L’homme est-il végétarien par nature ?
Dès qu’un omnivore explique à un végétarien qu’il veut manger de la viande, l’autre insinue qu’il n’est qu’un monstre sans empathie pour les animaux. À l’inverse, lorsqu’un végétarien détaille son alimentation, l’interlocuteur omnivore s’empresse de lui répondre sur un ton dramatique que les carences le tueront dans un délai assez court. Mais, sur ces dix dernières années, j’ai pu constater une réelle évolution des mentalités. On peut maintenant lire sur certains sites Internet, notamment crudivores, que l’être humain est végétarien par nature. Ce point est intéressant car, s’il est juste, cela signifie que nous devons tous devenir végétariens pour avoir une santé optimale. Mais si c’est faux, cela veut dire qu’il y a des éléments absolument essentiels à connaître pour vivre une alimentation végétarienne tout en préservant sa santé.
Les hominidés dont nous faisons partie se sont séparés des grands singes il y a environ 9 millions d’années. Le primate le plus proche de l’Homme est le chimpanzé (Pan Paniscus, bonobo, et Pan troglodytes, chimpanzé commun). Forts de ce constat, de nombreux sites Internet affirment haut et fort que nous sommes frugivores. Pour finir de convaincre, ils présentent différents tableaux d’anatomie comparée entre les carnivores, les herbivores, les singes et l’homme. On peut y lire par exemple que la longueur de notre intestin ou que notre dentition sont comparables à celles du singe, donc que nous devrions manger comme lui, c’est-à-dire uniquement des légumes, des fruits et quelques noix. Pourtant, lorsqu’on recherche des sources sérieuses de ces affirmations dans les livres de science, impossible d’en trouver les preuves ! En 1996, un groupe de chercheurs de l’American Society of Mammalogists, la plus grande institution au monde dédiée à l’étude des mammifères, publie un livre consacré à l’étude du chimpanzé commun (Pan troglodytes). On peut y lire à propos de la dentition de ces animaux : « Les canines sont proéminentes, en particulier chez les mâles. » Or les canines ont une fonction très précise : arracher la chair animale. Les herbivores n’en possèdent pas. En fait, contrairement à une idée reçue, le chimpanzé n’est pas végétalien, il est omnivore. Les chercheurs expliquent que quand il vit librement dans la nature, le chimpanzé « consomme en moyenne 65 gr de viande par jour pour un adulte », principalement obtenue par la chasse (petits singes, termites).
Après notre séparation des grands singes il y a environ 9 millions d’années, notre alimentation était donc déjà omnivore, mais n’incluait que de faibles quantités de produits animaux. Au fil du temps, notre alimentation est devenue plus carnée, pour des raisons d’adaptation évidentes : lorsque nous avons commencé à nous éloigner de l’Afrique et de son climat favorable, nous avons consommé des quantités de produits animaux de plus en plus importantes, en particulier pendant l’hiver où la disponibilité des végétaux est faible vers le nord. Cette quantité a atteint des extrêmes à certains endroits du globe comme dans les terres les plus nordiques, ainsi qu’en témoigne l’alimentation des Eskimos Inuits traditionnels composée à plus de 90 % de produits animaux. Grâce à des travaux publiés en 2003 par une équipe de chercheurs sud-africains, on estime que cette augmentation de la consommation de viande a débuté il y a environ 2,5 millions d’années. Les chercheurs décrivent cet ancêtre comme « hautement opportuniste » et « adaptable dans ses habitudes alimentaires ». À la même époque et au même endroit apparaissaient les premiers outils en pierre, utilisés pour désosser et découper les carcasses animales. Des outils similaires ont été retrouvés en Géorgie et au nord de la Chine. Mais bien qu’on sache maintenant avec certitude que la consommation de produits animaux est allée croissant au cours de notre histoire, la technologie actuelle ne nous permet pas de déterminer avec précision quelle proportion de l’alimentation représentaient les produits carnés.
En définitive, l’appellation « omnivore » correspond bien à l’être humain : aucun animal ne peut se vanter d’une telle capacité d’adaptation à son environnement et notre alimentation a toujours été constituée d’un mélange d’aliments d’origine animale et végétale. Si l’on conçoit que l’homme n’a jamais été végétarien, comment se fait-il qu’on entende régulièrement qu’une alimentation végétarienne est meilleure pour la santé ? Est-ce la réalité ? Les éléments importants à retenir sont que :
- Les végétariens sont des personnes particulièrement conscientes de leur santé. En moyenne, elles font plus attention à leur mode de vie, fument moins et font plus de sport que les omnivores. Il s’agit d’un biais très important, quasiment impossible à éliminer lors des analyses statistiques, car il est intrinsèque au choix des participants de l’étude.
- De même, comme les végétariens mangent moins de produits animaux, ils mangent plus de végétaux dont on connaît bien les bienfaits pour la santé. Il s’agit là aussi d’un biais très difficile à éliminer.
- La viande consommée aujourd’hui par les omnivores est fréquemment transformée (charcuteries, plats préparés) et contient donc beaucoup de sel et de produits néfastes (additifs toxiques).
La viande consommée par les omnivores est majoritairement issue d’élevages intensifs dans lesquels les animaux sont bourrés d’antibiotiques et nourris aux céréales riches en acides gras oméga-6 inflammatoires, comme l’acide arachidonique, qui augmente nettement le risque de cancer et de maladies cardiaques. Cela contrairement à l’alimentation normale des bovins qui est de brouter de l’herbe, ou à celle des volailles qui est de picorer des vers de terre, des escargots, des plantes surtout sous forme de feuilles, racines, graines, mais très peu ou jamais de céréales. Ainsi, le poulet « élevé au grain » est-il un contresens.
Mais avant le début de l’agriculture, à l’époque de la pierre taillée (Paléolithique), c’est-à-dire entre 3 millions d’années et 12 000 ans avant J-C, jamais l’homme ne mangeait de charcuteries, jamais il ne mangeait de sel et jamais il ne mangeait d’animaux d’élevage malades. Or on sait maintenant avec certitude que l’excès de sel associé à une faible consommation de végétaux est la cause majeure de l’hypertension artérielle, qui augmente en retour de manière très importante le risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral. Dès lors, on peut s’attendre, avant même d’avoir lu la moindre étude, à ce que le régime végétarien, sans viandes modernes et avec plus de fruits et légumes soit meilleur pour la santé. C’est ce que constatent les études sur les végétariens et les végétaliens.
