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Accueil du site > Tribune Libre > L’islam des lumière en France : possible, s’il y a une volonté (...)

L’islam des lumière en France : possible, s’il y a une volonté politique

L’écrivain romain Sénèque, dans une phrase lapidaire, dit exactement ce qu’il convient de penser des religions : " La religion est considérée par les gens ordinaires comme vraie, par les sages comme fausse et par les dirigeants comme utile ".

Cette phrase va servir de plan à l'exposé ci-après, sur le devenir de l’islam.

Cet écrivain a raison de dire que la religion est considérée comme vraie par les gens ordinaires. Ce faisant, il évoque le fait que l’origine des religions et des croyances religieuses est le fait d’une humanité à ses débuts placée devant un monde totalement mystérieux pour elle, apeurée par ses phénomènes naturels inexpliqués et par la mort. 

Ceux qui s’intéressent vraiment au problème, pourront lire le petit livre très bien documenté et qui se lit facilement de Frédéric Lenoir : « Petite histoire des religions ».

A partir de ce début qui a donné lieu aux Dieux multiples tenus pour vrais par les peuples, ce qui nous étonne aujourd’hui sans que nous ayons le même étonnement devant le Dieu monothéiste alors que le mécanisme de croyance est exactement le même ; arriveront les divers monothéismes : judaïque, chrétien et musulman.

Cette foi, née initialement, de la peur du monde et de son incompréhension, s’est ensuite maintenue de génération en génération par la transmission parentale et sociale qui vous explique que né dans une famille juive, vous êtes juif, né dans une famille catholique vous êtes catholique et que né dans une famille musulmane vous êtes musulman ; en somme vous l'êtes de père en fils pour ainsi dire. Voilà en effet pourquoi les gens ordinaires croient en la vérité de leur religion et pas en celle des autres.

Certains, ceux que Sénèque appellent les sages et qui sont en réalité ceux qui réfléchissent et ne se plient pas au conformisme social, ne croient pas. Ils sont soit complètement athées ne croyant pas en l’existence d’un Dieu, soit agnostiques ne croyant pas à la vérité des religions révélées qu’ils considèrent comme des créations purement humaines.

Le problème de l’existence ou de l’inexistence de Dieu est un problème métaphysique sans solution ; d’abord parce que personne n’est vraiment d’accord sur ce qu’est ce Dieu (la nature, une énergie, un horloger ….) et que son existence ou son inexistence sont indémontrables.

Quant aux religions, une simple réflexion devrait aisément permettre de penser qu’elles sont en effet des créations humaines et rien qu’humaines.

Prenons les trois religions monothéistes : le judaïsme, le christianisme et l’islam.

La plus ancienne, le judaïsme, date d’environ plus ou moins cinq mille ans. Or l’humanité et cela est une certitude scientifique, remonte à des millions d’années ! Peut être pourriez-vous vous demander s'il est crédible que Dieu, s'il existe, ait laissé l’humanité qu’il avait créée des millions et des millions d’années sans message, sans religion et que tout à coup (allez savoir pourquoi) il se décide à proclamer son premier message ?

Comment admettre que Dieu qui se préoccupe de l’homme, nous dit-on, laisse l’humanité seule bondonnée à elle même pendant des millions d’année ? Ce n'est pas crédible.

Et que tout à coup il se réveille d’un long sommeil après sa création et décide d’envoyer un message. Est-ce crédible ?

Et puis ce premier message est contraire dans sa lettre à la réalité. Le monde, et c’est scientifiquement indiscutable, n’a pas été crée en une semaine ce qui n’a pas empêché les églises à le croire et à punir ceux qui ne croyaient pas en ces balivernes. Les théologiens se rattraperont plus tard, devant l’évidence scientifique, pour nous expliquer que le message est symbolique. Alors pourquoi l’avoir redit trois fois sous la même forme avec la même erreur ?

Voilà pour le temps. Mais la même question se pose aussi dans l’espace. 

Les trois messages ont été délivrés dans un espace du monde extrêmement réduit autour de la Palestine et de l’Arabie. Même avec sa diffusion très large, il y a eu et il y a encore des millions et des millions d’hommes qui ne connaissent rien de ces messages. Est-ce crédible qu’un Dieu, soucieux de l’humanité, laisse ainsi des millions et des millions d’hommes éloignés de ses messages ? Y aurait-il pour ce Dieu des hommes qui mériteraient d’entendre son message et d’autres non, des peuples élus et d'autres dont il se désintéresserait de leur sort ? Qui peut croire sérieusement cela ?

Et pourquoi trois messages : l’Ancien Testament, le Nouveau Testament et le Coran. Un seul ne suffisait-il pas ? Voilà donc un Dieu, tout puissant omniscient et qui se reprend par trois fois pour adresser son message.

