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Accueil du site > Tribune Libre > L’Europe de la finance et de l’austérité

L’Europe de la finance et de l’austérité

En France, nous avons eu un avocat d’affaires entré en politique sur le siège vacant de son mentor, feu Achille Peretti, dans le voisinage des Pasqua et Balkany. Nous avons aujourd’hui un énarque, ancien cadre bancaire de l’empire des Rothschild. A Bruxelles, nous sommes dominés par des technocrates, des caciques de l’Union européenne telle qu’elle est voulue par les lobbies. Peut-on parler de solidarité européenne ? On se souvient que, à l’époque de Sarkozy, un plan d’aide aux plus démunis avait été bloqué par une minorité d’états européens parmi lesquels l’Allemagne, leader des politiques de rigueur. Chaque président français s’est employé à renforcer le couple franco-allemand en montrant le bon exemple allemand. Tous veulent une Europe à deux vitesses avec son noyau dur.

Macron n’hésite pas à sortir le tapis rouge, à grand frais, pour recevoir les rois et les présidents. Par ailleurs, il a mandaté son jeune premier de Matignon et son érotomane ministre de l’Économie pour nous annoncer son plan de rigueur… ou d’austérité, comme ils disent ! Nous voilà donc à une nouvelle étape du plan d’austérité… Si on s’en tient au dictionnaire, l’austérité est une manière de vivre excluant la douceur, les plaisirs superflus :

L'austérité d'une vie vouée au travail. On peut dire aussi que le 1er Ministre affiche une austérité de compétence et que la modestie n’est pas son fort face à la bouffissure de son président qui fait louer une place en classe affaire sur l'avion qui l'a débarqué au Bresil pour ses costumes qui ne doivent pas se froisser (coût plus de 3000 €). Il paraît que, lorsqu'il fait du scooter de mer à Bregançon, le coût est de 60.000 € la séance. Je ne vais pas faire reprendre le budget annuel du couple Macron, mais j'ai le vertige lorsque j'imagine ce qu'il va coûter à nos impôts comme président retraité à partir de 2027. Il n'aura que 50 ans. 

Revenons à cette nouvelle étape d’une rigueur qui a pour but de régler une dette qui est le résultat de la spéculation financière et du coût des bénéficiaires d’une république devenue de plus en plus bananière. On connaît l’adage ! Il faut faire payer les pauvres parce qu’ils sont plus nombreux pour enrichir les riches.

Les principales mesures : retraites à l'âge légal de départ à 64 ans, CSG sur les retraites, moins de remboursements des frais médicaux, suppression de fonctionnaires… etc. Ce dimanche 31 mars, La Tribune dimanche confirme que l’État se remet à rêver de piocher dans le magot des retraites complémentaires. Une piste évoquée par Le Monde vendredi 29 mars, et qui consisterait à mettre à contribution l’Agirc-Arrco, la caisse de retraite complémentaire du privé cogérée par le patronat et les syndicats. Ce n’est pas la première fois que le gouvernement louche ostensiblement sur les réserves de cette caisse excédentaire.

Les salariés peuvent constater la baisse substantielle de leur pouvoir d’achat, pendant que leurs élus augmentent leurs indemnités sans scrupule. Les élus ne sont jamais chauds pour le gel leurs revenus. On se souvient qu’ils ont toujours continué à les augmenter lorsque les fonctionnaires avaient les leurs bloqués et qu’ils n’ont fait qu’améliorer leur système de retraite pendant qu’on remettait en cause celui des autres secteurs.

Les plus nuisibles sont bien sûr l’avancement de la date du recul de l’âge de la retraite à 64 ans, la limitation de la progression des dépenses d’Assurance maladie et le gel de l’augmentation des prestations sociales sans tenir compte de l’inflation. Le président du groupe Renaissance à l’Assemblée, Sylvain Maillard, a proposé de décréter une année blanche et de nouveau geler l’augmentation des pensions et des prestations sociales afin d’économiser 20 milliards d’euros. Et puis, il y a la diminution des dépenses de l’état qui ne concerne donc pas les salaires du gouvernement mais surtout le nombre des fonctionnaires. Enfin, l’augmentation de la TVA pourrait mettre à contribution les porte-monnaie et à mal des secteurs commerciaux en difficulté comme celui des livres. On ne peut attendre aucune mesure significative touchant les actionnaires et les grands patrons. L’ISF est un sujet tabou chez les Macronistes.

Dans les annonces faites, on ne trouve aucune mesure significative touchant les plus riches et les grosses sociétés, bénéficiaires du CICE. C’est au chômage et à l’assurance maladie que Macron et son gouvernement s’attaques.

Dans son interview télévisée du 27 mars, Gabriel Attal a annoncé son souhait de voir durcir l’accès à l’assurance-chômage. Le Premier ministre souhaite à la fois réduire la durée d’indemnisation et son montant, tout en modifiant le temps minimal qu’il faut avoir travaillé pour bénéficier du chômage. Et ça n'est pas le premier coup d'essai du gouvernement : en 2019, en 2023 et pas plus tard qu’en février 2024, l'exécutif a déjà réduit, à trois reprises en cinq ans, les indemnités de l’assurance-chômage. Dans ce contexte, retour sur les pires clichés qui entourent le statut de chômeur… fainéant, profiteur…etc.

