La Dette immonde ou comment y résister, en Grèce et dans toute l’Europe
Quelques annonces importantes dans le discours de politique générale prononcé par Alexis TSIPRAS ce 8 Fevrier devant le Parlement grec. La confirmation contradictoire que les promesses électorales de Syriza seront tenues et que la Dette sera honorée... mais dans le cadre d'une renégociation.
Une confirmation importante, le gouvernement grec ne demandera pas le prolongement de l'aide, une "aide" qui est conditionnée à l'acceptation de la mise sous tutelle de la Grèce.
Enfin, la Grèce adresse à l'Allemagne une demande de réparations pour ses crimes de guerre et l'emprunt forcé qu'elle a imposé à la Banque Centrale de Grèce avec l'argument juridique recevable qu'un "emprunt" concédé avec un pistolet sur la tempe n'était pas valide.
Il y a une obligation morale envers notre peuple, envers l'Histoire, envers tous les peuples européens qui se sont battus et ont donné leur sang contre le nazisme, une obligation historique à réclamer à l'Allemagne des indemnités de guerre et le remboursement du prêt forcé, a dit M. Tsipras en concluant son discours sur son programme de politique générale devant le Parlement.
Le parti de la gauche radicale Syriza d'Alexis Tsipras réclame une somme d'environ 162 milliards d'euros à l'Allemagne, soit l'équivalent de la moitié de sa dette publique de plus de 315 milliards d'euros.
Le Premier ministre a évoqué la lutte sur ce sujet de l'eurodéputé du Syriza, Manolis Glezos, 92 ans, figure emblématique de la Grèce, qui à l'âge de 19 ans pendant l'occupation nazie avait décroché le drapeau nazi du rocher de l'Acropole.
L’ Allemagne a à plusieurs reprises refusé de payer cette somme à la Grèce en soutenant que cette affaire n'a pas de base juridique et qu'elle a perdu sa légitimité 70 ans après la fin de la guerre.
Un discours modéré et toujours la recherche d'un accord et d'un compromis impossible, aucune des promesses,aussi raisonnables soient-elles ne peut être acceptée par ceux qui veulent saigner la Grèce et contraindre Tsipras à gouverner contre son peuple.
Aucune promesse ne pourra non plus être tenue sans rompre définitivement et déclarer la Dette illégitime.
Les nouveaux dirigeants grecs se trouvent donc dans une situation difficile où ils devront choisir entre affronter leur peuple ou rompre avec l'Union européenne.
Le seul soutien qui vaille, le plus efficace aussi est celui que peut apporter le mouvement ouvrier, en Grèce et dans toute l'Europe à tout acte de résistance de ce gouvernement, à toute mesure allant dans le sens de la rupture, avec la Dette immonde et de la satisfaction des revendications, du rétablissement du peuple grec dans sa dignité.
Le discours d'Alexis TSIPRAS devant le Parlement grec et la “décision irrévocable” de son gouvernement de mettre en œuvre les promesses de campagne “dans leur intégralité“.
Le premier ministre a dit que le gouvernement ne chercherait pas une extension du plan de sauvetage de la Grèce, notant que cela serait équivalent à une “extension d’erreurs et de catastrophes“, et a réitéré les demandes grecques pour une phase de transition
Il s’est engagé à remplacer l’impôt foncier unifié (ENFIA) par une nouvelle taxe sur les grandes propriétés et à remettre en place le seuil d’exonération des revenus à son niveau d’avant crise, soit 12000€ (contre 5000€ aujourd’hui, soit un revenu imposable dès 416,66€/mois).
Il a également promis d’introduire un système fiscal équitable et de sévir contre l’évasion fiscale et la corruption. Les conventions collectives seront également restaurées. Tsipras a également confirmé que salaire minimum retrouvera son niveau d’avant crise -751 euros- progressivement jusqu’en 2016.
Un 13ème mois de retraite sera également versé pour les retraités qui gagnent moins de 700 euros par mois.
“La Grèce ne peut pas être un pays civilisé si des milliers ont faim“. Il promet l’électricité et la nourriture gratuite pour les ménages qui ont été victimes des “mesures barbares” de ces dernières années.
Dans la fonction publique, Tsipras demande la ré-embauche immédiate des femmes de ménage du ministère des Finances, des gardes scolaires et du personnel administratif des universités, notant que cela n’alourdira pas le budget puisque ces ré-embauches remplaceront des embauches prévues pour 2015.
Le premier ministre a également promis de rouvrir ERT, le radiodiffuseur public brusquement arrêté en Juin 2013 par l’ancien gouvernement de Samaras, et va lancer une enquête parlementaire pour déterminer comment la Grèce est entrée dans le mémorandum. Concernant les privatisations, il dit que le gouvernement n’est pas contre l’investissement privé, mais rejette les “ventes massives”, ajoutant que les services publics ne seraient pas en vente.
Le vieux guerrier de SYRIZA, extraits
A 18 ans, en 1941, il dérobait avec un compagnon le drapeau nazi flottant sur l’Acropole dans une opération devenue légendaire.