Mais ces avantages du régime végétarien ne tiennent pas à l’absence en soi de viande, mais à l’absence des produits nocifs en général associés à la viande, ainsi qu’à la mauvaise qualité de la viande actuellement consommée.
Pour préserver sa santé il est donc indispensable de privilégier la consommation de poissons sauvages pêchés et de fuir les viandes issues d’élevages intensifs pour préférer des viandes issues de l’agriculture biologique où la qualité de l’alimentation permet d’obtenir des produits de qualité correcte. Soyons clairs : tout le monde n’a pas les moyens de manger de la viande bio. Si c’est votre cas, faites comme moi : diminuez votre consommation pour privilégier la qualité de manière plus occasionnelle.
Quant au bien être animal, je ne pense pas que tous les omnivores soient des brutes sans cœur. Qui peut cautionner le système d’élevage moderne des porcs, des vaches et des poules dans des conditions inacceptables, et l’abattage dans des conditions immorales ? Qui peut donc cautionner ce système qui ne respecte pas la vie et qui met ensuite à notre disposition des viandes toxiques ? Quel que soit notre régime alimentaire, cela devrait nous révolter. Comme dit plus haut, cela oblige à privilégier, parfois fortement, la qualité sur la quantité. Mais c’est à ce prix que nous pourrons, collectivement, faire cesser le système barbare des élevages industriels.
Voir aussi : écologie et consommation
« Les biens superflus rendent la vie superflue »… Pier Paolo PASOLINI
119 réactions à cet article
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Beaucoup de bon sens dans cet article.
User de tout n’abuser de rien, voila peut être la formule.
Et surtout pour les produits carnés, privilégier la qualité au détriment de la quantité.-
Oui mais de quel singe tenez vous ces informations ?
Si le singe est végétarien et que l’homme ne l’est pas, n’est ce pas la preuve qu’il ne faut pas être végétarien ? -
le végétarien se fait moins soigner car les médocs ne sont pas végétariens. il est aussi plus dépressif et crève plus jeune.
la plupart manque de B12 = case en moins
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Après une semaine de régime végétarien, on perd ses cheveux et tous ses poils. Après 2 semaines, on perd ses dents, toutes ses dents, même les fausses. Après trois semaines, on perd ses ongles qui tombent comme des écailles. Après 4 semaines, on perds ses doigts de pieds. Après 5 semaines, si on n’est pas encore mort, on perd ses yeux qui deviennent comme des raisins secs.
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je ne sais pas si l’homme est omnivore ou végétarien par nature .............mais par contre je sais que c’est un horrible prédateur !!!!
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perso comme j’ai pas les moyens d’une cote d’auroch ce soir, me contenterai d’une moule.
Ce n’est pas tous les ans que le 14 tombe en février.Désolé Robert Gil, article trés bien vu...-
Je rejoins Colère48 : article très bien tempéré : ce n’est effectivement pas la viande en elle-même qui est un problème, même si nos civilisations dites « développées » ont tendance à trop en consommer, c’est bien la qualité merdique de la viande productiviste, issue des élevages concentrationnaires, qui est NOCIVE !
Donc omnivore oui, moins de viande et quand on en mange, éviter l’industrielle !
C’est pas facile, surtout pour les urbains.
Quand à Foufouille, dès qu’on évoque une alimentation non-carnée où moins carnée, tu démarres au quart de tour : les vegans se soignent moins car ils sont moins malades, c’est tout ! vu qu’ils font gaffe aux végétaux qu’ils absorbent, et qu’ils n’avalent pas de toxine via la barback industrielle, ben ils ont moins de toxines à gérér, donc sont moins malades, donc n’ont pas besoin d’aller consulter. CQFD !
Quant à ton délire de la case moins par manque de B12, tu exagères camarade, comme toujours sur ce sujet !
T’inquiètes pas, on va pas interdire la barback demain, donc tu pourras continuer à te goinfrer de toxines !
Adishatz
H/
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il y a de la bonne gélatine de cochon dans nos médocs ............ même des fils de suture en boyaux ........ le végan est malade de la tête à 100% car manque de B12
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Je suis malade de la tête ? vous trouvez mes propos incohérents ?
Non donc qu’est-ce qui vous semble si dangereux pour votre personne pour être agressif ? -
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ya queue xeno qui peut car il est proche du stralopitec
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Mais oui mon foufouille, mais oui !
Allez, roule-toi un p’tit 3 feuilles, ça va te détendre, je sens que ces histoires de végétarisme t’énervent trop et c’est pas bon pour toi !
H/
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mais si la B12 est que dans la viande et la poiscaille : végan out
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Il est vrai que la vitamine B12 pose question dans le cas d’un régime végétalien strict (ni oeuf ni lait), mais il faut aussi rappeler les données suivantes :"Les causes d’une carence en vitamine B12 sont liées aux étapes du métabolisme de cette dernière (figure). La malabsorption de la cobalamine alimentaire en est la principale raison (de 50 % à 70 % des cas) chez les personnes âgées à cause du fort taux d’atrophie gastrique chez cette clientèle. Un apport alimentaire insuffisant en est rarement la cause (de 2 % à 5 % des cas)"Bon, on va me dire que c’est parce qu’il y a encore peu de végétaliens absolus dans le monde.Possible.MAIS ce qui est intriguant, c’est qu’Internet regorge d’articles copiés les uns sur les autres à propos de la théorique carence de B12 chez les végétaliens, voire les végétariens (il suffit de comparer les besoins théoriques avec les apports théoriques pour trouver cela convaincant pour les végétaliens), mais que des cas concrets de pathologie due à une carence de B12 imputable au végétalisme sont rarement cités. Je n’en n’ai pas trouvé un seul et je serais heureux que l’on m’en indique (ça doit exister... mais en quelle proportion ?) -
B12 dans la viande parce qu’on supplémente le bétail ! comme quoi quand on s’informe avant de commenter, on apprend des choses, ça évité ce genre de post lapidaire du genre « vegan out ».
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C’est vrai djea :
Je l’avais su mais oublié !! -
ça se voit tout de suite, il suffit de lire un site de propagande végétarienne comme viande.info pour voir le nombres de cases en moins de nombreux végétariens qui répètent les conneries lues
je ne te met pas dedans Gaspard mais reconnais que certains sont gravement atteints. -
Très bon article.