Pour les malades, Bruno Le Maire a dit que ce ne serait plus « open bar ». L’expression choisi assimile toutes les maladies à l’alcoolisme et les hôpitaux à des lieux de débauche. Je n’exagère qu’un peu en disant cela mais c’est parce que « open bar » , c’est méprisant et choquant en matière de soins médicaux. Dans un entretien au Monde, le 6 mars dernier, annonçant de premières pistes pour le coup de rabot de 10 milliards promis, Bruno Le Maire s’interrogeait à voix haute : « Comment éviter la dérive sur les dépenses liées aux affections de longue durée, tout en continuant à protéger les patients ? » Il a rétropédalé depuis en disant : « Nous ne voulons donc pas toucher aux ALD (Affections de Longue Durée) », qui sont « un pilier essentiel de la solidarité ». Etant donné sa grande franchise, on peut douter de sa bonne foi.

Peut-on parler de solidarité européenne ? On se souvient que, à l’époque de Sarkozy, un plan d’aide aux plus démunis avait été bloqué par une minorité d’états européens parmi lesquels l’Allemagne, leader des politiques de rigueur. Chaque présidant français s’est employé à renforcer le couple franco-allemand en montrant le bon exemple allemand. Tous veulent une Europe à deux vitesses avec le noyau dur de l’Europe intégrée et Sarkozy président d’expliquer : "Je pense qu'il n'y a pas assez d'intégration économique dans la zone euro, les 17, et qu'il y a trop d'intégration dans l'Union européenne des 27 qui va d'ailleurs s'élargir". Et devant un parterre d'étudiants, il avait franchi le pas en détaillant sa vision d'une nécessaire Europe à deux vitesses. "Nous sommes 27, il faut à l'évidence qu'on s'ouvre à terme aux Balkans. On sera 32, 33, 34, j'imagine que personne ne pense que le fédéralisme, l'intégration totale c'est possible à 33, 34, 35 pays" et d’ajouter : "il y aura deux vitesses européennes, une vitesse vers davantage d'intégration dans la zone euro et une vitesse confédérale dans l'Union européenne". Il ébauchait ainsi une Europe intégrée à vocation fédérale et une Europe plus vaste à vocation confédérale, une zone « Euro » élargie au-delà de cette Europe occidentale. C’est bien une politique basée sur l’Euro dont il s’agissait et non sur les peuples, donc essentiellement financière dans laquelle la solidarité des peuples aurait pour seul objet la rigueur. Nous avons vu avec la Grèce, comment agit la solidarité financière. Les VRP de cette Europe veulent ainsi reproduire les sommets style d’une part G7 ou G17 ou G20 et d’autre part G33, 34, 35 … etc. au niveau de la zone « Euro », dans une structure à deux vitesses. Cela permet de poursuivre la politique financière qui a pourtant déjà montré ses conséquences désastreuses sur les plus pauvres et qui se maintient par des politiques de rigueur pour les uns et la spéculation pour les autres. Dans cette Europe occidentale, l’absence de solidarité jalonne déjà le parcours commun. Un pays comme la Grande Bretagne n’est pas entré dans l’euro, a conservé ses paradis fiscaux insulaires pour finir par voter e Brexit. La Suisse, le Luxembourg et Monaco restent des paradis fiscaux. Des pays comme la Roumanie, la Slovénie… sont des destinations pour les délocalisations au sein de l’Europe. La liste est longue et pourrait s’allonger avec la Turquie notamment. Aujourd’hui, c’est aussi l’Ukraine qui est aux portes de l’Europe en nous apportant sa guerre avec la Russie. Non seulement on nous impose la rigueur mais aussi une économie de guerre.

Toutefois, ne vous méprenez pas sur mes propos ! Sans être anti-européen et ultranationaliste, il nous faut cependant dénoncer cette Europe des riches qui organisent la suppression des acquis sociaux obtenus par la lutte sociale durant de nombreuses années. En France il y a trop de Macron et pas assez d’Europe ! Pour reprendre une phrase de Moscovici. L’une des lignes majeures de la politique européenne de Sarkozy et de Macron est que l'Europe doit protéger sans être protectionniste. Est-ce qu’ils mettent les acquis sociaux dans le panier du protectionnisme ? Qui protègent-ils en les rabotant ?

La seule Europe acceptable est une Europe des peuples démocrates, n’excluant que les dictatures politiques et financières. Il s’agit de construire une vraie solidarité et de rejeter cette solidarité de façade derrière laquelle seuls se jouent des enjeux financiers et la misère des peuples.


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51 réactions à cet article    


  • Brutus Brutus 1er avril 10:02

    bon, mais on fait quoi ?


    • L'apostilleur L’apostilleur 2 avril 09:28

      @Brutus
      On distribue des bananes. 


    • roby roby 2 avril 10:50

      @Brutus
      Un vote réfléchi pas un vote d’opportunité Oligarque.


    • Fred59 5 avril 19:47

      @roby
      Les prochaines élections européennes concernent le parlement européen, qui n’a ni l’initiative des lois ni la possibilité de vraiment bloquer une initiative de la commission. Et qui n’a pas le pouvoir de changer les traités.
      Vérifiez bien si vos attentes concernant ce votre sont des attentes réalistes ou pas... Sinon vous serez déçu.


    • Clocel Clocel 1er avril 10:04

      La conclusion catastrophique démontre qu’il y a encore du boulot...


      • Eric F Eric F 1er avril 11:15

        Avec 3 000 000 000 000 d’euros de dette publique, cela ressemble davantage à de la gabegie qu’à de l’austérité jusqu’ici. Le ’’quoi qu’il en coute’’ a distribué largement la manne céleste, le nombre de fonctionnaires administratifs ne se réduit pas mais il augmente, les primes et chèques se sont multipliés. Alors bien évidemment les grosses fortunes ont profité du pactole, ainsi les subventions pour réduire le prix des énergies ont été empochées par EDF et Total et leurs actionnaires, etc.

