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Les Antigones

« je suis née pour partager l’amour et non la haine » tel est le slogan des Antigones mouvement réunissant des jeunes femmes vêtues de blanc qui prônent un retour aux valeurs traditionnelles, la « complémentarité » de l’homme et de la femme, la « nature de la femme tournée vers la vie » ou encore une haine farouche du « gender ». 

Elles acceptent les hommes qui peuvent participer à leurs travaux ou encore les soutenir dans leur démarche mais ces messieurs sont avertis que le Mouvement Antigone souhaite demeurer un espace d’expression féminine.

 Les Antigones ont émergées au moment de la Manif pour tous « Parce qu’un petit garçon va devenir un homme et une petite fille une femme, tout le monde sait ça ! » Voilà comment Mathilde une Antigone justifie sa participation à la manifestation.

 Suite à l’infiltration et un mouvement de force contre les Femen, elles vont entrer sur le devant de la scène médiatique.

Si plusieurs membres du mouvement ont été reconnus comme étant des sympathisantes ou des militantes du groupe extrême droite Bloc Identitaire, les Antigones se disent apolitiques et pourtant sur leur site, les Antigones font la propagation des « 10èmes rencontres de l’espérance » soirée en présence de Madeleine Bazin de Jessé : Porte-parole, co-fondatrice et co-animatrice des Veilleurs, Jean Herbottin du Site « Le Rouge et le Noir  » gazette en ligne catholique de ré information ainsi que Eric Martin : Rédacteur en chef de  » Nouvelles de France  » portail qui se revendique comme libéral-conservateur. Les Antigones se déclarent pourtant apolitiques et pas forcément catholiques.

 

Sur le plan théorique, le féminisme propose un corpus de textes et de publications non unifié : des réflexions de bon sens y voisinent avec des aberrations fantaisistes, parfois criminelles, et des dérives idéologiques ou commerciales, néanmoins intéressantes à examiner sur les plans littéraire, psychologique ou sociologique. On y trouve donc le meilleur et le pire (…)

 Certains pays du nord sont à l’avant-garde du féminisme radical et s’illustrent par des initiatives surréalistes, comme l’interdiction faite aux hommes d’uriner debout dans les toilettes publiques, ou ces enfants élevés dans l’ignorance de leur identité sexuelle, cobayes d’une expérimentation d’un flou identitaire psychotique provoqué. En outre, la composante « victimaire » du féminisme se prête aisément à une récupération par la propagande de guerre, comme le démontre l’invention du pinkwashing, démarche argumentative qui consiste à légitimer moralement l’agression militaire de tel pays sous le prétexte qu’il ne respecterait pas les « droits des femmes » ou des « homosexuels ». On pense notamment à l’invasion de l’Afghanistan par les armées occidentales ; armées présentées comme libératrices mais qui ont déjà tué plus de femmes que tous les Taliban réunis.

(…)

Quant au slogan de l’émancipation féminine, il a surtout servi aux lobbies du tabac ou pharmaceutiques à vendre des cigarettes (Bernays) et des moyens de contraception invasifs et pathogènes, comme la pilule chimique et les avortements de confort, qui arrangent surtout les hommes et qui mettent en danger la vie de millions de femmes. L’historien de la publicité Stuart Ewen montrait dès les années 1970 comment le féminisme et le jeunisme furent lancés dans les années 1920 aux USA pour soutenir l’émergence de la société de consommation naissante, évidemment au prix de tout l’éventail des souffrances directes et indirectes induites par le consumérisme : addictions diverses, épidémie de violences conjugales, de divorces, de dépressions, de suicides, de maladies psychosomatiques, etc. L’alliance du féminisme et du capitalisme est également disséquée par la sociologie non conventionnelle : Michel Clouscard, Jean Baudrillard, la « théorie de la Jeune-Fille » de Tiqqun, et en littérature Michel Houellebecq ou Photographies d’un hamburger de Lucien Cerise, ainsi que chez des psychanalystes s’exprimant peu en dehors de leur milieu socioprofessionnel. Un premier bilan montre donc que, comme l’ensemble du dispositif rhétorique de la « victime », le féminisme peut avoir du sang sur les mains. »

A leur décharge, il est vrai qu’il y a plus important comme combat qu’interdire à ces messieurs d’uriner debout mais, sous-entendre que l’invasion en Afghanistan a eu lieu pour défendre les femmes et les homosexuels opprimés par les Talibans, il fallait oser. Elles parlent d’avortement de confort dans un pays où le des femmes se sont battues pour avoir le droit de disposer de leur corps comme elles le désirent et où l’on n’avorte pas plaisir mais par choix qui se doit d’être respecté. Associer féminisme et dépressions, suicides, violences conjugales est une totale aberration.

