• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Les beaufs et le communisme

Les beaufs et le communisme

Combien de fois n’ai-je pas entendu ou lu des propos tels que :

« Quel beau monde de merde en perspective avec le communisme et le collectivisme, ces solutions de rechange ont partout sur terre prouvé que c’était pire que tout. » ou » Le capitalisme triomphant réussit là où le communisme a échoué, avec le libéralisme et l’économie de marché les famines et les maladies ont été éradiquées, la prospérité n’a jamais été aussi grande, et les inégalités aussi faibles. » et encore » La révolution, c’est la redistribution de la pauvreté, c’est la seule chose dont elle est capable, on a vu ce qu’elle est devenue la révolution bolchévique, chinoise ou autre cambodgienne » et la meilleure » La preuve que le capitalisme est le meilleur des systèmes, c’est que tout le monde l’a adopté ! » Sans oublier bien sûr les 100 millions de morts…

Visiblement vous n’avez aucun scrupule à caricaturer le communisme, à avaler la propagande déversée par nos dirigeants : je ne pense pas, je ne réfléchis pas, le communisme c’est mal et puis c’est tout. C’est ma foi une bien triste posture. A défaut de comprendre ce dont vous parlez, vous essayez pathétiquement de défendre votre « libéralisme » auquel vous ne devez pas non plus comprendre grand chose. En gros, vous représentez le succès de la propagande TINA, et pour votre confort mental vous ne cherchez surtout pas savoir si toutefois il n’y aurait pas mieux… En cela vous rendez un bien piètre hommage à ceux qui un jour se sont élevés au-dessus de leur temps, au péril de leur vie, pour l’avènement d’une société plus juste et l’amélioration des conditions de vie, dont malgré tout, vous profitez aujourd’hui.

Ne vous en déplaise, le socialisme, le communisme, l’anarchisme sont des courants de pensée légitimes, forts divers voire antagonistes sur certains points, mais qui essaient d’inventer un autre monde. Ce pourquoi vous voudriez nous interdire de penser, de manifester, d’exister, n’a rien à voir avec le capitalisme d’Etat, la dictature d’un parti unique, d’une bureaucratie sur un peuple. Je ne vous parle même pas du PS actuellement au pouvoir. Et puisque les morts vous importent, pensez au nombre de morts donc le capitalisme parsème quotidiennement la planète. Prenez conscience de l’horreur et de l’absurdité de ce système. Mesurez également le pourcentage de la population incarcérée, le nombre de familles jetées à la rue, ou par exemple le nombre de travailleurs pauvres qui dorment dans leur voiture.

Qu’est-ce que la liberté d’entreprendre quand ne peut réellement l’exercer, et dans des conditions décentes, qu’une infime partie de la population, détentrice du minimum de capital, intellectuel, économique, social nécessaire ? Que veut dire la liberté d’expression et d’information quand celles-ci sont captées par les seuls qui peuvent s’approprier les canaux d’expression ? Que veut dire la liberté du citoyen, lorsque les choix économiques sont faits par une infime minorité qui détient les canaux de la création monétaire via le crédit ? Et ainsi de suite.

Avez-vous lu Marx, Gramsci, Proudhon, Bakounine, Jaurès, Lasalle, Rosa Luxembourg Castoriadis, Ellul, etc. avez-vous vu quelque part un grand théoricien de cette large mouvance qu’est le socialisme préconiser et appeler « communisme » une économie planifiée et administrée par une bureaucratie ? Où avez-vous été pêché cela ?

Et où avez-vous vu que ces gens ne se préoccuperaient que d’un économicisme borné, ou bien qu’ils développeraient une pensée conduisant nécessairement au totalitarisme ? Vous avez une conception de l’homme et de la société basée sur des fondamentaux faux, réducteurs, caricaturaux, conduisant à des sociétés violentes, inégalitaires, rabougries.

Des penseurs vous proposent de les suivre au moins un temps dans un cheminement intellectuel qui vise à dépasser le libéralisme, ses droits virtuels, purement formels, et l’administration des hommes et des choses par le pouvoir de celui qui détient l’argent et la force.

Des penseurs qui vous proposent de penser la libération du travail et des forces humaines, de mettre en avant l’intelligence et la créativité. Des penseurs qui pensent la liberté au point d’aller chercher ce qui saute aux yeux mais que d’aucuns ne voient jamais, tout occupés qu’ils sont à obéir, ou à justifier l’injustifiable…les multiples liens de subordination qui ne reposent ni sur le mérite, ni sur la supériorité de l’intelligence.

Et vous, vous êtes là tout fier de votre cuistrerie, prétendant défendre la « liberté », etc., alors que vous défendez vos chaînes et voudriez entraîner autrui dans votre délire.

Mais avez-vous un jour compris ce qu’était la Vergogne ?

 Jean Pierre ACASOCA d’après des réflexions de "CITOYEN"

http://2ccr.unblog.fr/2013/09/19/les-beaufs-et-le-communisme/

Lire également : ILLUSION LIBERALE

« C’est l’organisation socialiste de l’état qui a échoué, pas l’analyse marxiste de l’économie et de la société »…Willi VAN OOYEN


Moyenne des avis sur cet article :  3.19/5   (73 votes)




Réagissez à l'article

128 réactions à cet article    


  • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 8 octobre 2013 11:14
    À l’auteur :
    « Avez-vous lu Marx ? » ...


    Depuis plus de 160 ans, Karl Marx fourvoie le prolétariat, de manière criminelle, en le focalisant sur la lutte des classes (éradication de la bourgeoisie) et la possession prolétarienne des moyens de production.

    Aujourd’hui encore, la situation semble lui donner raison puisque le capital boursier mondial, d’environ 36.000 milliards d’Euros, est majoritairement détenu par une minorité de « nantis ».

    Toutefois, il est vain d’espérer une plus juste répartition des moyens de production par des nationalisations, voire des révolutions. Cela a déjà été fait avec les tristes résultats que chacun connaît...

    Puisque le capital boursier mondial est en permanence disponible à la vente et à l’achat, pour que le prolétariat, les « démunis », puisse accéder à la possession des moyens de production, la solution la plus simple consisterait à produire un effort soutenu d’épargne et d’investissement à long terme afin d’acheter ce capital financier des entreprises, banques incluses, et parvenir à l’Acquisition collective et citoyenne du Pouvoir Économique.

    Alors, les citoyens-électeurs-contribuables deviendraient collectivement propriétaires du Pouvoir Économique qu’ils géreraient via une représentation démocratiquement élue et absolument indépendante de l’État.

    Par cette voie, les citoyens-électeurs-contribuables transformeraient le « capitalisme ordinaire » que nous connaissons en un authentique Capitalisme Écologique, Anthropocentrique, Philanthropique et Équitable.

    En effet, de telles prises de participation (minorités de blocage ou majorités absolues) dans le capital des entreprises et des banques permettraient aux peuples d’orienter leur Recherche & Développement vers des voies bien plus écologiques et humanistes qu’aujourd’hui.

    Cette capitalisation progressive mais massive dans l’économie réelle marchande devrait permettre l’instauration d’un Dividende Universel qui résulterait des profits réalisés par ces capitaux accumulés durant et après la phase initiale d’épargne et d’acquisition du patrimoine boursier mondial.

    Refondation du Capitalisme & Instauration d’un Dividende Universel par l’Épargne.

    Lire, SVP :
    Refondation du Capitalisme & Dividende Universel
    ou/et
    http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/40/ ... cerite.pdf

    Le Parti Capitaliste Français ( PCF ) propose une synthèse socio-économique permettant d’instaurer une authentique compatibilité entre compétitivité et cohésion sociale ; entre compétitivité et solidarité.

    Ce projet de « Refondation du Capitalisme et de création d’un Dividende Universel » se compose d’un Objectif Principal et de deux Objectifs Spécifiques qui découlent de l’objectif principal.

    Objectif Principal :
    Acquisition Citoyenne & Collective du Pouvoir Économique
    Par un effort préalable d’épargne soutenu, les « démunis » (par opposition aux « nantis ») acquerront collectivement des actions du capital des entreprises du secteur marchand, banques incluses.
    Cette participation au capital pourra être minoritaire (minorité de blocage) ou majoritaire.

    Objectifs Spécifiques :
    I)
    Transformer le « capitalisme ordinaire » en un véritable 
    Capitalisme Écologique, Anthropocentrique, Philanthropique et Équitable.
    Les représentants des « démunis », démocratiquement élus, géreront ce patrimoine financier de manière à infléchir Recherche, Développement, Production & Commercialisation des entreprises contrôlées : Refondation du Capitalisme.
    II)
    Faire bénéficier chaque citoyen, même mineur, d’un 
    Dividende Universel évolutif qui, de facto, éradiquera définitivement le concept même de chômage ainsi que celui de la « lutte des classes ».
    II.1)
    À terme, les profits des entreprises sous contrôle des « démunis » seront partiellement distribués à l’ensemble des « démunis » sous forme de Dividende Universel.
    II.2)
    a) Ceux qui le souhaiteraient pourraient s’arrêter de travailler et se satisfaire du Dividende Universel.

    b) Ceux qui souhaiteraient gagner plus que le seul Dividende Universel pourraient travailler dans l’économie marchande et, éventuellement, y gagner des rémunérations faramineuses sans être accusés d’exploiter qui que ce soit.
    II.3)
    Si plus personne ne souhaitait travailler dans l’économie marchande, celle-ci s’effondrerait totalement et, avec elle, le patrimoine accumulé des « démunis » deviendrait stérile et interdirait le bénéfice du Dividende Universel.



    • lcm1789 8 octobre 2013 13:02

      bref tu n’as as lu Marx ni les autres économistes l’ayant précédé.


      L’existence de classes sociales antagonistes n’est pas une découverte de Marx, l’apport principal de Marx concernant la lutte des classes concerne l’explicitation d’un domination du prolétariat par la bourgoisie au moyen de l’exploitation de l’homme par l’homme.

      Nier la lutte des classes c’est accepter cette domination autrement dit c’est accepter l’injustice.

      Pourquoi voudriez vous que la classe dominante renonce d’elle même à ses principes.

      L’avancée de l’Histoire est le fruit de cette dynamique de classe, Marx lui même ne prétend pas d’ailleurs que le prolétariat sortira vainqueur de cette lutte il pose cependant l’alternative suivante.

      Soit le prolétariat l’emporte et parce qu’en tant que classe dominée il est le seul à pouvoir avoir la volonté de le faire, il impose une société sans classes basée sur la satisfaction des besoins.

      Soit le monde perdure dans cette lutte intestine et avance vers un « une fin pleine d’effroi ou un effroi sans fin »

      Le capitalisme ne cherche pas à satisfaire les besoins de l’humanité, lorsqu’il le fait ce n’est qu’en corollaire à deux obligations de la classe dominante, maintenir sa domination et poursuivre l’accumulation de capital, car sans accumulation, le capital orignal se meurt.

      Pour parler en terme de physicien, le capitalisme est un stade d’équilibre instable qui ne peut se maintenir qu’en s’appuyant sur ses propres contradictions internes, contradictions qu’il est incapable de dépasser.
      Le communisme (jamais réalisé à ce jour) c’est un équilibre stable basé sur une gestion d’une société exempte de luttes internes, sur la seule question des besoins à satisfaire.

      Il n’est que d’observer la gestion capitaliste de la crise climatique qui s’annonce pour s’apercevoir que le capitalisme porte en lui les germes de l’extermination de la société.

    • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 8 octobre 2013 14:11

      Par lcm1789 (---.---.208.176) 8 octobre 13:02
      « Pourquoi voudriez vous que la classe dominante renonce d’elle même à ses principes ? »


      Je ne suis pas persuadé que les « nantis » renonceront par eux-mêmes à leur situation privilégiée.
      Pour cette raison, je propose que les « démunis » acquièrent progressivement des parts de plus en plus importantes du Patrimoine Boursier Mondial (environ 36.000 Milliards d’Euros, aujourd’hui) via un effort d’épargne collective soutenue.
      À terme, il n’y aurait plus de Lutte des Classes mais coexistence pacifique.


    • JFR77 8 octobre 2013 14:40

      Les représentants des « démunis », démocratiquement élus


      La plupart des élus que je connais (pas personnellement), ils cherchent souvent à m’la mettre ... et sans même m’inviter au restau avant :/

    • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 8 octobre 2013 14:59

      Addendum :
      Manifeste du Parti Communiste, Karl MARX : Appel au meurtre de la Bourgeoisie !

      « Mais la bourgeoisie n’a pas seulement forgé les armes qui la mettront à mort : elle a produit aussi les hommes qui manieront ces armes - les ouvriers modernes, les prolétaires. »

      "Bien qu’elle ne soit pas, quant au fond, une lutte nationale, la lutte du prolétariat contre la bourgeoisie en revêt cependant d’abord la forme. Le prolétariat de chaque pays doit, bien entendu, en finir avant tout avec sa propre bourgeoisie.« 


       »Ce qui distingue le communisme, ce n’est pas l’abolition de la propriété en général, mais l’abolition de la propriété bourgeoise.« 

       »Vous avouez donc que, lorsque vous parlez de l’individu, vous n’entendez parler que du bourgeois, du propriétaire bourgeois. Et cet individu-là, certes, doit être supprimé.« 

       »Si le prolétariat, dans sa lutte contre la bourgeoisie, se constitue forcément en classe, s’il s’érige par une révolution en classe dominante et, comme classe dominante, abolit par la violence les anciens rapports de production"


    • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 8 octobre 2013 15:01
      Par JFR77 (---.---.192.10) 8 octobre 14:40
      « La plupart des élus que je connais... »

      Les classez-vous parmi les « démunis » ?



    • JFR77 8 octobre 2013 15:19

      Non, en effet mais ça ne veut pas dire que tous les démunis soit incorruptibles et philanthropes.


      Des élections sans contrôle ni pouvoir de révocation ne me tentent pas plus que ça.

    • amiaplacidus amiaplacidus 8 octobre 2013 16:01

      @Jean-Pierre Llabrés

      Vous dites « ...Depuis plus de 160 ans, Karl Marx fourvoie le prolétariat, de manière criminelle... »

      On peut admettre que l’acte fondateur du libéralisme fut l’ouvrage d’Adam Smith : « La richesse des nations » (An Inquiry into the nature and the causes of the wealth of nations) en fait, c’est encore antérieur.