        Il faut des économies sur les dépenses publiques qui dépassent 55% du PIB, c’est inévitable, mais pas en piochant dans des caisses sociales du chômage et des retraites complémentaires à l’équilibre, pour après ça leur reprocher d’être déficitaires !
        -La première économie c’est réduire cout du mille feuille administratif redondant, en supprimant des ’’étages’’ (fusion commune et communautés, fusion région et département). Et pour le système social revenir au principe cotisant/bénéficiaire en réduisant l’assistance.
        -En terme de recettes, réintroduire une plus forte participation des profits financiers ultra-favorisés par Macron. Et pour le système social, revoir l’assiette de la ’’part employeur’’ des cotisations en tenant compte de la valeur-ajoutée non salariale (automatisation, sous traitance off shore...).


        • Aristide Aristide 1er avril 13:54

          @Eric F

          La première économie c’est réduire cout du mille feuille administratif redondant, en supprimant des ’’étages’’ (fusion commune et communautés, fusion région et département).

          C’est une arnaque cette affaire, un exemple : la gestion des lycées est de la responsabilité régionale et les collèges le sont par le département. Une fusion, quelle bonne idée, les services seront les mêmes, et on créera sans problème une direction pour chapeauter les deux !!! La bureaucratie est une vraie créature ou en coupant un membre, on en créé un de plus…

          Et pour le système social revenir au principe cotisant/bénéficiaire en réduisant l’assistance.

          C’est vrai pour la maladie, quoique la Sécurité Sociale protège des personnes qui n’ont jamais cotisé. Pour les AF, c’est pire, seule la résidence(*) en France est nécessaire pour y avoir droit. 
          Si on ajoute que les exonérations de cotisation accordées au entreprise ne sont que partiellement compensées ... 


        • L'apostilleur L’apostilleur 2 avril 09:43

          @Eric F
          « ..La première économie c’est réduire cout du mille feuille administratif.. »
          Tout à fait Eric !!
          Sauf que c’est très très long...
          En diminuant le nombre de nos régions l’économie attendue était annoncée dans 10 ou 20 ans, on ne licencie pas dans la fonction publique. Sauf qu’en attendant on s’habitue au gras administratif.
          Dans ma commune de 30000 habitants, le maire expliquait que la communauté de commune s’était constituée sans qu’il puisse muter ses personnels devenus redondants.
          Résultat, la communauté de communes a embauché et on a dû « occuper » ceux devenus inutiles.
          Bilan très coûteux 
          Ajoutez les maires qui puisent leur electorat dans les clientèles beneficiaires de circonstance et vous entrenez le cercle dépensier. 


        • Christophe 2 avril 10:15

          @Aristide

          C’est une arnaque cette affaire, un exemple : la gestion des lycées est de la responsabilité régionale et les collèges le sont par le département. Une fusion, quelle bonne idée, les services seront les mêmes, et on créera sans problème une direction pour chapeauter les deux !!! La bureaucratie est une vraie créature ou en coupant un membre, on en créé un de plus…

          Et on retrouve aussi les écoles maternelles et primaires qui sont sous la responsabilité des mairies. Il existe cependant un service de l’état qui fédère l’ensemble de ces établissements scolaire, c’est le Rectorat.

          L’enseignement est découpé selon deux plans : l’enseignement lui-même (responsabilité du Rectorat) et infrastructures et services d’accueil des élèves (qui lui dépend du mille feuille administratif et politique).

          Je rappelle au besoin que la création des communautés de communes ou d’agglomération avait pour but se supprimer un étage du mille feuille : le Conseil Départemental mais n’est pas allé jusqu’au bout.

          Je suis d’accord avec vous sur le fait que les infrastructures et services d’accueil devraient être couvert par un organisme étatique inique mais les gouvernements successifs ont une tout autre vision puisqu’ils ont transféré les services de l’état vers les collectivités territoriales ; en fait ils fonctionnent à l’inverse de ce que vous recommandez.

          C’est vrai pour la maladie, quoique la Sécurité Sociale protège des personnes qui n’ont jamais cotisé. Pour les AF, c’est pire, seule la résidence(*) en France est nécessaire pour y avoir droit.

          Si on ajoute que les exonérations de cotisation accordées au entreprise ne sont que partiellement compensées ...

          C’est une des problématiques majeure aujourd’hui qui a d’ailleurs poussé le gouvernement à s’accaparer politiquement les caisses de la sécurité sociale, passant d’une gestion paritaire à une gestion étatique.

          La difficulté de ce type d’organisme est qu’il possède un budget énorme qui motive les avidités politiques. Que les cotisants soient protégés est normal. Que nos politiques prennent des décisions sociales, on ne peut le leur reprocher si ils sont capables de les financer avec un budget de l’état et non en allant piocher dans un budget construit à des fins définies et alimenté par des cotisants.

          Certes, à la marge nous pourrions admettre que certains points puissent pris en charge mais cela ouvre une perspective du toujours plus. Il est par exemple inadmissible que la couverture santé universelle soit prise en compte économiquement que par la sécurité sociale ; une partie pour les cotisants doit être prise mais toute la partie relative aux non cotisant doit être alimentée par un budget étatique, c’est une décision politique.