Au sujet de la pilule, les Antigones pensent qu’elle est n’a fait qu’encourager l’acte sexuel faisant ainsi la symbolique de la nuit de noces. Elles vont même plus loin en affirmant : » Après avoir écarté l’imaginaire de l’attente, l’idéologie dévalorise l’acte sexuel en le réduisant à un acte d’usage, à la consommation (du plaisir). »Elles encouragent clairement les femmes à apprendre à connaître leurs cycles pour ainsi ne pas avoir à prendre la pilule.

 

Il suffit de lire le manifeste des Antigones pour comprendre que tout ce qui a attrait au féminisme n’a pas lieu d’être dans notre société. Voici quelques extraits

« Nous voulons réfléchir à ce que les femmes peuvent apporter à la société et non simplement à ce qu’elles peuvent en retirer pour elles-mêmes ».

« (…) Nous construisons notre démarche sur le complément des sexes. Décidément, non, la femme n’est pas un homme comme les autres. »

« Nous Antigones, privilégions la légitimité sur la légalité. Si des lois écrites par des hommes outrepassent les lois naturelles c’est-à-dire les normes non écrites qui sont le socle de l’expérience humaine-nous avons le devoir de nous rebeller ».

 Pour les Antigone, les femmes doivent rester à leur place et ne surtout pas chercher à conquérir leur liberté

Les Antigone affirme que la religion est pour elles « le chemin de la liberté et non une oppression « Iseul la militante qui a infiltré les Femens va plus loin en déclarant : « Dans mon esprit il est clair que le christianisme a joué un rôle fondamental dans l’émancipation féminine, et plus largement dans le procès de la personnalisation par l’imitation du protype christique. La christologie est sans doute la plus importante révolution épistémologique dans l’ordre des pratiques sociales. C’est la notion de personne qui a été le plus grand apport en matière d’émancipation humaine. »

Une phrase résume parfaitement le non combat féministe des Antigones :

« Filles de nos pères, épouses de nos maris, mères de nos fils, nous ne rejetons pas les hommes. » Tout est dit…

 


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12 réactions à cet article    


  • Rounga Roungalashinga 15 octobre 2013 09:43

    Même si on peut effectivement reprocher à ces jeunes femmes de se déclarer apolitiques alors qu’elles ne le sont visiblement pas (peu de choses sont purement apolitiques de toute manière), il est légitime de combattre les aberrations idéologiques actuelles qui veulent faire de l’homme et de la femme des êtres interchangeables, dont le genre n’est qu’une construction sociale qui ne doit rien à la biologie. Il n’est pas non plus choquant de se dire «  Filles de nos pères, épouses de nos maris, mères de nos fils », car l’être humain se définit aussi par les relations qu’il entretient avec les autres. Insérer la définition de l’individu dans le cercle de la famille n’est pas le rabaisser, mais l’enrichir. Les périodes où l’on est enfant, célibataire ou parent nous révèlent à nous-mêmes des facettes de notre personnalité qui ne s’expriment pas dans la simple fonction de citoyen qui travaille, qui consomme et qui vote. Et cela n’empêche à personne d’avoir son propre jardin intérieur.


    • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 15 octobre 2013 09:48

      Chaque fois que je lis l’expression « manif pour tous », je ne peux m’empêcher d’y voir une contre-vérité notoire planqué dans un raccourcis bien pratique.
      « Manif contre (le mariage pour) tous » était son nom. C’est à dire « pour certains » ; donc, « contre tous ».