On nous dit cela a été rendu nécessaire parce que les hommes n’ont pas respecté les messages. Cette réponse n’est absolument pas satisfaisante. Si tel était le cas, pourquoi avoir changé la teneur du message ? Il fallait reprendre le même et taper du poing sur la table.

Non. Tout démontre que les religions sont des créations des hommes, que ces créations ont évolué avec l’histoire et qu’elles se ressentent, notamment par la prédominance faite à l’homme, du contexte historique dans lequel elles ont été crées.

Mais pour autant, on ne connaît pas d'athées qui en veuillent aux croyants. Les athées pensent simplement que les croyants se trompent mais cela ne va pas plus loin. " Leur tolérance n'a jamais excité de guerre civile ; alors que l'intolérance a couvert la terre de carnage ", disait Voltaire. 

Le seul exemple dans l’histoire de lutte contre les religions a été donné par le communisme qui était en vérité une idéologie criminelle comme l’histoire l’a suffisamment montré, même si on peut regretter que trop de prétendus intellectuels aient cru devoir soutenir ce genre d’idées ineptes.

L’écrivain qui représente le mieux cette école de pensée, c’est Albert Camus. Il était athée mais il respectait les croyants disant seulement qu’il n’avait pas pour sa part pu « entrer dans cette foi ». Il pensait même que les croyants pouvaient être utiles, à condition de respecter les enseignements de l'évangile. Mais il n’est jamais tombé dans une autre idéologie, ayant combattu avec force le communisme dans " l’Homme révolté ".

Une étude scientifique récente donne raison sur ce point à Sénèque. Elle établit que plus les gens sont instruits, plus ils sont athées ou agnostiques. Ce qui explique la volonté des islamistes de cultiver l'obscurantisme !

Enfin et c’est le troisième élément de la phrase de Sénèque : « Les dirigeants considèrent la religion comme utile ».

De tous temps les gouvernants ont utilisé la religion pour asseoir leur pouvoir allant jusqu'à prétendre être les représentants de Dieu sur terre. Commode, en effet pour dominer les hommes. Comment voulez-vous contester un pouvoir qui se réclame du divin ? Cela va des Pharaons aux Empereurs romains se qualifiant eux-mêmes de Dieu ; du pouvoir absolu de « droit divin » des Rois de France aux Califes autoproclamés héritiers du prophète Mohamed ; jusqu'aux partis islamistes qui de nos jours instrumentalisent la religion pour accaparer le pouvoir et maintenir les peuples dans l’ignorance.

Même Napoléon, pourtant produit de la révolution française, pour asseoir son pouvoir, s’est tourné vers l’Eglise et avait espéré que Chateaubriand et son « Génie du christianisme » l’y aiderait.

Tout le progrès de l’humanité a été de réduire cette place du divin dans la gouvernance. Ce progrès n’a pas été sans heurts et sans excès car si la religion est choquante quand elle est instrumentalisée et devient un instrument de prise du pouvoir, peut avoir des effets positifs dans la vie individuelle des personnes et peut favoriser l’épanouissement de ceux qui croient sincèrement. Si les religions peuvent aider les hommes à vivre, tant mieux ! 

Mais l’expérience montre qu’elles ont aussi des conséquences quelques fois contraire à l’intérêt des hommes. Elles ont produit des drames innombrables : les croisades, l’inquisition, l’évangélisation et l'islamisation à coup de sabres, les guerres de religion, la participation des Eglises à des crimes politiques comme ceux, abominables, commis par l’Eglise Espagnole pendant la guerre d’Espagne ... et maintenant l’islamisme criminel. 

Il est vrai qu’a côté de ces horreurs, le sentiment religieux a produit grâce à des artistes innombrables, des beautés architecturales, picturales et littéraires sans pareil ; l'homme ayant réservé le meilleur de lui même pour magnifier et honorer ce qu'il a sacralisé et adoré.

La grande difficulté est donc de trouver la juste place de la religion. Sur ce terrain, la France depuis l’horreur des guerres de religion et grâce au travail des grands intellectuels du siècle des Lumières, est parvenue petit à petit à trouver cet équilibre, non sans heurts, avec l'Edit de Nantes d'abord, puis la Déclaration des Droits de l’Homme et enfin la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, à l'origine de la laïcité.

Les Etats « musulmans » qui veulent aller vers le progrès, c’est vers des solutions semblables qu’ils devront aller. C’est la raison pour laquelle la solution viendra certainement des musulmans de France, à condition que le pouvoir politique y prête la main.