C’était dans la nuit du 30 au 31 mai 1941 : les Allemands venaient de réduire la dernière poche alliée en Crète et « Hitler a dit dans un discours que "l’Europe est libre". Nous voulions lui prouver que justement, le combat commençait »
« J'ai perdu 118 camarades. Ils ont été exécutés pendant la guerre civile. A cette époque, avant chaque bataille, on se fixait des objectifs, on annonçait nos rêves et nos buts, parce qu'on savait que tout le monde ne reviendrait pas vivant. On voulait que les survivants parviennent à réaliser quelques-uns de ces rêves. Et c'est moi qui ai survécu le plus longtemps »,
Les sources
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46 réactions à cet article
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Le Premier ministre grec insiste sur « l’obligation morale et historique » de réclamer à l’Allemagne des indemnités de guerre et de rembourser le prêt imposé par le régime nazi.
(162 Md€ soit la moitié de la dette grecque !)L’Allemagne a à plusieurs reprises refusé de payer cette somme à la Grèce en soutenant que cette affaire n’a pas de « base juridique » et qu’elle a perdu sa légitimité 70 ans après la fin de la guerre.
Quand on sait la dureté de l’occupation nazi en Grèce...
Mauvaise foi de l’Allemagne de Merkel , les 70 ans n’effacent rien !-
Quand on sait la dureté de l’occupation nazi en Grèce...
Mauvaise foi de l’Allemagne de Merkel , les 70 ans n’effacent rien !c’est bien vrai ça, et à ce petit jeu, on va aller de surprises en surprises
me demande combien vont réclamer les ex pays satellites de la grande dictature du peuple, occupés par les gentilles troupes russes, et le pillage de leurs richesses, ne parlons même pas des polonais, qui ont connu les affres de l’occupation allemande, et de l’occupation russe.
Faudra aussi que les français fassent leurs comptes, l’Algérie, la Tunisie , le Maroc, finalement toute la france afrique, cela risque de faire cher.
Et puis comment indemniser l’esclavage ?ce n’est pas en agitant les vieilles rancunes que les grecs boucleront leurs fins de mois
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Jo le taxi
Super, on va demander nous aussi le pactole : La dette consécutive au traité de versailles, en 1918, et jamais réglé.Les emprunt russes aux russes, et que les soviets avaient soldé.En éspérant que les américains ne nous demanderont pas le fric qu’ils nous ont filé, comme aux grecs, l’aide considérable du plan Marshall, et qui a remis l’Europe debout.Je n’oser imaginer que les allemands oseront demander la restitution des subventions, ( hors crédit) que l’Europe à filé massivement aux grecs.78 milliards d’euros en 30 années, bakchich pour la modernité, ça fait un petit magot quand même.L’Allemagne plus gros contributeur a du bien filer 30 milliards au jugé. On n’est pas à 1 milliard à l’heure de la mauvaise foi.J’ai du mal à être assez naïf pour ne pas me rebeller,et consulter un peu l’histoire, et pas de façon partisane et orientée, avec un oeil borgne... -
me demande combien vont réclamer les ex pays satellites de la grande dictature du peuple, occupés par les gentilles troupes russes
Parles-en aux rescapés des camps nazis libérés par les affreux soviétiques, je suppose que dans ton esprit ils auraient préféré rester dans les camps.
Les dommages de guerres furent réclamés par TOUS les pays occupés par l’Allemagne. Leur dette a été reportée en attente de réunification du pays en 1953. Si bien qu’elle fut le seul pays européen à n’avoir aucune dette après la guerre. (d’où le fameux miracle allemand). Finalement ils n’ont pratiquement rien payé, sinon aux USA qui leur ont piqué la plus grande partie de leur or. -
mais oui, mais oui,
moi je parle de l’occupation soviétique qui a suivi, vous savez ,le rideau de fer.
De ce qu’en disent des ouvriers sur les chantiers, et qui ont connu, ou dont les parents ont connu la dictature du peuple, la dette est incommensurable.
Mes parents ont abrité des réfugiés hongrois, quand les russes, fidèles à leurs coutumes, ont rendu une petite visite à Budapest, mais le temps passe, et on oublie ,heureusement -
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trotinette
Moi,je les trouve plutôt gentils les GrecsIls pourraient traduire les britanniques en justice pour crimes de guerre,au vu du massacre des communistes grecs entre 1946 et 1949Et aussi demander la mise en accusation de la CIA et du gouvernement des Etats-unis pour avoir fomenté la prise du pouvoir par les colonnels et pour l’aide logistique qu’ils ont apportéeaux actes de tortures et d’assassinats commis par les dits colonnelsSi les argentins,les chiliens et tant d’autres en font autant cela ferait un sacré bazar -
vous avez raison, il est temps de faire les comptes
curieux hein, les gens qui sont endettés, ben en fait, ils ont jamais rien demandé, on les a coincé dans un bureau, et ils ont signé.L’argent, ben il a servi à rembourser le garagiste, le proprio,bref , tous les gens qui attendent parfois leur pognon depuis des années... et à vivre quoi, la télé, la ligne ADSL, l’Iphone( on se souvient des « indignés » de Wallstreet se photographiant avec leurs derniers smartphone), bref le minimum quoi.
et vous avez vu, les intérêts, mais c’est une honte.
Et d’ailleurs jamais je ne pourrai rembourser, alors foutez moi la paix.
Bon, si vous aviez 1000 balles ,car là j’ai plus un rond.Notez que cette sortie est bien vue, cela permet d’occuper leurs électeurs avec des rêves, c’est un boulot de politicien.