      Après, sur le sujet, quand j’ai emmigré en Angleterre il y a 25 ans, j’ai été choqué de voir sur les imprimés officiels divers : « genre : (tick »male« or  »female« ) ». Merde ! on est pas des bêtes ! Et puis... le temps a passé.
      Mais apparemment des bêtes nous sommes restés, à en lire l’article.
      Allez aider les sdf dans vos quartiers, recyclez au lieu de jeter, unissez au lieu de séparer.
      Là si j’ai bien compris, on sépare pour mieux unir ???
      J’ai mieux à faire et par ailleurs, quand je me masturbe, je le fais généralement seul.


      • Julien30 Julien30 15 octobre 2013 10:05

        C’est un peu confus tout ça....


      • nemotyrannus nemotyrannus 15 octobre 2013 10:24
         « Nous voulons réfléchir à ce que les femmes peuvent apporter à la société et non simplement à ce qu’elles peuvent en retirer pour elles-mêmes ».

        C’est absurde cette idée de complémentarité.

        La victimisation des mouvements féministes et leur manichéisme irraisonné est une plaie à combattre , mais faut avoir les bons arguments en face aussi.

        Quand je suis gentil , quand je suis faible , quand je fais preuve de compassion , ce n’est en AUCUN CAS ma part de féminité qui parle.
        C’est justement un des points interréssants soulevés ou plutôt re-decouverts par certaines féministes.

        PERSONNE n’a le droit de donner arbitrairement des valeurs comme ça aux choses , aux gens et aux sexes.La fréquence non plus n’est pas significative d’une »Nature" puisque ces valeurs changent dans le temps , les lieux et les différents contextes possibles.

        En fait , c’est même donner crédit aux fem. rad dont je parlais au début puisque ce sont les premières à dire que femmes=gentilles hommes=barbares.

        Ces antigones crachent sur les luttes légitimes pour le droit des femmes à la maîtrise leur corps et à avoir une sexualité libre apparemment , le tout pour des raisons divines car elles vont devoir accpeter les dogmes en vigueur du christianisme .
        C’est leur droit de se mettre des chaînes après tout.


        On avait les hommes féministes misandres , voici les femmes masculinistes misogynes... C’est leur droit... C’est triste.


        • Julien30 Julien30 15 octobre 2013 13:43

          « le droit des femmes à la maîtrise leur corps et à avoir une sexualité libre apparemment »

           

          Ce que vous reprochez aux Antigones est d’être contre l’avortement et le fait de coucher à gauche à droite plutôt que de chercher à fonder une famille ? Par ailleurs je ne vois pas en quoi elles seraient misogynes, soit il y a complémentarité entre l’homme et la femme et le féminisme, entre autre, est donc une erreur, soit il y a égalité et alors tout est ouvert, mariage gay, PMA et théorie du genre notamment. 


        • nemotyrannus nemotyrannus 15 octobre 2013 14:35

          Oui , je n’ai rien contre le mariage gay ni contre l’avortement.


          Et la théorie du genre , comme on aime le détourner aujourd’hui pour la casser ou se l’approprier , n’est que la récupération du débat sur l’inné et sur l’acquis.

          On ne peut pas nier que beaucoup de comportements que l’on croyait autrefois naturels et dans l’ordre des choses reposent sur des construction sociales. Qui n’ont rien de « naturels » donc. Et qui changent suivant les contextes.

          Il faut juste démêler le vrai du faux entre les affirmations péremptoires de ceux pour qui tout est naturel et ceux pour qui tout est culturel.
          Dans les deux cas c’est faux.

          La loi est la limite , l’éthique change et l’a changée. 
          Tout est ouvert sinon , en effet .



        • jef88 jef88 15 octobre 2013 12:13

          LOL !
          Les anti gones sont celles qui n’aiment pas les gars de Lyon !
          LOL ! !