L'Islam ne connaissant pas d'autorité centralisée du culte, les musulmans vivant en France doivent pouvoir créer, comme on l’a dit si souvent, un Islam de France qui par son rayonnement et son humanisme pourra aider bien au delà de l'hexagone d'autres musulmans. Car pour repenser l'Islam et remettre à plat cette religion, il faut disposer de la liberté d'expression, ce qu'aucun pays "arabo musulman" ne garantit actuellement ! 

Les musulmans ne pourraient faire l'économie de cette remise en question de leur religion pour l'adapter à notre époque s'ils veulent rattraper leur retard et rejoindre les civilisations qui ont progressé depuis qu'ils ont fait ce "travail" sur leur religion qui devenait un frein pour leur développement.

Déjà de nombreux intellectuels l’ont dit et ont œuvré en ce sens : Des scientifiques et théologiens tels que Mohamed ArkounAbdelwahab MeddebMohamed TalbiSoheib BencheikhAbdennour BidarYadh Ben AchourMalek Chebel ; mais aussi des écrivains tels que Boualem Sansal, Tahar Benjelloun, Kamel Daoud, Mahmoud HusseinLydia Guirous et certainement beaucoup d'autres encore ; et même un mouvement citoyen.

Tous ceux-là ont montré que pouvait prévaloir une interprétation du Coran autorisant la liberté de croire ou de ne pas croire, exhortant les hommes à vivre en paix, l'invitant à la fraternité et à l’ouverture plutôt qu'au renfermement et au rejet de l'autre. 

Tous sont unanimes pour dire que l'islam peut s’accommoder des valeurs de la Républiques françaises et de la première d'entres elles qui est la laïcité, règle fondamentale du vivre ensemble.

Le Coran le permet et c’est donc une question d’éducation pour que cette vision se propage plutôt que la vision obscurantiste et violente qui s'est répandue en France depuis la chute du mur de Berlin.

Or malheureusement ces intellectuels n’ont pas été suffisamment entendus par les musulmans eux-mêmes ni par le pouvoir qui a une grande responsabilité dans ce qui se passe depuis que l'islam des musulmans de France est pris en otage par le wahhabisme, cette obédience obscurantiste et dangereuse venue d'Arabie. Les responsables politiques par manque de culture ou pire pour des raisons bassement électoralistes, ont laissé se développer en France une vision obscurantiste du Coran, en fermant les yeux sur le wahhabisme que diffusent les pétromonarchies, d’Arabie Saoudite et du Qatar entre autres, à coup de milliards dépensés dans ce prosélytisme contre leurs pétrodollars pour renflouer l'économie française.

La France a laissé s’installer et prêcher des imams endoctrinés au wahhabisme, plus ou moins instruits. Elle a laissé se propager sur son territoire les prêches télévisés de ces imams arriérés qui, par l’habileté du discours, ont contaminé les moins instruits des citoyens. Elle a laissé se diffuser dans divers lieux des brochures ineptes donnant une vision des plus obscures du Coran et de son interprétation, brochures venant souvent de cette Arabie arriérée.

Ce pouvoir a, en voulant organiser l’islam de France, laissé des obédiences attachées à ces interprétations les plus arriérés du Coran se développer sur le territoire et occuper des postes de responsabilités au CFCM par des hommes convertis au wahhabisme. CFCM où est apparue l'UOIF proche, quoiqu'elle prétende, des "Frères musulmans". Cela a été la grave faute de Sarkozy dont on sait la proximité douteuse avec le Qatar.

Tout cela joint à un abandon scandaleux des jeunes de banlieue, que le Premier Ministre Manuel Valls qualifie d’apartheid, a permis la situation actuelle où des jeunes mal instruits, abandonnés sur le plan de l’emploi, versant dans la délinquance ; se laissent entraîner par des imams autoproclamés, wahhabites, jusqu'à les pousser à des crimes abominables.

Le pouvoir n’a pas pu ignorer cela qui dure depuis plus de vingt ans. Il semble se réveiller après la tragique attaque de Charly Hebdo. Certains hommes politiques aussi. Acceptons cette prise de conscience, quelle soit une chance de se ressaisir et que les musulmans de France profitent aussi de cette occasion pour faire évoluer les choses et conformer leur religion aux valeurs de la république française, en réalité aux valeurs universelles.

Pour cela il faut agir sur deux volets, tout aussi importants l’un que l’autre :

- Un volet général qui est le développement de l’éducation dans les banlieues. Il n’ y aura de solution qu’en élevant le niveau du savoir, en aidant au développement économique et social de ces banlieues, en faisant par une politique volontaire et vaste diminuer les ghettos en développant la mixité sociale. Ce volet prendra du temps mais il est nécessaire.