Les banques ont déjà mangé 120 milliards de papier grec, maintenant, ce sont tous les contribuables de la zone qui vont coopérer, car bien entendu, cela va finir mal, et vous évoquez avec raison une possibilté de voir revenir l’armée, comme toujours quand les cocos foutent le boxon, cela se répète partout, tout le temps, pas de raison que ça change
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Le cas d’école est celui de la dette grecque. Selon les calculs du FMI cités par Le Figaro, le bilan est ridicule. Le montant de la dette grecque, début 2010, avant les plans d’austérité qui devait « sauver » le pays, était de 298 milliards. Après six ans d’austérité, le plan de sauvetage s’est élevé à 350 milliards, entre remise de dette, rééchelonnement et nouveaux crédits. 110 milliards de 1er plan de sauvetage de 2010, 140 milliards de nouveau plan 2012 en cours d’application, 100 milliards de dettes annulées par les banques. Je reviens dans un instant sur ces « annulations ». Restons-en aux comptes globaux. On connaît la solution proposée par le Front de Gauche : que la BCE prête directement à la Grèce pour éponger sa dette. Si on l’avait fait au début, on aurait donc déjà économisé 42 milliards ! Et la Grèce n’aurait pas été martyrisée comme l’a été et comme elle l’est chaque jour sous l’administration allemande de la troïka présente à Athènes. Et maintenant, apprenez ceci que beaucoup d’entre vous ignorent. Quand une banque achète des titres de dette elle ne les range pas dans son coffre. Elle les revend ou les intègre dans des fonds de placement. Les titres de dettes grecs ont été revendus jusqu’à 25 % seulement de leur valeur faciale. La valeur faciale, c’est celle qui est marquée sur le titre. Un titre de dette de cent euros a donc pu être vendu jusqu’à 25 euros seulement à mesure qu’il circulait de main en main. En cous de cycle, une banque a pu racheter 25 euros un titre et le revendre à la banque centrale européenne qui lui achetait 30 ou 50. A chaque tour de piste du même titre, les banques se sont gavées. Et maintenant, ces titres sont dans le bilan de la Banque centrale européenne. Laquelle encaisse les intérêts et réclame le remboursement à la valeur faciale, acheté 25 et exigé à 100, comme un vulgaire fonds vautour.
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voir : LA DETTE, CE QU’ILS NE VEULENT PAS QUE VOUS SACHIEZ !-
Les grecs seraient champions olympiques de l’évasion fiscale.
On dit aussi que les armateurs ( la grèce possède la première flotte commerciale au monde) ne paie pas d’impots, pas plus que le clergé.Rassurez moi, Ca ne doit être qu’une rumeur indigne ! -
@Robert Gil
Merci Robert pour ces informationsDe toutes façons,ces bandits sont sourds à toute argumentation et il n’y a que la force qui puisse les vaincre -
et encore un article qui parle de la dette sans parler du déficit de la balance commerciale...
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Si on taxait la connerie ? ça permettrait de rembourser assez rapidement la dette !
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La Grèce a maquillé ses comptes à de multiples reprises : pour entrer dans la CEE en 1981 puis pour entrer dans la zone euro.
- La Grèce ne prélève pas l’impôt, ou très peu. Le manque à gagner sur la seule TVA est estimée à environ 10 milliards d’euros. La triche permanente.
- L’entrée de la Grèce dans la zone euro a considérablement enrichi les Grecs. Les salaires dans l’industrie qui, entre 2000 et 2009, ont augmenté de plus de 60%...2 à 3 fois plus qu’ailleurs en Europe...Ne parlons pas du salaire délirant des cheminots qui a abouti à ce désastre : coût annuel du petit réseau ferré grec 1 milliard par an, recettes 100 millions.
- La dette grecque a déjà été restructurée. En 2012, les créanciers privés ont fait une croix sur 107 milliards d’euros. Oui 107 milliards..., Alexis Tsipras en veut beaucoup plus. Pourquoi se gêner après tout ?
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Non, les banques responsables de la crise financiaire ont maquillé.
Et qui de la France qui a vendu pour des milliards d’infrastructures à la grèce (voir le pont de Rion)
De l’allemagne qui lui a vendu pour des dizaines de milliards d’arme de guerre, alors que tous savaient ?De fait, grace au plan de sauvetage de l’euro, la grèce est bien plus endetté maintenant qu’elle ne l’était avant l’euro. Merci l’euro !
Dans l’affaire, les marchés financiers c’est à dire l’oligarchie c’est remplie les poches, les comptes en suisse et au bahamas. Et les travailleurs grecs crèvent, comme l’ensemble des travailleurs d’europe de l’euro austérité, c’est à dire de l’Union Européenne du Capital
Il faut sortir de l’UE de l’euro de l’otan et du capitalisme
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D’après ce que je vois, il ne fait pas bon prêter de l’argent à des grecs :
pour ne pas rendre, ils sont prêts à vous traiter de nazis.
Et là, le tour d’Europe de leur champion, c’est pour forcer l’Allemagne à prêter encore, et encore...avec bien sur la perspective de n’être jamais remboursé.
ils sont assez culottés, les grecs.
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« la dette immonde » ; parallèle avec la « bête immonde », ou comment traiter les Allemands d’aujourd’hui de nazis, alors qu’ils ont accepté, contraints et forcés, de sauver la grèce en prêtant.
Et « Rakosky », un digne frère de nos papy boomers en france, qui s’en sont mis plein les poches pendant 40 ans et laissent aux jeunes générations une france ruinée et endettée.
Rats d’égouts, va....
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La Grèce devient le Venezuela mais sans le pétrole....
