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Accueil du site > Tribune Libre > Joe Biden, un an après l’élection : let’s go Brandon (...)

Joe Biden, un an après l’élection : let’s go Brandon !

 

Ceux qui s’attendaient au pire se sont trompés : en réalité, c’est encore pire.

 

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Let’s go Brandon !

Depuis deux mois, une mode fait fureur aux Etats-Unis : la foule entame chaque compétition sportive par un tonitruant « F*** Joe Biden !  » collectif. Aussi, lorsqu’une journaliste de NBC, interrogeant le pilote Brandon Brown, feint, de façon improbable, d’entendre « Let’s go Brandon ! » afin d’épargner la sensibilité du Président, les petits malins détournent ce nouveau cri de ralliement. « Let’s go Brandon » devient le nouveau « F… Joe Biden » : même signification, mais avec l’avantage d’éviter le sulfureux « mot en F ». « Let’s go Brandon » est devenu viral, et ses variations hip-hop trustent les premières places du hit-parade, repoussant même le nouvel album de la superstar Adèle en troisième place ! Et ce malgré les meilleurs efforts des Inquisiteurs de Google pour censurer ces chansons impies. Il y’a pourtant au moins un retraité de fraîche date à qui cette mode ne semble pas déplaire ! Douce revanche…

 

Mauvais départ

Il est vrai que dès le départ, le résultat des élections avait été entaché de soupçons. Prétexte ou motif sincère, les procédures électorales avaient été précipitamment bouleversées en période Covid. Depuis, c’est la guerre de tranchée entre une large majorité de Républicains qui allèguent des fraudes massives, et les Démocrates, qui affirment que ces élections furent les plus « propres » jamais réalisées. Autant il fut de rigueur pour Joe Biden, Hillary Clinton, Barack Obama et tout l’establishment Démocrate et médiatique de marteler pendant quatre ans que Donald Trump était illégitime pour avoir « volé » les élections avec la complicité de Vladimir Poutine (un complot tellement diabolique qu’on n’en a jamais trouvé la trace), autant tout scepticisme quant à l’élection de Joe Biden participe d’un « Big Lie » (Grand Mensonge) d’essence fasciste, et à ce titre implacablement censuré par les seigneurs de la Silicon Valley (Google, Facebook, Twitter). Eux c’est eux, nous c’est nous : les serviettes Démocrates ont des droits que n’ont pas les torchons Républicains.

Admettons que les constats de fraude puissent en fin de compte s’avérer être de fausses pistes. Il n’en reste pas moins qu’il y’a bel et bien eu avant les élections un effort massif et coordonné entre la CIA, les media et les réseaux sociaux pour censurer les révélations sur le juteux réseau de trafic d’influence tissé par Joe Biden et sa famille au cours des décennies, qui finançait notamment les besoins insatiables de Hunter Biden, le fils de Joe, en drogues, prostituées, orgies et voitures de luxe. Il n’en reste pas moins non plus que Marc Zuckerberg, PDG de Facebook, a consacré 420 millions de dollars de son inépuisable fortune pour privatiser le processus même de vote et contrôler les bureaux de vote, dans une opération sans précédent. L’élection n’a peut-être pas été « volée », mais elle a bel et bien été « achetée ». Mais voilà : le même Marc Zuckerberg censure sur Facebook tous ceux qui remettent en cause de son propre rôle, donc la boucle est bouclée, voyez comme le monde est bien fait. Néanmoins, les media et Big Tech ont beau rouler des yeux et se scandaliser du « Big Lie », il restera toujours un goût amer. Par ailleurs, la stratégie de l’intimidation perd de son efficacité, la parole se libère. La victoire de Joe Biden a peut-être été légale, mais elle n’a pas été « fair play ».

Aujourd’hui, soutenus par l’opinion publique, les Républicains tentent de revenir à des règles électorales plus rigoureuses : ils exigent notamment, ô scandale, que l’on exige de vérifier l’identité des votants !

 

Les lendemains qui chantent…

Ce déficit de légitimité, les media ont tenté de le combler par un effort de propagande que ne renierait pas la Corée du Nord. Lors de l’inauguration, CNN comparait les faisceaux de lumière aux « bras de Joe Biden embrassant l’Amérique ». Pour ne pas être en reste, Disney produisait une video pour informer les jeunes enfants que la « petite fleur » Kamala Harris avait « rejoint un groupe divin de leaders », pas moins. Même Barack Obama avait dû attendre un an avant de recevoir le Prix Nobel en reconnaissance de la pigmentation de sa peau : le couple Biden-Harris a fait mieux.

 

… et qui déchantent

Malheureusement, la réalité n’est pas un compte de fées. L’année 2021 a connu une succession de catastrophes, créées ou subies par l’Administration Biden.