      Livre publié en 19776, cela fait presque 240 ans que les idées libérales entubent (j’aimerais utiliser un mot plus percutant, mais je répugne à la grossièreté) les travailleurs.
      Alors, vous ne trouvez pas l’escroquerie a suffisamment duré ?

      Même les prémisses sont totalement faux.
      Par exemple, croyez-vous vraiment que la somme des égoïsmes individuels représente l’intérêt général ?
       Ou, pensez-vous vraiment que le marché est libre ? Un ingénieur qui a une idée géniale en matière de télécommunication peut entrer sans coup férir sur le marché ?

      Si vous pensez de telles choses, alors vous faites partie des naïf et des doux rêveurs, ceux qui pensent qu’un ramassant une épingle par terre on peut faire fortune.
      À moins que vous ne fassiez partie de la meute des chiens-chiens à sa mémère qui, en échange d’un nonos disent amen à tous ce que disent les exploiteurs.


    • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 8 octobre 2013 16:02
      Par JFR77 (---.---.192.10) 8 octobre 15:19
      « Des élections sans contrôle ni pouvoir de révocation »
      Je n’ai pas parlé d’élections sans contrôle.
      Quant au problème de la révocation, il ne s’agit que d’un choix parmi d’autres procédures. À étudier.

      Il existe bien plus d’entreprises et d’institutions de tailles diverses qui fonctionnent sans problème de malversations que l’inverse.
      Le facteur humain impose de sérieux garde-fous.


    • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 8 octobre 2013 16:16
      Par amiaplacidus (---.---.185.55) 8 octobre 16:01
      « ... acte fondateur du libéralisme ... publié en 19776 ... escroquerie a suffisamment duré »

      Ma proposition de Refondation du Capitalisme a justement pour objet d’en corriger toutes les anomalies et iniquités.
      Il me semble que cela ressort parfaitement clairement de mon texte lié mais que vous n’avez peut-être pas lu...

      « Même les prémisses sont totalement faux.
      Par exemple, croyez-vous vraiment que la somme des égoïsmes individuels représente l’intérêt général ? »
      Où avez-vous trouvé cela sous ma plume ? ? ? ...


    • CN46400 CN46400 8 octobre 2013 16:17

      @ Addendum


      Le Manifeste mérite mieux que quelques citations tronquées. Reste que quand il parle de violence prolétarienne, il ne s’agit toujours que de la contre violence contre celle, exercée des siècles durant, par la bourgeoisie contre les prolétaires. Marx n’est pas, comme Jésus, un adepte du « tendre l’autre joue » ......

      De même la propriété bourgeoise concerne la propriété des moyens d’exploitation du travail d’autrui, pas la propriété d’usage. « Le communisme n’enlève à personne le pouvoir de s’approprier des produits sociaux ; il n’ôte que le pouvoir d’asservir à l’aide de cette appropriation le travail d’autrui » (chapitre 2)

    • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 8 octobre 2013 16:27

      Par CN46400 (---.---.179.3) 8 octobre 16:17

      Le projet de Marx est doublement criminogène :
      1)
      Éradication de la bourgeoisie
      2)
      Fourvoiement du Prolétariat dans une voie sans issue.

      L’Illusion Communiste ne sera jamais aussi performante, dans tous les domaines, que la Refondation du Capitalisme.



    • politzer politzer 8 octobre 2013 16:32

      la sécurité sociale qui fait tant enrager les réacs yankee est un pur produit de la pensée communiste et d ailleurs appliquée grâce à l action du PCF à la Libération sous le CNR. 
      « de chacun selon ses possibilités, à chacun selon ses besoins » ! Il y a donc en germe dans la société capitaliste française , un embryon de communisme dont la quasi totalité de la population se félicite de disposer.


    • amiaplacidus amiaplacidus 8 octobre 2013 16:44
      « Même les prémisses sont totalement faux.
      Par exemple, croyez-vous vraiment que la somme des égoïsmes individuels représente l’intérêt général ? »
      Où avez-vous trouvé cela sous ma plume ? ? ? ...
      ----------------------------
      Il s’agit de l’axiome de base du libéralisme (voir A. Smith, J-B Say, Malthus, Mill, Ricardo, etc).
      Comme vous soutenez le libéralisme, vous admettez son axiome fondamental et le reconnaissez comme vrai.
      Tout comme ceux qui font de la géométrie plane admettent comme vrais les axiomes d’Euclide.


    • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 8 octobre 2013 16:47
      Par amiaplacidus (---.---.185.55) 8 octobre 16:44

      Je ne réponds pas à un procès d’intention ! ! !

    • CN46400 CN46400 8 octobre 2013 16:58

      @ jean pierre Llabres


      Contrairement à vous, et plus la crise du capitalisme avance et plus j’en suis convaincu, je pense que la société humaine ne pourra éternellement se payer le luxe d’entretenir une classe infiniment minoritaire qui dilapide la moitié, ou plus, du travail de l’immense majorité dans des spéculations qui, au mieux, sont inutiles quand elles ne sont pas nuisible au reste de la société.

      Il faudra donc éradiquer, comme on l’a fait dans les temps anciens pour la classe des féodaux, la classe bourgeoise ! Les bourgeois devront alors se chercher, comme les féodaux après 1789, et tous les prolétaires, une occupation productive pour survivre.

    • dixneuf 8 octobre 2013 18:25

      Faut-ils que tous les révolutionnaires, tous les dirigeants communistes soient cons, ils n’ont jamais comprit. Sauf en France, le seul PC intelligent du monde, inventeur du « communisme à la française » Dommage, ils n’ont pas réussit à l’imposer. C’était impossible, nous n’étions pas du bon côté du « rideau de fer ». 
      Le capitalisme « l’exploitation de l’homme par l’homme » 
      Le communisme, c’est le contraire.
       smiley

    • appoline appoline 8 octobre 2013 19:23

      Pas besoin d’avoir lu ces assommoirs pour comprendre que nous sommes dans la merde et sauf votre respect ce ne sont pas leurs auteurs qui nous donneront la solution.


      Nous savons que nous sommes étranglés par une élite dont les priorités ne sont pas le bien-être de l’être humain, mais si vous continuez à vous masturber les neurones avec vos pieuses lectures et rejetant la faute sur celui qui a loupé un chapitre autant vous dire que tout est foutu. Nous arrivons à un moment où les tripes doivent parler, les cerveaux malades doivent être relégués loin, très loin


    • San-antonio San-antonio 9 octobre 2013 12:24

      Oui et éradication de races jugée indignes de la « révolution prolétaire ».

      http://www.youtube.com/watch?v=9aajXG_pcq0

      Savoir qu’il y a encore des millions de gens pour défendre des thèses aussi nauséabondes me donne la nausée...


    • Bulgroz 8 octobre 2013 11:32

      La clairvoyance illuminée des communistes européens.

      Déclaration adoptée par les partis communistes et ouvriers d’Europe à la Conférence de Karlovy-Vary (26 avril 1967)

      Les partis communistes et ouvriers d’Europe soumettent à l’examen de l’opinion publique et de toutes les forces politiques et sociales intéressées un programme d’action visant à créer un système de sécurité collective fondée sur les principes de la coexistence pacifique entre Etats à systèmes sociaux différents.

      Cela exige tout d’abord que tous les Etats admettent la réalité telle qu’elle s’est créée en Europe, pendant la période d’après-guerre. Ce qui signifie :
      — La reconnaissance de l’inviolabilité des frontières existantes en Europe et, en particulier, de la frontière Oder-Neisse et de la frontière entre les deux Etats allemands
      — La reconnaissance de l’existence des deux Etats allemands souverains et égaux en droits — la République Démocratique Allemande et la République Fédérale d’Allemagne — ce qui suppose la renonciation de celle-ci à sa prétention de représenter toute l’Allemagne
      — L’interdiction de l’accès de la République Fédérale d’Allemagne à l’armement nucléaire sous quelque forme que ce soit, sous la forme dite « européenne », tout comme sous la forme multilatérale ou atlantique ;
      — La reconnaissance de la non-validité de l’accord de Munich à partir du moment de sa conclusion.




      • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 8 octobre 2013 13:01

        avez-vous vu quelque part un grand théoricien de cette large mouvance qu’est le socialisme préconiser et appeler « communisme » une économie planifiée et administrée par une bureaucratie ? Où avez-vous été pêché cela ?
        Heuu. Disons qu’il faut tout lire :
        «  Entre la société capitaliste et la société communiste, se place la période de transformation révolutionnaire de celle-là en celle-ci. À quoi correspond une période de transition politique où l’État ne saurait être autre chose que la dictature révolutionnaire du prolétariat.  » Vous retrouverez facilement la source !
        Marx enfonce bien le clou sur les revendications bourgeoises : « la vieille litanie démocratique connue de tout le monde : suffrage universel, législation directe, droit du peuple, milice populaire, etc. Elles sont simplement l’écho du Parti populaire bourgeois, de la Ligue de la paix et de la liberté. Rien de plus que des revendications déjà réalisées, pour autant qu’elles ne sont pas des notions entachées d’exagération fantastique. » Quand à une République démocratique, face à la dictature militaire de l’Empire germanique, on ne peut l’imposer, insiste-t-il « par des moyens légaux »". Il n’a pas tord là-dessus, puisque nous ne sommes jamais parvenu à une République démocratique, seulement à l’illusion qu’elle existe.
        Je vous conseille aussi la lecture des thèses d’avril, de Lénine : tout le pouvoir aux soviets.
        Tout cela nous donne le Marxisme-Léninisme qui a bercé d’illusions plusieurs générations et assassiné gaiement une centaine de millions de personnes pour le plus grand bonheur des survivants. Déjà, en 1921, devant les ravages économiques et les millions de morts par famine que cela entraînait Lénine a reculé et créé l’économie planifiée avec la NEP. Ils ne vous enseignent pas tout ça, vos gentils complices des goulags ?
        Pourtant, sans goulags, pas de communisme. Lénine le savait bien puisqu’il l’a fait comprendre dès sa descente de train à Petrograd le 3 avril 1917 : les jaunes (grévistes) au goulag ! Il était encore dans la gare quand il a donné cet ordre qui sera appliqué plus tard avec le succès que l’on sait ! Économiquement, le goulag finançait la structure décisionnaire des soviets. Faut lire aussi les témoignages des survivants de ces camps... Non ?
        Quant à votre paragraphe sur la liberté d’entreprendre, il est très douloureux pour moi. Je me suis fait conchier par vos copains communistes quand j’ai essayé de créer mon propre emploi. J’ai été aussitôt considéré comme un jaune et un salaud de patron.
        Voyez-vous, je connais des gens qui écrivent (très bien) et des gens qui agissent. Aucun des auteurs que vous avez cités, pour autant de bonnes raisons que vous citez d’auteurs, n’a mis en oeuvre les préceptes dont ils se faisaient les chantres.
        La vie en communauté, la vraie, cherchez là plutôt du côté de Gaudin.


        • taktak 8 octobre 2013 22:36

           à Renaud

          Méditez cette information :

          le nombre de prisonniers en URSS, n’a jamais - même durant la guerre - dépassé le nombre de personnes incarcérées actuellement aux USA :

          En 1998, il y avait 6 millions de personnes incarcérées aux USA, 6,5 millions faisant l’objet d’une mesure de privation de liberté.
          http://www.bjs.gov/content/pub/pdf/cpus98.pdf
          Cela correspond à un taux d’incarcération de près de 2,4% de la population des USA

          Si on se réfère aux chiffres issus des archives soviétiques (ouvertes dans les années 1990), publiés par exemple par  the american historical review, le nombre maximum de prisonniers en URSS est de 2 millions...soit au maximum 1% de la population

          Cela donne à réfléchir non ?


        • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 8 octobre 2013 23:06

          Oui, nous sommes d’accord.
          Mais en quoi le fait de dénoncer réalité du goulag fait de moi un suppôt de l’ultra-libéralisme ?
          En quoi le fait de dénoncer la réalité de la société américaine fait de moi un « communiste » ?
          Les systèmes d’information nous conditionnent, plus que jamais, à dénoncer ceux qui ne pensent pas comme nous - de sales beaufs - comme étant à l’origine de nos malheurs.

          Savez-vous que le goulag ultra-libéral est en cours de construction ? Il existe déjà aux USA, les camps sont prêts. Partout, on construit des stades immenses susceptibles de servir de centre de transit temporaires. On a besoin du consentement de la population pour cela.

          Est-ce une des causes du regain du « communisme » qui semble frémir actuellement ? Sûr, on aura besoin d’un mouvement pour accuser « l’élite bourgeoise » et l’envoyer se faire liquider. C’est d’ailleurs à cela qu’ont servi le PC vietnamien, puis les Khmers Rouges au Cambodge. Dans les deux cas, toute la structure entrepreneuriale du pays a été anéantie pour le plus grand profit de l’Empire. Lisez Chomsky, qui explique clairement que l’adversaire des US n’était pas le communisme, mais le peuple vietnamien. Ce peuple était capable d’émerger par ses propres forces sans devoir quoique ce soit à l’Empire. Intéressant de relire l’histoire sous cet angle, non ?
          Quand l’Empire n’utilise pas les « communistes », il utilise les salafistes ou les Frères Musulmans...

          En faisant de l’entrepreneur un « beauf » et un ennemi, on fait le boulot de l’Empire qui utilise cette énergie pour liquider ses propres concurrents. Pour les mêmes raisons, Lénine, comme Troski, ont reçu un bon accueil dans les pays de l’Empire avant d’être renvoyé chez le concurrent Russe, quand les PC US et Anglais ont été rongés et maintenus inexistants. Curieux, non ?

          Pour les banquiers de l’Empire, un bon communiste rapporte bien plus que cent fusils.


        • PierrGilmour 8 octobre 2013 13:52

          Vous apportez bien peu d’arguments permettant de contrer les « citations » que vous faites en introduction. Vous vous contentez d’une énumération de concepts et de noms de théoriciens illustres sans jamais vous servir de leur pensée dans votre argumentaire. Bref c’est très pauvre, à se demander si vous avez vous-même lu ces auteurs. De toute façon, rien que par le choix du titre consistant à tenter de discréditer ses contradicteurs en les traitant de beaufs, on se doutait que l’article n’allait pas voler bien haut...


          • robin 8 octobre 2013 13:54

            Brailler contre le capitalisme pour le marxisme ou l’inverse ne sert à rien, c’est du temps de perdu.