          Or aujourd’hui en mélangeant tout, on se retrouve dans une situation où les cotisants ne sont plus trop satisfaits de leur « assurance » à laquelle ils cotisent car même les plus bas salaires qui cotisent sont pénalisés par ce choix politique pris en charge par la caisse à laquelle ils cotisent. C’est le meilleur moyen pour faire péricliter un système.

          Lors de la prise de gestion des caisses de la Sécurité Sociale, l’argument massue du gouvernement était de dire au grand public qu’il y avait un déficit de 20 milliards de francs (prise de pouvoir en 1995). Ce que ne disait pas le gouvernement c’est qu’il devait aux caisses 1,5 fois cette somme aux caisses de la Sécurité Sociale, principalement à cause des exonérations de charges sociales aux entreprises ; quand la gestion est scindées sur deux organismes distincts, la réclamation d’un dû est faite par celui qui paie pour l’autre.


        • Eric F Eric F 2 avril 10:30

          @Aristide
          Bien évidemment, en fusionnant des étages administratifs, le risque est de garder les équipes en place et ajouter un étage pour coordonner (on l’a vu avec la fusion des régions). Or ce n’est évidemment pas ça une vraie réforme administrative, il doit y avoir restructuration avec mobilité des personnels et réduction des effectifs redondants -notre fonction publique n’y est effectivement pas habituée-.


        •  C BARRATIER C BARRATIER 1er avril 11:45

          Quand on emprunte, l’honnêteté consiste à rendre

          les malhonnêtes se verront imposer par la force et d’abord , je ne vois pas qui lmeur prêterait encore de l’argent


          • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 1er avril 12:50

            @C BARRATIER
             
              « Si vous devez cent dollars à la banque, c’est votre problème. Si vous devez cent millions de dollars à la banque, c’est le problème de la banque. » Jean-Paul Getty


          • Eric F Eric F 1er avril 13:29

            @Francis, agnotologue
            En effet, ce qui signifie que c’est la banque qui risque de faire faillite en cas de défaut de remboursement non gagé (mais la dette d’état est gagée ...sur les infrastructures publiques et l’épargne privée).


          • Seth 1er avril 13:35

            @Eric F

            Je ne suis pas sûr que les banques comptent sur le remboursement mais qu’elles préfèrent les entrées substantielles et continues des fameux intérêts auxqels les états seraient tenus.

            Hors cela il reste que les états disposent de tous les pouvoirs s’il s’agit de se maintenir à tout prix, y compris la saisie des banques ou le refus de reconnaître les emprunts (voir les Emprunts Russes dont les petits rentiers franchouillards ne se sont toujours pas remis et dont ils demandent régulièrement le paiement).


          • Aristide Aristide 1er avril 13:40

            @Eric F

            mais la dette d’état est gagée ...sur les infrastructures publiques et l’épargne privée).

            Non, les milliers de créanciers de l’Etat n’ont pas de créances gagées. L’État français ne garantit pas sa dette avec des actifs spécifiques : les créanciers de la France n’ont aucun droit sur des biens ou des revenus spécifiques en cas de défaut de paiement de la part de l’État.


          • Seth 1er avril 16:07

            @Aristide

            Faut dire que l’état français n’a plus lerche d’actifs.

            C’est une vieille histoire mais moumoute a fait le nécessaire dès l’époque où il grenouillait chez la hollandouille pour que le processus s’accélère.

            L’état serait bien inspiré de saisir les biens bradés et d’autres pour faire rentrer du pognon dans ses caisses.

            Et de changer de ministre du fric, le « visionnaire » nono la rondelle qui a des problèmes de calcul n’étant décidément pas à hauteur pour ce type de gestion, sa capacité maximale s’arrêtant à l’appréciation des boursouflures d’anus, et encore...


          • Eric F Eric F 1er avril 18:04

            @Aristide
            Le terme ’’gagé’’ n’est pas ici à prendre de manière formelle (j’aurais pu dire ’’adossé’’ ou ’’nantis’’, également dans un sens figuré), la banque prend en compte que le pays a une économie qui tourne, des infrastructures, que les citoyens ont des dépôts... cela sécurise sa solvabilité.
            (une banque privée ne pèterait pas des milliards au Burundi, c’est le FMI qui finance).


          • Eric F Eric F 1er avril 18:11

            @Seth
            A propos des intérêts des emprunts publics, assez curieusement les années précédentes le taux était nul ou quasiment. D’où le plongeon alors des rendements de l’épargne incluant des obligations d’état (car les prêts aux d’états ne sortent pas de la poche du banquier)...


          • L'apostilleur L’apostilleur 2 avril 09:47

            @C BARRATIER
            « ...les malhonnêtes se verront imposer par la force .. »
            Voir les grecs avec la Troïka. 
            C’était ça ou les colonels 


          • Aristide Aristide 2 avril 12:45

            @Eric F

            Le terme ’’gagé’’ n’est pas ici à prendre de manière formelle (j’aurais pu dire ’’adossé’’ ou ’’nantis’’, également dans un sens figuré), 

            Sauf que vous avez écrit cela : « la dette d’état est gagée ...sur les infrastructures publiques et l’épargne privée ». Si cela, c’est du sens figuré ??? Comme si le livret de Caisse Épargne pouvait être touché !!!

            Pour le reste, pour tous les prêts, le montant prêté et le taux suivent les règles de prudence en jugeant de la « qualité » de l’emprunteur. Pour les États, ce sont les agences de notation. 


          • Eric F Eric F 2 avril 16:36

            @Aristide
            il n’y a donc désaccord que de forme.


