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Accueil du site > Tribune Libre > La chute spirituelle de l’humanité : du vaccin au totalitarisme

La chute spirituelle de l’humanité : du vaccin au totalitarisme

En errant sur les réseaux sociaux, je suis à nouveau tombé sur cette étrange pensée de Rudolph Steiner :

« Dans le passé, on a éliminé l’esprit. On éliminera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une « saine vue des choses », on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que ce corps n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit. »

Et plus loin, il évoque des hommes qui découvriront « un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité.  »1

Je ne connais que très peu l’œuvre de Steiner et le peu que j’en sais ne m’attire pas du tout. Cependant, cette phrase est étonnante et m’a toujours laissé dubitatif. Quel rapport le vaccin pouvait-il avoir avec la spiritualité ? Comment imaginer qu’un produit pharmaceutique puisse détruire l’âme ? Comment une préparation biologique pourrait-elle altérer le principe de la pensée pourtant distinct du corps qu’est l’âme ? Si la spiritualité est cette réflexion qui porte sur les rapports entre le particulier et le Tout, comment le vaccin pourrait-il la saccager ? Quels liens entre l’individu et le Grand Ensemble le vaccin altérerait-il ? Avec quelles conséquences pour l’humanité ?

 

Juger la Nature pour l’améliorer ?

 

Peut-être Spinoza pourrait-il nous être de quelque secours quand il écrit dans son Traité théologico-politique  :

« […] la Nature ne se limite pas aux lois de la Raison humaine dont l’unique objet est l’utilité véritable et la conservation des hommes ; elle en comprend une infinité d’autres qui se rapportent à l’ordre éternel de la Nature entière dont l’homme est une petite partie ; et par la seule nécessité de cet ordre tous les être individuels sont déterminés à exister et à se comporter d’une certaine manière. Toutes les fois donc qu’une chose nous paraît ridicule, absurde ou mauvaise dans la Nature, cela vient de ce que nous connaissons les choses en partie seulement et ignorons pour une grande part l’ordre et la cohésion de la Nature entière et voulons que tout soit dirigé au profit de notre Raison ; alors que ce que la Raison prononce être mauvais n’est pas mauvais au regard l’ordre et des lois de toute la Nature, mais seulement au regard des lois de notre nature seule.  »2

Comprendre ici qu’à chaque fois que l’humain juge quelque chose comme mauvais dans la Nature et même, pourrions-nous rajouter, prétend l’améliorer, il ne fait qu’exhiber son incompréhension de ce qu’elle est. Le propos peut paraître surprenant aux modernes que nous sommes, mais il se tient, car un phénomène n’est, effectivement, jamais que la façon dont nous percevons un processus. Le processus est la fonction active dont le résultat, interprété par les lois rationnelles du savoir (donc la façon dont nous le percevons et l’interprétons), s’appelle phénomène3. Pour comprendre le réel, il faudrait avoir accès aux processus qui le composent ; or nous n’avons accès qu’aux phénomènes. Non seulement nous ne prenons part qu’à une partie du réel, mais en plus, nous ne percevons qu’une zone de ce à quoi nous participons.

Dans ces conditions, juger la nature fait courir le risque de se méprendre sur le rôle de chaque processus que nous percevons à travers son phénomène. Par conséquent, incapables de comprendre les ressorts profonds de quoi que ce soit, il nous faut suspendre notre jugement sur la nature. Pour le dire autrement, on n’améliore pas la nature. On la laisse pour ce qu’elle est.

Il est d’ailleurs troublant de constater dans les médias le nombre de fois où il est rappelé à quel point il faut protéger la nature parce que sans elle, on est mort. La Nature tirerait ici sa valeur de ce qu’elle nous est utile, que sans elle, aucune survie n’est possible. Pour le moment en tout cas. Qu’adviendrait-il en effet si nous parvenions, par la technologie, à nous en émanciper totalement ? Si elle ne nous était plus d’aucune utilité ? Quelle valeur nous empêcherait alors de l’artificialiser totalement ? Quelle valeur nous empêcherait de détruire le vivant ?

Or, on constate que les recherches technologiques aujourd’hui tendent vers cette monstruosité, et ce sous couvert de bonne conscience. Ainsi le système nous propose-t-il de la viande issue non pas d’animaux mais qui a « poussé » dans des laboratoires. Dans le même ordre d’idées, la promotion des insectes dans les aliments pour humains ne préfigure-t-elle pas, elle aussi, la création de protéines, de nutriments ne provenant même plus d’insectes ou même d’êtres vivants ? uniquement de matières premières ? Nous en sommes encore loin mais de telles recherches ne tendent-elles pas vers l’émancipation de l’espèce humaine vis-à-vis de la nature ? Si tel devait être un jour le cas, la Nature – plus exactement, le vivant – perdrait vite toute raison d’être aux yeux d’une population rongée par le matérialisme.