            La vérité, M. L’auteur c’est qu’aucun système humain ne peut marcher car l’humain est à 99,999999% corruptible. Dès lors qu’il suffit d’acheter un responsable pour lui faire faire tout et son contraire aucun système humain ne peut marcher.

            jeremie 10-23 : « Il n’appartient pas à l’homme qui marche de diriger son pas ».


            • Christian Labrune Christian Labrune 8 octobre 2013 14:02

              à l’auteur,
              Vous avez tout à fait raison. Quand je passe du côté du rond-point des Champs Elysées et que je vois les statues en bronze d’un Churchill et d’un De Gaulle, deux partisans d’un odieux libéralisme capitaliste, lesquels détestaient tant le camarade Staline, j’ai toujours envie de les renverser et de lancer une souscription pour qu’on les remplace par celles de ces grands bienfaiteurs de l’humanité que furent Vladimir Illitch Oulianof et Iossif Vissarianovitch Djougachvili.

              Au métro Belleville, j’ai toujours rêvé de voir s’élever une statue du regretté Pol Pot. Cela ferait tellement plaisir à tant de Cambodgiens qui ont ouvert d’excellents restaurants dans ce quartier de Paris si fortement inspiré, autrefois, par le grand souffle des révolutions.

              La place du Colonel Fabien est de plus en plus sinistre, il faut bien le dire. Le Parti y a perdu sa grande activité d’antan qui faisait le bonheur des limonadiers du voisinage. On n’y vend plus l’Huma, même le dimanche. Le grand immeuble d’Oscar Niemeyer est désormais partiellement loué à des entreprises capitalistes. On pense à ces vieux retraités qui n’ont plus besoin d’autant de place, les enfants étant devenus adultes, et qui louent des chambres pour mettre un peu de beurre dans les épinards. Tout fout le camp. Une statue de Fidel Castro s’imposerait, même avant sa mort, près de l’espèce de méduse blanchâtre échouée là, qui recouvre encore la grande salle où se tenaient autrefois les réunions du Comité central. Mais Vladimir (l’autre, l’actuel) n’a plus de directives précises à communiquer au Parti français. A cause de ce salaud de Gorbatchev, L’URSS n’existe plus. Je le redis : tout fout le camp. Et c’est bien triste.


              • Christian Labrune Christian Labrune 8 octobre 2013 14:19

                J’ajouterai que les cent millions de morts du communisme sont morts pour assurer le bonheur des générations futures. « Sacrifiez-vous au bonheur des générations futures », disait fort sagement Joseph Staline. Ceux que notre système actuel a condamnés à mort (et nous mourrons tous !) sans même prendre soin d’organiser ces grands procès qui sont à la gloire du communisme des années 30, sont morts, semble-t-il (on n’a même pas de statistiques), pour les intérêts des capitalistes.
                Pour ceux qui meurent, ça fait quand même une sacrée différence ! Mourir, c’est bien, mais à condition de savoir pour quoi ou pour qui on meurt. Le communisme a au moins compris ça. Le capitalisme ne le comprendra jamais.


              • Robert GIL ROBERT GIL 8 octobre 2013 14:24

                excusez moi, j’avais oublié dans l’article de donner le lien sur les 100 millions...incontournable, evidement !

                voir : « …C’EST 100 MILLIONS DE MORTS ! »


              • Julien30 Julien30 8 octobre 2013 15:36

                Oui enfin votre petit article ne donne aucun élément concret pour remettre en cause ce nombre de morts, je ne vois pas bien l’intérêt.


              • Robert GIL ROBERT GIL 8 octobre 2013 15:53

                si vous ne comprenez pas ce que vous lisez, dessolé, mais je ne peux rien pour vous...


              • amiaplacidus amiaplacidus 8 octobre 2013 16:21

                Les régimes se disant communiste auraient donc tué, durant les 80 ans de leur existence, 100 millions d’être humains.

                D’après la FAO un enfant meurt de faim toutes les 6 secondes dans le monde. Cela représente plus de 5 millions d’enfants morts chaque année pour ces raisons particulièrement révoltantes.

                Voila une belle démonstration que le capitalisme est bien plus efficace que les régimes qui se sont prétendus communistes. En 20 ans, il tue autant d’enfants que les régimes précités ont tué d’êtres humains, enfants et adultes.

                Extrapolons, depuis 1917, le capitalisme a tué, 480 millions d’enfants. Et il s’agit uniquement des morts de faim, des morts d’enfants, pas des morts par maladie professionnelle, désespoir, répression, etc.


              • Julien30 Julien30 8 octobre 2013 18:04

                « Je ne sais pas combien de morts sont à mettre au crédit de « l’idéologie communiste »"

                 

                Voilà la conclusion de votre article, vous admettez que vous n’en savez rien, sans recherche historique sérieuse c’est normal et c’est déjà bien de le reconnaître. Au final rien ne vous permet de vous prononcer sur ce nombre. La seule chose que vous faites c’est essayer de dédouaner l’idéologie communiste qui ne serait pas en cause dans ces millions de morts là aussi sans argument, à ce compte-là je déclare que le nazisme n’avait rien à voir avec le fascisme et que cette idéologie n’a pas fait autant de morts qu’on le dit, vous êtes un Faurisson bas de gamme du camp communiste en quelque sorte. Apprenez à prendre de la distance par rapport à l’idéologie, ça nettoie l’esprit et permet de penser plus clairement et honnêtement.


              • spartacus spartacus 8 octobre 2013 18:06

                @amiaplacidus

                La liste des morts du communisme est une mort faite volontairement sur son propre peuple.
                Voici les pays ou il y a eu un communisme « différent » et le résultat :

                URSS 20 millions de morts
                Chine 65 millions de morts
                Vietnam 1 million de morts
                Corée du Nord 3 millions de morts
                Cambodge 2 millions de morts
                Europe de l’Est 1 MILLION DE MORTS
                Amérique Latine 150 000 morts
                Afrique 1,7 millions de morts
                Afghanistan 1,5 millions de morts
                Mouvements révolutionnaires communistes 1 million de morts 

                Et encore aujourd’hui :
                Vietnam persécution des minorités (Hmongs)
                Corée du Nord Enfermement, camps de travail, exécutions, famines.
                Cuba atteintes aux libertés, persécutions des opposants, camps de redressement médias brouillés.
                Congo, rwanda, génocides ethniques, terrorisme.
                Vénézuéla, Bolivie, attentats sur les médias, spoliations, persécution des journalistes.
                Mouvements révolutionnaires Farc, sentier lumineux, prises d’otages, enlèvements, meurtres, terrorisme.
                Toutes ces expériences se prétendaient différentes les unes des autres.... 

                Contrairement à vos délires la dernière famine mémorable est celle du Corée du Nord en 2007.
                Jamais il n’y a eu si peu de famines depuis la disparition du communisme. 
                Ce sont des faits avérés.

              • amiaplacidus amiaplacidus 8 octobre 2013 18:14

                Vietnam : 3 millions de morts dû à l’armée US !


              • Robert GIL ROBERT GIL 8 octobre 2013 18:18

                attention heil sparagus et sa propagande a la goebbels est de retour...il est vraiment persuadé qu’un mensonge répété 1000 fois devient une vérité !


              • amiaplacidus amiaplacidus 8 octobre 2013 18:19


                Pas de famine ? et que faites-vous de cela : http://fr.wfp.org/faim/faits-et-chiffres

                Ah, j’oublie, la FAO est un repaire de gauchistes, même si elle est largement financée par les USA.

                Il est vrai que pour vous, tout ce qui n’est pas à droite du FN est gauchiste. À vos yeux, même le FN même est suspect de socialisme.


              • appoline appoline 8 octobre 2013 19:35

                Parce que, les enfants de la patrie, qu’est ce que vous croyez qu’il va nous tomber sur le coin du nez, des louanges ? 

                L’être humain est ainsi fait, quand il y aura juste un peu plus de famine, de mécontentement et autres, nous allons nous foutre sur la gueule, tout simplement. Nous n’avons pas changé depuis le temps où nous nous bouffions le nez pour le feu, pas d’un poil

              • Christian Labrune Christian Labrune 8 octobre 2013 20:03

                @Spartacus

                Les historiens s’accordent à considérer que la grande famine en Ukraine, des années 31et 32, a fait probablement plus de cinq millions de morts. Les Ukrainiens utilisent le mot « holodomor », qui veut dire : extermination par la faim. L’objectif de Staline, pour l’occasion très bien secondé par Khroutchev, était d’affaiblir un pays qui aurait pu menacer de faire sécession dans le grand bloc d’union des républiques socialistes.
                L’holodomor, qui fut un authentique génocide, a laissé aux Ukrainiens des souvenirs qu’ils ne sont pas près d’oublier. Les gens, dans les campagnes, étaient si misérables que les cas de cannibalisme ont été nombreux.
                Plusieurs, ici, feront observer que ce n’était pas encore le communisme. On était seulement « en marche vers ». Encore quelques dizaines de génocides du même tonneau, sur un siècle ou deux, et on aurait peut-être pu voir enfin la fin de l’histoire. A cause de ce salaud de Gorbatchev, on ne la verra probablement jamais.


              • Deneb Deneb 8 octobre 2013 20:18

                Jossip Visarionovich avait pourtant de bonnes idées. Périodiquement, il faisait fusiller tout son entourage. Nettoyage de printemps. Bon, j’exagère un peu, il y en a qui survivaient encore quelque mois sous -50°, en Sibérie, en ayant l’immense honneurs de participer à la édification du socialisme soviétique. Du coup, il y a personne que se la pétait devant lui. On raconte que les généraux sortaient de son bureau avec le froc plein et qu’il aimait bien l’odeur.


              • CN46400 CN46400 8 octobre 2013 20:23

                Pour Spartacus et quelques autres,


                Comme un remake du destin manifeste ou du peuple élu, le Président Barack Obama a lancé il y a quelques jours à l’ONU : « Certains pourront ne pas être d’accord, mais je crois que les États-Unis sont exceptionnels ». 
                C’était apparemment la réponse à un article de presse de son émule Russe, Vladimir Poutine.

                Et, en dépit du tollé qu’a suscité le discours du Président Américain lors de l’Assemblée Générale de L’ONU, il y aurait de quoi être d’accord avec le caractère exceptionnel des États-Unis...

                C’est le pays qui a agrandi le plus son territoire en volant l’espace à d’autres pays : les États-Unis ont enlevé au Mexique 55 % de ses terres (plus de 2 millions de Km2), c’est à dire le Texas, la Californie, et d’autres grands états d’aujourd’hui.

                C’est le pays qui a déclenché le plus de guerres au XX° et au XXI° siècles : quelques 35 guerres, comprenant ou des attaques militaires ou une dizaine de Coups d’État, peuvent être comptées au vol : le Mexique, la République Dominicaine, le VietNam, Cuba, le Salvador, le Nicaragua, le Cambodge, le Laos, la Yougoslavie, l’Iraq, l’Afghanistan, le Panama et beaucoup d’autres figurent sur la liste des victimes de l’agressivité de l’empire.

                C’est le seul pays à avoir utilisé l’arme atomique dans l’Histoire de l’Humanité. Hiroshima et Nagasaki se souviennent encore de leurs plus de 100 000 morts.

                C’est le pays qui a le plus utilisé le droit de veto au Conseil de Sécurité de l’ONU : 83 fois.

                C’est le pays qui, impuni son territoire lors de la Seconde Guerre mondiale, a bâtit selon son envie l’architecture financière internationale pour la détruire ensuite par un simple coup de gouvernail de Richard Nixon, qui a éliminé la parité dollar-or.

                C’est le pays qui a assassiné le plus de civils au moyen de drones (pas moins de 800 ces dix dernières années), tuerie qui devient au fur et à mesure que passent les semaines le jeu favori du locataire de la Maison Blanche.

                C’est le pays qui compte la plus grande population carcérale du monde entier (2,3 millions de prisonniers) et qui a le taux le plus élevé d’emprisonnement par personne (752 prisonniers pour 10 000 habitants).

                Voulez-vous davantage d’éléments, Monsieur Obama ?

                Faisons une exception d’honneur aux exceptions que constituent Martin Luther King et Babe Ruth, Mark Twain et Ella Fitzgerald, Noam Chomsky et Michael Jordan, Thomas Edison et Andy Warhol, et d’autres comme eux. C’est l’autre face de l’esprit américain, et c’est celle qui vaut la peine d’être admirée.

                Cubadébate

                PS : Les cubains sont gentils, ils ne parlent pas des indiens........


              • Christian Labrune Christian Labrune 9 octobre 2013 12:13

                @Deneb,
                Dimitri Chostakovitch, qui a dû plusieurs fois passer par le bureau du Père Joseph, raconte qu’il y avait des douches à proximité, et un endroit où faire un peu de lessive. Des loufiats compatissants et très au parfum prenaient en charge le visiteur dès sa sortie du bureau. Dimitri précise qu’il n’a jamais eu recours à leurs services.

                Je trouve que vous avez tort de vous attendrir sur tant de gens qui sont morts en Sibérie. Nos amis sur cette page vous expliqueront que, de toute façon, un jour ou l’autre, il faut bien mourir, et mourir d’un froid très intense et très anesthésiant, surtout quand on est encore jeune, ce n’est guère plus embêtant qu’une petite formalité administrative et cela évite fort efficacement, devenu plus vieux, de souffrir des rhumatismes. Beaucoup d’intervenants, sur cette page, rêveraient sans doute de mourir dans ces conditions, pourvu que ce soit pour l’édification du socialisme. Mourir pour le socialisme, c’est le sort le plus beau, le plus digne d’envie.


              • foufouille foufouille 8 octobre 2013 14:14

                trop tard, la propagande libérale envahit toutes les chaines de télé


                • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 8 octobre 2013 15:18

                  C’est faire insulte à sa propre intelligence que de croire qu’une analyse factuelle du communisme est inspiré de la propagande libérale. Lisez Ellul, bon sang !


                • Jelena XCII 8 octobre 2013 18:12

                  Foufouille à pourtant raison, il va falloir attendre que le système actuel se casse la gueule avant de penser à autre chose.

                  Pour l’heure la TV nous dit qu’il faut faire des réformes (comprendre détruire les acquis sociaux), puis viendra la privatisation de tous les services publics.