          • Eric F Eric F 2 avril 16:58

            je précise : les agences de notation prennent en compte la ’’solvabilité’’ des états, permettant d’une part le paiement des intérêts, mais aussi le remboursement du capital en final (même si c’est après plusieurs itérations d’emprunts).
            Pour un état fortement endetté et dont le déficit budgétaire est élevé, si c’étaient les seuls critères la note serait mauvaise, mais outre les perspectives de croissance (pas mirobolantes pour nos vieux pays), les biens publics et dépôts privés sont des critères.

            référence ’’Comment mesurer la solvabilité d’un Etat ?’’
            extrait ’’ finalement, n’est-ce pas le patrimoine des ménages qui garantit la capacité de financement de l’Etat ?’’.


          • zygzornifle zygzornifle 1er avril 14:15

            Votre argent ne vous appartient pas, pour retirer au delà d’une certaine somme vous êtes obligés de vous justifier, de même si vous amenez des espèces, d’un coup de fil le gouvernement peut bloquer votre argent et son retrait comme l’on vécu les grecques et ne dites pas que ça ne se fera pas car on est en train de tomber dans le gouffre grâce a un président trader sois disant spécialiste de la finance et son ministre Lemaire qui serait incapable de gérer une cantine scolaire ....


            • LeMerou 1er avril 17:25

              @zygzornifle

              « Votre argent ne vous appartient pas »
              Complètement faux.,Qu’il serve à à la banque plus qu’à toi c’est sûr....

              « pour retirer au delà d’une certaine somme vous êtes obligés de vous justifier »

              Cela dépend des banques et de la convention de compte, si tu demandes 50 000 en liquide d’un coup il va falloir les justifier.
              Sachant qu’une loi de 2013 oblige aussi les banques à signaler à tracfin tout retrait supérieur ou égal à 10 000 euros en espèces... 
              Faut retirer petit à petit.. smiley PAs être gourmant mais prévoyant et astucieux.


            • LeMerou 1er avril 17:11

              @Jean d’Aïtone

              Bonjour, 

              Il est clair que la France vit au dessus de ses moyens, si l’on regarde l’évolution du P.I.B il ne fait que décroître à cause il me semble du libéralisme mondialisé, bon nombre de nos unités de fabrication ayant été déportées à l’étranger, pour des raisons de coût de production plus faible, sans que le citoyen lambda n’ait vu la véritable différence lors de l’achat, les actionnaire eux l’ont vu.

              Parallèlement à ces déportations, le chômage à augmenté quasiment d’autant à l’inverse du P.I.B ce qui est normal en fait, ont fait faire ailleurs sans de donner du boulot à ceux qui le faisait, même en changeant de métiers ces derniers diminuaient irrésistiblement.

              Ensuite le Pays à toujours fait du « Social » et c’est bien en soit, seulement ce dernier s’est aussi mis à dériver, sans évoquer les « fraudes » bien présentes. Puis le Pays s’est progressivement enfoncé dans « l’état Providence », dès qu’un problème survient c’est toujours pareil « Mais que fait l’état ? », alors, subventions, aides en tout genre justifiées ou non pleuvent.. Sans prendre en compte non plus les torrents de niches fiscales génératrices de profits mais pas d’emplois.

              Puis il y eu l’illusion bien menée de la réduction du budget de fonctionnement de l’état, déportant grand nombre de responsabilités et de dépenses associées sur les régions, départements, etc, qui évidemment voient leur « subventions » réduites au fur et à mesure des années qui passe.

              En parallèle ces structures ont augmenté leur effectifs, ayant désormais plus de personnes que l’état n’en avait avant pour faire le même boulot.... Ces entités ne pouvant lever l’impôt comme l’état, les impôts « locaux » augmentent en même temps que les services se dégradent.

              Tout commence à partir des années 80 et perdure quelle que soit la couleur politique au pouvoir. Bref, les gouvernements successifs ont dépensés sans compter, empruntant férocement sur les marchés.

              Que faut-il faire ?

              Nous assistons parfois à des coups médiatiques savamment préparé faisant ressortir des « retours » financiers importants dû à des campagnes de contrôles féroces. Contrôles qui s’éteignent dès le coup médiatico-électoral terminé.

              Pourquoi ne sont ils pas constant ? Nous obtenons toujours la même litanie en retour sur un « manque d’effectif ou de moyen », alors nous sommes dans le Top 5 de la structure administrative d’un Pays. 

              Tout ça sans compter sur la sacro-sainte peur du patron ! Vous voulez de sous en plus, je ferme des usines, vous êtes plus restrictifs, je ferme des usines, etc, etc.

              Passer d’un état généreux auquel tout le monde s’est habitué, à un état plus juste, maître de ses dépenses et de ses deniers, ne les distribuant qu’avec parcimonie n’est pas simple et surtout n’est pas générateur de bulletins de vote.. Même s’il en faut peu aujourd’hui pour être gagnant, il faut tout de même le minimum syndical...

              Notre fameuse dette ! Peut on la réduire ? Je ne pense pas, Peut elle encore augmenter ? j’en suis sûr et certain, car je ne vois pas ou le gouvernement et celui qui va lui succéder va trouver les sous pour le développement du Pays.

              Relocaliser ! smiley J’aimerai savoir quant les Entreprises qui sont évidemment philanthropes percevant à coup sûr des aides à la relocalisation, bénéficiants sûrement de réductions diverses et variées auront un impact positif sur le PIB.

              Sur l’emploi cela sera « epsilon » par l’automatisation, la robotisation.