- Un volet plus spécifique à l’Islam : Il faut que le pouvoir cesse de se voiler la face devant le désastre que constitue le prosélytisme wahhabite. Il lui faut aider le mouvement des intellectuels musulmans qui veulent développer un Islam moderne, acceptant la liberté et la séparation du religieux et de l’Etat. Aider ceux-là signifie aussi ne plus tolérer, en tous cas dans les mosquées et les centre culturels en France, les adeptes du wahhabisme qui est incompatible avec les valeurs de la France. Pour cela il est impératif que l'Etat contrôle les financements et les personnes qui gèrent les lieux du culte et les centres culturels musulmans de France. Ne plus laisser les prédicateurs d'Arabie et du Golfe venir diffuser le wahhabisme dans les mosquées ni profiter des rassemblements du Bourget pour faire le prosélytisme à l'obscurantisme. 

Je suis pour que l’on restreigne la liberté de l’Internet pour limiter la diffusion de cette idéologie mortifère et que l’on arrête aussi la diffusion sur le sol français les télévisons des pétromonarques qui diffusent le poison wahhabite à longueur de prêches. Télévisions qui appellent au jihad et qui par leurs enseignements contreviennent aux valeurs de la République.

Certains objecteront que cela est contraire à la liberté d'expression et c'est ce que disait un sociologue récemment dans Bibliothèque Médicis qui insistait sur le fait qu'en démocratie on ne peut sanctionner que lorsqu'il y a passage à l'acte. Le problème c'est que ces obédiences obscurantistes entraînent des passages à l'acte divers et variés quand dans certains endroits, les femmes ne peuvent plus circuler librement sans être voilées par exemple et qu'il y ait atteinte évidente aux valeurs de la République. 

Car quand on est en guerre comme le dit Manuel Valls, et ici il est évident qu'il s'agit d'une véritable guerre contre un cancer de la pensée, on est contraint d'adopter des dispositions particulières. 

Souvenons-nous toujours de cette phrase si juste de Saint-Just : " Pas de liberté pour les ennemis de le liberté " !


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25 réactions à cet article    


  • Diogène diogène 27 janvier 2015 13:31

    Votre dissertation d’un niveau de classe terminale s’efforce d’aborder rationnellement la question des religions en explicitant le lien qui existe entre ignorance et croyance.


    Votre titre est donc une contradiction en soi. Le mot « lumières » n’est compatible avec aucune religion, l’Islam pas plus que les autres, et les « philosophes des lumières » n’étaient pas des chrétiens tolérants, mais des libre-penseurs !

    Pourquoi pratiquer un paternalisme qui consisterait à laisser aux analphabètes la possibilité de croire à condition qu’ils soient tolérants.

    Votre position est une discrimination : aux gens cultivés attribuons la possibilité d’une pensée autonome, aux « autres », offrons leur un opium non toxique.

    • plancherDesVaches 27 janvier 2015 14:36

      « un opium non toxique »...

      Quelle bassesse.
      Ils sont trop co... pour comprendre.. ???
      Alors essayez de VOUS mettre à niveau, Votre Grandeur. Pour leur apprendre et les faire progresser à Votre Niveau.

      La MEILLEURE des croyances est CELLE en l’ HUMAIN !!!!!


    • Le p’tit Charles 27 janvier 2015 13:46

      «  La religion est considérée par les gens ordinaires comme vraie, par les sages comme fausse et par les dirigeants comme utile  »....Tout est dit...pas la peine d’en rajouter.. !


      • MagicBuster 27 janvier 2015 14:07

        En général qui peut le plus peut le moins,

        C’est aux intellectuels de s’adapter aux gens moins intelligents... vouloir faire l’inverse est totalement voué à l’échec.

        Surtout en terme de religion ou les extrémistes , voient les moins intégristes comme des non croyants, de pures mécréants !!!


        • non667 27 janvier 2015 14:51

          à rachid
          senèque :«  La religion est considérée par les gens ordinaires comme vraie, par les sages comme fausse et par les dirigeants comme utile  ».

           bien avant lui le grec quinte curce avait dit dans la bio d’Alexandre le grand  :
          la religion est le meilleur moyen de gouverner /manipuler les hommes !.


          • Bubble Bubble 27 janvier 2015 15:03

            Sénèque est un auteur très intéressant. Comme un certain nombre de philosophes grecs, il utilise le mot dieu au singulier et non au pluriel, ce qui le dissocie au polythéisme de son époque mais montre qu’il accepte complètement la notion de divin. Vous devriez le lire.


            • Loatse Loatse 27 janvier 2015 15:26

              Qu’est ce que les lumières en quoi cela consiste ?


              A reconnaitre la liberté de croire ou de ne pas croire... De pratiquer ou de ne pas pratiquer...