                • foufouille foufouille 8 octobre 2013 18:35

                  je regardes les JT (d’un oeil pour ne pas gober)
                  au début c’était TF1, ces derniers mois la 2 puis la 3 nous montrent la propagande comme quoi la maladie ou la vieillesse permettent de travailler. le tout très déformés (travail pèpère imaginaire)


                • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 8 octobre 2013 20:10

                  "je regardes les JT (d’un oeil pour ne pas gober)
                  au début c’était TF1, ces derniers mois la 2 puis la 3 nous montrent la propagande comme quoi la maladie ou la vieillesse permettent de travailler. le tout très déformés (travail pèpère imaginaire)"

                  Et c’est MAINTENANT que vous vous en apercevez ?
                  Mon pauvre ami, vous découvrez l’eau tiède  ! La presse occidentale n’a jamais servi que les puissances financières.( L’huma compris. Avec quoi croyez-vous que le Parti s’est payé la place du colonel Fabien, si ce n’est avec l’argent du grand capital ! )
                  TOUTE l’information est contrôlée par le « grand-capital ». Libé appartient à Rothschild, ils ne s’en cachent même pas. J’ai eu la chance de découvrir l’imposture de la propagande en 1967, avec ces braves abusés de la LCR qui refusaient d’admettre qu’ils travaillaient déjà pour le compte de la CIA.
                  Par pitié, renseignez-vous sur l’art de la propagande : vous êtes sérieusement intoxiqué.


                • jaja jaja 8 octobre 2013 20:22

                  "J’ai eu la chance de découvrir l’imposture de la propagande en 1967, avec ces braves abusés de la LCR qui refusaient d’admettre qu’ils travaillaient déjà pour le compte de la CIA."

                  Vous êtes soit un sacré visionnaire ou alors l’un de ces voyants hâbleurs pour avoir découvert, en 1967, l’imposture d’une organisation fondée en 1969... smiley

                  Qu’est-ce qu’on peut lire comme conneries sachant d’ailleurs que la Ligue a été dissoute par le pouvoir bourgeois en 1973.....


                • jaja jaja 8 octobre 2013 20:44

                  D’autre part les ennemis de la CIA de cette époque ne s’y trompent pas comme vous puisque les camarades Vietnamiens ont ainsi salué la mémoire de Jean-Michel Krivine (frère d’Alain) récemment décédé et rattaché à la LCR :

                  "Chers Frédéric, Anne, Juliette et toute la famille.

                  Nous avons appris avec une très grande tristesse le décès de Monsieur le Docteur Jean-Michel Krivine, un grand ami du peuple vietnamien en général et des médecins-collègues au Vietnam en particulier. Il avait séjourné à Hanoi en février-mars 1967, dans le cadre du Tribunal Russell, chargé d’enquêter sur les crimes de guerre de l’armée US au Vietnam. Il s’était plus particulièrement intéressé aux dégâts causés par le napalm et les bombes à billes. C’est à cette époque qu’il avait rencontré le Président Ho Chi Minh, le Premier ministre Pham Van Dong et le Professeur Ton That Tung, un grand chirurgien spécialiste du foie de notre pays. Il était retourné au Vietnam en septembre 1967, cette fois-ci au Sud du 17e parallèle. Il est ensuite retourné au Vietnam en 1975, 1982 et 1986 pour établir un programme post-graduate pour des jeunes médecins vietnamiens en perfectionnant leurs carrières professionnelles. Ce programme est encore continué jusqu’à présent.

                  Avec tout ce qu’il avait fait pour le Vietnam, nous n’oublierons jamais celui qui vient de nous quitter. En gardant son souvenir dans notre cœur, il sera toujours avec nous.

                  Avec nos sincères condoléances, nos pensées vous accompagnent dans ce deuil qui vous frappe !

                  Dr Do Duc Van"

                  Hôpital universitaire Viet Duc, Hanoi, Vietnam

                  http://orta.dynalias.org/inprecor/article-inprecor?id=1475

                  Voila mon cher pour vous clouer le bec ! Ah ce que vous avez vu clair en 1967 smiley


                • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 8 octobre 2013 22:13

                  J’ai écrit LCR au lieu de JCR. Ça, pour me clouer le bec, ça me cloue le bec. La JCR que j’ai connue en 1967 a été dissoute en juin 1968 avant de renaître sous le nom LCR en 69. Effectivement, ça change tout ! Sauf que c’est bien le même mouvement que j’appelle ainsi.

                  Quant aux ramifications entre les mouvements gauchistes et les experts en désinformation, ça ne date pas d’hier... Moitiés étaient abusés, quelques uns étaient consentants. Les autres...
                  Le gladio et le Lambertisme n’ont pas finis de dévoiler leurs secrets.C’est marrant, d’ailleurs, parce qu’au début des années 70, un beau facho de première m’a proposé de faire de l’entrisme dans la LCR. Il y a des jours comme ça où on retombe sur les mêmes ficelles...

                  Je tiens Jean-Michel Krivine pour quelqu’un de sincère... N’utilisez pas son nom pour botter en touche.

                  La LCR n’était pas en elle-même une imposture. La sincèrité du militant de base est le terreau indispensable à une manipulation efficace. Seulement, dans le stage de recrutement que j’ai suivi avec eux en 67 pour préparer 68, j’ai ressenti une vraie grosse énorme manipulation, avec de vrais tueurs derrières. J’ai été dégouté à jamais d’appartenir à la moindre organisation, tellement les ficelles étaient grosses.


                • jaja jaja 8 octobre 2013 22:27

                  Pas d’amalgame avec les lambertistes SVP... D’autre part la JCR qui si j’ai bonne mémoire regroupait d’autres militants que des trotskistes a été dissoute par décret gouvernemental après les journées de 1968, assimilée aux groupes de combat...
                  Bof pas de quoi rougir...


                • jaja jaja 8 octobre 2013 23:06

                  « Je tiens Jean-Michel Krivine pour quelqu’un de sincère... N’utilisez pas son nom pour botter en touche. »

                  Bon vu que ce militant avait des responsabilités au plus haut niveau jusqu’à peu avant sa mort corrigeant les textes de la IVème internationale j’ai cru bon de le citer puisqu’il est la démonstration vivante du caractère diffamatoire de vos accusations envers une LCR soi-disant manipulée... Mais dont les militants étaient respectés par les ennemis de l’impérialisme US de l’époque. Ce qui est bien l’essentiel...

                  Bon maintenant qu’il y ait des infiltrés flics qu’un gros facho comme vous dites vous a proposé de rejoindre c’est une autre affaire...
                  Toutes les organisations ouvrières ont à faire à ce genre de pratique qui est l’ABC du contre-espionnage de la part de l’État bourgeois... Les empêcher de nuire ressort des essentiellement des pratiques de démocratie directe reposant sur la décision d’un maximum de militants...
                  Que vous ayez refusé d’être un indic n’est déja pas si mal....


                • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 8 octobre 2013 23:29

                  Ma réponse est dans mon post de 23:06, plus haut.
                  Je dois à la LCR - pardon, à la JCR violemment anti-PCF, donc amie des ennemis du PCF, donc objectivement pro-US - cette prise de conscience du caractère manipulé de tout mouvement de masse.


                • jaja jaja 9 octobre 2013 00:03

                  J’ai lu ce post et votre brillante défense de nos exploiteurs qualifiés d« entrepreneurs »...Bon...chacun son camp. Ou vous avez changé comme beaucoup d’anciens soixante-huitards ou bien vous n’aviez rien à faire à l’époque à la JCR....
                  Votre vision est fausse... L’ennemi de mes ennemis n’est pas obligatoirement mon ami. C’est une vision campiste qui en fait empêche d’avoir une juste position sur les évènements de ce monde....
                  Dénoncer l’impérialisme américain n’’était en rien contradictoire avec la dénonciation des agissements de la Nomenklatura stalinienne d’URSS et de son capitalisme d’État jadis soutenus par le PCF. C’était au contraire un même combat pour l’émancipation des travailleurs de ce monde du joug de ceux qui s’accaparent sans vergogne la plus-value extraite de leur labeur.... Qu’ils furent capitalistes comme aux USA ou se prétendaient « communistes » comme en URSS, avant de s’approprier les biens du peuple russe, ne change rien à l’affaire !

                  Quand aux mouvements de masse évidemment qu’ils sont soumis à la pression des divers manipulateurs, rarement uniques et allant dans le même sens, qui agissent en son sein comme à l’extérieur. Seuls les bisounours l’ignorent....
                  Cela ne suffit pas toujours à empêcher les Révolutions !


                • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 9 octobre 2013 00:39

                  Bravo Jaja. Vous êtes un bon soldat. L’Empire des Barons Voleurs peut compter sur vous.


                • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 9 octobre 2013 01:27

                  Quant à l’émancipation des travailleurs, ne rêvez pas. Ce n’est pas du tout ce qui est prévu, mais alors pas du tout, même pour le bon serviteurs de l’Empire, que vous êtes sans pouvoir l’admettre puisque vous n’êtes pas banquier. Vous perdez seulement votre temps à travailler bénévolement pour eux.
                  Lisez Chomsky, lisez Ellul, lisez Braudel, lisez toutes ces personnes qui se sont affranchies de vos préjugés ridicules et ne se seraient jamais permis de faire cet amalgame mesquin, misérablement petit-bourgeois, entre entrepreneurs et exploiteur. C’est ce type d’amalgame bien confortable qui vous empêche d’entreprendre, c’est lui qui vous maintient esclave de vos préjugés, et rien d’autre. Grâce à vos oeillères l’Empire peut devenir ce qu’il est. Bougez-vous le cul, merde, plutôt que de vous vautrer dans l’invective en vous gargarisant de mots en « isme » ! Savez vous que Lénine a liquidé les vingt milles coopératives qui existaient dans la Russie de 1913 ? C’est Mauss qui révèle ce fait.
                  A qui a profité cette liquidation ? A Wall-Street, dont les barons ont pu intervenir « pour des raisons humanistes » en Russie après la guerre afin de s’assurer de la liquidation économique du pays et de s’emparer de tout ce qui leur passait sous la main. Ils pouvaient berner un pouvoir centralisé asphyxié et exsangue, pas un million d’entrepreneurs organisés en coopératives. Pour pour parvenir à cette fin, Lénine a percu vingt millions de mark-ors des banquiers allemands. De la même façon, pour servir encore l’Empire vous vous compromettez à tirer sur tout ce qui bouge mais en plus, vous le faites gratuitement ! Quel gag !

                  Et ne présumez pas de ce que je suis. Soixante-huitard, gauchiste, campiste, truciste, tout cela n’est qu’averse de grêle avant que le soleil ne pointe sur le récoltes dévastées.
                  La réalité dépasse toujours les préjugés.

                  Quant aux révolutions, citez m’en une, seulement une, qui a été fomentée par le peuple et l’a conduit à la victoire. Pour entreprendre une révolution, monsieur le révolutionnaire... il faut savoir réellement ce qu’est entreprendre et l’avoir déjà pratiqué !


                • Shawford42 9 octobre 2013 01:28

                  Knocking to heaven’s door ?


                  La place est libre, promis

                • Shawford42 9 octobre 2013 01:34

                  Bon beh bonne nuit les zamis ( smiley ) et les zamies ( smiley )


                  Et pour tou(t)(e)s vous entendez l’ami Chris dans le poste.

                • Shawford42 9 octobre 2013 01:41

                  Vous permettez je reste un peu, des fois que zesus y veuille à ki parler


                • frogorcat 9 octobre 2013 01:42

                   
                   
                   
                   
                   
                   smiley


                • Shawford42 9 octobre 2013 01:45

                  Tu crois qu’on va enfin le trouver ce banc de sardines, j’ai un chlurp de la mort smiley


                • Shawford42 9 octobre 2013 01:50

                  Buddy, j’ai mon mail perso, fb, twitter, disons, reopen et donc AV ouverts, et pas une sardine ou une orchidée à l’horizon.


                  Ça augure mal de la suite, mais demain on passe le Bosphoe, je pas nique pas du tout. smiley

                  C’est peut être que le quadruple effet M&M’s ça les fait fuir. smiley

                • frogorcat 9 octobre 2013 01:55

                  A ch’t’heure là, on a plutôt l’air d’amoureux des bancs publics smiley

                  mais restchons pudiques, je mets donc un blanc comme chat :
                   
                   
                   
                   
                   
                   
                   
                   
                  pour prouver la doucheur de mes papattes. smiley

                  Et dire que demaing, la plupart des posts auront dischparus.
                  D’ailleurs, sur le nartic de Mr Smich, y’a déjà eu kek coups de ciseaux. smiley
                  L’enfoiré & you, kek inimités. smiley

                  Pour les chardines, ouaip, ch’est le énième effet kichcoooooool.


                • Shawford42 9 octobre 2013 02:00

                  T’inkéte donc pas


                  ayé ça frémit IRL

                  Stay tuned

                • Shawford42 9 octobre 2013 02:05

                  Y’a Maître Eolas, qu’a un wawa d’enfer sur Twitter d’habitude, là je crois que je l’ai séché smiley smiley


                • Shawford42 9 octobre 2013 02:07

                  Tiens d’ailleurs une petite dédicace pour Eolas : http://www.youtube.com/watch?v=FC6gsToKVgY


                • Shawford42 9 octobre 2013 02:11

                  Tiens une autre : http://www.youtube.com/watch?v=1Uw6ZkbsAH8 On va voir si ça passe sur RTL2 après Nirvana



                • jaja jaja 9 octobre 2013 09:15

                  "Bougez-vous le cul, merde, plutôt que de vous vautrer dans l’invective en vous gargarisant de mots en « isme » !« 

                  Invective... peut-être.... mais je ne me vautre sûrement pas dans la calomnie et l’insinuation malhonnête comme vous le faites vis-à-vis de la LCR ou plûtot la JCR sans rien démontrer bien sûr. En fait vous n’êtes rien d’autre qu’un partisan du capitalisme et de son droit divin à exploiter autrui....
                  Vous l’auriez dit tout de suite je n’aurai pas perdu autant de temps avec vous...

                  Par ailleurs je ne suis pas léniniste donc votre tirade sur ce cher Oulianov vous pouvez vous la garder et en faire des confitures....

                  L’émancipation des travailleurs n’est s^évidemment pas prévue par les divers Empires impérialistes qui dominent ce monde et sûrement pas par le plus puissant d’entre eux non plus... C’est pour cela qu’il a été écrit avec justesse »l’émancipation des travailleurs sera l’oeuvre des travailleurs eux-mêmes« ... Mais savez-vous ce qu’est un travailleur ?