Il est troublant de constater que ce mouvement nous est imposé par les monopoles publics (les États et leurs institutions) et privés (le capital financier) en exacerbant la peur de la mort. Alors que la mort a longtemps été considéré comme l’aboutissement de l’être – sa réalisation totale en quelque sorte – elle devient quasiment pathologique à l’époque moderne, comme une expression ultime de cette nature qu’il va s’agir de contrarier. La mégamachine industrialo-étatique veut vaincre la Camarde, prélude paradoxal à l’éradication du vivant. Ainsi en va-t-il de Google avec sa filiale Calico qui propose ni plus ni moins de « tuer la mort  ». La mort devient mauvaise, elle est jugée d’un point de vue totalement émancipé de la nature.

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Pieter Claesz – Vanité – 1630

Ce n’est bien entendu pas parce que la mort est l’œuvre de Dieu qu’il ne faut pas se soigner quand on est malade. Ce n’est pas parce que le lion est l’œuvre de Dieu que l’antilope ne doit pas détaler pour sauver sa peau. Toutes les sociétés ont eu leur médecine de façon à guérir les gens. Mais là où l’imploration magique ou le médicament avaient recours à des substances naturelles pour vaincre la maladie ou la blessure, la médecine moderne passe un cap avec le vaccin. Son principe consiste à modifier le système immunitaire pour l’améliorer en vue non pas de guérir mais de ne plus tomber malade. Elle franchit là le Rubicon par rapport au médicament qui, lui, n’améliore pas la nature humaine mais ne fait qu’en combler momentanément les manques face à un ennemi, la rééquilibrant dans son environnement. Le vaccin ne procède pas ainsi. Il est l’expression de la science qui a repéré une faiblesse structurelle dans la nature humaine et la répare. Il prétend améliorer le système immunitaire («  prétend  » car la réalité semble tout autre).

 

Rationaliser le vivant ou le mythe du progrès

 

Cette posture montre que notre société accepte l’idée que le système immunitaire ne correspond plus aux valeurs actuelles, à notre façon de considérer la vie. Mais loin de nous remettre en cause et de nous réajuster à la Nature, c’est à cette dernière de s’adapter. Nous nous comportons comme des gamins qui font un caprice parce que le réel s’oppose à leurs désirs : la vie devrait durer plus longtemps, de façon plus certaine, que ne le permet le système immunitaire. Ainsi en venons-nous à accepter de faire correspondre le système immunitaire à nos desiderata, à le rationaliser, à le faire correspondre à l’idée que nous nous faisons de ce à quoi il devrait servir. Ne sommes-nous pas ici exactement dans le travers que dénonçait Spinoza ?

Nous vivons une époque dans laquelle le matérialisme a congédié la spiritualité. Le corps humain est considéré au regard de l’utilité telle qu’elle est définit par la société. Il est extrait du Grand Tout pour correspondre aux standards de ce qui est bon pour le seul humain dans une société donnée. Nous assistons à un mouvement de rationalisation du corps pour le faire correspondre aux normes sanitaires en vigueur, normes sanitaires qui ne sont jamais qu’une expression de la lutte des classes : la science médicale n’est ici que le paravent des rapports de force entre un pouvoir gestionnaire et les peuples. Le vaccin exemplifie de façon paradigmatique une tendance funeste qui semble logée au plus profond de notre civilisation.

Dans ce cadre, comment juger du progrès ? Qu’est-ce que le progrès si ce n’est la prétention humaine à améliorer sa condition ? Le progrès, c’est la vie qui s’émancipe de ses conditions originales, au nom d’un mieux. Le progrès est, en un sens, la technique qui s’émancipe de la spiritualité. Elle ne sert plus à vaincre la nécessité mais à améliorer la vie, qu’on l’entende en terme de zōē (qui désignait le simple fait de vivre en grec ancien) ou de bios (c’est-à-dire la forme ou la façon de vivre propre à un individu ou à un groupe4). Incapable de réfléchir la place de l’humain dans le Grand Tout, aveugle même de cette question puisqu’elle propose une explication rationnelle de l’univers dénuée de tout ordre transcendant, la société du progrès peut abroger toutes les limites qui empêchaient la technique de modifier la vie, zōē comme bios. N’avons-nous pas là une forme d’hubris  ? La croyance que notre connaissance de la Nature est suffisante pour l’améliorer ? Le progrès n’est-il pas l’humain qui se prend pour Dieu ?