Lequel des 2 pays passé au Bolchevisme fera faillite avant l’autre ?Les gauchistes. Des poules découvrent une paire de ciseaux !.Que c’est beau de demander aux européens un salaire minimum à 751€ alors que dans la moité de l’Europe il est à moins de 500€.Le salaire minimum en Europe c’est en Estonie, Lituanie, Lettonie, Tchéquie, Hongrie, Croatie, Bulgarie, Pologne entre 200 et 400€......500€ au Portugal.La démagogie gauchiste va se heurter à la réalité. On croirait qu’ils ne savent pas !Nos amis gauchistes sont étonnés !C’est a mourir de rire à quel point ils sont des décalés de la réalité.A vivre en circuit fermé de la fonction publique entre eux, ils ne savent pas comment fonctionne une balance comptable.Vous comprenez ma bonne dame ces vils partenaires Européens, qui ne veulent pas payer alors qu’ils n’ont même pas cela pour eux même 751€.....Que c’est paradoxal ! Quelle bizarrerie ! Que c’est drôle !Et ces vils Allemands leur demander de payer le salaire minimum en Grèce à 751€ alors qu’en Allemagne, ils ont fait l’effort de se passer de salaire minimum avec les Jobs à 1€ le temps d’en terminer avec les déficits publics.Maintenant il est à 1400€.Vous vous rendez compte, ils disent que eux ont fait des efforts et que maintenant qu’ils équilibrent les comptes ils ne veulent pas partager. Ma bonne dame que nous sommes surpris...-
cartapus
Vous détestez Chavez et vous avez bien raison,il ne vous aimait pas non plusCela s"appelle la lutte des classes -
La lutte des classes, mais surtout la lutte d’une classe particulière d’ordures :
https://www.youtube.com/watch?v=Ys3cjJlTcDE#t=524
Ne vous en faites pas, rakosky, ils ont déjà perdu, ils ne feront pas le poids, tous ces parasites vont être balayés.....
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La lutte de’s classe ce concept des gens libres face à ceux qui veulent vivre de leur travail à celui des gauchistes qui veulent vivre du travail d’autrui. Les haineux jaloux frustrés bolcheviques qui ont sacrifié leur libre abrite au mimétisme de soumission à une idéologie primaire.
La lutte entre ceux qui volent ou profitent du vol (politiciens, hommes de l’État, assistés et subventionnés gauchistes en tous genres) et « ceux qui sont volés » (contribuables, entrepreneurs non subventionnés, salariés ponctionnés, etc.), les gauchistes des privilégiés de l"état limités à s’approprier le bien d’autrui sans leur consentement.C’e’st vrai qu’il a que les cons de gauchistes qui croient qu’au a Venezuela c’est le bonheur suprême, sauf qu’ils n’y sont jamais allés. -
mobilisation générale des trolls contre mes articles
Messieurs,dites à vos maîtres ce qu’ils savent déjà et redoutent,le dernier mot ne sera pas prononcé sur un forum,mais dans les rues d’Athènes et de SaloniqueIl faudra un vainqueur à la guerre sociale déclenchée contre les peuples d’EuropeLe FMI,combien de divisions quand la colère des peuples va se déchainer ?-
Mince la colère des peuples ?
Ha bon tu va risquer de perdre ton emploi de planqué de la fonction publique et donner ta démission pour faire la révolution ?Tu va renoncer au privilège d’une retraite comptée sur les derniers mois pour en prendre une calculée sur les 25 dernières années pour faire la guerre sociale ?Tu va faire la guerre sociale et de te libérer de ton vil régime régime spécial ?Tu vasva révolutionner et renoncer à tes bonifications de statutaire ? De privilégié social ?Tu va demander à être égalitaire en droit et compter ta retraite comme celle des ouvriers ?Qu’elle est drôle celle là.Un vrai rigolo révolutionnaire gauchiste qui a dans le froc que les couilles molles d’un assisté de l’état.Bon quand tu fais la révolution tu va demander a ce que l’on te paye tes jours de grève ? Parce que révolutionnaire, oui mais attention impossible sans le statut.Bon paye toi le Billet A/R vers la Grèce mais attention quand t’aura plus de RTT faudra revenir tu risques de perdre des avantages de statutaire gauchiste de l’état. -
sacapus
Vous vous emportez mon ami,nous n’en sommes pas encore au tutoiement .Pour le reste ,je crois avoir vaguement compris que vous avez une estime très relative pour les fonctionnaires,les gauchistes et sans doute encore quelques dizaines de catégories encore mal identifiéesQue votre haine vous tienne chaud cet hiver,toutes mes amitiés à vos proches et vos amisCordialement -
Mais tous les fonctionnaires ne sont pas marxistes...
Ou avez vous vu de la haine ?.Je ne suis pas gauchiste, je n’ai pas besoin d’ennemis pour exister.Ce ne sont que quelques questions posée au gauchiste marxiste à charge de la société et qui se pavane dans des privilèges d’état statutaires et de l’autre crache sur cette société.Quelques questions à ceux qui crachent dans la soupe des rentiers de l’état.La question reste posée.....Mais hélas le gauchiste de service n’a pas la réponse.La gamelle de la rente d’état est trop boLes vrais révolutionnaires RTT ne renoncent jamais aux nobles statuts.... -
Super, il l’a fait !!! demander à l’Allemagne de payer sa dette !!