                  Voila petit soldat de la bourgeoisie ! Gardez donc vos grandes leçons »anti-Empire« vous qui dites n’avoir plus été organisé après 1968 mais qui voulez me donner des leçons sur ce qu’est »entreprendre« ...qui pour moi ne se résume pas à tenter de tondre son voisin...

                  Ce n’est évidemment pas vous, avec cette mentalité, qui avez organisé toutes les campagnes contre »l’Empire" comme vous dites qui ont mené à sa défaite au Vietnam par exemple... Mais bon...


                • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 9 octobre 2013 11:33

                  Ok. N’est considéré comme travailleur que celui qui absorbe votre propagande. Message reçu, leçon comprise. Ça fait bien rigoler Marine qui engrange les bénéfices de vos imprécations, mais comme chacun reste dans son rôle les moutons sont bien tondus et rien ne bougera jamais.
                  Alors on va dire que les travailleurs vietnamiens ont, par leur labeur, récolté des chars dans les rizières, que les touaregs du déserts obtiennent des Pick-up Toyota en échange de leurs chameau, que les révolutions sont le fait d’organisations populaires spontanées. Tant qu’on y est, on peut ajouter que Machiavel n’a jamais rien compris à la politique. Pour ma part, je vais en rester là.


                • jaja jaja 9 octobre 2013 11:59

                  Moi aussi je vais en rester là. Juste un mot... Je ne considérerai jamais comme travailleur celui qui écrit dans sa fiche auteur :"J’ai travaillé longtemps dans la communication interne et externe des entreprises en tant que rédacteur et journaliste. J’y ai pratiqué toutes les facettes de l’information et de la désinformation.«  Que vous reconnaissiez être un enfumeur professionnel de vrais travailleurs, soit, mais ne vous plaignez pas ensuite d’être rétribué selon vos oeuvres !

                  Quand à ceux qui »entreprennent" de s’organiser pendant des décennies, ce sont aussi ceux qui de ce simple fait relativisent la spontanéité des Révolutions... ce que vous semblez ignorer...


                • devphil30 devphil30 8 octobre 2013 14:20

                  La clairvoyance de Marx avec son oeuvre majeure Le Capital nous montre combien i la été visionnaire de la dérive sociétale de son époque et combien cette dérive s’est accentuée jusqu’à nos jours par l’exploitation humaine.


                  Comment de possesseurs de capitaux ont pu accroître encore plus leur fortune grâce au développement et à l’essor de l’industrie au XIX ième siècle tout en laissant les hommes dans la misère.

                  Aujourd’hui on entend parler du travail le dimanche , c’est un retour au 19 ième siècle mais cela personne ne semble en prendre conscience.

                  Philippe 
                   

                  • alinea Alinea 8 octobre 2013 21:47

                    Personne ne prend conscience de rien Philippe ! c’est le fin mot de l’ultra libéralisme : on ne s’occupe pas des affaires des autres, chacun sa merde ! c’est très limité comme monde mais ça réduit les responsabilités, les doutes et les soucis !!
                    Le renversement des valeurs est terminé me semble-t-il : « ils ont bien le droit de travailler le dimanche » !! smiley


                  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 8 octobre 2013 21:57

                    Nan ,Alinea ,au fin du fin il n’y a plus que le droit ,la guerre de tous contre tous de Michéa ,ou l’envie de pénal ( smiley) de Muray ...


                  • l’R2 rien 8 octobre 2013 14:22

                    Rien dit, rien vu, rien entendu.

                    Bien dit, bien vu, bien entendu.


                    • Stof Stof 8 octobre 2013 14:42

                      De toute façon le beauf s’en fout de l’égalité entre les Hommes. Le beauf veut être riche LUI. Quand bien même il n’aurait d’autre solution que le Loto pour y parvenir...


                      • appoline appoline 8 octobre 2013 19:38

                        Le rêve, très cher, il ne faut pas enlever le rêve à la masse, si elle ne rêve plus, elle pourrait penser et ça l’élite ne le veut pas


                      • libertus 8 octobre 2013 14:45

                        « Visiblement vous n’avez aucun scrupule à caricaturer le communisme »

                        -> non, pas plus que vous n’en avez à caricaturer le libéralisme, sans en avoir jamais lu un auteur.

                        La seule chose dont on est sur, c’est que la voie vers le communisme passe par la privation des libertés, par la misère et par la mort. Finalement, heureusement qu’on est pas arrivé jusqu’au communisme, ça serait peut être la fin du monde.

                         


                        • appoline appoline 8 octobre 2013 19:39

                          Oui l’histoire est là pour nous le prouver, mais l’opposé nous a prouvé qu’il pouvait faire pire


                        • Gemini Gemini 8 octobre 2013 15:05

                          Sur ce sujet, je ne peux qu’inviter à lire les écrits de Guy Debord et des situationnistes, et notamment un des ouvrages majeur de celui-ci : « La société du spectacle ». Il me reste encore à lire ses propres commentaires sur cet ouvrage, rédigés par la suite. Également, il pourrait être conseillé de jeter un oeil à l’ouvrage « Guy Debord », d’Anselm Jappe qui aide à déchiffrer l’œuvre de Debord, très difficile à aborder (en tout cas pour moi).

                          Dans cet ouvrage écrit en 1967, il évoque notamment le capitalisme occidental et l’URSS qu’il voit comme les deux facettes de la même pièce de la société du spectacle, et prédit déjà l’effondrement de l’URSS.

                          Selon lui, le nœud du problème est le fétichisme de la marchandise qui s’est répandu tel la gangrène dans nos sociétés, aspect peu abordé et moins connu de la pensée de Marx, pourtant tellement d’actualité. C’est ce fétichisme qui fait que les humains sont subordonnés aux lois économiques, au lieu que ce soit l’inverse et que ce soit l’économie qui soit au service de l’homme.

                          Le libéralisme est en une des illustrations les plus éclatante. Une autre triste illustration est la crise écologique majeure que nous avons générée et que nous sommes incapables de gérer.

                          La seule solution est la décroissance, mais le système actuel est incapable ne serait-ce que de le concevoir, et l’on continue à nous seriner avec leur libéralisme à la gomme qui ne fait qu’empirer les problèmes. Un excellent exemple actuel est la fameuse ferme des mille vaches. Personne n’en veux. C’est un désastre écologique. C’est dangereux pour les riverains. Mais, un individu a de l’argent et veux faire ce projet pour en gagner encore plus. Peu importe les autres conséquences. Si le projet se fait, le porteur du projet gagnera le pactole. Dans le même temps, les autres autour n’auront plus que leurs yeux pour pleurer. Oui, vraiment, le libéralisme, c’est bien …


                          • spartacus spartacus 8 octobre 2013 16:13
                            Rien a voir rien à voir avec le capitalisme d’Etat, la dictature d’un parti unique, d’une bureaucratie sur un peuple.
                            Elle est amusante celle là !

                            Le communisme une bien belle idéologie de capitalisme d’état.
                            Un contrôle total de la vie économique signifie que les moyens et les valeurs humaines sont décidées par l’État et implique cette vérité que la liberté individuelle est abolie. 
                            C’est donc du totalitarisme.

                            Le communisme est une idéologie Criminogène. 
                            Les personnes les plus capables ne voient pas leurs mérites reconnus et récompensés, et finissent par rejeter un collectif qui les exploite ; un système où la responsabilité est collective pousse chacun à vivre aux dépens des autres
                            La pauvreté (faute de motivation à produire des biens et services) et l’oppression sont ainsi le résultat inéluctable du communisme.

                            On peut aussi retourner les questions de l’auteur dans son monde fumeux :
                            Qu’est-ce que la liberté d’entreprendre dans monde communiste ? 
                            Que veut dire la liberté d’expression et d’information quand celles-ci sont captées les canaux d’expression collectivistes ? 
                            Que veut dire la liberté du citoyen, lorsque les choix économiques sont faits par une infime minorité qui se croit illuminé de l’intérêt commun ? Et ainsi de suite....

                            • CN46400 CN46400 8 octobre 2013 16:40

                              Ouf Spartacus n’est pas mort, mais il n’oublie rien, ou presque. Pour lui la violence politique et économique n’a commencé qu’avec Marx et son communisme « criminogène ». Et bien mon cher, au rsisque de vous déplaire, souffrez que l’on vous rappelle que la lutte de classe existe depuis des millénaires, quelle a toujours été violente, et qu’à partir de la victoire (provisoire) du capitalisme, la violence, du fait de l’évolution des techniques à la disposition de la bourgeoisie (classe dominante), s’est fortement aggravée. D’autant que que la classe dominée, celle des prolétaires, s’est organisée pour résister et rendre, à l’occasion, les coups dont on l’a saoule régulièrement !


                                Et tout démontre que ça ne se calmera vraiment que lorsque la minorité bourgeoise qui vit du travail d’autrui, aura cessé de dominer la majorité prolétarienne qui doit travailler pour vivre.

                            • spartacus spartacus 8 octobre 2013 17:31

                              La lutte des classes est une chimère idéologique Marxiste.


                              Cette chimère ubueque est propagée de nos jours par une caste de pleutres étatisée et fonctionnarisés qui se retrouvent entre eux en ignorants primaires qui n’ont jamais mis les pieds de leur vie dans une entreprise privée.

                              Prisonniers de leurs choix statutaires, jaloux de la liberté individuelle, ils en sont resté à Zola et Marx et refusent l’émancipation individuelle car la liberté leur fait peur. Ils se réfugient dans des idéologies ubuesques pour ne pas s’avouer le matin devant leur glace leur assouvissement à l’étatisme qui les achète leur lacheté de ne pas être autonome.


                              Le travailleur s’engage librement par contrat et reçoit un salaire en échange de son travail
                              La lutte des classes part de l’idée qu’il existe une opposition irréductible entre les intérêts des travailleurs et ceux des patrons. Il est libre de ses choix.
                              Il n’y a rien de plus contraire à la réalité, dans un marché libre que la lutte des classes. 
                              La destruction créatrice fait passer l’individu dans différents stades,
                              Les patrons sont en concurrence les uns avec les autres, et leurs efforts pour attirer les meilleurs salariés, permettent l’émancipation individuelle
                              La lutte des classe se résume à une luttes de privilégiés en droits sociaux protégés par l’état et leurs corporations ; pour que chacun vive de la production créée par les autres.

                            • CN46400 CN46400 8 octobre 2013 17:58

                              « La lutte des classe est une chimère idéologique »


                                Sans remonter à Spartacus, pour sentir la lutte des classe, rien de meilleur que, au nom du patron, distribuer les feuilles de paie dans une taule... où bien de discuter « licenciement » avec le patron. Là, mon cher, tu sens tout de suite la différence des pouvoirs......

                            • foufouille foufouille 8 octobre 2013 18:38

                              « 

                              Le travailleur s’engage librement par contrat et reçoit un salaire en échange de son travail. »

                              mdr !
                              le vrai spartacus était libre aussi : il pouvait crever dans l’arène ou au cachot


                            • appoline appoline 8 octobre 2013 19:41

                              Et bla et bla, serez vous prêt quand il faudra aller au charbon ? J’ai quelques doutes


                            • politzer politzer 8 octobre 2013 16:19

                              bonjour


                              Je ne pense pas qu’il soit réaliste de gloser sur la théorie d’autant plus que peu de contempteurs du marxisme ont fait l effort de lire le Capital ni même le beaucoup plus accessible Misère de la Philosophie où Marx étrille Proudhon qui prêche la renonciation à la lutte des classes.
                              Tous les grands esprits ont été bluffés par l oeuvre immense du fondateur du « socialisme scientifique » nommé ainsi après sa critique des différentes sortes de théories sociales,du communisme primitif grossier aux formes variées du socialisme utopique.
                               Même des intellectuels « bourgeois » comme Minc et Attali qui sont des pointures et non de petits pompeux et présomptueux préposés à la diffusion de la propaganda staffel nazie ou yankee ( pas de différence notable) ; même ces têtes d’oeufs qui ont lu Marx , reconnaissent la puissante pensée théorique à l oeuvre de cet Aristote moderne qui a ouvert le continent Histoire à l étude scientifique et que l on peut comparer au travail de Darwin.
                               Il ne faut pas tomber dans l illusion qu on puisse convaincre les préjugés dont sont farcis des cerveaux ( peu préparés aux études critiques) conditionnés par la TV et les journaux aux mains de leurs pires ennemis : la ploutocratie dominante qui détient les media.
                              Les débats ne servent qu à contrer ces délires anti communistes auprès des seuls adhérents et sympathisants pour rétablir la vérité un point c est tout !
                              Maintenant il vaut mieux comparer dans la réalité les systèmes différents.
                              Prenez le Vietnam crucifié , rasé , brûlé , inondé par l’impérialisme yankee qui a pollué les terres pour mille ans et assassiné des millions de jeunes hommes dans la force de l âge, et comparez sa réussite économique et sociale après ces innommables destructions et tourments , aux Philippines , pays qui vit à la mode américaine !
                              Il n y a pas photo : je vis dans les deux je sais de quoi je parle !
                               L un propulse sa population ( qui travaille dur) vers l avenir à grands pas , l autre l expulse à l étranger ( des dizaines de millions d expatriés) ou l étrangle sur place par le chômage de masse, des salaires à 6 € la journée de travail de 10h ( quand le litre de lait est plus cher qu en France !) , sous contrat temporaire (!) , pas de protection sociale, éducation payante, etc , etc , des pages d etc pour décrire une situation pire que l esclavage au 19e siècle ! Fermez le ban ! 

                              • spartacus spartacus 8 octobre 2013 17:53
                                Malheuresement c’est l’exact inverse. Tout le monde a été obligé d’ingurgiter Marx sans contre éducation en parallèle.
                                Demandez donc autour de vous qui connait Hayek, Friedman. 
                                Qui a lu « la route de la servitude » et qui a lu Marx ?

                                L’éducation nationale est phagocyté par des bolchéviques qui ne veulent pas se l’avouer. 
                                En seconde tous les élèves ont droit a des dissertations sans fin de conneries Marxistes.

                                Quand au Viet nam, le PCF y a envoyé des débiles profond comme Boudarel, qui a assassiné 300 Français à bout portant. 
                                Confondre la guerre et le génocide relève de l’abjection communiste. 
                                Les cocos débiles profond Vietnamiens ont tué 1.5 millions de personnes sur leur propre population en dehors des guerres.