Et finalement, où nous mène le progrès ? Jusqu’à la modernité, on trouvait des sociétés baignant dans un monde enchanté, qu’il s’agisse du cosmos de l’Antiquité ou de l’univers théophanique médiévale ou encore des cosmogonies des sociétés traditionnelles. Là, la vie allait de soi, la place de l’humain dans le Tout émanait naturellement d’une présence souveraine : Dieu. Quand, avec l’avènement de la science, cet ordre là s’est effondré, ce fut pour faire place à un univers vidé de sa substance, avec un humain affranchi de tout, y compris de son lien avec la Nature, condamné à un matérialisme excluant tout sentiment de sympathie entre l’âme et les choses. Notre regard de mesure et de calcul a vidé le réel de toute substance unifiée en l’analysant, c’est-à-dire en l’éclatant en une myriade de problèmes mis en mots dans les termes de notre raison. Alors que, dans l’enchantement qui précédait ce funeste mouvement, l’univers était un signe de Dieu, la science lui a fait perdre toute signification, ouvrant ainsi un boulevard au progrès.

 

La spiritualité comme ultime rempart au totalitarisme

 

À l’inverse, si la spiritualité est une réflexion qui porte sur les liens qui unissent le particulier et le tout, si elle est l’idée qu’il existe un ordre transcendant le monde de phénomènes, alors elle autorise l’humain à se situer dans l’ordre de ce qui est. Elle lui alloue une place dans la totalité, y compris dans ce qu’elle comporte d’incompréhensible. Ainsi, alors que la spiritualité apporte une certitude ontologique à l’individu, satisfaisant par là une aspiration profonde de l’âme, la science, et son avatar le progrès, ont fabriqué une sorte d’inculture ontologique qui se développe à proportion du savoir rationnel.

C’est ici que le message porté par les religions s’avère être d’une tout autre portée que le matérialisme. Dans la chrétienté, le message de Dieu est amour  : il faut aimer ce qui est, pour ce qu’il est. À l’inverse, aimer la Nature pour son utilité, comme les médias et l’école le promeuvent, s’avère être une erreur fatale à long terme. Il faut aimer la nature pour ce qu’elle est, parce qu’elle est. Derrière cet amour, il y a le renoncement au jugement de ce qu’est la Nature pour la simple et bonne raison qu’elle nous dépasse, que nous n’en comprenons pas les tenants et les aboutissants. Sans cet amour inconditionnel de la nature, elle est en danger. Si elle disparaît, il ne sera plus possible d’être un humain tel que nous l’entendons anthropologiquement. Si cette conception de la condition de l’homme – enfin ce qu’il en reste – disparaît, c’est la dernière digue qui contenait le déferlement totalitaire qui cède. Plus rien n’empêchera l’intégration totale du vivant dans la machine.

Le vaccin est donc une arme de guerre de la machine contre le vivant. Il est une porte d’entrée située dans le corps pour la technologie d’une société totalement dédiée au matérialisme. Il entérine une absence totale de spiritualité. L’avènement des injections à ARN messager pour remplacer le principe initial du vaccin ne fait que signer une extension de cette logique : le système pénètre encore plus profondément le vivant en y logeant un processus artificiel.

Dans ce cadre, sans vouloir tirer sur l’ambulance, ne convient-il pas de rappeler l’appel à se faire vacciner du pape François ? Celui-là même qui a présenté le vaccin comme un acte d’amour :

« « Vacciner, avec des vaccins autorisés par les autorités compétentes, est un acte d’amour », souligne François, « Et contribuer à ce que la plupart des gens soient vaccinés est un acte d’amour ». L’amour est également social et politique explique le Pape, « Il est universel, toujours débordant de petits gestes de charité personnelle capables de transformer et d’améliorer les sociétés ». »

Une telle déclaration ne fait que signer la faillite du Vatican : faillite spirituelle, morale, intellectuelle. Se vacciner est bien plutôt un acte de haine vis-à-vis de la nature en général et du vivant en particulier. Se vacciner est expression d’une peur irrépressible de ce qu’elle est, peur du réel. C’est la haine du caractère imprévisible du vivant, du fait qu’il soit ingérable. C’est aussi la haine de la mort, et derrière elle, ne nous y trompons pas, se tient la fin de l’aventure humaine. La dernière institution spirituelle d’occident abandonne donc sa raison d’être pour se vautrer dans le matérialisme et la luxure. Rejouant le mythe d’Icare, l’humanité s’apprête à chuter dans le grand vide, dans ce qui ressemble à une civilisation totalitaire globale.

 

Le rêve d’Alexander Douguine est-il mort-né ?