Mais quand cette dette de l’Allemagne a été effacée, pour qu’elle puisse redevenir l’emmerdeuse de l’Europe, à qui d’autres devait-elle de l’argent ?
J’ai tout à fait confiance en ce mec, c’est un peu comme Mélenchon ; s’il ne réussit pas, il ira flipper tout seul ailleurs et mener une vie ordinaire !
En attendant, Merkel, c’est ça :https://fr.news.yahoo.com/video/ukraine-obama-et-merkel-pr%C3%A9sentent-202633378.html
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Un profond sentiment d’irréel.... !
Le mouvement ouvrier européen !!??
Vous vivez où ?Il y a peu d’ouvriers dans une Europe très tertiarisée.
En leur sein, il y a une large proportion de migrants peu engagés dans quelque mouvement que ce soit et souvent n’ayant pas même le droit de vote.Même sans tenir compte de ce facteur, la principale caractéristique de la catégorie ouvrier en politique c’est l’abstention. Elle baisse. On devait être à 80% et on doit être à 70%.
Dans le cas de la France, on doit être à entre un quart et un tiers qui sont statutairement des fonctionnaire (1,5 millions de mémoire). Ils ont des intérêts de classe et des modalité de vote, des taux d’abstention et de syndicalisation de fonctionnaires.Au sein du reste, les gens, appartenant à la « classe sociale ouvrier », ceux qui votent le font massivement à droite. Pour les jeunes FN. Pour les retraité UMP. Comme la proportion d’ouvrier à baissé régulièrement, elle est par construction plus forte parmi les retraités que parmi les jeunes.
Ce que vous appelez le « mouvement ouvrier » ce sont les syndicats corporatistes des fonctions publiques.
Leurs revenus, leur mode de vie, leurs moyens de travail, leurs retraites, dépendent de notre capacité d’endettement puisqu’elle les finance à la marge.
Ces gens ont fait la preuve de leur égoïsme rapace concernant les pauvres en France. ( le cout pour les finances publiques de leur « journée de carence » par tête de bénéficiaire est de plusieurs fois l’augmentation du RSA et tout est à l’avenant..).Toutes les mesures prises par leur gouvernement depuis trois ans se traduisent par une diminution de l’aide aux plus pauvres pour financer le maintient voir le développement de leurs « avantages acquis ».
Il est complètement irréaliste de compter sur eux pour couper la branche sur laquelle ils reposent afin de subventionner leurs collègues grecs.
Du reste, le pouvoir qu’ils ont élu s’est à la fois réjouit de l’élection grec et a confirmé qu’il ne payerait pas.
SI il doit y avoir une décision démocratique d’aider les Grecs, il est claire que cela ne peut venir que d’autres horizons politiques. D’une certaine manière, le FN est presque plus crédible dans ce domaine.
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J’avais lu un article en son temps, où des lois étaient votées en présence de 3 députés !! Incroyable !
Aux manettes de ce pays c’était un gouvernement fantôme, qui avait fermé autoritairement la télé publique ERT, jetant dans la rue plus de 2000 personnes du jour au lendemain et en ayant soin d’avoir estourbi les fonds de cette chaîne de télé.Je ne comprends pas une chose, pourquoi s’obstiner à faire des prêts à la Grèce à 9% alors qu’il serait possible de lui prêter à un taux bien inférieur, le malade est mis sous perfusion aux soins intensifs mais c’est comme si on soignait une maladie grave en faisant appel à une pédicure !Où est passé l’argent - des millions - de la TV publique ? C’était la 7ème entreprise à rapporter de l’argent à l’Etat, tout a fait pschiit, comment se fait-il que personne ne songe à porter plainte pour détournement de fonds contre certains personnages de l’ancien gouvernement ? ... Je ne comprends pas. Personne ne demande des comptes à ce gouvernement de falsificateurs ? Ne vous trompez pas de mannequins, je lis vos posts colériques, mais ce sont les petites gens qui trinquent, pendant que des voleurs courent toujours.J’apprécie beaucoup la Grèce, c’est un pays que je connais et j’aime les grecs, j’attends beaucoup de ce nouveau gouvernement, pas du tout parce-qu’il est de gauche, ça ne signifie pas grand chose, non c’est surtout son dynamisme qui me fait avoir espoir que cette situation dramatique pour ces dizaines de milliers de gens qui sont à la rue, s’améliore rapidement et que l’Europe des juges et des avocats fassent son travail envers ceux qui ont mis la main dans le pot de confiture, c’est intolérable que ces gens ne rendent pas des comptes vis-à-vis de la Communauté Européenne qu’ils ont bernée
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Où est l’argent ?
Le patron de Syriza est un prof qui était.....conseiller économique de Papandréou.....
Il faudrait lui demander car il a peut être des idées sur ces questions.Bon je sais, les gens peuvent changer. il parait même que Hollande serait devenu président depuis qu’il dépose des gerbes et donne des ordres d’assaut à la place des préfets...mais quand même... !
En tous cas, dans le choix de ses propres conseillers, il reste fidèle au passé. Il y a quelque chose de surréaliste à voir les gauchistes français ( ceux qui font des pieds et des mains dans un louable effort pour contribuer au déclin de la langue française, pour qu’on les appel gauche de gauche) soutenir bec et ongle la banque Lazard et ses préconisations......
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Où est passé l’argent ?