                                Quand a nous expliquer le « bonheur » de vivre au Viet nam, Aujourd’hui encore de nos jours, un génocide se réalise sur les Hmong. Les filles prises de force dans les campagnes pullulent dans les bordels de la capitale. Et l’économie montante n’est qu’une remise à niveau après des années d’obscurentisme. 
                                Le PIB des philippines est 25% supérieur au Vietnam malgré les handicaps économiques d’être une archipel éloignée des terres. C’est vrai que les Vietnamiens n’ont pas le choix de s’exiler, ça fait quelques différences...

                              • CN46400 CN46400 8 octobre 2013 18:54

                                @ Spartacus


                                Et le truc qui descendait des B52, sur les vietnamiens, civils compris, vaguement orange qui tue et génère encore aujourd’hui des malformations yper graves, c’est qui qui ouvrait les cales ? le communisme ou le capitalisme US ? Et la glorieuse armée française qui, la première, a utilisé le Napalm en Indochine : Capitalisme ou communisme ?

                              • antyreac 8 octobre 2013 17:11

                                La leçon de tous ces palabres :

                                Le communisme inventé il y a 160 ans est aujourd’hui à l’agonie alors que le capitalisme qui a apparu bien avant lui se porte aujourd’hui comme un charme et ceci dans tous les pays du monde et ne il ne disparaîtra pas de sitôt ....

                                • CN46400 CN46400 8 octobre 2013 17:29

                                  Le communisme n’a pas été inventé il y a 160 ans, il est consubtanciel au capitalisme puisque c’est son antithèse. C’est d’ailleurs pour cela qu’il est tellement dénigré par la pensée dominante puisque le capitalisme, encore dominant, le préssent toujours comme son l’ennemi final.


                                  Le capitalisme est toujours dominant, c’est vrai, se porte-t-il comme un charme ? Même Hollande, voire Sarko, n’avancent aussi sûrement !

                                • antyreac 8 octobre 2013 17:38

                                  Le capitalisme est toujours dominant, c’est vrai, se porte-t-il comme un charme ?


                                  Comment dire autrement ?
                                  Le capitalisme se porte non seulement comme un charme il triomphe ( et c’est peu le dire ) partout où il est appliqué

                                • Ronald Thatcher Ronald Thatcher 8 octobre 2013 18:03

                                  le capitalisme a sauvé l’URSS, la Chine, l’Inde, l’Afrique, des famines et raméné des pays arriérés dans le présent, alors oui, le capitalisme est ce qu’il s’est fait de mieux de tout temps !


                                • appoline appoline 8 octobre 2013 19:42

                                  Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le communisme c’est le contraire


                                • Christian Labrune Christian Labrune 9 octobre 2013 12:50

                                  Apolline
                                  Que c’est choquant, cet anticommunisme primaire ! Et pourtant, est-ce que vous pouvez comparer la vie d’un citoyen français actuel à celle d’un Coréen du Nord travaillant à l’édification du socialisme sous la direction du génial Kim Jong-Un ? Et Nicolae Ceausescu, cela ne vous rappelle rien ? Et le charmant « petit boucher de la Cabana », à Cuba, avec son mignon petit béret et son gros cigare, cela ne vous rappelle rien ? Et Pol Pot, dans le Kampuchea démocratique ? C’était un capitaliste, peut-être ? Comment est-il arrivé à faire, et en si peu de temps, qu’un si grand nombre de Cambodgiens n’aient plus jamais à souffrir des cors aux pieds, de la faim ou des rhumatismes ? Nier l’évidence des bienfaits du communisme, je trouve ça écoeurant. C’est un scandaaale ! aurait dit le très regretté Georges Marchais.


                                • Christian Labrune Christian Labrune 9 octobre 2013 13:04

                                  @Antyreac
                                  Ce qui caractérise les totalitarismes, c’est qu’ils prétendent figer le monde dans un schéma qu’ils ont défini une fois pour toutes et auquel la réalité devra se plier. Mais le monde change sans cesse, et il n’a cessé de changer même dans les régimes communistes, et jusqu’à les faire s’effondrer.
                                  Le capitalisme, à l’inverse, ne s’embarrasse d’aucune eschatologie. Son seul principe, qui n’en est même pas un, c’est qu’il y a toujours un moyen de bricoler l’état des choses. Le capitalisme est donc toujours plus ou moins en crise, il peut connaître des pannes, mais comme il s’adapte - certes toujours avec un certain retard - à la situation qui change, il ne peut jamais être périmé. Le seul vrai problème, et quelque peu tragique, c’est son inertie : il se peut, avant que le système retombe sur ses pattes à la façon d’un chat, que deux ou trois génération pâtissent, comme en ce moment, d’une crise grave. Mais cela ne durera pas éternellement.


                                • jeanpiètre jeanpiètre 8 octobre 2013 18:33

                                  une entité communiste ne peut pas survivre dans un environnement capitaliste, l’inverse est bien entendu vrai.


                                  laissons donc le capitalisme triomphant redessiner les contours d’un monde nouveau qui ne pourra être que son antithèse.
                                  un capitalisme refondé ne sera jamais qu’un sac de survie chez les survivalistes.
                                  et les survivalistes ne seront jamais que les proies ultimes du marché, et les premiers à éliminer pour ne pas le reproduire.
                                  laissons donc la finance représenter 0.01% de l’activité humaine réelle.
                                  il n’y aura plus que des possédant se volant entre eux.

                                  • CN46400 CN46400 8 octobre 2013 19:24

                                    Le but du communisme n’est pas la création d’un quelconque paradis fermé et autarcique (« Socialisme dans un seul pays » de Staline). C’est de réaliser , là où le capitalisme ne l’a pas encore fait, l’accumulation primitive du capital (Chine, Amérique du Sud...) puis sur ce capital, de réaliser la libération et la sécurisation des individus prolétaires dans tous les domaines, alimentaire, sanitaire, logement, éducation, travail etc....


                                    Si en Chine et en Amérique du Sud, la situation actuelle perdurant, le renversement du pouvoir d’état ne sera peut-être pas nécessaire, il est clair qu’en Occident, ce luxe n’est pas (L’accumulation primitive est déjà réalisé) disponible. Et donc que la lutte de classe à venir, dans cette zone, ne se déroulera, pas dans la dentelle !



                                  • appoline appoline 8 octobre 2013 19:15

                                    Courants de pensée écrivez vous. Ils ont eu le courant mais la pensée, j’ai un doute


                                    • alinea Alinea 8 octobre 2013 21:35

                                      Très gênée par le vous accusateur, agressif et culpabilisateur, par l’oubli de Kropotkine aussi ; mais pour le reste, d’accord bien évidemment !


                                      • taktak 8 octobre 2013 22:39

                                         @ l’auteur

                                        Un excellent article sur le site du PRCF. dont je rappelle la conclusion
                                        http://www.initiative-communiste.fr/articles/international/300965-massacre-occulte/
                                        "

                                        Au-delà de l’horreur et de l’ampleur de ces massacres et de la répression continue qui s’est poursuivie jusqu’à nos jours, au-delà de la revendication que nous devons tous avoir que justice soit rendue à ces innombrables victimes, que la répressions cesse, alors qu’un anticommunisme toujours aussi féroce instillant comme en Indonésie dans les esprits que communisme = totalitarisme et que capitalisme = droit de l’homme, en ces jours anniversaires de ces horribles événements – qui n’en doutons pas ne donneront lieu à aucune commémoration d’aucune sorte dans nos médias « libres » généreusement financés par des mécènes tels que Bolloré, Dassaut Lagardère et autre Bouygues autre qu’un entre filet sur la consécration de Miss France comme 2e dauphine de Miss Univers à Bali – la mémoire de ces dernières décennies tragiques en Indonésie fait éclater auprès de chaque citoyen le mensonge de ce raccourci, et voler en éclat le terrorisme de la pensée posant le camps de l’ouest comme celui de la liberté alors que celui de l’est serait celui des 100 millions de morts.

                                        Oui le capitalisme rien que dans la seconde moitié du 20e siècle, c’est plusieurs génocides et boucheries sur boucheries. Brecht disait « Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde ». 20 ans après le procès de Nuremberg, tout en écrasant le Vietnam sous une pluie de napalm, le capitalisme récidive en Indonésie, soutient le génocide cambodgien de son protégé Pol Pot, écrase l’Amérique latine sous ses escadrons de la mort, alimente les génocides africains de la région des grands lacs….

                                        Si les idées dominantes sont celles de la classe dominante, l’histoire dominante est également celle de la classe dominante. Au moment où le capitalisme remondialisé est à nouveau secoué par une de ses violentes crises systémiques, à l’heure où les peuples sont à la recherche d’alternatives sachons nous souvenir que le capitalisme conduit implacablement au fascisme et à la barbarie."


                                        • antyreac 8 octobre 2013 23:02

                                          Sauf que le capitalisme est tout au plus une branche de l’économie qui n’a jamais demandé des génocides ni des massacres mais la bonne gestion d’une économie alors que le communisme est une idéologie au nom de laquelle on a au début exigé la dictature du prolétariat puis on a continué par les massacres puis par les génocides 


                                        • CN46400 CN46400 9 octobre 2013 07:51

                                          La dictature du prolétariat (priorité aux intérêts prolétaires) n’est rien de plus, et rien de moins que l’antithèse de la dictature de la bourgeoisie (Priorité aux intérêts bourgeois...) qu’on connait bien et qui est à la base du pire régime politique que l’humanité ait jamais connu.


                                        • Antoine 8 octobre 2013 22:54

                                           Nous aussi, on le connait le blablabla des beaufs de gauche : ce n’était pas le vrai communisme, paradis authentique...


                                          • antyreac 8 octobre 2013 23:05

                                            Ce n’est pas le vrai communisme mais dans tout les cas c’est la vrai merde et encore on est gentil...


                                          • Karash 9 octobre 2013 00:24

                                            La base de raisonnement d’un marxiste, c’est qu’un entrepreneur n’a pas de légitimité à capter quelque partie que ce soit de la valeur ajouté que son entreprise produit.

                                            Les libéraux ont observé que dans ce contexte, aucune création de valeur n’est possible, et promeuvent un système dans lequel l’entrepreneur peut gagner tout ce qu’il veut tant qu’il respecte ses engagements envers les personnes qui participent à son entreprise.

                                            Le libéralisme, ce n’est pas organiser la société autours du culte de l’argent.

                                            Les étatistes sont les premiers à vouloir instaurer des échanges monétaire à la place des échanges informels de bons procédés basés sur la tradition et/ou sur la confiance, car qui dit échange monétaire dit fichage, impots, taxes, et dit plus d’argent à dépenser, en bien ou en mal selon l’envie et les besoins (électoraux) du moment.

                                            Au passage, je tiens à relever la contradiction suivante : "Que veut dire la liberté du citoyen, lorsque les choix économiques sont faits par une infime minorité qui détient les canaux de la création monétaire via le crédit ? Et ainsi de suite." Les communistes promouvant une économie sans échange monétaires, basée sur la coopération et le partage spontanés, la manière dont les banquiers créent de l’argent papier basé sur du vent ne devrait pas les émouvoir d’un iota. A moins d’adhérer aux thèses de proudhon sur le crédit public, faisant de facto de vous un étatiste (car on parle bien de crédit administré), et un idiot (étant donné que la baguette magique de proudhon a largement été expérimentée, et mène inéluctablement à la destruction de la monnaie de l’institution qui s’y livre)


                                            • CN46400 CN46400 9 octobre 2013 10:35

                                              « La base de raisonnement d’un marxiste, c’est qu’un entrepreneur n’a pas de légitimité à capter quelque partie que ce soit de la valeur ajouté que son entreprise produit »


                                              Oh là là ; Désormais on peut lire Marx dans l’original, nul besoin de se servir des interprétations du « Reader-Digest »......

                                              Par exemple « Salaires, Prix et profits » qui vous sera bien utile pour saisir la nuance qui existe entre « valeur ajoutée » et « profit ». A la limite çà peut même servir pour remplir la feuille d’impôt d’un PDG

                                            • Denzo75018 9 octobre 2013 10:14

                                              Nous n’avons nullement besoin de dénigrer le socialisme, le communisme, l’anarchisme, ce sont des modèles de pensées et de société qui ont démontré eux-mêmes durant le XXième siècles qu’ils n’étaient pas viables et sont morts d’eux-mêmes !

                                              Il n’y a guère plus que les jeunes ou les nostalgiques pour croire à ces vieilles « lunes » qui d’ailleurs ne font plus rêver mais peur quand on voit après coup les monstruosités que cela a systématiquement engendré !


                                              • Deneb Deneb 9 octobre 2013 10:32

                                                C’est vrai, c’est minable de critiquer une idéologie qui a fait deux fois plus de morts que le nazisme.


                                                • CN46400 CN46400 9 octobre 2013 10:49

                                                  Et 50 fois moins que deux siècles de pouvoirs de la bourgeoisie en Occident



                                                  • CN46400 CN46400 9 octobre 2013 11:26

                                                    C’est vrai que les capitalistes US, plus avides, peut-être, de profits que les autres, ont répondu à la NEP de Lénine dès 1922, certains (Hammer) continuant de travailler en URSS jusqu’en 90. Curieusement c’est encore eux, les capitalistes US, qui ont répondu, en masse, aux réformes de Teng Xiao Ping en 1980....


                                                  • soi même 9 octobre 2013 12:11

                                                    @ CN46400, t’es trop gentil avec la vérité historique, ce grand Bourgeois décadent a été Karl Max c’est déjà accoquiné avec la finance de la City.
                                                    Les grands mécènes de Marx sont justement des Banquiers de la City.

                                                    « En bref, des banquiers américains à l’aristocratie allemande, Marx était abondamment financé pour son « Manifeste » et les écrits qui ont suivi.

                                                    Mais pourquoi l’élite financerait-elle Marx ?

                                                    Tout simplement parce que la totalité de l’attirail philosophique de Marx vise l’extermination de la classe moyenne et la suprématie de l’élite. Le marxisme est un dispositif de consolidation du pouvoir par l’élite. Il ne se préoccupe absolument pas de soulager la misère d’une humanité pauvre ou « émergente » : il s’agit purement et simplement d’un dispositif politique élitiste. Ce dernier consistant à organiser une lutte du prolétariat contre la classe moyenne afin de diviser pour mieux faire régner l’oligarchie. »

                                                    « 

                                                    Wall Street et la révolution bolchévique (larges extraits)

                                                    1ère partie

                                                    Par Antony C. Sutton (1974)

                                                    D’un autre côté, on peut observer que les deux extrêmes, droite et gauche, du spectre politique, sont absolument collectivistes.