Certains scientifiques pensent que c’est le régime carné qui a permis aux hominidés de développer un gros cerveau, très consommateur de protéine et d’énergie apportée sous forme de graisse.Cette recherche de graisse, constante, se constat sur tous les sites préhistoriques au fait que les os longs contenant de la moelle grasse ont été brisés.La viande contient de la lysine, une protéine qu’on ne trouve pas dans les végétaux.Les mammifères ne digèrent pas la cellulose, composante essentielle des plantes : ce sont des bactéries symbiotiques qui font le travail, dans la panse des ruminants ou le caecum d’animaux comme le lapin. Celui-ci doit manger les crottes vertes qui résultent de cette transformation pour vivre.L’homme n’abrite pas de bactéries capables de fermenter la cellulose.-
La lysine est un acide aminé, pas une protéine !
En matière d’alimentation, il y a de nombreux présupposés et cela permet à chacun d’avoir sa version et de dire qu’il a raison. De nombreuses controverses en perspective...ça occupe !
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« La viande contient de la lysine, une protéine qu’on ne trouve pas dans les végétaux. »
Cette information est complètement fausse, comme on le voit sur ce tableau : -
En réponse à « le printemps arrive » :Exact, la lysine est un acide aminé et non une protéine ! J’ai tapé protéine en pensant à la suite de mon propos.La remarque est importante en effet puisque cet acide aminé entre dans la composition de plusieurs protéines ! Une carence en lysine est donc plus grave que ce que je signalais !Il y a des protéines dans les végétaux bien entendu sinon les herbivores ne pourraient pas vivre.Mais le problème est que notre système digestif est peu adapté, depuis homo erectus, pour les absorber, à la différence du leur alors qu’il récupère l’essentiel des protéines animales.L’importance des lipides dans l’alimentation est mieux reconnue par les travaux récents des nutritionnistes. Le cerveau en nécessite beaucoup ainsi d’ailleurs que les parois cellulaires.Or beaucoup de régimes végétariens n’en contiennent pas assez d’utiles.Les adultes, ce qu’ils mangent, cela ne me regarde pas et je n’ai aucune animosité envers les végétariens ou végétaliens.J’interviens parce que j’ai connue des gens qui avaient une petite fille de sept ans enjouée, vive, pétillante. ils ont divorcé et la fillette deux après était comme éteinte, lente et tristounette.Or elle ne subissait pas de mauvais traitements et n’était atteinte de maladie. Simplement le père a qui avait été confié la garde de l’enfant et sa nouvelle compagne lui faisaient suivre, par « idéologie », un régime végétarien très strict ... -
« Or elle ne subissait pas de mauvais traitements et n’était atteinte de maladie. Simplement le père a qui avait été confié la garde de l’enfant et sa nouvelle compagne lui faisaient suivre, par « idéologie », un régime végétarien très strict. »
Et alors ? Où est la causalité ? Quel exemple du biais de confirmation !On peut aussi bien supposer que le fait d’avoir été séparée de sa mère à 7 ans est une cause plus probable du fait que la gamine était « comme éteinte, lente et tristounette ». -
En répétant que je suis indifférent à ce que les adultes mangent, je voudrais ajouter deux observations.
Le chasseur-cueilleur Cro-magnon, mangeur de viande mesurait en moyenne 1,80m, taille qui n’a été retrouvée qu’au XXe siècle en Europe et aux É-U, coïncidant avec un retour de la viande en quantité dans les repas.Les seigneurs féodaux mangeurs de viande étaient beaucoup plus grands que les paysans mangeurs de céréales, de choux et de pois. -
« Le chasseur-cueilleur Cro-magnon, mangeur de viande mesurait en moyenne 1,80m, taille qui n’a été retrouvée qu’au XXe siècle en Europe et aux É-U, coïncidant avec un retour de la viande en quantité dans les repas.Les seigneurs féodaux mangeurs de viande étaient beaucoup plus grands que les paysans mangeurs de céréales, de choux et de pois. » Moi aussi je peux dire des conneries ?Le chasseur-cueilleur Cro-magnon, mangeur de viande vivait en moyenne 25 ans. Les seigneurs féodaux mangeurs de viande étaient tellement cons qu’ils ne connaissaient pas Internet, inventé par des californiens végétariens. -
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Son espérance de vie n’avait rien à voir avec son alimentation.
Mais Alren a raison, cette grande taille générale, signe que le corps appréciait ce régime, a été perdue avec l’avènement de l’agriculture qui a rendu la nourriture moins riche. Il aura fallu qques milliers d’années pour qu’on revienne (presque) à cette taille.
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« Mais Alren a raison, cette grande taille générale, signe que le corps appréciait ce régime »
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"La guerre de l’Homme contre la viande, grand sujet « écolo » est décidément bien lancée, et les stars n’en finissent pas de montrer la voie de la nouvelle « sagesse ». Après Gwyneth Paltrow, Blake Lively ou encore Jessica Alba, c’est au tour de Beyoncé de se lancer, publiquement, dans un régime « vegan », soit 22 jours de quinoa et de chou-fleur, sans gluten, sans soja, sans OGM, et sans protéine animale.
Quel bonheur pour la planète, surtout quand on sait que les plats sont livrés tous les jours (!) et qu’ils se réchauffent… au micro-ondes (! !!)."
article complet => http://escrocratie.tk/haro-sur-la-viande-place-au-tofu-ecoresponsable-aux-vers-de-farine-pour-sauver-la-planete/
Incidemment les coûts de production étant moindre les actionnaires bénéficieront de plus de dividendes !-
Il y a différents tempéraments chez les humains, et je ne crois pas que ce soit seulement l’éducation ! Il y a les viandards, et les autres. Pour un viandard, manger sans viande est une trop horrible punition, mais pour les autres, en manger n’est qu’une mauvaise habitude culturelle !
Il faut se connaître et faire avec !
En tout cas depuis que je suis végétarienne, jamais attrapé de rhume ni angine, grippe ou autres malédictions hivernales !!
On a perdu notre savoir ancestral ! sinon, pour info, juste association légumes, légumineuses et céréales ! Fruits secs ( amandes surtout) excellents.
Sinon pour la B12, foufouille a raison ; une fois tous les deux ou trois ans, une cure de B12 en ampoules !!! Le besoin n’est pas énorme !
L’ours aussi est omnivore ; je suis comme les ours, je mange ce qu’il y a ; point besoin de tout tous les jours ; l’équilibre se fait sur un mois, quelque fois plus !-
Ah oui, les vegan disent que l’homme est végétarien par nature ; les dents, ( parce que nos canines, hein !), les intestins,etc.