 

Victor Wolfvoet le jeune – Le massacre des innocents – 1638

En réalité, le progrès a déjà tué toute spiritualité, et ce partout dans le monde. Alexander Douguine voit en la Russie le défenseur de la spiritualité, mais j’ai bien peur qu’il ne pêche par optimisme. Le matérialisme ronge déjà la Russie qui est un pays capitaliste on ne peut plus moderne qui a fait gérer la crise sanitaire chez elle par le groupe Mc Kinsey (renommé Yakov & Partners), développe des biotechnologies, l’IA, l’identité et le rouble numériques, se lance dans un plan de réduction de gaz à effet de serre, etc. Même la Russie semble bien loin d’être un havre spirituel tant elle colle au funeste agenda matérialiste qui assaille l’occident. Peut-être avons-nous vu le pouvoir russe plus beau qu’il ne l’est vraiment. Comment Douguine peut-il ne pas considérer cela ? Faut-il lui rappeler que même l’acronyme BRICS est une création de Goldman Sachs ? Dans ce cadre, comment lire la guerre en Ukraine ? Jusqu’où les élites s’entendent-elles contre les peuples ? La guerre mondiale qui arrive ne sera-t-elle pas, à l’image des deux précédentes, qu’un moyen pour moderniser ce qui restera des peuples ?

Il est à craindre que l’époque moderne, qui est née de l’effondrement de l’ordre féodal sous les coups du progrès, n’ait été qu’une transition de l’ère de l’autonomie de l’humanité, c’est-à-dire de la tradition, vers l’ère totalitaire. Dans leurs premiers spasmes monstrueux, les forces du progrès ont fait naître le nazisme et le stalinisme. Nous avons alors cru que le totalitarisme était un nouveau régime politique. Il se pourrait cependant que nous aillons sous-estimé la gravité de l’indice. Ce qui se profile avec la fin de la spiritualité est bien plus profond : ce n’est pas un système totalitaire qui serait un régime politique qui se cristallise, mais une ère. Une ère car l’inévitable guerre mondiale qui arrive n’a peut-être bien comme but, non pas de maintenir la Russie et les valeurs spirituelles qu’elle défend en apparence, mais l’instauration d’une bureaucratie mondiale. Une telle abomination serait en position de gestion intégrale du vivant et de la Nature. Elle prendrait littéralement la place de Dieu en écrasant son œuvre. C’est en cela que ce ne serait pas une civilisation totalitaire (satanique, dirait Douguine) qui se dessinerait sous nos yeux, mais bien plutôt une ère. L’avenir est sombre mais l’histoire n’est pas écrite à l’avance.

Jacques Roure

 

1 5ème conférence 7 octobre 1917 et 13ème Conférence 27 Octobre 1917. Disponible ici avec l’interprétation de Nicolas Bonnal ici.

2 Baruch Spinoza, Traité théologico-politique, GF Flammarion, Paris,1965, p.263.

3 André Lalande, Vocabulaire technique et critique de la philosophie.

4 Giorgio Agamben, Homo sacer, Paris, éditions du Seuil, 1997, p.9.


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26 réactions à cet article    


  • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 9 octobre 2023 10:38

    « La fin des temps devrait arriver, mais elle n’arrivera pas d’elle-même. C’est une tâche, ce n’est pas une certitude. C’est une métaphysique active. C’est une pratique. » Douguine

    Cette histoire de « fin des temps messianiques et eschatologiques » est une arnaque montée de toutes pièces sur les principes de la Kabbale dont Douguine est un acteur, un agent stipendié. 

    ^^


    • Clocel Clocel 9 octobre 2023 10:57

      @bouffon(s) du roi

      Les Douguine (père et fille) défendaient le concept du katechon qui semble pour le moins opposé à la kabbale, Daria l’a payé fort cher.


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 9 octobre 2023 11:12

      @Clocel
      Que nini.. Quant à Daria j’ai un doute (je sais ^^) mais je ne vais pas chercher car je m’en fous smiley
      Cela dit :
      « Oui, nos ennemis ont leur propre vérité. Oui, nous devons respecter leur choix métaphysique profond »

       Douguine

       smiley si c’est pas du foutage de gueule ça .. et je m’y connais ^^


    • Tzecoatl Tzecoatl 9 octobre 2023 12:29

      @bouffon(s) du roi

      La fin des temps étant l’horizon d’un trou noir, impossible, car la terre n’est pas une étoile.


    • Clocel Clocel 9 octobre 2023 10:52

      Steiner était un initié, il savait très bien à qui nous avons à faire, les années 20 ont connu la mise en route pratique du plan que nous subissons aujourd’hui avec Coudenhove-Kalergi, entre autres et l’engeance des grandes fortunes américaines et européennes toujours à la manœuvre aujourd’hui.

      J’ajoute pour ma part, que la religion à son niveau le plus vil, est sans doute le meilleur moyen d’anéantir la spiritualité et de déconnecter l’individu du « cloud » universel.


      • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 9 octobre 2023 10:53

        Et encore la date fatale : LE 7 OCTOBRE. A propos de KABBALE. La treizième lettre de l’alphabet HEBREUX est MEM (la grand-mère nature. Voici ce qu’n dit Soleil de lumière : au tarot, la treizième carte est : LA MUERTE. http://soleildelumiere.canalblog.com/archives/2013/01/24/26239902.html


        • Seth 9 octobre 2023 17:56

          @Mélusine ou la Robe de Saphir.