              A ce qu’hommes et femmes bénéficient des mêmes droits.. celui de se déplacer librement, d’accéder à l’éducation, de travailler, de choisir eux mêmes leur conjoint, 

              A reconnaitre et respecter l’altérité, ce qui implique que la notion de fraternité, d’entraide ne soit plus conditionnée à une appartenance à une communauté religieuse, à l’observation de ses règles et dogmes...

              A reconnaitre le droit à tout individu de disposer du libre arbitre et de faire usage de son esprit critique bref de l’usage de la raison... à disposer également de son corps comme il l’entend..ce qui implique de reconnaitre le droit à l’homosexualité..

              A veiller au bien être de nos animaux,(qui bénéficient aujourd’hui du statut d’être doués de sensibilité"

              A celui de l’humanité toute entière en tentant de mettre fin aux problèmes de manque d’eau potable, de malnutrition, de pollution, d’injustice sociale..

              A la préservation de nos ressources naturelles afin de transmettre un monde vivable aux générations futures..



              • César Castique César Castique 27 janvier 2015 15:38

                « Souvenons-nous toujours de cette phrase si juste de Saint-Just : » Pas de liberté pour les ennemis de le liberté «  ! »


                Cette phrase est l’une des plus abjectes que je connaisse, car c’est celui qui la prononce qui s’arroge le droit de désigner les « ennemis de la liberté », et elle ne sert que les tyrans disposant des moyens de l’appliquer. 

                C’est d’ailleurs en son nom que Saint-Just lui-même est allé éternuer dans la sciure et c’était rudement bien fait... Pour sa tronche, of course.

                • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 27 janvier 2015 16:15

                  « La religion est considérée par les gens ordinaires comme vraie, par les sages comme fausse et par les dirigeants comme utile »...

                  Bizarre alors comme ces trois catégories se retrouvent toutes périodiquement sous la soutane du papa Pape du Vatican ! C’est l’hypocrisie TROMPES-MOI POUR QUE JE TE TROMPES ?

                  Et tous les rites religieux (mariages, funérailles...) qui se déroulent à Paris, ville des lumières obscures, c’est l’affaire des « gens ordinaires comme Hollande et son gouvernement », c’est l’affaire des « sages comme ces attroupements chaque dimanche », ou peut-être l’affaire « des SDF qui sont assez crédules ... »

                  Je pense que la France doit se retenir et d’arrêter de vouloir tout déformer, tout remodeler afin de polluer définitivement des esprits déjà mal en point !


                  • colere48 colere48 28 janvier 2015 10:48

                    Je pense que la France doit se retenir et d’arrêter de vouloir tout déformer, tout remodeler......

                    Mais qui êtes vous pour vous permettre de tels conseils et jugements ???
                    Savez vous que si ce pays ne vous convient pas, vous pouvez le quitter !!


                  • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 28 janvier 2015 16:02

                    Vous me raccompagnez ?


                  • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 27 janvier 2015 20:00

                    Le problème est au cœur de l’islam et le traitement par l’éducation des musulmans ou par la création d’un « islam de France » ne supprimera pas le problème.

                     

                    La comparaison des textes – l’Ancien Testament, le Nouveau Testament et le Coran – est sujette à interprétation notamment à cause de sourates considérées par certains comme caduques alors que d’autres estiment que le texte est un tout et qu’une sélection n’est pas permise.

                     

                    Donc ce que suggère l’auteur – « pour repenser l’islam et remettre à plat cette religion, il faut disposer de la liberté d’expression » – ne serait au mieux suivi que par une partie de musulmans. Cela reviendrait à dire que l’islam n’est pas LE problème, mais que le problème vient de certains courants hérétiques de l’islam, et donc qu’il suffit de tailler dans les textes pour en sortir quelques chose d’acceptable et d’applicable en Europe.

                     

                    C’est faux, la violence est au cœur-même de l’islam. C’est un fait et évacuer ce qui est au coeur revient à renier ce qui est à l’origine de l’islam, c’est-à-dire la partie la plus « sacrée » pour la plupart des musulmans, la partie sur laquelle repose l’islam. Dans ce processus une confrontation ouverte apparaitrait entre ceux qui se dirait « vrais musulmans » par comparaison aux autres qu’ils considéreraient comme « faux musulmans ».

                     

                     Alors la question est quelle partie de la population française musulmane accepteraient une redéfinition de l’islam : les vrais musulmans ou les autres ?
                     

                     Cette question est d’importance car selon la réponse toute tentative d’adaptation de l’islam pourrait n’avoir aucune chance d’aboutir, ou pire aboutirait à la création officielle en France de courants clairement marqués et antagonistes. Cet antagonisme entre ceux qui se disent héritiers de Mahomet existe notamment en Irak avec la violence qui s’en suit.