Mais on n’a rien à foutre de ça ; il faut juste empêcher l’élevage en batterie, c’est-à-dire diminuer, nombreux, et de manière drastique, notre consommation de viande !
foufouille mange ses poules ; je ne sais pas comment il fait tellement les poules sont aimables ; mais il peut en manger autant qu’il veut si elles vivent leur vie !! -
@alinea : un biote intestinale en bonne santé produit de la vitamine B12 !
Ce qui peut perturber cette production ? la quantité de céréales et légumineuses ingérées, mal mastiquées donc peu imprégnées des enzymes salivaires (dans ce cas amylases permettant la transformations des amidons , sucres complexes, en sucres simples)) qui vont être inexploitables dans les intestins.
Ces sucres complexes vont se cumuler dans les intestins sous forme de « colles », favorisant le développement de levures et champignons qui contrarient la production par les bactéries intestinales de la vitamines B12. Les « colles » perturbent aussi l’assimilation des nutriments qui sera incomplète. Ainsi, dans un intestin tapissé de « colles » les meilleures sources nutritionnelles seront peu profitables.C’est pourquoi, les végétariens qui souhaitent remplacer les protéines de sources animales par des protéines de sources végétales ,disponibles dans les céréales et légumineuses, vont encourager un déficit en vit B12.
De quelle quantité d’acides aminés (origine protéines animales ou végétales) un organisme sain a-t-il besoin ? entre 7,5 et 10%, en-dessous il y a carence, au-dessus il y a excès menant à des états inflammatoires.
Cette quantité d’acide aminés est amenée en dose suffisante par des crudités variées bien mastiquées. En plus, de cette manière les acides aminés sont accompagnés d’enzymes qui contribuent à la digestion, et de minéraux facilement disponibles pour l’organisme.Autre source de manque de vitamines B12 : le lavage excessif des légumes !
PS : j’accepte parfaitement être incomplet dans mes explications, cependant ceux qui « moinssent » peuvent-ils mes montrer où sont les incohérences ? merci
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« Autre source de manque de vitamines B12 : le lavage excessif des légumes ! »
Heu... ça veut dire quoi, ça ? Que si on laisse un peu de fumier sur une carotte, on va profiter de la B12 de l’intestin du cheval ? Si je suis devenu végétarien, ce n’est pas pour devenir coprophage (mangeur de caca).Et puis en lavant mal un légume du commerce on va surtout risquer de se choper une saloperie laissée par celui qui est passé avant et a tripoté le légume avec des mains sales (la grippe intestinale se transmet comme ça par exemple). -
Merci le Printemps arrive.
Mastiquer, c’est là la clé, en effet ; pourquoi alors peut-on lire que la B12 vient « forcément » de l’animal ?
Je ne lave jamais mes légumes !! c’est déjà ça !
J’avais lu chez les naturopathes, cette histoire de colle sur les parois intestinales qui empêche tout passage des bons éléments dans le sang ! Mais comme certains d’entre eux sont des fanatiques du « cru », ils omettent quelques explications !! -
les poules industrielles de chair ne sont pas aimables mais de grosses charognes. c’est pire pour un coq roux de cinq kilos, une vermine au point de tuer une poule, par contre c’est de la super bonne viande très tendre.
il y a que une oie que je boufferais pas, la mienne car les industrielles ça doit être con aussi. -
Mouais. Je remarque qu’on est tous pareils. Uniformité, élevage humain en batterie. Mais c’est commode car comme ça, il y a des hygiènes bonnes pour tous, la Vérité. Donc, des controverses ; donc, des chicanes.
Tous des automates et pourtant plus de pilote dans le véhicule.
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Pourrait on arrêter ce genre de débat stérile... L homme est omnivore, cela veut dire qu il peut tout manger et peut choisir sont alimentation, je ne voit pas le problème. J ai un frère végane, cela nécessite par contre de vaste connaissance diététique pour choisir son alimentation, racine, graine, fécule, algue, etc... mais il n y a aucune carence. D un autre coté moi je suis un carnivore qui mange du steak tartare avec appétit... a chacun sa façon d être bien...
Sur un point de vue d éthique, l homme le fait depuis la nuit des temps, peut être n es ce pas si répréhensible et s inscrit dans un ordre naturel que l on a essayer de représenter par des chaines alimentaires... Je trouve par contre l excès et le mépris des animaux d élevage blessant, mais ça c est un autre débat, on est obliger d élever si on ne veut pas décimer la nature, et on ne peut pas limité l homme de trop sous peine d injustice, de famine... (un peu de sf, science, quand comme dans star teck pourra tu fait apparaitre de la nourriture contre un peu d électricité... ?)-
« J ai un frère végane, cela nécessite par contre de vaste connaissance diététique pour choisir son alimentation, racine, graine, fécule, algue, etc. »
En fait, manger de la viande « comme tout le monde » sans s’empoisonner est encore plus difficile. C’est possible, mais cela demande aussi de vastes connaissances diététiques pour choisir son alimentation ainsi que des informations sur les filières de la viande, l’alimentation des animaux, les conditions d’élevage, etc. -
Ps : vous les végétariens,
N entendez vous pas hurler les radis que l ont arrachent au fond des champs, essayer d imaginer, effrayant non...
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source : Jean Carmet !
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Vi ! et puis ça, on l’entend jamais ! La masse des moutons a fait la même école malheureusement ! : l’Ecole du Rire !Cette « blague »-là un végé va l’entendre combien de fois dans sa vie vous croyez ? -
le cri de la carotte ou de la tomate mangée crue ...........
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En revanche, tout le monde sait que les tomates ne crient pas, voyons ! Contrairement aux carottes, les tomates sont muettes. Les tomates italiennes parlent même avec les mains.
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mais si tout les légumes hurlent de douleur. le pire est huitre truc dégeulasse avaler vivant
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et c’est ici, excellent livre ! -
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Mes enfants sont végétaliens depuis des années, leur médecin est tout à fait d’accord avec eux, leur a dit que les végétaliens sont très bons en nutrition car ils s’informent eux, cherchent toujours à manger varié et sain.
Très étonnant l’agressivité des carnivores envers les végétariens, y’a une gêne, un agacement. La planète est condamné à plus ou moins long terme et on condamne, ion cherche à ridiculiser ceux qui ont des solutions.il faut 1.000 litres d’eau pour obtenir une brique de lait d’un litre, 16.000 litres pour un kilo de viande de bœuf. -
c’est le végétalfascite qui est agressif et surtout mythomane. humain carnivore, ça existe pas, débile.