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Il se trouve sur des comptes offshore et les paradis fiscaux, ce sont les riches Grecs qui ont falsifié, pillé et dissimulé les finances publiques avec l’aide de la troïka, de Goldman sachs et demandent maintenant au peuple de payer.... Comme partout en occident d’ailleurs, mais là c’est une vraie caricature.... -
AirwickAprès Ajax le chevalier blanc,voici Airwick venant purifier les latrines de l’Union européenne.En pleine affaire Swissleaks,voila qui tombe plutôt mal,selon les gauchistes de TF1 les sommes détournées seraient l’équivalent du double de la Dette de la GrèceQuant aux grecs,il suffit de se balader dans les rues d’Athènes pour voir que ces cochons sont vautrés dans l’or volé à nos gentils banquiersUne information au passage,le groupe parlementaire de Syriza avait voté contre le « prêt » consenti à la Grèce,soupçonneux comme ils sont ils expliquaient que ce prêt ne servirait qu’à asservir la Grèce et que pas un seul grec n’en verrait la couleurMonsieur,dans l’un de vos belliqueux commentaires vous ironisez sur l’existence d’un mouvement ouvrier européen,ce à quoi je vous répondrai par une simple questionPour quelle mystérieuse raison la totalité des plans et mesures annoncés et appliqués sont-ils exclusivement dirigés contre les salaires,les retraites,les statuts,les conventions collectives et les régimes de sécurité sociale ?Si vous doutez de l’existence d’un mouvement ouvrier,les capitalistes n’ont que des certitudes sur ce point,une certitude qui tourne au fanatisme et à l’acharnement contre ceux qui vivent de leur travail et dont le salaire est le seul revenu -
Ben oui où est l’argent ?
Il faut qu’il revienne, des quidams ont piqué dans la caisse, cet argent appartient aux finances grecques et il n’a rien à faire sur des comptes personnels !Que font les fonctionnaires de l’Europe grassement payés, ils devraient déjà être en train de renifler toutes les pistes possibles pour faire revenir cet argent, ils font chi*r les mauvais contribuables et au bout d’un certain temps des listes sortent du bois. Alors qu’ils cherchent ! Ce serait déjà un bon début pour s’attaquer à la corruption, et dans la foulée punir les coupables, étonnamment ça me paraît irréaliste tout d’un coup.ça me fout en rogne -
tilia
L’argent,il est au chaud dans les banques et les paradis fiscaux,dans leur grande bonté les états rachétent toutes les créances pourries détenues par les spéculateurs et nous les font payer à coup s de Pactes de responsabilité et autres Lois Macron,c’est comme ça que ça marche-
La preuve est ici :
Swissleaks : « C’est la partie émergée de l’iceberg » selon Falciani....
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http://www.leparisien.fr/faits-divers/affaire-hsbc-il-y-a-bien-plus-que-106-000-clients-particuliers-selon-falciani-09-02-2015-4519751.php?google_editors_picks=true
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Il faut publier les noms, que tout le monde voit ce qu’il y a derrière la façade des ordures...
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Lundi 9 février 2015 :
Cameron a présidé une réunion consacrée à un éventuel « Grexit ».
Le Premier ministre britannique David Cameron a présidé lundi une réunion avec des responsables du ministère des Finances et de la Banque d’Angleterre consacrée à la marche à suivre en cas de sortie de la Grèce de la zone euro (« Grexit »), a dit une source du ministère.
Le ministre des Finances George Osborne a dit dimanche que le pays accélérait ses préparatifs à une telle éventualité, notant que le rapport de forces entre la Grèce et la zone euro augmentait les risques pesant sur l’économie britannique.
"Il s’est agi d’une réunion entre le Premier ministre et des responsables du Trésor et de la Banque centrale. Personne ne dit que cela (la sortie de la Grèce de la zone) va avoir lieu, mais il paraît judicieux d’examiner ce risque. Qui serait facteur d’une réelle instabilité", a dit la source.
La Bourse d’Athènes chutait de près de 6% lundi vers 11h35 GMT, au lendemain du discours de politique générale du Premier ministre Alexis Tsipras, qui a réaffirmé vouloir s’affranchir de la « troïka » et en finir avec l’austérité.
« Une sortie forcée de la Grèce de la zone euro entraînerait la fin de la monnaie unique », a pour sa part affirmé dimanche le ministre grec des Finances Yanis Varoufakis.
http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL5N0VJ25620150209
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Respecter les règles européennes et les engagements », c’est ce que fait le gouvernement Hollande-Valls avec son pacte de responsabilité et sa loi Macron !
Paris, le 10 février
Communiqué
Au mépris de la démocratie et de la souveraineté des peuples, le capital financier en crise exige que le peuple grec rembourse aux spéculateurs et aux banquiers une dette qui n’a été créée que pour grossir leurs profits.
Il exige, qu’au nom du remboursement de la dette publique en Grèce, en Espagne, au Portugal et en France…, les peuples soient soumis à la déréglementation, que leurs systèmes de santé, de protection sociale et d’éducation soient détruits et que leurs services publics soient privatisés.
Pour Hollande, « le rôle de la France est de trouver une solution, de contribuer à un accord, mais dans le respect, respect du vote des Grecs mais respect des règles européennes et respect des engagements ».
« Respecter le vote des Grecs », ce n’est pas contraindre le peuple grec à payer une dette fabriquée et creusée par les spéculateurs.