                     

                    L’auteur mentionne le wahhabisme mais n’explique pas pourquoi (ou en quoi) ce courant est persuasif pour les musulmans qui cherchent la réponse à la question « quel est le véritable islam ? ». C’est une erreur de croire que la question est celle des gens instruits versus ceux qui ne le sont pas.

                     

                    On voudrait traiter l’islam pour le rendre compatible avec nos sociétés européennes comme cela a été fait avec les chrétiens. Mais ce qu’on peut appliquer aux uns on ne peut l’appliquer à certains autres.

                     

                    L’islam a un problème en comparaison avec la chrétienté : ceux qui veulent suivre la voie montrée par Mahomet prennent une toute autre direction que ceux qui veulent suivre la voie montrée par Christ.

                     

                    Pour y voir clair à propos de l’islam, pour faire une comparaison correcte avec les autres religions, en l’occurrence avec la chrétienté, il y a un moyen incritiquable.

                     

                    La comparaison de la vie des prophètes fondateurs de la chrétienté et de l’islam montre des divergences profondes : quels messages, quels enseignements pour leurs adeptes, ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies ?

                     

                    Intéressons nous donc aux faits de leur vies.

                     

                    Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous sans distinctions ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance envers ceux qui n’obéissent pas aux règles qu’il a édictées : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine

                     

                    Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.

                     

                    La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.

                     

                    Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion comme une autre.

                     

                    Qui sont les vrais musulmans : ceux qui se comportent en suivant l’exemple donné par Mahomet, le fondateur de l’islam, ou les autres ?

                     

                    Donc sous l’éclairage de l’islam donné par l’exemple de la vie de Mahomet comment situez-vous les djihadistes : parmi les vrais musulmans ou parmi les faux musulmans ?

                     


                    • velosolex velosolex 27 janvier 2015 23:41

                      Moi je préfère citer Tacite qui disait : « Laissons les hommes se moquer des dieux, et les dieux s’occuper de punir ou non ces hommes ! »


                      Heureuse époque où chacun pouvait trouver un dieu à sa mesure : Menteur, matois, charmeur, alcoolique, généreux....Enfin, des dieux qui ressemblaient furieusement aux hommes.

                      Des religions, je pense simplement qu’elles sont anachroniques, que ce sont des constructions névrotiques, ou paranoïaques, faites pour canaliser et ordonner un peuple. 

                      De plus en plus anachroniques du fait de la mondialisation, et de la haine qu’elles génèrent, faisant tache d ’huile sur le monde, à la vitesse percutante de la lumière, bien que celle ci soit particulièrement obscure.

                      Nous voilà à nous battre avec notre cerveau reptilien, alors que les véritables enjeux sont autrement importants, et tiennent à la survie de l’humanité. 

                      Il y a une véritable dichotomie suicidaire entre ces deux principes actifs


                        • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 28 janvier 2015 09:57

                          Martin sur AgoraVox (---.---.---.229) 27 janvier 20:00

                          «  »La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.«  »

                          Raisonner ainsi c’est éloigner définitivement la paix en Occident et ailleurs ! Dommage que le vrai débat ne puisse éclairer les esprits obtus.


                          • colere48 colere48 28 janvier 2015 10:57

                            Raisonner ainsi c’est éloigner définitivement la paix en Occident et ailleurs.....

                            Surtout ailleurs, en terre musulmanes
                            Donc posez vous les bonnes questions et vous y verrez plus clair...

                            Est-ce que le sang versé, les lambeaux de chair éparpillés et les têtes coupées tout au long de l’histoire lugubre de l’islam, représentent une grâce d’Allah, octroyée exclusivement et généreusement aux peuples dits musulmans ?
                            Pourquoi doivent-ils demeurer condamnés à vivre comme à subir des conditions humiliantes et douloureuses ?
                            Est-ce que l’islam est pour eux une véritable grâce ou plutôt une disgrâce voire une malédiction infernale ?


                            • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 28 janvier 2015 15:50

                              «  »Donc posez vous les bonnes questions et vous y verrez plus clair...«  »

                              Ah ! Mais pour moi tout est limpide ! Non seulement je me suis posé les bonnes questions mais en plus j’ai eu les vraies réponses ! 

                              Pare exemple : Pourquoi les « pays arabes » ne se détruisaient pas eux-mêmes avant que la France et l’Occident ne les terrorisent et ne leur inculquent la culture terroriste ?

                              Moi, j’ai la réponse. Et vous est-ce que vous l’avez ?


                            • colere48 colere48 28 janvier 2015 17:52

                              Pourquoi les « pays arabes » ne se détruisaient pas eux-mêmes avant.......

