse. (...) Elles cantonnent l'approche aux aspects où aucune question ne se pose : les aspects éducatifs. Alors bien sûr il n'y a aucun problème puisque le domaine d'investigation n'aborde pas la question affective, le fait d'être privé d'avoir son père ou bien sa mère » (pages 99-100).

Nous sommes loin des nombreuses études portant par exemple sur l’impact de la télévision sur les individus, qui ont été nombreuses, réalisées sur des milliers de personnes sur des durées longues.

Nous avons la chance d’avoir quelques pays voisins comme la Belgique ou l’Espagne, qui se sont « portés cobayes » pour ce type d’expérimentation. Et si on se donnait le temps, 100 ans au moins, afin de mener une étude complète et rigoureuse ?

 

D) Conclusion : naissance d’un mouvement “d’écologie humaine”

Alors OGM – MGM : même combat ?

Même arnaque intellectuelle, même légitimité d’un principe de précaution, même dangerosité des impacts globaux et même vacuité des études scientifiques…

Ce combat vaut-il la peine d’être mené ?

Faut-il laisser notre avenir entre les mains des experts autoproclamés, qui nous disent que les nuages de Tchernobyl se sont arrêtés à nos frontières, que les pilules de 3ième génération sont inoffensives, que les OGM sont sans danger, que le Médiator est un médicament miracle et que les vaccins contre la grippes A sont indispensables ?

Et doit-on croire sur parole les prêtres de la Toute-Bien-Pensance, « intellectuels » faussaires (BHL, Fourest - heureusement en cours de défourestation) ou bobos-magnats de la presse (comme Bergé) ?

Les effets d’échelle, dans le temps et l’espace, et de réversibilité des OGM, sont sans commune mesure avec les autres risques industriels connus jusqu’à présent. La comparaison avec le Mariage Génétiquement Modifié nous donne à penser que des risques similaires courent sur notre Société…

Prendra-t-on un tel risque de manière précipitée ? L’enjeu en vaut-il la chandelle ? Avec quel degré d’urgence compte tenu des inconnues ?

 

Comme l’évoque Tugdual Derville , délégué général de l'association Alliance Vita, dans le journal La Croix, «  un mouvement d’écologie humaine est en train de se lever ».

Un mouvement, qui s’inscrit dans la prolongation de l’écologie politique née il y a quelques décennies et qui posait la question élémentaire : « quelle Terre allons-nous laisser en héritage aux générations futures ? ».

Ce nouveau mouvement questionne aujourd’hui ce qui fait l’essence de l’humanité et ne souhaite pas passer sous silence le repère le plus naturel qui soit : que tout enfant vient d’un homme et d’une femme. Un mouvement qui choisit la protection des plus vulnérables au dépend de la toute-puissance !

Tugdual Derville termine, prophétique : « nous assistons à la naissance d’un élan historique et durable, motivé par un sursaut de la conscience. C’est le propre des mouvements irrépressibles ».

 

Alors, « enfants de la patrie, le jour de gloire est arrivé » !

« Tremblez, tyrans et vous perfides »,

Car nous mènerons ce combat irrépressible !

 


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5 réactions à cet article    


  • fabb54 7 février 2013 11:45

    Votre article frôle l’indécence, et je pèse mes mots.

    Je vous propose un autre sujet tout aussi pertinent pour votre prochain article :

    Droit de vote des femmes et ondes éléctromagnétiques, même combat !


    • louphi 7 février 2013 13:32

      « Et doit-on croire sur parole les prêtres de la Toute-Bien-Pensance, « intellectuels » faussaires (BHLFourest - heureusement en cours de défourestation) ou bobos-magnats de la presse (comme Bergé) ? ».

      Il faut ajouter la bien-pensance de cette nouvelle discipline scientifico-politique ou politico-scientifique de l’« écologie humaine » représentée par des escobards tel que NOEL MAMERE.

      • louphi 7 février 2013 13:54

        Coriandre

        Le parallèle que vous établissez entre cellule organique et cellule humaine est très intéressant. Ce parallèle semble tout à fait logique voire naturel. En effet, la famille est l’aboutissement d’une longue chaîne biologique. Voici cette chaîne : La société est un ensemble de familles ; la famille humaine est le produit de la procréation ; la procréation humaine est le résultat de l’hétérosexualité ; l’hétérosexualité est la rencontre d’une cellule ou gamète mâle (spermatozoïde) avec une cellule femelle (ovule) ; la rencontre des cellules organiques est la génétique. La famille est déjà l’aboutissement naturel macro-biologique de processus microbiologiques naturels. Ce n’est donc pas une simple relation de comparaison qui existe entre la société et la microbiologie ; C’est un lien direct de filiation.

        Dans ce contexte, votre comparaison de l’ADN au niveau biologique ou microscopique, avec le Code Familial au niveau civil ou macroscopique, est aussi tout à fait opportune et intéressante. Il est vrai que le Code Familial français actuel est un rameau du Code Civile qui remonte à Bonaparte Napoléon Ier comme vous l’avez rappelé. Cette référence a fait tiquer votre lecteur Alinea qui semble vous faire le procès d’insinuer que "notre cher Napoléon serait un Dieu aussi incontournable qui a « fait » la famille." (1). Il faudrait tranquilliser notre cher sur le fait que l’ADN familial, le Code Familial, n’est pas une invention humaine, encore moins de Napoléon Ier.

        Le Code Familial, l’ADN familial, c’est tout simplement la trinité PERE-MERE-ENFANT, la famille naturelle, comme Alinéa lui-même l’a si bien relevé. C’est cet ADN familial naturel, ce Code Civil Naturel, fondement biologique et éthique de la société, que la société consacre et inscrit légitimement sur son fronton en terme de MARIAGE.

        C’est très précisément cet ADN familial, ce Code Civil Familial naturel qu’attaque le MILITANTISME homosexuel. Dès lors, on comprend tout le parasitisme militantisme homosexuel. De même l’homosexualité tout court est un parasite de la sexualité humaine, de même l’homosexualité MILITANTE, le militantisme homosexuel ou mouvement homosexuel, est un parasite sociétal, une entreprise de démolition de la société à partir de son fondement biologique.

        Votre sujet est donc tout à fait pertinent, clairvoyant et instructif. Il faut être un déséquilibré mental au moins quelque part pour ne pas s’en apercevoir en le lisant.

         - - - - - - - - - - - - - - - - — - - - — -
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        (1) Voir la première partie 1/2 de cet article de Coriandre


        • Coriandre Coriandre 8 février 2013 09:51

          Je n’avais pas prévu de 3ième partie, mais vous m’en donnez et l’idée et l’envie !

          Je suis au moins heureux qu’il ait pu vous faire rire, ce qui vous rend plus humain, car le rire est le propre de l’homme...

        • ecolittoral ecolittoral 7 février 2013 14:47

          Bref ! Oui à l’union entre deux, trois, cinq personnes.

          J’ai écris personnes au lieu d’utiliser des termes partisans. Quelle erreur !
          Non aux OGM.
          Non, les enfants ne sont pas des objets qu’on achète pour combler les manques de certains et certaines.

          Dans cet article plus que douteux, j’ai péché ceci :
          « toute personne qui a le pouvoir de déclencher ou d’arrêter une activité susceptible de présenter un risque pour autrui ».
          Aie aie aie ! Moins fort chéri(e). Tu vas réveiller le voisin.

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