                                                    Le national socialiste (par exemple le fasciste) et le socialiste international (par exemple le communiste), recommandent tous deux des système politico-économiques totalitaires fondés sur la puissance politique pure et dure et la coercition individuelle. Les deux systèmes demandent un contrôle monopoliste de la société.

                                                    Alors que le contrôle monopoliste des industries fut au départ l’objectif de JP Morgan et de John D. Rockefeller, vers la fin du XIXème siècle le cœur de Wall Street avait compris que la manière la plus sûre de gagner un monopole sans conteste était “d’entrer en politique” et de faire travailler la société pour les monopolistes et ce sous couvert du bien et de l’intérêt publics. Cette stratégie fut détaillée en 1906 par Frederick C. Howe dans son ouvrage “Confessions d’un monopoliste”. Howe qui soit dit en passant, est aussi un personnage dans l’histoire de la révolution bolchévique.

                                                    Ainsi un emballage conceptuel alternatif des idées politiques et des systèmes politico-économiques serait de classifier le degré de liberté individuelle contre le degré de contrôle politique centralisé. Sous une telle classification, l’état providence industriel et le socialisme sont du même côté du spectre politique. C’est ainsi que l’on peut constater que les tentatives du contrôle monopoliste de la société peuvent être étiquettées différemment tout en ayant des traits de caractère très similaires.

                                                    En conséquence, une des barrières sur le chemin d’une compréhension mature de l’histoire récente est la notion que tous les capitalistes sont les ennemis jurés et mortels de tous les marxistes et socalistes. Cette idée erronée trouve son origine avec Karl Marx et fut sans aucun doute très utile pour ses objectifs. En fait, cette idée est un non-sens total. Il y a eu une alliance continue, même si savemment dissimulée, entre les capitalistes politiques internationaux et les socialistes révolutionnaires internationaux et ce pour leur bénéfice mutuel. Cette alliance n’a pas été pour ainsi dire observée, parce que les historiens, mis à part quelques exceptions notoires, ont une conception marxiste inconsciente biaisée et sont ainsi enfermés dans le moule de l’impossibilité qu’une telle alliance existe.

                                                    Le lecteur large d’esprit doit garder deux choses à l’esprit : les capitalistes monopolistes sont les ennemis mortels de la libre-entreprise et de ses entrepreneurs et aussi, au vu de la faiblesse de la planification centrale socialiste, l’état socialiste totalitaire est le marché captif parfait pour les capitalistes monopolistes si une alliance peut-être établie avec les tenants du pouvoir socialiste.

                                                    Supposons, car cela n’est qu’une hypothèse à ce stade, que les capitalistes monopolistes américains aient été capables de réduire une Russie sous planification socialiste au statut de colonie technique captive ? Ceci ne serait-il pas l’extension logique internationaliste du XXème siècle des monopoles sur les chemins de fer des Morgan et du trust pétrolier des Rockefeller de la fin du XIXème siècle aux Etats-Unis ?

                                                    Mis à part Gabriel Kolko, Murray Rothbard et les révisionistes, les historiens n’ont pas du tout été alertes quant à une telle combinaison d’évènements. L’historiographie, à de rares exceptions près, a été forcée dans la dichotomie capitalistes contre les socialistes. L’étude monumentale et lisible de George Kennan sur la révolution russe maintient de manière consistante cette fiction de la dualité entre Wall Street et le bolchévisme. “La Russie quitte la guerre” n’a qu’une seule référence incidentelle à la firme J.P Morgan et aucune référence du tout concernant la Guaranty Trust Company ; et pourtant, ces deux organisations sont abondemment mentionnées dans les dossiers du Département d’État (NdT : le ministère des affaires étrangères américain), auxquels de fréquentes références sont faites dans ce livre, toutes deux étant partie des preuves principales présentées ici. Aucun de l’auto-incriminé “banquier bolchévique”, Olof Aschberg ni la banque Nya Banken de Stockholm ne sont mentionnés dans la recherche de Kennan et pourtant tous deux furent essentiels au financement bolchévique. De plus, , dans de circonstances mineures mais néanmoins cruciales, du moins cruciales pour notre développement, Kennan a commis des erreurs factuelles. Par exemple, Kennan cite le directeur de la banque de la réserve fédérale William Boyce Thompson comme quittant la Russie le 27 Novembre 1917. Cette date de départ rendrait physiquement impossible la présence de Thompson à Pétrograde le 2 Décembre 1917 d’où il transmît un télégramme de demande d’un million de dollars à Morgan à New York. Thompson en fait quitta Pétrograde le 4 Décembre 1917, deux jours après avoir envoyé le télégramme à New York. Là encore, Kennan fait état du fait que le 30 Novembre 1917, Trotsky fît un discours devant le soviet de Pétrograde dans lequel il observa : “Aujourd’hui, j’ai avec moi ici à l’institut Smolny, deux Américains en relation étroites avec les éléments capitalistes américains”. D’après Kennan, il est “difficile d’imaginer “ qui d’autre “auraient pu être” ces deux Américains, “sinon Robins et Gumberg”. En fait, Grumberg n’était pas américain mais russe. De plus, comme Thompson était toujours en Russie le 30 Novembre 1917, alors les deux Américains qui visitèrent Trotsky étaient plus certainement Raymond Robins, un promoteur minier devenu bon samaritain et… Thompson de la réserve fédérale de New York.

                                                    La bolchévisation de Wall Street était connue dans les cercles informés dès 1919. Le journaliste financier Barron enregistra une conversation avec le magnat du pétrole E.H. Doheny en 1919 qui mentiona spécifiquement trois financiers importants, William Boyce Thompson, Thomas Lamont et Charles R. Crane :

                                                    A bord du SS Aquitaine, soirée du Vendredi 1er Février 1919.

                                                    J’ai passé la soirée dans la suite des Doheny. Mr Doheny a dit : “Si vous croyez en la démocratie, vous ne pouvez pas croire au socialisme. Le socialisme est le poison qui détruit la démocratie. La démocratie veut dire des opportunités pour tous. Le socialisme fait croire qu’un homme peut quitter son travail et être mieux loti. Le bolchévisme est le fruit véritable du socialisme et si vous lisiez les témoignages intéressants devant les comités du sénat vers la mi-Janvier qui montrèrent tous ces pacifistes et faiseurs de paix comme des sympathisants de l’Allemagne, des socialistes et des bolchéviques, et vous verriez que la majorité des professeurs d’université aux Etats-Unis enseignent le socialisme, le bolchévisme et que cinquante-deux de ces professeurs étaient dans des comités pacifistes en 1914. Le président Eliot d’Harvard enseigne le bolchévisme. Les pires des bolchéviques aux Etats-Unis ne sont pas seulement les profs d’université dont le président Wilson fait partie, mais les capitalistes et les femmes de capitalistes et aucun ne semble savoir de quoi ils parlent. William Boyce Thompson enseigne le bolchévisme et il va sûrement convertir Lamont de JP Morgan and Co, Vanderlip est un bolchéviste ainsi que Richard Crane. Beaucoup de femmes rejoignent le mouvement et ni elles ni leurs maris ne savent de quoi il retourne ou ce à quoi cela mène. Henry Ford en est un autre, ainsi que la majorité de la centaine d’historiens que Wilson a emmené à l’étranger avec lui avec cette idée insensée que l’histoire puisse enseigner à la jeunesse une juste démarcation des races, des gens et des nations géographiquement.”

                                                    En bref, ceci est l’histoire de la révolution bolchévique et de ce qui s’ensuivît, mais une histoire qui se démarque de l’approche traditionnelle des capitalistes contre les communistes. Notre histoire postule un partenariat entre le capitalisme international monopoliste et le socialisme révolutionnaire international pour servir leur bénéfice mutuel. Le coût humain final de cette alliance est retombé sur les épaules du citoyen russe, du citoyen américain. L’entreprenariat a été discrédité et le monde a été propulsé vers une planification socaliste inefficace comme résultat de ces manœuvres monopolistes dans le monde de la politique et de la révolution.  »



                                                  • CN46400 CN46400 9 octobre 2013 12:56

                                                    Pas la peine de chercher, l’eau tiède a déjà été inventée. Le « bourgeois décadent K Marx » vivait de sa plume qui produisait des articles que des journaux allemands d’abord, américains plus tard, achetaient à un bon prix pour meubler leur pagination. En cas de besoin un ami capitaliste, qui possédait des filatures en Allemagne et aussi en Angleterre, nommé Engels, assurait les fins de mois ! Tout cela est connu depuis belle lurette.


                                                  • soi même 9 octobre 2013 14:01

                                                    L’histoire convenue est une farce, il y a des étude un peut plus fouillé que votre vérité orthodoxe communisme !
                                                    « D’où Karl Marx tenait-il son argent ? De quoi vivait-il ?

                                                    On découvre en enquêtant que ses fonds provenaient principalement de quatre sources, et que chacune de ces quatre sources peut être reliée aux élites régnantes d’Allemagne et des États-Unis. L’intermédiaire chargé du financement de l’impression du « Manifeste » n’était autre que Jean Laffite, un pirate de Louisiane qui, entre autres occupations tardives, espionnait pour le compte de l’Espagne et jouait le rôle d’émissaire pour un groupe de banquiers américains.

                                                    Dans son journal (The Joumal of Jean Laffite l’histoire du pirate-patriote par lui-même, New York, Vantage Press,1958, p. 126), Jean Laffite évoque son travail clandestin d’émissaire de banquiers américains. Par ailleurs, il mentionne en date du 24 avril 1848 :

                                                    « Mes entrevues étaient brèves mais directes. Je vivais à Paris dans la demeure de M. Louis Bertillon, et parfois dans des hôtels. Je rencontrais M. Michel Chevreul, M. Louis Braille, M. Augustin Thierry, M. Alexis de Tocqueville, M. Karl Marx, M. Frédéric Engels, M. Daguerre et bien d’autres encore... Personne ne connaissait les vraies raisons de ma mission en Europe... destinée à financer deux jeunes hommes, Mr Marx et Mr Engels, afin de les aider à déclencher la révolution des ouvriers du monde entier… »

                                                    Ainsi, nous y voilà. Jean Laffite était l’agent de banques américaines intéressées à financer « le Manifeste du parti Communiste » de Karl Marx. Jean Laffite écrivit longuement à son ami artiste De Franca, de Saint-Louis dans le Missouri, à propos du financement de Marx. Des lettres dans son journal en font état (celle du 29 septembre 1847 en particulier).

                                                    La seconde source américaine de financement de Karl Marx était un certain Charles Anderson Dana, le rédacteur en chef du New York Tribune, que possédait Horace Greeley. Dana et Greeley étaient tous deux fraternellement associés à Clinton Roosevelt. Dana engagea Marx afin qu’il écrive pour le New York Tribune, ce que Marx fit à travers plus de 500 articles qui s’échelonnèrent sur dix ans, de 1851 à 1861.

                                                    La principale source allemande de financement de Marx provenait de son associé, Friedrich Engels, fils d’un riche industriel du coton de Brême et pourvoyeur de fonds destinés à Marx durant de nombreuses années.

                                                    Plus surprenants sont les subsides versés à Marx par l’élite prussienne. Karl Marx avait épousé Jenny von Westphalen. Le frère de Jenny, le baron Ferdinand von Westphalen, était le ministre prussien de l’Intérieur (contrôlant les services de police), alors que Karl faisait l’objet d’une « enquête » de la part des services en question.

                                                    En d’autres termes, le beau-frère de Marx était chargé d’enquêter sur les activités subversives. D’année en année, la famille von Westphalen soutint activement Marx. Pendant 40 années, Demuth, la servante de Marx, fut payée par les von Westphalen. Deux des premiers essais de Marx furent écrits dans l’immeuble de rapport des von Westphalen à Kreuznach, l’argent issu de cet immeuble étant laissé à Marx.

                                                    En bref, des banquiers américains à l’aristocratie allemande, Marx était abondamment financé pour son « Manifeste » et les écrits qui ont suivi.   » .

                                                    En même temps il y a un livre à me pas mettre dans tous les mains.

                                                    karl marx et satan de richard wurmbrand

                                                    Cela risquerait de dégriser les naïfs !


                                                  • CN46400 CN46400 9 octobre 2013 19:37

                                                    Si je vous comprends bien, non seulement Marx est un sociologue éminent, un économiste indépassable, un philosophe remarquable, mais c’est aussi un grand personnage de roman. C’est un peu trop pour un seul homme ?


                                                  • soi même 9 octobre 2013 20:47

                                                    @ CN46400, n’est non soit plus terre à terre, c’est un aigris !
                                                    Car à part écrire et pensé , quel sont ses actions remarquable qui pourrait dire qu’il avait de la compassion ?


                                                  • eric 9 octobre 2013 12:50

                                                    Cet appel aux « superstructures idéologiques » pour justifier de beauté communistes potentielles et qui seraient pour le moment encore inexplorées, ne résiste pas a l’analyse marxiste la plus elementaire....

                                                    Toutes les expériences allant dans ce sens ont été porte sur le seul plan qui compte, celui des infrastructures économiques, du réel materialiste, par des classes moyennes lettrées, insatisfaites et prédatrices, voulant imposer leur vision du monde minoritaires aux peuples et a leurs frais.

                                                    A ce stade, on ne peut plus parler d’incident historique. Du reste Staline, lenine mao and co ne comptent pas. Le contexte, guerre, guerre civile explique beaucoup de chose. Certains coco vont meme jusqu’a admettre du bout des levres que ce ne seraient pas des modeles, voir qu’eux, auraient le droite d’en faire un critique constructive. Heureusement, on a « le socialisme reel » La vraie verite du vrai communisme, c’est Brejnev, les mêmes catégories sociales, a partir des mêmes modèles, des mêmes lectures, des mêmes idéaux, parviennent a mettre a genoux sur a peu prêt tous les plans, sauf armée et espace, de grands peuples evolues et formes, riches des premières ressources naturelles de la planete. A ressources inferieures, meme les cheiks arabes ont fait mieux....

                                                    Tous ce que l’on nous propose pour rendre compte de ce phénomène énorme, c’est le concept de capitalisme monopolistique d’État. Un peu leger pour expliquer comment les mêmes lettres insatisfait de la classe moyenne bercée de marxisme éviteront les mêmes dérives....
                                                    Au moins, les pères historiques avaient des tentatives d’explication.... Quand on leur faisait remarquer que « l’avant garde du prolétariat » de Marx a Lenine en passant par Louise Michel, c’était toujours sans exception des petites bourgeois frustres dans leurs ambitions, ils reconnaissaient des « exceptions qui confirment la règle ».