                              Aux origines de l’islam, Mahomet (Qsssl) : prophète, chef de guerre, homme d’État. Luttes et massacres n’ont jamais cessé depuis l’Hégire. Votre affirmation est donc dépourvue de pertinence, ne rendant pas compte d’une réalité fondamentale : l’antagonisme immémorial des sunnites et des chiites, sans oublier l’exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur , tel se révèle Mahomet (Qsssl)

                              Alors vous me faites bien rire avec « le rôle des français » !


                            • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 29 janvier 2015 09:56

                              Vous avez l’esprit congelé ? Nous sommes en 2015 et si on doit remonter le temps, on passera nécessairement sur « quelques arrêts de bus » qui montreront toute la barbarie humaine qui n’avait même pas le prétexte de la religion !

                              Pas loin de chez vous et de votre mémoire, il y a ce Clovis le Barbare...

                              Parlons d’aujourd’hui et( laissez le « prophete Mohammed », l’Occident ne mérite même pas de prononcer son nom !


                               


                            • colere48 colere48 29 janvier 2015 11:13

                              laissez le « prophète Mohammed », l’Occident ne mérite même pas de prononcer son nom ....

                              Et oui ça dérange un tel passif....
                              Pourtant c’est la triste réalité des faits.
                              Alors on vous le laisse avec plaisir..... cher ami !


                            • eric 28 janvier 2015 11:40

                              C’est juste complètement contradictoire avec la laïcité à la française. Les religions laissent leurs croyances au vestiaires quand elles participent à l’État, l’État ne se mêle de rien en matière de religion.


                              • MagicBuster 28 janvier 2015 12:25

                                Pour rappel à l’auteur, les (vraies) lumières (diderot d’alembert) étaient athées.

                                Par exemple Diderot :
                                Ses romans, ses critiques et ses essais philosophiques, dont une grande partie ne sera publiée qu’après sa mort, montrent le souci de définir la véritable nature de l’homme et sa place dans le monde. Diderot propose une morale universelle assise, non pas sur Dieu, mais sur les sentiments naturels de l’homme et sur la raison.


                                • franc 28 janvier 2015 12:46

                                  Le problème posé par auteur est fondamental

                                  -

                                  Il faut que l’Etat se charge de ce problème qu’ est l’islam-

                                  -

                                  mais dit on ,la laïcité qui impose la séparation de l’Eglise et de l’Etat interdit que l’Etat se mêle de des affaires intérieures de l’Eglise

                                  -

                                  Sauf que quand l’Eglise se m^le des affaires de l’Etat ,l’Etat en retour a parfaitement le droit de se m^ler des affaires de l’Eglise

                                  -

                                  Sauf que si l’Etat ne doit pas opprimer la religion il a le droit et m^me le devoir d ’interdire les sectes.

                                  ne pas confondre religion et secte 

                                  L’Etat reconnaît la religion mais pas les sectes

                                  -

                                  sauf que la laîcité n’est pas seulement la neutralité et encore moins le nihilisme mais elle est avant tout rationalité .

                                  la laïcité est fille de la République ,et la République est fille de la Raison

                                  _

                                  sauf que la loi de la laïcité à la française de 1905 ,est uneloi historique dune conception relativement historique duprincipe la laïcité ,et qu’on peut encore la renforcer en suivant la voix de la raison pour s’adapter à un moment historique différent 

                                  car il y a une conception encore plus générale et plus universelle et intemporelle du principe de la laïcité que celle de la laïcité historique ,c’est la laïcité théologique qui est la séparation de la logique divine absolue applicable dans le domaine du transcendant absolu d’avec la logique humaine relative applicable dans le domaine de l’immanent

                                  -

                                  Or toutes les institutions ,qu’elles soient laïques ou religieuses,avec ses principes ,ses dogmes ,ses lois et ses rites , font partie du domaine immanent et donc du domaine de la raison ,et donc du domaine de l’Etat politique en tant que en bras actif et pratique serviteur de de la République et donc de la raison

                                  _

                                  la laïcité théologique a été conceptualisé par le grand théologien Père de l’Eglise St-Thomas d’Aquin dans sa Somme théologique en ces termes :

                                  -

                                  ------« Dans le domaine du créé immanent ,c’est la raison qui détermine ce qui est bien ou mal. »

                                  -

                                  Et enfin c’est à partir de cette laïcité théologique en la primauté de la raison dans le domaine immanent ,et la politique est du domaine immanent ,que la loi de laïcité historique de séparation de l’Eglise et de l’Etat a été prononcée et élaboré m^me de manière imparfaite suivant le contexte historique .