          Ce n’est pas une « carte » mais un « arcane » et il ne s’appelle pas LA MUERTE, c’est « l’arcane sans nom ».
          Pffffttt !


        • Iris Iris 10 octobre 2023 00:08

          @Modernité et totalitarisme

          Vous feriez bien de vous calmer et d’y réfléchir...

          C’est peine perdue, cette personne, s’il s’agit vraiment d’une seule personne, ne vous pardonnera pas de ne pas cracher sur la France. C’est particulièrement triste pour tout ceux qui sont plutôt enclin à supporter le peuple Russe.

        • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 9 octobre 2023 11:02

          Non, la mort de la conscience quotidienne et sa résurrection dans le monde de l’Esprit n’est pas une fuite comparable à celle que procure la drogue ou l’alcool, l’élévation de la conscience permet, au contraire, de se dégager des superficialités pour allez à l’essentiel, de laisser ce qui nous enclave pour ne vivre que pour ce qui nous libère, de vivre plus pleinement, de regarder ce monde avec plus d’acuité, plus d’Amour, plus de profondeur afin d’y discerner la Lumière qui s’y trouve partout présente. C’est que Saint Paul voulait dire lorsqu’il disait : « Car si vous vivez de façon charnelle, vous mourrez ; mais si, par l’Esprit, vous faites mourir votre comportement charnel, vous vivrez. » (Rom 8 ; 13)


          • Wladimir 9 octobre 2023 11:11

            Faire peur avec le risque de mort du corps (maladie du cov et vax) , cela insiste lourdement sur la valeur du corps physique (culte du corps) , et donc entre en net conflit avec la priorité du salut de l’âme . Donc chacun choisit son camp : matérialisme ou spiritualité .


            • Tzecoatl Tzecoatl 9 octobre 2023 13:45

              @Wladimir

              Je n’irais pas jusque là. Déjà, s’occuper ou se préoccuper matériellement afin de garder ses esprits, ça me semble salutaire.


            • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 9 octobre 2023 11:15

              Ecoutez Annick de Souzenelle. Chaque maladie a un sens spirituel. Ou le plus souvent la signification d’un manque de celle-ci... Société prométhéenne, qui finira sur le rocher du CAUCASE. Le foie dévoré par un AIGLE (qui vole haut : spiritualité et longue vue), pour lui rappeler qu’il a manque de FOI.


              • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 9 octobre 2023 11:43

                Une amie psycho-somaticienne (YS) me dit un jour concernant une personne qui avait une hépatite c. C’est la règle des quatre « F » : FRIC, FAMILLE, FOI, FAMINE. on comprendra que celle-ci souffre en fait d’un lacune dans ces 4 domaines.


                • Yann Esteveny 9 octobre 2023 14:22

                  (Partie 1/2)

                  Message à Monsieur Jacques Roure,

                  On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas tout d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure.” - Georges Bernanos (La France contre les robots)

                  Il faut être très prudent avec l’ensemble de l’oeuvre de Monsieur Rudolf Steiner et en particulier avec l’anthroposophie mais il faut reconnaître que les propos sur les vaccins d’il y a un siècle de Monsieur Rudolf Steiner résonnent parfaitement avec les déboires la société occidentale. Les propos récents de Monseigneur Vigano en ce qui concerne les injections covidiennes ne laissent pas de place au doute : « Ainsi par la vaccination massive de toute la population mondiale, les gens doivent pour ainsi dire recevoir un « baptême » satanique.  ». Ces propos sont en opposition complète avec les propos du pape François qui voit un acte d’amour à s’injecter ces substances !

                  Il est important aussi comprendre que l’appellation vaccin pour le covid-19 est impropre. « Soupe expérimentale » serait infiniment plus correcte.

                  Je vous cite :

                  « Ainsi, alors que la spiritualité apporte une certitude ontologique à l’individu, satisfaisant par là une aspiration profonde de l’âme, la science, et son avatar le progrès, ont fabriqué une sorte d’inculture ontologique qui se développe à proportion du savoir rationnel. »

                  Je vais tâcher en quelques lignes de développer ces propos tant ils sont utiles pour tous même si le terme de spiritualité laisse la place à n’importe quoi mais nous y reviendrons. Le culte du progrès amène invariablement l’homme à l’abandon de l’âme. C’est peut être le plus difficile à accepter. Comment parvenir à croire qu’une personne qui ne veut que progresser puisse en fait ne pas progresser et régresser complètement ? Pour cela, il faut prendre de la hauteur.

                  Si vous voulez progresser dans une discipline (musique, arts, sports, culture, etc...), moyennant des efforts, de l’apprentissage, vous allez progresser dans une certaine limite. 