« Respecter le vote des Grecs », c’est respecter ce que la classe ouvrière grecque, qui avait répondu vingt fois aux appels de ses directions à des grèves générales de vingt-quatre heures contre le mémorandum, et qui a, dans ces élections, affirmé l’exigence claire : « Dehors le mémorandum ! Dehors la troïka ! »•
« Respecter les règles européennes et les engagements », c’est ce que fait le gouvernement Hollande-Valls avec son pacte de responsabilité et sa loi Macron qui s’attaquent à tous les acquis démocratiques et ouvriers !
La meilleure aide apportée au peuple grec n’est-elle pas de bloquer ce gouvernement, d’arracher l’abrogation des contre-réformes et ainsi d’effectuer un premier pas dans le sens de la rupture avec les diktats du capital financier imposés par l’Union européenne et la Banque centrale européenne ?
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Mardi 10 février 2015 :
Le ministre allemand des Finances met en garde Athènes.
Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a dit mardi que si la Grèce ne voulait pas d’un nouveau programme, alors tout était fini.
Le ministre a ajouté que l’Eurogroupe voulait entendre mercredi de la part d’Athènes quelque chose qui l’engage.
Il a par ailleurs démenti les informations selon lesquelles la Grèce serait parvenue à un accord avec la Commission européenne et a dit que l’Eurogroupe, soit l’ensemble des ministres des Finances de la zone euro, ne négocierait pas de nouveau programme pour la Grèce mercredi lors de sa réunion.
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« Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a dit mardi que si la Grèce ne voulait pas d’un nouveau programme, alors tout était fini. »
Et alors ? Les allemands ne vont pas leur faire un trou où ils en ont déjà un !Qu’est-ce que ça veut dire « tout est fini » ... Ils veulent leur faire la guerre ? Mettre en place la solution finale ? Non mais il faut être sérieux !L’Islande ne s’est pas autant enquiquinée, elle a envoyé pondre tout le monde et elle a bien fait ! -
BA
Le ministre français vient d’exprimer la même position,avec la touche d’hypocrisie qui est sa marque particulière"La négociation qui commence ne peut aboutir – et je suis persuadé qu’elle aboutira – que si l’on a en tête deux principes rappelés dès la semaine dernière par François Hollande. Le premier principe, c’est le respect du vote grec. Vouloir faire comme s’il n’y avait pas eu d’élection serait une manière de ne pas respecter le peuple grec. Le second principe, c’est le respect des règles européennes inscrites dans les traités, auxquels la Grèce a adhéré, comme celles du bon fonctionnement de la BCE ou du Fonds monétaire international (FMI).« Respecter le vote des Grecs », ce n’est pas contraindre le peuple grec à payer une dette fabriquée et creusée par les spéculateurs.« Respecter le vote des Grecs », c’est respecter ce que la classe ouvrière grecque, qui avait répondu vingt fois aux appels de ses directions à des grèves générales de vingt-quatre heures contre le mémorandum, et qui a, dans ces élections, affirmé l’exigence claire : « Dehors le mémorandum ! Dehors la troïka ! »•
« Respecter les règles européennes et les engagements », c’est ce que fait le gouvernement Hollande-Valls avec son pacte de responsabilité et sa loi Macron qui s’attaquent à tous les acquis démocratiques et ouvriers !
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tillia
Siemens,IG Farben,Krupp,Thyssen,Bayer,ils avaient tous leurs usines dans les camps.Ils n’ont pas seulement inventé la solution finale à la question juive,mais aussi au problème du salariatDes millions d’esclaves,le travail forcé jusqu’à l’épuisement et la mort,elle est pas belle la vie...Certains aujourd’hui retrouvent les vieux réflexes et aboient leurs ordres comme au bon vieux tempsLa honte absolue est sur le SPD qui participe à la coalition avec Merkel,il faudra débarrasser le mouvement ouvrier de cette infection que constitue la direction de ce Parti -
Je ne pensais pas vous attirer sur la pente savonneuse des camps, ni sur celle de la politique politicarde, ce que je voulais exprimer c’est qu’un pays peut être endetté sans que ce soit la fin du monde. Il ne me semble pas avoir vu l’Argentine disparaître sous terre parce-qu’elle est en faillite, ce pays existe toujours, il ne s’est pas dissous.
L’Islande a échappé à la déconfiture, parce-qu’elle n’a pas honoré sa dette, en temps et en heure, elle l’a différée, ce qui lui a donné le temps d’effacer la dette des ménages.« Ce petit pays, ce tout petit pays même, avec 320 000 habitants, avait osé dire « non » à une demande de remboursement internationale. Ulcérés, les Britanniques avaient même décidé, en guise de rétorsion, de geler les actifs de l’Islande en se basant sur une loi antiterroriste.Les Islandais en parlent encore aujourd’hui avec un mélange de colère et d’orgueil. Lorsqu’ils évoquent la fin de l’année 2008, ils glissent incidemment, en riant : « A cette époque, nous étions des terroristes ! »Furieux, le Premier ministre britannique de l’époque, Gordon Brown, décide de geler les actifs des établissements islandais situés en Grande-Bretagne. Faute d’avoir une solide base juridique pour le faire, il s’appuie donc sur la loi antiterroriste de 2001. Sur la page du site web du ministère des Finances britannique listant les entités dont les actifs sont gelés, l’Islande apparaît alors aux côtés de la Corée du Nord, du Soudan ou d’Al-Qaïda... »Les islandais ont fini par gagner, ils ont négocié un remboursement sur 30 ans, à 3%, à partir de 2016.Il faut que la Grèce négocie pied à pied ! -
la grèce est dans l’UE et l’euro, l’islande n’y est pas et a d’ailleur renoncé à adhérer
Bref, une seule solution pour tous les peuples d’europe sortir de l’UE par la porte de gauche. Celle de la souveraineté nationale, de la démocratie et de la coopération internationaliste
www.initiative-communiste.fr -
le scandale de ce nouveau coup d’état financier de la BCE contre la grèce (après Chypre et les autres) confirme ce qu’explique le PRCF depuis maintenant plus de 10 ans. Un PRCF malheureusement censuré par tous les médias.