                                  -

                                  On peut toujours parfaire la loi de 1905 en suivant toujours la loi de la Laïcité théologique c’est à dire en obéissant toujours et partout la raison dans le domaine immanent du politique

                                  -


                                  • Depositaire 28 janvier 2015 13:53

                                    Alors en lisant cet article et, comme prévu, je n’avais pas besoin de les lire tellement c’était évident, les commentaires où tous les islamophobes de service et les athées fanatiques, se sont précipités tête la première pour vomir leurs insanités coutumières, je dois dire ne pas être surpris. J’avais même prédit il y a quelque temps, sur un autre média alternatif, que l’on verrait très vite un véritable déchaînement d’islamophobie et de haine contre les religions se manifester. Tout cela suit un plan préétabli et est en conformité avec une certaine « volonté » qui attise les conflits entres les communautés. Et comme il existe pas mal d’individus à qui il suffit d’une petite impulsion pour les faire réagir, et c’est parti. Nous avons ici une démonstration telle un cas d’école !

                                    Alors, je ne vais pas faire dans la dentelle. Les propos de l’auteur de l’article en ce qui concerne les religions et la nature de l’Islam sont la manifestation d’une ignorance crasse, abyssale ! Ce n’est pas un drame d’être ignorant. il suffit de s’informer pour dissiper cette ignorance. Mais quand à la place de la recherche exhaustive on préfère mettre en avant les préjugés les plus grossiers et les plus ignorants, je me pose la question de l’intention de ceux qui rédigent ainsi.

                                    Je ne vais pas encore une fois, je l’ai déjà fait, répondre à ces sottises manifestes. C’est encore leur rendre un trop grand service que de s’abaisser à leur répondre. Pour éclairer de façon manifeste cette question des religions et de l’Islam en particulier, je vais devoir rédiger un article précis et documenté afin d’expliquer clairement ce qu’il en est. Même si je ne me fais pas d’illusion sur les islamophobes à qui même si on leur montrait des preuves de la taille de l’univers, ils refuseraient d’y croire ! A ce niveau là, c’est de l’ordre de la pathologie mentale !

                                    Ceci dit, ce que dit l’auteur à propos de l’éducation de la jeunesse, est une évidence. Qu’il faille interdire la propagation de l’idéologie wahhabite, aussi. Et je rappellerai encore une fois, que cette idéologie n’a rien à voir avec l’Islam hormis l’usage d’une rhétorique. D’ailleurs, les premières victimes du wahhabisme, sont les musulmans eux-mêmes !

                                    Mais voilà, elle sert trop bien une certaine idéologie hégémonique pour être une simple secte mortifère comme il en existe beaucoup dans le monde. C’est en ce sens qu’il faut comprendre son succès apparent.

                                    J’expliquerai, dans l’article que je rédigerai, mais peut-être en faudra t-il un complémentaire, on verra, la notion d’éducation en islam.

                                    Ceci dit, les « intellectuels » musulmans que l’auteur cite, ne me paraissent pas si crédibles qu’il veut bien le dire. Et il y en a d’autres qu’il ne cite pas.

                                    Je prendrai par exemple, un homme qui commence à être bien connu internationalement et qui écrit des livres d’une remarquable pertinence, qui fait des conférences, des émissions de radio, etc. Cet homme est le maître de la confrérie soufie Alawiya, il est connu sous le nom de Cheikh Khaled BENTOUNES. Apôtre inlassable de la paix, du bien vivre ensemble, du dialogue interreligieux, avec des scientifiques, lors de toute une séries de conférences qui se sont tenues dans les locaux du sénat. Et comme c’est curieux, aucun média ne parle de lui ? La raison ? Elle a été donnée par un journaliste qui un jour lui a demandé ce qu’il souhaitait au niveau des médias. Il a répondu : « cessez de parler des malheurs, des catastrophes, des guerres. Parlez un peu plus de choses qui redonnent l’espoir, des projets qui sont pour le bien être de l’humanité » ! Réponse du journaliste, assez cynique, il faut bien le dire, « les trains qui arrivent à l’heure ne nous intéressent pas » !

                                    Voilà, tout est dit. A chacun de bien méditer ces paroles.


                                    • karibo karibo 28 janvier 2015 17:08

                                      Que l’ islam soit une plaie pour les islamistes, ou philes, est leur problème pas le notre.

                                      Qu ’ ils viennent en France imposer leurs conceptions se réfugiant derrière leur religion est une aberration que leur laissent nos dirigeants, qui sont des traites à la Nation.
                                      Etat et religion n’ ont rien à faire ensemble si ce n’ est endoctriner les populations, pour mieux les asservir , c ’est tout simplement une honte !
                                      La religion et particulièrement celle de l’ islam n’ a pas à interferer dans la laïcité et ce pourquoi nos ancêtres se sont battus .
                                      Laicité et religion sont totalement et catégoriquement INCOMPATIBLES, vouloir faire croire ou interdire de penser le contraire : est un meurtre, à moins que démocratie et dictature soient amants.

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