                  Cette approche qui est valable pour une discipline, n’est plus valable pour notre personne. Si vous cherchez le développement personnel, si vous recherchez que le progrès de votre être, vous vous égarerez. Parce que vous ne voulez pas accepter la présence de votre âme, vous ne vous développerez que superficiellement et matériellement. Vous ne savez pas élever une âme parce que vous niez la transcendance et tout ce qui vous dépasse. C’est la mauvaise perception de ce que vous êtes exactement qui vous empêche au final de vous élever.

                  Qu’est ce qui changera fondamentalement si demain une personne accepte qu’elle possède une âme ? Elle peut alors comprendre qu’il ne s’agit pas de développer mais l’élever. L’âme nous est donnée par Dieu. Il ne s’agit pas de la modifier mais de la conduire. Ce n’est plus du tout le même effort. Alors que la personne qui veut progresser reste bloqué sur sa personne, celui qui veut élever son âme s’efforce de la conduire sur des bons chemins. Il apprend alors les pièges que sa propre personne ne lui signalait pas. Sous le terme spiritualité, il est malheureusement possible mettre tout et n’importe quoi. La spiritualité de l’Eglise de Satan n’a rien à voir avec celle d’un catholique fidèle à l’enseignement du Christ. L’une des deux est trop intéressée par les biens terrestres.


                  • Yann Esteveny 9 octobre 2023 14:23

                    (Partie 2/2)

                    Je vous cite encore :

                    « Le vaccin est donc une arme de guerre de la machine contre le vivant. Il est une porte d’entrée située dans le corps pour la technologie d’une société totalement dédiée au matérialisme. Il entérine une absence totale de spiritualité. L’avènement des injections à ARN messager pour remplacer le principe initial du vaccin ne fait que signer une extension de cette logique : le système pénètre encore plus profondément le vivant en y logeant un processus artificiel. »

                    Pourquoi Diable quelqu’un a t-il pu croire une seule seconde que les apprentis-sorciers épargneraient les humains après avoir modifiés les plantes puis les animaux ?

                    Il y bien une spiritualité mais elle va résolument à l’encontre de la création divine en entraînant les pauvres âmes qui ignorent qu’ils en ont une.

                    Vers un holocauste vaccinal ? Dr. Vladimir Zelenko :

                    https://strategika.fr/2021/08/12/vers-un-holocauste-vaccinal-dr-vladimir-zelenko/

                    Respectueusement


                  • Wladimir 9 octobre 2023 20:10

                    @Yann Esteveny
                    Ces 2 textes m’ont bien intéressé . Dans leur ensemble , ils me plaisent . 
                    Mes quelques réserves concernent en gros le catholicisme . 
                    En gros , ces 2 textes sont globalement positifs .


                  • Yann Esteveny 9 octobre 2023 21:54

                    Message à Wladimir,

                    Il m’a fallu un peu de temps pour écrire ces deux messages et je ne pourrais pas en faire aussi court sur le catholicisme. Quant à publier un article sur le catholicisme sur Agoravox, c’est impossible. Je suis interdit de publication sur Agoravox depuis la plandémie. Agoravox est le simulacre de l’Agora athénienne. C’est l’étouffement de la parole populaire qui accompagne la mise en place du totalitarisme.

                    Respectueusement


                  • Florian LeBaroudeur Florian LeBaroudeur 9 octobre 2023 15:54

                    Je ne me fais aucun soucie pour la nature, elle saura corriger d’une simple pichenette la mauvaise graine qui prétend se substituer à elle et la supplanter à terme.


                    • Seth 9 octobre 2023 18:12

                      @Florian LeBaroudeur

                      Ça fait drôle cette impression que l’Homme se prenant pour un dieu se donne d’être pourvu de pouvoirs considérables au point de faire disparaître le Monde, voire l’Univers entier par une seule de ses petites actions « définitives ».

                      C’est d’une prétention hilarante. Autant que celle de s’imaginer qu’il pourra persister sur Terre si la Nature a décidé de s’en débarrasser. La Science mal comprise et mal utilisée est une source continue de divertissement par son assurance ridicule et la formidable sottise qu’elle étale.


                    • eau-mission eau-mission 9 octobre 2023 21:16

                      Descendant de l’arbre, le singe inventa la monnaie : « Prête-moi tes bras, je te prête mes rêves ».

                      Les prêtres ayant prétendument accès au Mystère laissent leur place aux clergé de la Science, aux maîtres du Modèle. C’était écrit !