              La seule chose qui reste à l’état est de faire des économies, pas comme il nous le propose, mais d’abord en réduisant drastiquement ses « largesses », ses cadeaux fiscaux (dur avec un ex-banquier à la tête de l’état) et en recourant à « l’impôt » de manière bien plus proportionnée.


              • Eric F Eric F 2 avril 10:10

                @LeMerou
                C’est assez bien résumé.
                L’habitude de ’’l’état providence’’ a été renforcée par le surréaliste ’’quoi qu’il en coute’’ de la période covid : arrêter une partie de l’économie en subventionnant le manque à gagner (chômage partiel ou partie de chiffre d’affaires). L’habitude étant prise, cela s’est pérennisé (par ex. subvention sur les énergies, diminuant un peu le cout pour les particuliers, et augmentant beaucoup la marge du fournisseur).

                A quoi s’ajoute le cout d’un pays suradministré par un millefeuille administratif redondant. Les collectivités ont perdu une partie de leurs ressources avec la suppression de la taxe d’habitation non totalement compensée par l’état, alors que leurs charges augmentent, l’état se défausse sur elles ; il devrait reprendre tout ce qui est prestations sociales à son compte.


              • LVOLC 1er avril 17:29

                Monsieur Jean d ?A ?tone, votre plaidoyer est assez juste, mais pouvez-vous nous dire comment la communaut ? europ ?enne actuelle peut de l’int ?rieur, changer de logiciel pour prot ?ger les peuples contre les anthropophages sans foi ni loi que sont les lobbys et leurs complices de l’administration europ ?enne ? Parce que n’importe qui peut constater, mais l’heure n’est plus aux constats et vous devriez suivre les gens comme nous pour d ?fendre le FREXIT. En quoi les mots « anti-europ ?en » et « ultranationaliste » sont-ils des gros mots, rejoignez « Les patriotes ou »G ?n ?ration Frexit" pour que la voix du peuple fran ?ais soit de nouveau au c ?ur de la R ?publique fran ?aise.


                • pipiou 1er avril 17:34

                  Parler d’austérité après le « quoi qu’il en coûte » et le recul de l’âge de départ à la retraite en-dessous de la moyenne européenne, faut être gonflé quand même !

                  On aime bien dépenser en France et chaque fois qu’on envisage de fermer, un peu, le robinet, ça hurle « austérité ».


                  • Eric F Eric F 2 avril 10:21

                    @pipiou
                    Justement, le ’’quoi qu’il en coute’’ a tellement creusé la dette que désormais il est nécessaire d’instaurer de l’austérité.
                    Le désaccord porte sur les mesures de réduction des dépenses engagées par le gouvernement ; il s’agit de mesures qui n’ont qu’un effet marginal sur le déficit mais ne recueillent pas trop de levée de bouclier, dans la rue ...et à la corbeille,


                  • pipiou 2 avril 23:22

                    @Eric F
                    Faire moins de 5% de déficit budgétaire , c’est ça que vous appelez « austérité » ?
                    Vos repères me laissent perplexe.


                  •  C BARRATIER C BARRATIER 1er avril 18:03

                    Nous vivons effectivement depuis longtemps au dessus de nos moyens

                    Pour se faire élire ou réélire les décideurs nous caressent dans le sens du poil !


                    • L'apostilleur L’apostilleur 2 avril 09:53

                      @C BARRATIER
                      « ..Pour se faire élire ou réélire les décideurs nous caressent dans le sens du poil ! »
                       
                      Sauf Fillon honnête :
                       « Je suis à la tête d’un Etat qui est en situation de faillite sur le plan financier ».


                    • Berthe 1er avril 22:21

                      Ou sont les francais qui ont voté NON à cette Europe là en 2005 ? C’était pourtant écrit en long et en large dans le mini traité distrbitué à chaque citoyen Qui a voté pour sarkozy ?? Et bien dansez maintenant ... Perso, je n’ai voté ni pour ce traité, ni pour sarkozy et je ne vote JAMAIS aux européennes pour la simple raison qu’AUCUNE LISTE NE NOUS REPRESENTE.


                      • L'apostilleur L’apostilleur 2 avril 09:59

                        @Berthe
                        « ..je ne vote JAMAIS aux européennes pour la simple raison qu’AUCUNE LISTE NE NOUS REPRESENTE.. »
                        Vous soulevez une vraie question.
                        Que devient le programme de votre choix après que votre liste de représentants se sera fondue dans une alliance qui aura ses propres programmes. 
                        Les alliances devraient se déclarer avant l’élection et proposer leurs programmes communs. Après tout est possible. 


                      • ETTORE ETTORE 1er avril 23:45

                        On voit depuis quelques mandatures, maintenant, que, le but unique et principal, des crabes élus, est de LIQUIDER LA FRANCE  !

                        Par tous les moyens, par toutes les trahisons, par toutes les lâchetés, par tout ce qui peut détruire l’âme du pays, tout comme son industrie, son commerce, ses institutions, bref...pas un domaine qui n’échappe à cette « grande braderie » qui s’est accélérée, depuis la fausse excuse « covidiote » jusqu’à la baise, sans vergogne, par un pays, que l’on arrose à coup de milliards, pris dans la poche du CONcitoyen, auquel on offre plus que des factures, et des contraintes de plus en plus étouffantes à sa vie.