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@ djea végétalien c’est bien cela : ( le végétalisme est une pratique alimentaire qui exclut les produits et sous-produits d’origine animale (viandes, poissons, crustacés, mollusques, gélatine, œufs, lait, miel, etc.). )
’ L’alimentation macrobiotique en tant que technique se veut une application pratique et logique du Principe Unique. Selon ce dernier, le développement humain (tant physique que mental et spirituel) devrait se réaliser de lui-même d’une manière naturelle. Si ce n’est pas le cas, c’est qu’on l’en empêche. )
Et quand l’on associe les deux, cela donne macrobiotique végétalien crudivorisme et l’on cours se risque qui n’est pas négligeable :
Pourtant, nous l’avons dit, les détracteurs du crudivorisme se font entendre depuis déjà bien des années, apportant leurs arguments, parmi lesquels les plus fréquemment invoqués restent évidemment : le refroidissement de l’organisme, et la déminéralisation.
Sans doute faudrait-il faire le distinguo entre les différents crudivoristes, mais, d’une manière générale, on observe, de leur part, il est vrai, une tendance à consommer énormément de fruits, ce qui, sous nos latitudes n’est peut-être pas sans poser quelques problèmes.
A tel point que les médecins et naturothérapeutes, ayant reçu en consultation des personnes pratiquant un crudivorisme strict, s’accordent à dire qu’elles souffrent pratiquement toutes de déminéralisation, de fatigue, de frilosité, d’engelures, d’amaigrissement, d’hypotension, d’impuissance ou de frigidité, de spasmophilie et de dépression...
sans parlé un excès de cette pratique alimentaire, sans une certaine spiritualité qui l’accompagne, rend parfaitement zinzin !
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Je ne parle pas ici des crudivores que je ne connais pas bien mais donnez-nous les liens vers les études ou articles évoquant tous les maux « attribués » aux crudivores. Je ne demande qu’à lire. -
amish la toile est en remplie, il suffit de chercher, manger toujours la même forme alimentation en l’occurrence crue va favorisé à la longue des irritations, cela découle du même principe d’’une alimentation uniquement carnivore qui crée de l’urée !
Deuxièmement manger uniquement crue, c’est à dire froid, n’est pas bon non plus, le corps à besoin de chaleur et le fait de cuire un aliment et déjà lui faire subir un prédigestion par la cuisson, facilité la digestion et apporte la chaleurs indispensable que le corps à besoin !
Et il n’est pas compliqué à comprendre, que ne pas varié son mode alimentaire, être intransigeant, crue, cuit, végétalien, où carnassier, où autre aberration alimentaire et en réalité la base qui va être le socle qui seront à l’origine de se que l’on appel les maladies chroniques, certes tous n’auront pas une maladie génératrice immunitaire, n’est cela peut très bien devenir de la sénilité, du gâtisme, où tous simplement un bon fou furieux !
en réalité avec l’alimentation, l"on retrouve un vieux principe de Paracelse qui écrivait :
( Paracelse est souvent considéré comme le père de la toxicologie. Il a écrit : « Tout est poison, rien n’est sans poison, ce qui fait le poison c’est la dose ». Cela signifie que des substances souvent considérées comme toxiques peuvent être anodines ou même bénéfiques à petites doses ; inversement, une substance en principe inoffensive comme l’eau peut s’avérer mortelle si on l’absorbe en trop grande quantité. Il a vu que le mercure soigne la syphilis, mais mal dosé le mercure tue. )
Et bien pour les aliments sont des poisons pour le corps, c’est juste une quantité qui fait que l’on ne meurt pas à chaque repas, car il y avait de digestion et dissolution des poisons , tu en mourais à chaque repas !
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@Djea
par pitié arrêtez de sortir ces chiffres à la con sur la « consommation » d’eau nécessaire pour produire la viande etc.
Vous parlez d’eau de pluie qui tombe sur les champs et qui, de toute manière, y serait tombée, champs ou pas champs, vache ou pas vache. Cette eau n’est pas « consommée » dans le sens que vous lui donnez, à savoir gaspillée. -
Un peu de sérieux philippe. Tout le monde comprend où Djea veut en venir. L’eau ne sort pas indemne du processus, tout comme tu ne sers pas à table de l’eau des chiottes sous prétexte que ce n’est que de l’eau.
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Développez pour voir ?
Si je vois où Djea veut en venir, je ne pense pas qu’on ait la même vision. Son propos est de dire que l’élevage est un vaste gaspillage d’eau qui contribue à la pollution et à la désertification, l’eau étant ainsi perdue.
Or, il n’en est rien car la majorité de la flotte ainsi comptabilisée est de l’eau de pluie qui tombe sur les champs et est absorbée par la terre. ça aurait changé quoi de cultiver du blé pour les hommes plutôt que du soja pour les animaux ?
Absolument rien.Un peu de sérieux Enabomber stp.
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La quantité de blé à cultiver n’est pas la même, et de loin. Et l’industrie agroalimentaire ne se contente pas d’attendre que l’eau dont elle est un consommateur avide tombe du ciel, elle va la chercher dans des nappes qu’elle épuise. Si le bilan global de la quantité d’eau est le même évidemment, c’est loin d’être le cas de sa qualité.
D’après la FAO, la salinisation des sols due à l’irrigation réduit la surface des terres irriguées de 1 à 2 % -
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ok, lisez bien, ce problème de salinisation ne nous concerne pas, seulement les terres arides ou semi arides. Et c’est un souci qui concerne toutes les cultures, qu’on donne à manger aux animaux ou aux hommes.
De plus, les nappes phréatiques se vident et se remplissent au gré des pluies et leurs situations ne sont pas les mêmes selon les années, et, loin d’être épuiseés, pour 2015, pour l’instant tout baigne en France...
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« Dans le monde en 2008, ont été produites, dans les usines de quatre firmes différentes (une française - Sanofi-Aventis - et trois chinoises), environ 35 tonnes de vitamine B12.