                        • Étirév 10 octobre 2023 08:28

                          La « Chute »
                          Quand la vie sexuelle commence à se manifester chez l’enfant, elle le fait entrer dans une phase nouvelle qui est l’adolescence.
                          Les conditions physiologiques des deux sexes vont se modifier ; chacun d’eux étant régi par une polarité inverse, ils vont commencer à suivre des voies divergentes, et leur donner des caractères psychiques qu’ils n’avaient pas eu jusque-là.
                          Si nous suivons l’évolution sexuelle de l’homme depuis l’enfance, nous voyons que c’est dans la période qui précède l’adolescence que l’esprit prend son plus grand développement ; la multitude d’idées que l’enfant acquiert, en quelques années, demande un travail cérébral qui dépasse de beaucoup l’effort que l’homme adulte pourrait faire.
                          Quel est celui qui ne se souvient d’avoir traversé, dans son enfance, cette période de grande lucidité, pendant laquelle il observait la Nature, il cherchait la cause des phénomènes qui se produisaient autour de lui et essayait de résoudre les grands problèmes de la philosophie naturelle ?
                          Quelle est la mère qui n’a constaté, chez son enfant, cette grande curiosité de la Nature qui se révèle par d’incessant pourquoi ?
                          Suivons-le et voyons-le arriver à l’âge ingrat de la première jeunesse. Ce n’est plus la Nature qui va le préoccuper, c’est la femme. Ses facultés intellectuelles sont amoindries, mais ses sens sont développés ; il a perdu le jugement droit de l’enfant, mais il va le remplacer par l’imagination ; en même temps il acquiert une audace qui lui tient lieu de logique.
                          Les suites fatales de la sexualité masculine font apparaître en lui les germes des 7 faiblesses humaines dont la Théogonie fit les 7 péchés capitaux :
                          - L’orgueil qui va lui insinuer des idées de supériorité vaine.
                          - L’égoïsme qui lui conseillera de prendre aux autres ce qu’ils ont, leur avoir, leurs places dans la vie, leurs privilèges et les honneurs qui leur sont dus.
                          - L’envie qui va lui souffler ses premières haines.
                          - La colère qui le jettera dans des disputes, des violences et des crimes.
                          - La luxure qui fera apparaître en lui la bête humaine.
                          - L’intempérance qui altérera sa santé et troublera sa raison.
                          - La paresse qui l’amollira et fera de lui un être inutile, à charge aux autres.
                          Ajoutons à cela l’invasion du doute, père du mensonge, du mensonge, père de l’hypocrisie génératrice de la ruse.
                          Son esprit a des éclipses, des moments de torpeur. Chacune de ses « œuvres basses » lui fait perdre une parcelle de l’étincelle de vie ; c’est une brèche par laquelle entre peu à peu la déraison, si vite envahissante.
                          C’est alors qu’il commence à renverser l’ordre des idées, que son jugement perd sa droiture, qu’il se fausse. Des intérêts personnels, des entraînements sexuels commencent à le guider. C’est l’âge de la perversion qui apparaît.
                          Puis sa force musculaire qui augmente lui donne de l’audace et sa sensibilité qui s’atténue le rend dur et méchant, il ne sent plus autant la souffrance des autres.
                          À l’époque reculée où l’homme n’avait encore pour mœurs que ses instincts, on avait remarqué combien sa nature le portait à l’opposition, à la contradiction, à la domination.
                          C’est pour enrayer ses mauvais instincts que les Mères instituèrent une discipline élémentaire qui est toujours restée depuis dans la société, et qu’on désigne encore par les mots « éducation », « convenance », « savoir-vivre », « manières comme il faut ».
                          C’est cette retenue des mauvais instincts qui fut d’abord la Religion. La connaissance que l’on avait des lois qui régissent la nature humaine avait fait comprendre que l’homme doit être discipliné, « apprivoisé », pourrait-on dire, afin de pouvoir vivre dans la société des femmes, des enfants et même des autres hommes.
                          On institua donc une règle de vie commune, dont l’homme comprenait la nécessité, car il s’y soumettait volontairement. C’est dans cette vie calme et bien organisée qu’on élevait son esprit vers la pensée abstraite et qu’on lui donnait les moyens de vaincre les sens dont on sut bientôt que l’usage abusif mène à la folie.
                          Chez la fille, une évolution contraire à celle de l’homme s’accomplit. Elle a grandi dans l’amour qui lui a fait acquérir les 7 vertus que les Écritures sacrées, notamment l’Avesta (le Livre sacré des anciens iraniens), opposaient aux 7 péchés. Mais sa force musculaire qui diminue va la rendre impropre à l’action. Son esprit s’élargit et ouvre devant Elle un brillant horizon de pensées nouvelles ; la bonté, la douceur, la gaieté, la joie de vivre s’accentuent en Elle.
                          Pendant que l’homme, poussé à l’action par sa force qui grandit, veut des exercices musculaires, des luttes ou des travaux qui mettent en activité ses facultés motrices, chez Elle c’est l’Esprit qui travaille, c’est la pensée qui s’impose et la domine.
                          On sait que « Le Paradis Perdu », cette composition sublime de John Milton dont le pendant est la grande œuvre de Dante Alighieri, « La Divine Comédie », a pour sujet la Chute de l’homme et pour théâtre l’Eden, le Ciel et les Enfers.
                          Le péché originel (le premier acte sexuel) a diminué la valeur morale de l’homme, il a donc été une cause de déchéance pour l’humanité tout entière.
                          C’est ainsi que les conséquences premières de la Chute, accumulées par la répétition de cette action dans chaque individu, à travers les générations, ont pris des proportions effroyables et mené les races à la dégénérescence finale.
                          Le mystère de la Chute a une importance capitale, c’est le nœud de notre condition qui prend ses replis et ses retours dans cet abîme. Une preuve de plus de notre dégénérescence morale est celle-ci : L’ordre est partout, l’homme seul fait exception. L’Univers entier est ordre, l’homme seul est désordre.
                          Et un vieux dicton allemand dit : « La nature est parfaite partout où l’homme n’y apporte pas son tourment. »
                          Un choc perpétuel existe entre sa raison et son cœur, entre son entendement et son désir. Quand il atteint au plus haut degré des civilisations, il est au dernier degré moral ; il s’appauvrit en idées, en même temps qu’il s’enrichit en sentiments. Son péché s’étend comme un voile entre lui et l’Univers (et c’est ce qui cause la désunion de l’homme et de la femme). L’unité du monde a été vaincue et l’humanité doit en porter la peine.
                          L’homme est tombé dans la conception misérable du fini, alors qu’il était né pour l’infini.
                          C’est le problème fondamental, le problème humain et divin. C’est le dogme intérieur de l’humanité.
                          Une crise terrible fermente en ce moment, parce que le dogme de la Chute masque les plus grands problèmes philosophiques.
                          Plus est claire et nette la vision du passé et plus le présent s’éclaire.