                        Vie, dont les mêmes pouilleux gavés au pouvoir lubrique, veulent prochainement légiférer, sur le moyen d’y mettre fin, selon les mêmes moyens, déjà expérimentés sous fausse pandémie. ( il faut toujours une horreur plus grande, pour en effacer une autre, c’est la règle de l’immunité )

                        Mais voyons un peu....

                        Selon vous, comment pourrait se faire l’accélération en liquidation définitive, de ce pays, sans que la corruption de cet état, ne soit par trop visible ?

                        Et qui puisse, détourner l’attention, et en même temps , rendre cette attention, fédératrice, à des intérêts si peu louables, qui éclosent en ce moment, comme la préface déjà dédicacée, par qui de droit ?

                        Simple ! Très simple ! Les Jeux à Picsou, sont l’instrumentalisation rêvée, et coche toutes les cases, d’un scénario abo-minable, y faisant tremper nombre de pays, qui pourraient être complices ensanglantés, malgré eux, témoins innocents, mais au combien nécessaires, pour légitimer, et en nombre, la ( fausse) réaction de représailles, à laquelle nous sommes déjà conditionné, par toutes ces actions, sous faux drapeaux, et ces surdités diplomatiques,

                        Car copain copain, avec des énergumènes intriqués, comme cul et chemise, dans leurs intérêts personnels.

                        Vous voulez une grande fête des anneaux.... ?

                        Il y a de très fortes chances, que ce soit un mix entre le :

                        «  Silence des a(g)neaux  »

                        et

                        « Le SAIGNEUR des anneaux » !


                        • chantecler chantecler 2 avril 07:40

                          60 000 € une séance de scooter de mer pour notre président .. ?

                          Mais c’est donné !

                          D’abord faut investir , puis rentabiliser .

                          Ensuite 20 % de TVA qui rentre certainement dans les caisses de l’état pour alimenter nos facéties ...

                          Puis le coût de l’essence qui alimente notre pétro industrie ..

                          Vous voulez pas mettre l’Arabie Saoudite, notre alliée , sur la paille ?

                          Et encore le résultat , nous avons un président détendu , rigolard, apte à faire son travail dans les meilleures conditions .

                          Faut pas être jaloux !

                          Payons lui des vacances éternelles .

                          Nous serons plus heureux .


                          • Christophe 2 avril 10:40

                            @chantecler

                            Puis le coût de l’essence qui alimente notre pétro industrie ..

                            Pas seulement, il participe aussi à l’enrichissement de l’état. 

                            Le 15 décembre 2023, la TICPE (hors TVA) comptait pour 35 % du prix à la pompe du gazole (1,73 € / litre) et 39 % de celui du SP95 (1,79 € / litre) selon l’union française des industries pétrolières.


                          • Eric F Eric F 2 avril 11:42

                            @chantecler
                            Le prix d’un jet sky étant de l’ordre de 10 à 20 000€, ce n’est pas la location qui fait le coût de 60 000€, mais la privatisation et sécurisation de la zone de baignade et plaisance, incluant plongeurs, forces de l’ordre, etc. (source)
                            Vous me direz, même s’ils ne faisaient pas ce service, les plongeurs et forces de l’ordre auraient le même cout pour un autre usage financé par l’état...


                          • charlyposte charlyposte 2 avril 10:34

                            Message urgent à MAC MACRON KINSEY et à toute sa bande de bras cassés.... IL FAUT ARRÊTER D’EMMERDER LES FRANÇAIS... KAPICH OU PAS KAPICH HEIN smiley


                            • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 2 avril 10:34

                              Le vrai slogan du peuple devrait être « il n y a pas de crise ! », vous nous baiser c’est tout, on a compris ^^


                              • charlyposte charlyposte 2 avril 11:09

                                QUESTION : POURQUOI ATTAL la marionnette du roi de France n’est pas sur le front Ukrainien avec son casque et dix tubes de vaseline made in CHINA !!!!??? smiley


                                • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 2 avril 11:38

                                  Quelle catastrophe sémentique.

                                  Faut arreter la tartufferie de la ùmanipulation des hordes gauchistes qui nient la réalité des privilèges des fonctionaires et elus.

                                  Ha les riches, tuez les et vous allez tous devenir riche par magie...Mais l’économie n’est pas un jeu a somme nulle.

                                  Les riches sont responsables de leurs salariés pas de gérer l’état.

                                  Vision débile de l’économie en jeu a somme nulle.

                                  Les gauchistes sont de plus en plus malade de leurs ignorances économliques.

                                  Mais l’auteur visibmement un fonctionnaire abonné de la gamelle de l’état, vient vous expliquer sans rigoler que c’est trop injucte la retaite a 64ans.

                                  Mais sait il que le secteur privé cotise à 16% du brut cotisation patronale incluse alors que la caste fonctionarisée se gave de cotisatuon employeur

                                  La CNRACL, la caisse de retraite qui couvre les fonctionnaires territoriaux et la fonction publique hospitalière. Le taux employeur est de 32%

                                  du brut.

                                  La retraite est si interessante et gavée que 42% des départs se font en catégorie active.

                                  Ils sont des milions à se gaver en invoquant de regarder le riches quinne sont pas responsables de leur privilèges..

                                  Le déficit de l’état c’est surtout la gamelle des fonctionnaires qui sont trop nombreux.

                                  De leur lobby de destruction du secteur privé qui s’écoule sous leurs privilèges.

                                  Le CICE, c’est un crédit d’impot, un éouventail a gauchiste pour justifier leur tyrannie et haine du secteur privé.