Cette quantité représente environ SIX fois les besoins nutritionnels de la totalité de l’humanité. Mais où va toute cette B12 ? Dans les comprimés pour végétariens ? Ils doivent vraiment en abuser, et être très très nombreux !Eh bien non. En réalité, seule une petite partie de cette production va dans les comprimés. La plus grande part va dans... les aliments pour animaux d’élevage.Les végétariens prennent de la B12 fabriquée en usine et emballée dans des comprimés. Les personnes qui mangent de la viande, tout au contraire, prennent de la B12 fabriquée en usine et emballée dans des animaux. »-
Très intéressant.
On aimerait aussi connaître le protocole des expériences qui permettent d’établir la quantité minimale quotidienne de B12 dont aurait besoin un être humain. Les gens ne se posent jamais ce genre de question. -
Ca pinaille, ça pinaille...Encore jamais vu sur un seul blog ou à la suite d’un article, une seule personne dire : vous avez raison, vous m’avez convaincu ! JAMAIS ! Indécrottable amour propre de l’être humain.Voir différemment de la masse n’est vraiment pas son truc. Avoir son propre avis, un esprit critique.Bref... -
Aucune parole, aucune pensée ne porte à l’action ! c’est vrai ; mais, le terrain se prépare avec des prises de conscience successives ; parfois, une image, un mot, donne le déclic final !
Mais il faut un temps de « macération » avant que l’on agisse ; même si l’on est exceptionnellement honnête, on ne pourra jamais répondre : vous m’avez ouvert les yeux« , parce que les yeux s’ouvrent un peu plus tard, trop tard pour répondre !!
Ainsi, il n’est quand même jamais inutile de dire, de causer, d’échanger !! Même si j’ai idée que cela ne peut agir que sur un » terrain" prêt à être prêt !! -
« Ca pinaille, ça pinaille...
Encore jamais vu sur un seul blog ou à la suite d’un article, une seule personne dire : vous avez raison, vous m’avez convaincu ! JAMAIS ! »Moi je l’ai déjà vu sur Agoravox. -
« l’homme est il végétarien par nature ? »
par pitiè assez de ces questions sur la nature : l’homme n’est rien par nature ! tout ce qui existe de la marche debout a la parole est social ....
l’homme est un potentiel il peut se développer de manières différentes .....-
On peut quand même dire que l’homme est un mammifère terrestre par nature, par exemple.
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oui
mais si un jour il part sur une autre planète il deviendra autre chose .......
( c’est pas j’y crois mais enfin ......c’est une hypothèse ) -
Vous voulez dire que l’essence de l’humanité ne se trouve pas dans un certain statut biologique mais dans la capacité que certains êtres humains peuvent développer de s’affranchir de toute détermination ?
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Très bon article plein de sagesse. Un aspect que vous n’abordez pas est le nombre de repas par jour, qui est probablement bien plus fondamental que ce que l’on mange. Si on repart sur nos ancêtres, il ne faisait pas un petit déjeuner, un dejeuner et un dîner. Les « 3 » repas par jour sont complètement culturels. Et c’est sans doute aussi cela qui nous fait manger trop. Faites un petit exercice avant chaque repas et demandez vous si vous avez vraiment fin. Si vous avez passé une journée assez sédentaire, vous verrez que souvent vous vous direz « ben non en fait ». Et pourtant vous allez manger quand même juste par habitude. On le voit aussi avec les enfants. On les force à manger mais j’ai rarement vu des enfants en France sous alimente car les parents ne les forceraient pas.
Bref on a pris l’habitude de manger juste pour le fait de manger, et non pas forcément parce que l’on a faim. Sachant de plus que plus on mange, plus l’estomac grossi, et plus on a envie de manger, et on a compris le cercle infernal de la suralimentation.-
« un tiers des terres arables est consacré à l’alimentation du bétail et 60 % des céréales produites dans le monde sont consommées par les animaux. Consacrer la majorité des terres arables à la production de nourriture directe pour l’être humain (céréales, fruits et légumes, légumineuses) augmenterait la quantité de calories produites par personne de 50 %, assurent les chercheurs. Ce qui implique de réduire considérablement notre consommation de viande. »
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Dur de ne pas être un mouton dans notre société. Je me souviens d’une femme lors d’un repas qui lorsqu’elle a su que je mangeais pas de viande a dit : « alors là, je comprend pas ! » en ouvrant des grands yeux de sidérée.Plus tard, elle nous dit calquer sa vie sur les chiffres impairs...:0))-
Pourquoi m’insultez-vous ? c’est un argument ça ?
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« Plus tard, elle nous dit calquer sa vie sur les chiffres impairs... »
Complètement débile cette femme !! Comment peut-on dire de telles absurdités ??Il faut au contraire calquer sa vie sur les chiffres pairs.
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Sinon ? :
« un tiers des terres arables est consacré à l’alimentation du bétail et 60 % des céréales produites dans le monde sont consommées par les animaux. Consacrer la majorité des terres arables à la production de nourriture directe pour l’être humain (céréales, fruits et légumes, légumineuses) augmenterait la quantité de calories produites par personne de 50 %, assurent les chercheurs. Ce qui implique de réduire considérablement notre consommation de viande. »
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Bizarre, là tout le monde est aux abonnés absents.Les oeillères...mieux vaut écrire « les végé c’est des cons et pis c’est tout... » -
le problème de la malnutrition n’est pas là. C’est un problème politique, pas agricole. Il n’y a donc aucun intérêt à répondre à votre exposé sur la culture.
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Je suis végétarien depuis 30 ans. Je n’ai pas consulté un médecin depuis au moins 50 ans !
Les fruits et légumes avant de les consommer je les lave avec du produit à vaisselle bio.Il existe aussi les autres moyens et je pense même plus efficace. P.ex. vos fruits et légumes vous pouvez tremper 10 minutes dans un mélange préparé comme suit :
- 1lt d’eau
- 1/2 lt de vinaigre
- Ajouter bicarbonate de soude
Laisse des fruits et légumes pendant 10 min.
Idéalement il faut ajouter du « zeolite » qui permet d’extraire des métaux toxiques et lourds se trouvant dans la peau des denrées.
Si le temps ne nous permet pas de les tremper pendant 10 min. alors ont peut tout verser dans une bouteille avec un gicleur et les asperger et ensuite laver. Moins efficace mais tout de même biens.-
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« les fondus militants bio » ?! ah oui ! vous, vous êtes pour la bouteille de Monsanto sur la table pour vos enfants à l’heure du repas !