          • epicure 17 octobre 2013 00:14

            apolitique qui défendent une idéologie, c’est à dire une logique des idées.
            Dans le débat égalité des sexes contre différenciation des sexes , elles choisissent la différentiation, la vision particulariste.
            Dans le débat autonomie/indépendance contre soumission au biologique, à la tradition , à la religion, elles choisissent la transcendance du biologique et de la tradition religieuse sur l’autonomie des femmes vis à vis de cela.
            Bref elles suivent la logique des idées de la droite réactionnaire/conservatrice.
            Doit on s’étonner après qu’elles tournent autour de l’extrême droite ? pas du tout bien au contraire.
            De la même façon que les féministes qui combattaient pour l’égalité des droits, l’émancipation vis à vis du biologique et de a tradition religieuse se sont positionnées principalement à gauche.
            Mais elles ne devraient pas faire les fières ces antigones annonceuses de malheur, car la situation des femmes quand leurs idées étaient la seule possibilité pour les femmes de l’époque, avant la sécularisation, la seconde guerre mondiale, n’était pas fameux, malgré ce qu’elles clament c’étiat bien d’oppression qu’il s’agissait pour les femmes.

            Petit rappel par une grand mère québecoise du bonheur pour les femmes quand les idées des antigones s’appliquaient avant les luttes féministes , bref quand la logique des idées de la droite réactionnaire s’appliquaient à la société dans sa totalité : :


            Je me souviens que, dans mon jeune âge, nous ne pouvions pas entrer à l’église sans avoir un voile ou un chapeau sur la tête. À cette époque, je me souviens aussi que c’était aussi un péché mortel de manger de la viande le vendredi.

            Dans la même décennie, je me souviens que ma mère a été chassée de l’Église parce qu’après avoir mis au monde quatre enfants, elle ne voulait plus en avoir d’autres. Je me souviens que pour cette raison, le pardon de ses fautes lui était refusé par l’Église à moins qu’elle ne laisse son corps à son mari, avec ou sans plaisir, au risque d’atteindre la douzaine.

            Je me souviens qu’elle a refusé et qu’elle a quitté l’Église comme beaucoup d’autres femmes de sa génération. Je me souviens que ma mère s’est ensuite séparée de mon père et que nous sommes devenus la cible des regards et des commentaires désobligeants de notre paroisse. Cependant je me souviens qu’à la suite de sa séparation, nous avons vu le collet romain sur la table de nuit. Le prêtre voulait-il tester les moyens de contraception de l’heure ?

            Dans la même décennie, je me souviens que la cousine de ma mère a obtenu le divorce et qu’elle a reçu du même coup son excommunication de Rome. Je me souviens que quelques années à peine avant ma naissance, les femmes ont obtenu le droit de vote et en même temps le droit d’être considérées comme des citoyennes à part entière dans la société.

            Je me souviens que lorsque j’étais jeune, nous devions nous aussi, comme pour les religions musulmane et autres, prier sept à huit fois par jour. La messe à tous les matins, une prière avant le déjeuner, une prière en entrant en classe, une au diner sous le coup de l’Angélus, une autre avant la classe de l’après-midi, les grâces au souper, le chapelet en famille avec le Cardinal Léger et une dernière prière avant d’aller au lit. Il y avait le mois de Marie, les Vêpres, etc..

            Nous avions aussi de longues périodes de jeûne avant Noël (l’Avant), avant
            Pâques (le Carême). Je n’ai pas dit non plus que nous devions porter le deuil durant un an et moins selon le degré de parenté de la personne décédée.

            Je me souviens que, tour à tour, ma mère et ma belle-mère ont vu une opération urgente retardée en attendant que leur mari respectif, de qui elles étaient séparées de fait et non légalement, apposent leur signature pour autoriser leur intervention chirurgicale.

            Devenue adulte, je me souviens que grâce aux pressions de la génération précédente, j’ai eu accès aux premiers moyens de contraception qui m’ont permis de restreindre le nombre de mes propres rejetons. Je me souviens aussi qu’il n’était plus un péché de manger de la viande le vendredi. Je ne sais pas ce qui est arrivé à ceux qui sont allés en enfer. J’espère qu’on les a rapatriés.

            Devenue adulte, je me souviens avoir travaillé dans des environnements traditionnellement réservés aux hommes. je me souviens des frustrations de ne pas avoir été traitées au même titre que les hommes dans les entreprises et surtout dans la vie en général.