                          • Ruut Ruut 10 octobre 2023 22:06

                            La spiritualité te donne une morale qui t’évite de te perdre et t’évite de commettre des actions néfastes pour ton prochain.

                            La ligne rouge est le libre arbitre, et ce, dans toutes les religions.

                            Tout ce qui limite le libre arbitre tend vers l’enfer terrestre.

                            Tout ce qui préserve et renforce le libre arbitre tend vers le paradis terrestre.

                            Lutter contre les forces du mal, c’est lutter contre toutes les mesures qui altèrent ou diminuent le libre arbitre.

                            Imposer, contraindre, censurer, mentir, tuer, c’est travailler pour les forces du mal et transformer notre lieu de vie et celui de tes enfants en enfer.


                            • quijote 11 octobre 2023 14:00

                              Un cardiologue suisse qui pense que les vaccins covid resteront comme « le plus grand crime de nature médicale de l’histoire de l’humanité ».

                              https://twitter.com/stkirsch/status/1711912755459137764

                              J’ai bien peur qu’il ait raison. Et j’ai bien peur que nos élites fassent tout ce qui est en leur pouvoir pour ne pas avoir à en assumer la responsabilité. Par exemple, une 3ème guerre mondiale et hop, affaire réglée !

                              En seraient-ils capables ? Là encore, j’ai bien peur que oui...


                              • Ecométa Ecométa 15 octobre 2023 20:45

                                Cela fait maintenant cinq siècles que DESCARTES, en faisant « tabula rasa »de l’ancien savoir lié aux « Humanités gréco-latines », en remplaçant la « raison raisonnable de la philoopshie » par le r« atio des mathématiques ! Comment en serait-il autrement qu’une »modernité régressive« en termes de »Principe d’Humanité«  ? Vouloir séparer le »sensible« de l’ »intelligible« humain, nous sommes faits de la sorte : est un crime contre l’Humanité ! 

                                La modernité c’est être de son temps ... simplement de sont temps, ni en retard ni en avance sur sont temps ; mais là c’est le »modernisme« , une fuite en avant sans temps présent, sans »réalité« en fait, qui relève de la connerie humaine, de l’Elite humiannr, car les peuples subissent ce qui s’opère. qui n’est pas »modernité« mais »modernisme" !

                                L’abstraction de la complexité humaine, par les tenants et aboutissants ploutocrates du scientisme et du technoscientisme, sert pour mieux manipuler l’humain et avilir l’Humanité ! 


                                • NANOU80 NANOU80 17 octobre 2023 12:14

                                  La chute spirituelle de l’humanité ne fait que se confirmer. Dans le passé, on a déjà altéré l’esprit de l’homme en brouillant ad vitam æternam son âme. En effet, il est connu des théologiens et des universitaires que l’Église catholique romaine est bien orchestrée par Satan, Ibis, le diable, et ce, depuis la grande trahison au message authentique de celui que vous appelez toujours maladroitement Jésus, le fils de Maryam. D’ailleurs, Le pape vient de valider son alliance satanique LGBT puisqu’il considère que l’on peut bénir un couple homosexuel ! Bienvenue dans le monde réel, Bienvenue dans cette réalité hautement eschatologique...

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