Monsanto vous remercie, n’en demandait pas tant. Esclave consentant ! mouah !Avez-vous vu le reportage d’un agriculteur maraîcher qui disait ne surtout pas manger ses oignons car ils les traitait tous les deux jours à une certaine période, il trouvait sidérant qu’on puisse en manger !Cet autre agriculteur qui saignait du nez à chaque fois qu’il traitait ses champs, se sentait très mal ensuite...Ce serait les militants BIO qui seraient fous ?!?! -
Et alors où est le problème on peut mangé sains varié bio sans pour étant être un fondue d’égoïsme alimentaire !
Cela fait partie sans doute de la légende campagnard qu’il n’existe pas légumes ogms bios et pourtant cela existe : Décision européenne : les produits bio pourront contenir des OGM !
http://www.combat-monsanto.org/spip.php?article306
Mais surtout reste dans ton près salé végétaliste , car t’es en passe de devenir un nouveaux amish !
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Ah tiens, si vous ne le saviez pas, bio ne veut pas dire pas de traitement, ça veut simplement dire pas de traitement non bio.
Pour info, certains traitements bio sont 10 fois pires que des traitements synthétiques, tuant tout sans distinction là où les synthétiques arrivent à cibler un peu.Mais bon, c’est naturel alors c’est forcément bon... restez dans vos certitudes d’intégriste bio.
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( Ce point est intéressant car, s’il est juste, cela signifie que nous devons tous devenir végétariens pour avoir une santé optimale. Mais si c’est faux, cela veut dire qu’il y a des éléments absolument essentiels à connaître pour vivre une alimentation végétarienne tout en préservant sa santé. ) Et bien vous avez résolu la question des différents fondues !
Une chose est sur, ce n’est surtout pas les crudivores que je vais écouté, et là raison et simple, l’homme est complexe, et il y a autan besoin de variété alimentaire, qu’il a besoin du crue, du cuit, du chaud et du froid et que les crudivores sont les derniers fondues de la place , et je ne vois pas entre fondues, ils ont plus raisons que les autres !
La pire des erreurs et de pensé,il y a qu’une seul vérité, c’est la même chose avec le communiste qui ne supporte pas les autres, encore une histoire de fondue !
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« La pire des erreurs et de pensé,il y a qu’une seul vérité »
tout a fait
au lieu de se poser des questions philosophiques on ferait bien d’étudier les différents régimes traditionnels ( chine , japon inde .....etc ) et d’essayer de comprendre pourquoi ils marchent ..... -
Et l’autre fait est d’évité de pense par tel où tel régine marche dans un pays par exemple l’Asie qui a comme base alimentaire le Riz, que c’est une généralité qui vous convient, rien de plus faux que de pensé , que c’est le régine qui soigne et me convient, rien de plus faux, c’est la retenue et la tempérance, et une qualité que l’on retrouve chez les gloutons et les gourmets, la reconnaissance pas celle du palais et du ventre, celle est est un peut plus spirituel, et qui relativise beaucoup de point de vue surjectif sur le sujet !
Si à peut près tout se mange, il n’est pas dit que tu mange est bon pour toi,et cela peut être profondément mal sain ! un Inuit soit approprié à votre estonac, Paul Henri Victor, à une une expérience mémorable à se sujet en acceptant un met de choit des Inuits, du foie d’ours crue, et bien il a été malade comme un chien pendant plusieurs jours à lors que pour les Inuits, il leurs est absolument nécessaire d’en manger !
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Il faut aussi penser qu’il n’y a pas forcément qu’une seule bonne solution. Le corps humain semble très adaptable. Donc il faudrait surtout se demander quel sont les poisons à éviter autant que possible plutôt que de chercher le régime parfait unique pour tous.
Qu’est-ce qui est unanimement reconnu comme évident ?C’est que les habitants des pays industrialisés mangent TROP de viande de mauvaise qualité, trop de produits laitiers, trop de sel et trop de sucre. Et ils ne mangent pas assez de légumes et fruits frais.Donc, même si vous ne voulez pas adhérer à un végétarisme strict, faites un, deux ou trois pas en direction du végétarisme et ça sera mieux pour vous, pour vos enfants, pour l’économie mondiale, pour les animaux et pour l’écologie. -
ce qui est reconnu est que tu as pas de E451bis dans ta cuisine ni de polyphosphates.
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Oui mais là sa remarque n’était pas contre les végétariens : les polyphosphates sont des produits potentiellement toxiques que l’on trouve dans la charcuterie (par exemple).
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@ Qaspart pour le trop et le pas assez je suis d’accort, mais il faut bien se néflier tous les régines alimentaire ne peut pas nous convenir, il y a pas de régisme type, c’est a toi de découvrir ce que ton organisme digérer, ce n’est pas un hasard , que c’est justement à 50 ans environ que l’on découvre des maladie chromique , et des intolérance alimentaires, et à ceux qui pensent avoir résolue le problème par une alimentation puriste, aseptique, élitiste etc, l’on peut mettre sans risque tous les masques à ses délires égoïste, et bien ils vont comme tous le monde se ramasseront une claque un jours !
L’abus tue ! car si l’on peut mourir de manger de la merde, l’on peut aussi mourir de manger trop de chose subtile et délicate, l’eau est un poison efficace si l’on dépasse la dose !
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@soi-même : « il y a pas de régime type »
Exact, c’est bien ce que je dis dans mon message. -
(Et c’est Paul-Emile Victor)
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soi même
bien sur il faut que le régime soit adapté a la personne mais la personne s’adapte aussi au régime ( progressivement )
les régimes traditionnels sont intéressants a étudier car ils ont une cohérence interne établie au fil du temps qui les rends efficaces
( un régime végétarien n’est pas un régime non végétarien moins la viande )
cela dit au fil du temps ils ont contribué a former des populations qui y étaient adaptées y compris sur un plan mental
( il y a un lien entre ce que l’on mange et la façon dont on pense )
cette adaptation se fait au fil des générations mais également dans la vie d’une même personne
j’ai été végétarien pendant quelques années et je me suis remis a manger de la viande par commodité ( et aussi parce que le régime végétarien ne me convenait pas ) sauf que la première fois ou j’ai remangé de la viande je ne l’ai pas digérée .....il m’a fallu me réhabituer progressivement ! -
« j’ai été végétarien pendant quelques années et je me suis remis a manger de la viande »
Moi je dis que c’est au minimum la peine de mort pour ça !