            Je me souviens qu’après avoir eu un fils, je ne voulais plus d’autres enfants de peur que ce ne soit des filles, par solidarité et parce que le travail qui restait encore à faire pour atteindre l’égalité était énorme.

            Je me souviens des efforts que beaucoup de femmes ont dû déployer pour se faire reconnaître et pour obtenir des postes administratifs de haut niveau. je me souviens du militantisme de beaucoup de femmes qui ont travaillé d’arrache-pied pour obtenir l’équité dans notre pays comme politicienne, au sein des chambres de commerce, des syndicats, du Conseil du statut de la femme, etc.

            Je me souviens qu’il a fallu plus de cinquante ans d’efforts collectifs pour nous libérer de l’emprise de l’Église et de la religion sur nos vies. Je me souviens qu’il a fallu plus de soixante ans (1940 à 2006) pour obtenir l’équité salariale et que ce n’est pas encore fini. Mes soixante ans font que je sais que rien n’est acquis dans la vie et qu’il faut maintenir voire redoubler nos efforts pour ne pas perdre le résultat de tous ces labeurs.

            "


            • Julien30 Julien30 17 octobre 2013 15:32

              Un rapide point de l’évolution de notre civilisation depuis qu’on l’a « libéré » du joug de l’Eglise : avènements du matérialisme, de l’économique principe supérieur à tous les autres et donc la recherche de la richesse comme seul horizon pour le peuple, de l’individualisme, d’une culture, intellectuels et medias malhonnêtes et débilitants, et à côté un peu de sociétal destructeur avec entre autre le féminisme et tout le poison de Marcuse pour finir le boulot en foutant en partie en l’air les relations homme-femme.

              Heureusement que nous nous sommes libérés de l’obscurantisme dis-donc !


            • epicure 17 octobre 2013 21:55

              ça c’est une vision simpliste des choses comme si toute l’évolution de la société s’était faite d’un bloc depuis le 18ème siècle.
              Hors depuis cette période c’est un ensemble de conflits d’intérêts entre divers groupes que ce soit d’opiions ou groupes éconmiques etc..., certains avec des intérêts convergents sur certains points et d’autres divergents.
              De plus si on regarde bien , les gouvernements conservateurs, donc peu portés sur le féminisme, le progrès social ou sociétal ont été souvent au pouvoir dans la plupart des pays, et on servit à la fois le puissances financières en étant copains avec ton église chérie.
              Donc oui pour els femmes le combat féministe a été une aubaine, une libération, elles disposent de plus de liberté au niveau autant familial que professionnel, mais les choses étant ce qu’elles sont les puissances de régressions ont travaillé la société à l’envers pour favoriser l’aliénation de la plupart des gens au système économique et financier.


            • Julien30 Julien30 18 octobre 2013 13:24

              Le féminisme a été amené en premier lieu pour faire entrer les femmes dans le salariat, les éloigner de la vie de famille (je ne dis pas par ailleurs qu’elles ne doivent pas travailler), à créer de l’animosité chez elles envers les hommes et enfin à détourner une partie de la population d’autres combats plus importants. Bref à en faire de bons drones masculinisés (pendant que les hommes sont eux féminisés) pour que l’on arrive finalement au rêve du système : un être androgyne sans repère et sans passé (travail effectué par un autre volet de la propagande, celui travaillant à ce que les gens se détachent de leur culture et en ait même honte), bref du bétail.

              Ceci est un constat évident une fois que l’on a fait un travail sérieux de recherche et de compréhension du sujet, faites-le vous-même et vous verrez que vous serez nettement moins un idiot utile à rabâcher des baratins d’« intellectuels » du système. 


            • 雛罌粟 雛罌粟 4 novembre 2013 23:38

              Julien30 : « un travail sérieux de recherche et de compréhension du sujet, faites-le »

              et, apparemment, vous deviendrez un tantinet complotiste…

              les éloigner de la vie de famille
              […]
              créer de l’animosité chez elles envers les hommes
              […]
              en faire de bons drones masculinisés
              […]
              un être androgyne sans repère et sans passé

              Et sinon, qu’est-ce que vous pensez des prétendus attentats du 11 septembre 2001 ?

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