Pour la démocratie, la paix et le progrès social, il faut sortir de cette dictature guerrière, totalitaire de l’oligarchie capitaliste qu’est l’Union Européenne.
Rétablir la souveraineté de la Nation base de la démocratie.
Brisons les chaines de l’UE., sortons de l’UE-
taktak
Pour la censure par les médias,nous en sommes à peu près au même pointPour la presse officielle,malgré ses 6500 militants,,les 20 000 abonnements à son journal « informations ouvrières »,10 00 travailleurs et jeunes rassemblés à l’espace Charenton lors de notre dernier meeting public...le POI n’existe pas et il est interdit de citer son nom ou de faire la moindre allusion à sa possible existence,nos petits frères du NPA sont bien mieux traités,allez savoir pourquoi...Sur le fond de votre article,j’ajouterai une dimension qui me semble essentielle,celle du combat contre le gouvernement Hollande-Valls-MacronLe combat contre l’Union européenne se confond avec celui pour le retrait de la Loi Macron,de l’ANI,l’abrogation de la Réforme des rythmes scolaires,de la Réforme territoriale,en un mot de tous les plans dictés par l’Union européennePlus que jamais,ce qui s’impose c’est l’unité dans la grève générale pour bloquer le pays et faire céder le gouvernementIl me semble que c’est l’aide la plus précieuse que nous puissions apporter aux travailleurs grecsFraternellement-
Qui aidera les travailleurs grecs, et comment ?L’EDITO d’INFORMATIONS OUVRIERES
par DanielGluckstein,Secrétaire national du POI.Les premières mesures annoncées dimanche 8 février devant le Parlement grec par le Premier ministre, Alexis Tsipras, marquent indiscutablement un changement d’orientation.(1)Les travailleurs des autres pays d’Europe considéreront avec sympathie la liste des décisions qui annulent et inversent plusieurs mesures anti-ouvrières, antisociales et antidémocratiques prises depuis des années par les gouvernements aux ordres de la troïka (lire p. 10).En sens inverse, les gouvernements des principales puissances capitalistes et les institutions de l’Union européenne s’inquiètent et multiplient les pressions. Mais avec une limite, fort justement décrite par le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis : « L’euro est fragile comme un château de cartes. Si vous retirez la carte grecque, les autres s’effondreront. »Face à ces pressions, les travailleurs de tout le continent se posent la question : comment aider les travailleurs et le peuple grecs ? Faut-il demander à la Banque centrale européenne — comme le fait, dans les colonnes deL’Humanité, Bernd Riexinger, coprésident de Die Linke — de bien vouloir « réorienter sa politique monétaire pour permettre un vrai développement économique et inscrire dans ses missions la lutte contre le chômage de masse » ? Mais le rôle de la BCE, défini par les traités successifs, c’est de préserver l’intérêt des capitalistes, des banquiers et des spéculateurs, et rien d’autre !Faut-il revendiquer pour la troïka « une plus forte légitimité démocratique », comme le fait Martin Schulz, président du groupe socialiste européen, dans les colonnes de L’Humanité, qui lui souhaite « d’aller jusqu’au bout de sa logique pour accompagner Alexis Tsipras dans sa lutte contre l’austérité » ?Faut-il s’adresser à François Hollande, à qui Jean-Luc Mélenchon vient d’écrire pour l’inviter à « jouer un rôle décisif dans la discussion qui va s’ouvrir » sur la Grèce ? Un rôle décisif ? Sans doute, mais lequel ? Le ministre Sapin déclare que dans la négociation qui s’ouvre, « deux principes » doivent être respectés : d’une part, « le respect du vote grec », et, d’autre part, « le respect des règles européennes inscrites dans les traités auxquels la Grèce a adhéré, comme celles du bon fonctionnement de la BCE et du Fonds monétaire international ». Autrement dit : le peuple grec est souverain… aussi longtemps qu’il ne remet pas en cause les injonctions de la BCE et du FMI, c’est-à-dire des institutions du capital financier !Qui osera dire que la souveraineté des peuples et le respect de la démocratie sont compatibles avec le maintien des institutions de l’Union européenne ?La meilleure aide que la classe ouvrière française puisse apporter aux travailleurs et au peuple grecs, c’est de contraindre notre propre gouvernement à reculer sur les plans anti-ouvriers découlant de sa soumission à la BCE, à commencer par la loi Macron et le pacte de responsabilité. Cela ne peut se faire ni par des lettres ouvertes ni par des suppliques, mais par le seul moyen de la mobilisation unie, de la lutte de classe dans l’unité des travailleurs et de leurs organisations pour contraindre Hollande et Valls à reculer. Ainsi sera confortée la résistance de la classe ouvrière grecque. Ainsi sera ouverte la voie au combat commun de tous les peuples d’Europe pour en finir avec la dictature de la troïka, de la BCE et de l’euro. -
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