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« La pire des erreurs et de penser, il y a qu’une seule vérité »
Donc on n’est pas sûr que ce soit la vérité que ce soit la pire des erreurs ? -
@ gaijin, bien sur tous les régimes demande que l’on prête une attention, et bien la meilleur alimentation qui existe sont les lacto- fermentés, les plus connue le pain, la bière ,le yaourt, le fromage, la choucroute, le nuoc mâm , le miso et bien il est aussi conue, une alimentation exclusive de l’acto-fernenté va te crée des désordres intestinaux en autre acidification des intestins , donc c’est le bien le principe de la diversité alimentaire qui doit être respecté et non pas simplement une alimentation unilatéral, que cela soit crue, cruit, sans viande où exclusivement de la viande, d’est qu’il a un excès la nature ne tarde pas à se venger !
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( un Inuit mange soit approprié à votre estomac )
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qaspard
?
j’étais partit pour ailleurs mais on m’a expliqué qu’il fallait faire son chemin dans ce monde ci
alors je mange de la viande , j’ai un ordinateur , un téléphone et je porte des baskets fabriquées par des enfants esclaves
croyez bien que je le déplore et que je fais de mon mieux pour aider a transformer cet état de chose -
« Paul Émile Victor » !
On imagine !!
Quand on reste quelques semaines sans manger de viande, le premier steak que l’on avale, on va le vomir avant qu’il n’ait fini d’être ingurgité !!!
J’étais végétarienne depuis un an quand j’ai, par convivialité et souvenir de gourmandise, mangé une cuisse de poulet rôti !! J’ai mis trois jours à la digérer ; pas bien pendant ces trois jours !!! -
Pourquoi moinser « Paul-Émile Victor » ?
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(Ok, j’ai compris : un crétin vient de passer et de moinser tous les commentaires)
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Les Inuits sont des clébards, des sous-hommes. Les esquimaux aussi.
Pensée pour Nanook. sa femme, son minot, ses chiens.
https://flickeralley.files.wordpress.com/2013/09/nanook_igloo.png
http://requiempourunfilm.blogspot.fr/2013/11/film-du-jour-nanook-of-north.html
Entre le Charlie croqueur de carottes fadasses et le carnassier, mon choix se porte naturellement vers... A l’air en mauvaise santé et dépressif, le Nanook, dans son climat hostile.
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Tu en as combien des cocktails Molotov de se type en réserve ?
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Atanarjuat, la légende de l’homme rapide, et aussi un chez d’œuvre !
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Ce qui fait l’alimentation, c’est le milieu. L’homme moderne a la boussole cassée. Puis, il chie dans son froc rien qu’à l’idée de calancher. Elevé au bio ou non, il est l’ennemi de la vie.
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Oui, je suis d’accord avec toi, c’est avant tous culturels, maintenant en ce qui concerne sa boussole cassée, il faut dire depuis un certain temps, certain non pas lésiné sur les moyens, L’internationalisme standard de l’alimentation est en rapport étroit à la monté en puissance de l’acculturation.
Il faut se hissé sur un autre plan de pensé pour comprendre à quoi nous avons à faire actuellement, l’on peut avoir un point de vue très pertinent de qui se passe dans les coulisse, ce n’est pas pour autant que l’on va comprendre les raisons fondamentales de tous cela,
Les conclusion que j’en tire, c’est avant tous une histoire spirituel qui est assez incompréhensible si l’on ne prend que comme référence le seul point de vue événementiel, car tant l’’on n’a pas conscience que dans l’histoire des hommes , c’est l’histoire des petits dieux, l’on ne peux rien comprendre et surtout , il y a aucune réel réponse apporté ! -
Ce qui m’amuse le plus, c’est le végétalien.
Rien que de savoir qu’il a bu le lait de sa mère....
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Comme tous les bébés mammifères qui se nourriront de végétaux après le sevrage. Et alors ?
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Sans doute, une frustration primaire, quand il ont mordues le téton, leurs mamans leurs ont donner la tétine !
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L’alibi santé me fait doucement rigoler !!
Manger de la viande une fois par semaine - le régime de nos ancêtres si on n’est pas aristocrate- suffit largement, même pour un travailleur de force !
Alors, il reste deux choses :
Le plaisir, le goût ; rien à redire à cela, sauf que, si l’on est un tant soit peu averti de ce que représente l’élevage comme pollution et gaspillage d’énergie, à calorie viande/ céréale égale, on freine ! Et je ne parle pas, là, du sort fait aux animaux ni de toutes les saloperies qu’on leur fait ingurgiter pour qu’ils survivent quelques semaines dans leur enfer.
Et puis le mode de vie ! plus vite fait de cuire un steak, une côtelette, que faire un pâté végétal ou cuire son riz complet !
La seule chose qu’on devrait apprendre à l’école - en plus de la laïcité- c’est qu’il n’est aucunement besoin ni bon à la santé de manger de la viande tous les jours.
Le coup d’un jour par semaine sans viande - comme une audace folle, agréée par l’armée norvégienne, en passant- aussi me fait doucement rigoler.
Il faut diviser sa consommation par dix, au moins, et multiplier les élevages par cent ! Tout le monde y trouvera son compte, et si le kilo de boeuf est plus cher, pas grave puisqu’on en mangera dix fois moins !!-
il faut aussi tenir compte de la qualité des produits
un végétarien qui se nourrit a partir de légumes de super marchés aura du mal a s’en sortir parce que ce sont des légumes morts ( irradiés pour être conservés ) et idem pour le bio qui arrive d’amérique du sud ....
donc impérativement légumes frais, locaux et de saison : marché ou jardin obligatoire
je sais que ça parait évident mais dans la pratique je vois pas mal de gens en état de dénutrition parce que leur « régime » c’est une salade de carottes rapées fanées en sous vide a midi
et une merde surgelée passée au micro onde le soir ....... -
Le bio du jardin c’est actuellement pour 1% de la population, pas plus. Les autres doivent se suicider ? Entre le légume bio du jardin (quel étudiant ou travailleur a un potager et le temps de le cultiver dans une grande ville ?) et le plat préparé industriel dévitalisé, il y a la cuisine maison de produits simples et frais, par forcément tous bio. C’est déjà pas si mal ! Les conserves ou les congelés du commerce (haricots verts, par exemple) ne sont pas tous empoisonnées non plus, faut arrêter avec ce genre d’exagération qui fait fuir les gens et les renvoie à leurs mauvaises habitudes !
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Et sinon, qui a déjà mangé un végétarien ?
C’est sain comme viande ?
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Et puis avant de le manger, il faut l’attraper, ce qui n’est pas évident car certains courent vite, très vite même.
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