                                                    Quand on sait que ce sont exactement les mêmes catégories sociales qui ont porte la montée du national socialisme, on ne peut que conclure que le communisme sous toutes ses formes est bien l’idéologie mortifère qui touche les classe moyennes angoissées quand leurs statut sont menaces.

                                                    Les tentatives de rhabiller ce fait historique sont pathétiques. Notamment mouiller Ellul, qui plaçait la figure du Christ rédempteur au centre de toute sa pensee, laisse reveur sur les conseil de l’auteur de lire certains auteurs.....


                                                    • CN46400 CN46400 9 octobre 2013 13:06

                                                      «  Quand on leur faisait remarquer que « l’avant garde du prolétariat » de Marx a Lenine en passant par Louise Michel, c’était toujours sans exception des petites bourgeois frustres dans leurs ambitions, ils reconnaissaient des « exceptions qui confirment la règle ». »


                                                      Ouais il existe des « petits bourgeois » de tous les calibres : Frustrés, ambitieux, lèches culs, vaniteux etc.... et aussi révolutionnaires, milles excuses, mais c’est ceux là que je préfère !

                                                    • eric 9 octobre 2013 17:46

                                                      Je n’en doute pas une seule seconde et c’est bien pourquoi je prétends que le communisme en tant que forme politique issue d’une pensée marxiste construite est mort....


                                                    • CN46400 CN46400 9 octobre 2013 19:31

                                                      Vite, il faut intervenir auprès des diverses officines de la bourgeoisie qui dépensent des montagnes de dollars pour dénoncer le communisme qui, d’après elles, envahit sournoisement toutes les société de la planète à coup de sécurité sociale, d’indépendance énergétique, de souveraineté alimentaire etc..etc. Dites leur que le spectre est mort et enterré, elles ne le savent pas, on pourrait faire de si belles choses avec tout cet argent.....


                                                    • franc 9 octobre 2013 17:23

                                                      J.P Liabrès ,je pense que vous vous trompez sur le sens du mot bourgeoisie qu’emploie Marx ;vos citations sont tronquées et hors contexte .

                                                      quand Marx parle de bourgeois c’est au sens de bourgeois capitaliste, de banquiers ,de financiers spéculateurs ,de ceux qui possèdent l’argent tout en n’étant pas créateur et qui exploitent indûment et abusivement grâce au pouvoir que lui donne son capital le travail et la création des autres à son profit personnel maximum ;Il ne parle pas du petit artisan ou m^me grand entrepreneur qui a créé sa propre entreprise en tant que tel ,du professeur d’école ou d’université ou d’un ingénieur ou d’un savant . Un poète ,un artiste , un écrivain , unchercheur, un philosphe peut être considéré comme un travailleur autant qu’un ouvrier , un ingénieur un professeur d’université s’ils sont réellement compétent en exerçant leur vocation ,et m^me faisant partie du prolétariat s’ils sont aussi exploités ou subissant des injustices autant que les ouvriers ,les travailleurs manuels .Le travail intellectuel est autant estimable et utile qu’un travail manuel et vice versa .C’est donc que quand Marx combat la bourgeoisie il faut entendre que Marx combat l’esprit bourgeois ou la mentalité bourgeoise de l’appât mesquin de l’argent qui prime sur tout le reste ,de l’idolâtrie de l’argent considéré comme la valeur suprême et absolue ,comme un but et non comme moyen , et qui d’ailleurs touche toutes les couches de la société ,de la plus basse à la plus haute .

                                                       

                                                      L’esprit bourgeois c’est l’esprit capitaliste ,l’esprit pharisien et clérical qui sévit aussi bien dans les temples laïcs que dans les temples religieux ;Jésus aussi combat cet esprit bourgeois en chassant les marchands du temple ou en fustigeant les pharisiens et les cléricaux .

                                                       


                                                      • soi même 9 octobre 2013 17:48

                                                        L’esprit bourgeois, c’est celui a comme préoccupation prenière de se complaire dans le confort matériel et social, qui développe un égoïsme catégorielle, qui consiste du moment qu’il a les moyens que tous ceux qui non sont pas égaux à sa situation doit être au service de ses appétences et de ses désirs de jouissance, de la recherche de l’excellence, de l’érudition stérile, de la rareté des produits  ! Il y a aussi une autre forme qui prend l’apparence de anticonformisme et qui deviens le bourgeois bohème, et Karl Max est par excellence un exemple typique.


                                                      • franc 9 octobre 2013 18:13

                                                        Soi-m^me n’essayez pas de diffamer ,de calomnier et de diaboliser Karl Marx en le traitant d’affreux capitaliste soutenu par les gros banquiers américains ,vous n’y arriverez pas ,comme n’ y sont pas arrivés les pharisiens juifs de diaboliser Jésus en le traitant de Béezéboul .Vous l’accuseriez de pédophilie comme on l’a fait à Jésus que je m’en foutrais .

                                                        Marx a été journaliste pour gagner sa vie et il a bien fait de le faire car il a la compétence pour cela en étant un penseur et un bon écrivain ,vous ne voulez tout de m^me pas qu’il fasse la manche comme un clochard ;Et quand bien m^me il aurait travaillé pour des patrons capitalistes il n’a pas été tendre envers ces patrons capitalistes c’est le moins que l’on puisse dire et n’a pas trahis sa pensée ,à sa place je ferais de m^me et m^me je piquerais l’argent aux patrons capitalistes sans mauvaise conscience

                                                         

                                                        Et Marx a été aidé par son ami Engel ,riche héritier d’un industriel ;Et alors quelle faute y at-il à hériter de son père qu’il soit riche ou non , un entrepreneur industriel n’est pas nécessairement un gros et sale bourgeois capitaliste au sens marxiste du terme ,et ce n’est pas lui qui a fait les lois , d’autant plus qu’il a utilisé cet héritage pour de bonnes causes,bravo donc à Engel et merci infiniment à lui et à Marx

                                                         

                                                        Quelle que soit l’origine des fonds qui a permis l’élaboration et la diffusion du Manifeste du Parti Communiste ,celui-ci n’en reste pas moins le plus grand livre de libération humaine comparable à l’Evangile ;L’important est que le Manifeste existe tout comme l’Evangile écrit pour l’éternité

                                                         

                                                        Le marxisme comme le christianisme vivra éternellement comme les vérités qu’elles contiennent ;car une vérité n e peut pas mourir , une fois établie elle est éternellement 

                                                         

                                                        Vive Marx ,vive Jésus----------------------- m^me morts corporellement ils vivront éternellement en esprit .Les prophètes ne meurent jamais .

                                                         


                                                        • soi même 9 octobre 2013 19:35

                                                          @ Franc, soit de ton temps Marx est mort, ce que l’on a retenue de lui sa a foirer, il est temps de tourné la page.
                                                          Marx est devenue une aberration, car pour le comprendre il y a pas de culte à lui rendre, si son diagnostique est juste, ses solutions on crée beaucoup de souffrance pour aboutir à une caricature social !

                                                           


                                                        • Karash 9 octobre 2013 19:49

                                                          Un illuminé qui croit faire un hommage à Marx en plaçant la véracité de ses écrits au niveau de la parole religieuse.

                                                          Si ce n’était pas le fruit d’une inculture et d’une bêtise aussi crasse (en clair, si c’était ironique), ce serait hilarant.


                                                        • franc 9 octobre 2013 21:37

                                                          Toute vérité est religieuse car la vérité est produite par la raison universelle transcendnate et la définition de la religion c’est d’être reliée à une transcendance ,étymologiquement religion vient de religere c’est à dire relié

                                                          et la vérité fondée sur la raison est de tout temps ,est-ce que la lutte contre l’injustice est dépassée ,est-ce que le combat contre l’exploitation d e l’homme par l’homme n’est plus de ce temps ,je ne le pense pas ;le combat pour la libération humaine est de tout temps ,il existe depuis l’origine de la création et ne se terminera qu’à la fin des temps.

                                                          Marx est mort mais ses écrits restent et ne sont pas encore complètement ou qu’imparfaitement appliquées et d’ailleurs le fait que le capitalisme triomphe encore aujourd’huis est en parfaite adéquation avec ses écrits ,il n’ a jamais dit que le communisme s’installera facilement dans un futur proche et sans résistance acharnées des forces individualistes et collectiviste capitalistes dans la nature m^me des choses et qui remportent sûrement encore beaucoup de batailles mais néanmoins ne gagneront jamais la guerre comme le mal contre le bien

                                                          Non je ne serais jamais de ce temps où triomphe le capitalisme financier et meurtrier ,et jamais je ne tournerai la page du socialisme marxiste ,chrétien et platonicien du moins tant que j’aurais encore une once de conscience de la vérité et de l’honnêteté .Les solutions du marxisme ne crée pas de souffrance puisqu’elles n’ont pas encore été rationnellement , complètement et parfaitement appliquées comme l’enseignement du christianisme ,au contraire ce sont les méfaits du capitalisme sauvage et maffieux qui emp^che et sabotent le vrai et authentique socialisme qui créent les soufrances ,les misères et les morts ;la caricature sociale on la voit là aujourd’huis dans tous les pays capitalistes qui sèment la division ,la haine , la violence ,la guerre et la misère

                                                           

                                                          bien sûr il faut contextualiser ,historiciser et appliquer ses écrits avec les conditions de développement d’aujourd’huis ,mais l’esprit est le m^me pour la libération humaine car l’esprit marxiste n’est rien d’autre qu’un rationalisme et un rationalsime transcendant obéissant à la Raison .

                                                          Le marxisme est un matérialisme historique et un socialisme scientifique et donc il faut l’appliquer dans les termes des prémisses des conditions réelles et actuelles ,c’est un long processus de développement et de progrès qui s’étale sur tout le cours d e l’histoire suivant le sens de l’histoire 


                                                          • franc 13 octobre 2013 20:54

                                                            pour la compréhension de l’esprit bourgeois selon Marx on en trouve un exemple dans ce passage du capital où il parle de l’économie politique bourgoeise c’est à dire de l’économie politique selon l’esprit bourgeois :

                                                             

                                                            « ---------------------quant à nos économistes ,ils n’ont pas de chance .tant qu’ils pouvaient faire de l’économie politique sans arrière pensée ,le milieu social qu’elle présuppose leur manquait .En revanche ,quand ce milieu fut donné,les circonstances qui en permettent l’étude impartiale ,m^me sans franchir l’horizon bourgeois ,n’existaient déjà plus ;En effet ,tant qu’elle est bourgeoise ,c’est à dire ,qu’elle voit dans l’ordre capitaliste non une phase transitoire du progrès historique ,mais bien la forme absolue et définitive de la production sociale,l’économie politique ne peut rester une science qu’à condition que la lutte des classes demeure latente ou ne se manifeste que par des phénomènes isolés .-----------------

                                                            Prenons par exemple l’Angleterre .la période où cette lutte n’y est pas encore développée y est aussi la période classique d el’économie politique ;Son dernier grand représentant ,Ricardo ,et le premier économiste qui fasse délibéremment de l’antagonisme des intérêts de classe ,de l’opposition entre salaire et profit ,profit et rente ,le point de départ de ses recherches ;cet antagonisme ,en effet inséparable de l’existence m^me des classes dont la société bourgeoise se compose ,il le formule naïvement comme la loi naturelle ,immuable de la société humaine ;c’était atteindre la limite de la science bourgeoise ne franchira pas ;la Critique se dressa devant elle ,du vivant m^me de Ricardo ,en la personne de Sismondi. »

                                                             

                                                             

                                                            On voit que l’esprit bourgeois imprègne la science économique bourgeoise lorsqu’il voit comme le dit Marx « dans l’ordre capitaliste non une phase transitoire du progrès historique ,mais bien la forme absolue et définitive de la production sociale » ainsi que les lois économiques de Ricardo présentées comme des lois naturelles

                                                             

                                                            Bien sûr l’esprit bourgeois ne s’imprime pas seulement dans l’économie politique mais aussi dans toutes les sphères de la science sociale qui se traduit par une « morale bourgeoise » ;Un exemple récent avec l’affaire du mariage pour tous où l’esprit bourgeois décrète comme loi naturelle et forme absolue et définitive de la production sociale et non comme un e phase transitoire de celle ci à un moment donné de l’histoire humaine ,que le mariage c’est seulement entre un homme et une femme .

                                                             

                                                            La morale bourgeoise dans ce qu’elle a de négatif et de liberticide ,contraire à l’épanouissement de l’être humain et à sa dignité est la production du pharisianisme et du cléricalisme que Jésus à son époque a combattus jusqu’à donner sa vie.

                                                            Le capitalisme ,c’est l’argent pour l’argent ,

                                                            le pharisianisme c’est la morale pour la domination et l’orgueil (moralisme)

                                                            le cléricalisme c’est le pouvoir pour le pouvoir

                                                             

                                                            l’esprit bourgeois est composé de ce triptyque :---------------capitalisme ,pharisianisme et cléricalisme .

                                                             


                                                            • Erdal 10 février 2015 17:53

                                                              « Avez-vous lu Marx, Gramsci, Proudhon, Bakounine, Jaurès, Lasalle, Rosa Luxembourg Castoriadis, Ellul, etc. avez-vous vu quelque part un grand théoricien de cette large mouvance qu’est le socialisme préconiser et appeler « communisme » une économie planifiée et administrée par une bureaucratie ? Où avez-vous été pêché cela ? »

                                                              Chez Marx pardi !

                                                              « Le prolétariat se servira de sa suprématie politique pour arracher petit à petit tout le capital à la bourgeoisie, pour centraliser tous les instruments de production entre les mains de l’État, c’est-à-dire du prolétariat organisé en classe dominante 19, et pour augmenter au plus vite la quantité des forces productives. » (Le Manifeste du PC, 1848)

                                                              « La centralisation nationale des moyens de production deviendra la base nationale d’une société formée par des associations de producteurs libres et égaux. » (La nationalisation de la terre, 1872)

                                                              Mais bon vu comme vous le dîtes c’est sûr que ça fait moche. Je pense que vous devriez assumer au lieu de lyncher le vrai socialisme main dans la main avec les capitalistes.

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON

Auteur de l'article

Robert GIL

Robert GIL
Voir ses articles







Palmarès