                                  Dans le réel, ont t’as imposé de 33%, on te crédite de 2% des 33% prélevés, et pour ça ca coute 3ù de couts comptables pour les récupérer et les gauchistes démago expliqient que c’est in cadeau.

                                  Branlette de gauchiste.

                                  L’assurance chomage ? Pillée par la caste des artistes avec e régime des intermiyttants du spectacle, qui prennent plus que les autres et créent dans un buget fermé un moins pour ceux qui sont au général.

                                  Rappeleons que les démogo gauchistes sont dans les castes favorisées du chomage. Les fonctionaires qui Geulent le mot « solidarité » a tour de bras ne cotisent pas, pas plus que les RATP, EDF ou SNCF les réservent a pouvoir de nuissance gauchistes savent se servir par millions en caste favorisée sur le dos des autres.

                                  Oui il faut ailler a la tronconneuse dans des effectifs plétoriques favorisés de la gamelle de l’état, casser cette puante mentalité gauchiste a militer plus que bosser et invoquer le social mais dans le factuel ce sont les pires monstres qui savent se servir les premiers sur le dos des autres !


                                  • armand 2 avril 11:51

                                    @Spartacus Lequidam
                                    plusieurs fotes par ligne, un champion.


                                  • L'apostilleur L’apostilleur 2 avril 13:39

                                    @Spartacus Lequidam
                                    « ..Ha les riches, tuez les et vous allez tous devenir riche »
                                    C’est pas faux, pense Mélenchon et la gauche-extrême qui ont pris modèle sur les tyrans (*). Sauf qu’ils ne disent pas que ça ne marche qu’une fois, après il faut créer de la richesse.

                                    (*) https://onenpensequoi.over-blog.com/2023/03/642d3ba4-dacb.html


                                  • Eric F Eric F 2 avril 16:29

                                    @Spartacus Lequidam
                                    ’’l’économie n’est pas un jeu a somme nulle’’

                                    Si, tout comme un bilan financier.
                                    Regardons le PIB du pays, et la part qui en revient à chaque ’’centile’’ de population. La part du 1% tout en haut de la pyramide de revenus ne cesse de croître depuis les années 80, alors que la croissance est atone. Pendant les ’’30 glorieuses’’, la croissance était plus forte, les disparités de revenus au sommet étaient moindre.
                                    Donc les disparités excessives ne tirent pas la croissance ni ne ruissèlent, elles aspirent la richesse commune.


                                  • Eric F Eric F 2 avril 16:34

                                    @L’apostilleur
                                    Mélenchon ne parle pas de tuer les riches ni de tout niveler, mais de réduire les écarts excessifs de richesse. .Ce en quoi, du reste, il est considéré comme trop modéré par l’ultra-gauche.


                                  • L'apostilleur L’apostilleur 2 avril 18:30

                                    @Eric F
                                    Mélenchon annonçait à propos des héritages ; « Au-delà de 12 millions, je prends tout. »
                                    et finançait avec une promesse à un coup ; « chaque étudiant et tous les élèves qui sont dans la voie professionnelle recevront une allocation de 1063 euros »
                                    Et après où trouvera t-il de quoi financer sa mesure ? 


                                  • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 3 avril 10:27

                                    @Eric F

                                    Le grande branlette des gauchistes qui esaient de faitre croire que la richesse est un jeu a some nulle.

                                    Il y a un moment ou vous rméritez des coup de pied au cul tellement vous vous confortez dans la haine de ceux qui prennent des risques..

                                    Plus il y a des riches moins, plus les gens du desous sont riches.
                                    Mais admettre cette simple vérité tue tous vos propos haineurx envers les autres et révelle que vous vous résumez a de la jalousie..

                                    Vous ne voulez pas le « bien des gens », vous voulez « punir » les gens plus riches que vous et vivre de leur richese produite.
                                    Toute la gauche se résumle a ça, lenvie de se servir sur le dos des autres et avoir des privilèges statutaires en étant des jaloux des réussites des autresd et des envieux de leur fortune.

                                    Monaco a la plus grande diférence entre riches et pauvres.
                                    le seuil de pauvreté est a 60% de la population.
                                    Le seuil de pauvreté est a 4000€. 
                                    Curieusement avec une telle différence et un important seuil de pauvreté ils devraient fuir Monaco.

                                    Non ils fuient Cuba et le Venezuéla des paradis ou seuls la nomenklarura d’état se sert d’une population egalitaire dans la pauvreté..

                                    Si nous avoins plus de riches, nous aurions aussi les pauvres les plus riches.

                                    Mais va faire comprendre cette évidence a des formatés LFI.


                                  • robert 3 avril 10:38

                                    @Spartacus Lequidam
                                    c’est un jeu ? vous le faites exprés ?


                                  • zygzornifle zygzornifle 7 avril 13:23

                                    Comme d’habitude la finance pour les riches et les politiques et l’austérité pour les autres ....


                                    • titi titi 8 avril 00:41

                                      @zygzornifle

                                      Il n’y a aucune austérité.

                                      Les « zakis » auxquels les francais sont attachés, n’ont jamais été financés.
                                      Jamais.

                                      Les « zakis » des français sont payés à croum. Grâce à la « finance ».

                                      Ce sont les fonds de pensions anglo-saxons, donc les travailleurs anglo-saxons qui paient les « zakis » des francais par leurs versements. 

                                      Et demain, les francais devront payer en retour les retraites de ces travailleurs, en plus des retraites de leurs parents.

                                      Mais les francais du présents sont contents : ils ont leurs zakis.
                                      Et ils en redemandent !

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Jean d’Aïtone

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