L’immigration illégale, jugulée sous Donald Trump, a explosé. Il est vrai que Joe Biden a systématiquement abrogé toutes les décrets et les accords internationaux que Donald Trump avait mis en place à ce sujet. Symboliquement, Joe Biden a mis fin à l’extension du Mur, construit par Bill Clinton et perfectionné par ses successeurs, auquel Donald Trump tenait tant. L’Etat fédéral est néanmoins tenu de continuer à payer 5 millions de dollars par jour aux contractants, pour ne rien faire. Des « Bidenvilles » sordides et insalubres se développent sans contrôle au Texas, à la frontière avec le Mexique. D’immenses cortèges d’immigrants se forment en Amérique Latine, remontant le Mexique en route vers la Terre Promise américaine, profitant de ce que la frontière a été abolie. Devant l’ampleur de la catastrophe, Joe Biden a mis Kamala Harris en charge de maîtriser la crise : autant dire, rien. Quatre mois après sa nomination, celle-ci ne s’était toujours pas rendue à la frontière, ce qui donna lieu à cet échange surréaliste avec un journaliste pourtant bien disposé à son égard :

Journaliste : -Avez-vous l’intention de vous rendre à la frontière ?
Kamala Harris : -Nous sommes allés à la frontière (…). Nous sommes allés à la frontière. Nous sommes allés à la frontière.
Journaliste : -Vous n’êtes pas allée à la frontière.
Kamala Harris : -Et alors ? Je ne suis pas allée en Europe non plus ! Je ne comprends pas votre problème.

Kamala Harris a cependant précisé son plan : elle entend s’attaquer aux « causes profondes » de l’immigration qui sont, sans surprise, le réchauffement climatique et le racisme. Traduisez : revenez me voir en 2050 et d’ici là, fichez-moi la paix.

L’économie ne se porte pas mieux. Joe Biden a déjà initié un plan de dépense publique faramineux (l’unité de compte est désormais le trillion de dollars) et tente d’en faire voter un nouveau, encore plus gargantuesque. La dette publique et l’inflation explosent. Grassement rémunérés pour rester au chômage, les Américains refusent les emplois proposés, ce qui entraîne une multiplication des goulots d’étranglement. Également atteints par la pénurie de main d’œuvre, les ports ne peuvent plus décharger leurs marchandises et les camions ne circulent plus faute de chauffeurs. Les étagères des supermarchés se vident, entraînant pour la première fois depuis la Deuxième Guerre Mondiale une pénurie de biens de consommation courante. Mais que fait le Secrétaire au Transport ? Ah, désolé, il a pris deux mois de congé paternité. Priorités…

Côté politique étrangère : débâcle en Afghanistan (Joe Biden, retiré dans sa maison privée, était injoignable par ses alliés de l’OTAN) et crise diplomatique majeure avec la France (n’en veuillez pas à Joe Biden : comme l’a charitablement expliqué John Kerry, « il n’avait littéralement, littéralement, aucune idée de ce qui se passait »).

 

La guerre contre l’ennemi intérieur

L’élection de Joe Biden avait permis de recréer l’homogénéité idéologique de l’oligarchie. Président, Congrès, haute administration, agences de renseignement, media traditionnels, Big Tech, universités et Hollywood se retrouvaient avec un objectif commun : empêcher que la jacquerie trumpiste puisse jamais se reproduire.

Le prétexte idéal fut fourni par l’émeute du 6 janvier 2020, promue par Joe Biden au rang de « pire attaque contre la démocratie depuis la Guerre Civile », rien de moins. L’attaque de Pearl Harbour ? Le 11 septembre 2001 ? Broutilles ! Dans le cadre de cette hystérisation orchestrée de la vie politique, la confusion est entretenue entre la minorité d’émeutiers agressifs et la majorité de manifestants qui se sont contentés de déambuler dans le Capitole en prenant des selfies : tous trumpistes, donc tous également coupables. Peines de prison disproportionnées, détention solitaire, tous les abus sont permis, puisqu’il s’agit de lutter contre le nazisme, n’est-ce pas ? Au Congrès, Nancy Pelosi mène une « commission d’enquête », chargée de faire « toute la vérité » sur cette journée, tout en évitant soigneusement les sujets gênants : pourquoi a-t-elle prétendu lors de l’Impeachment de Donald Trump en février que l’officier de police Sicknick avait été sauvagement massacré par les émeutiers (à coup d’extincteur, excusez du peu), alors que, ayant eu dès janvier accès au rapport d’autopsie, elle savait qu’il était mort de mort naturelle, et pourquoi avait-elle fait repousser la publication de ce rapport à avril (donc après la procédure d’Impeachment) ? Pourquoi refuse-t-elle de rendre publiques les 14000 heures d’enregistrement vidéo prises pendant cette journée ? Pourquoi refuse-t-elle de faire la lumière sur le rôle trouble joué par le FBI ? Pourquoi prétend-elle qu’il s’agissait d’une « insurrection armée », alors qu’il ne s’agissait pas d’une insurrection, et qu’elle n’était guère armée ? « Toute la vérité », et une bonne dose de mensonges en prime, avec un seul objectif : attiser la haine contre le petit peuple trumpiste afin de justifier les exactions à son encontre.

Le « wokisme » sous toutes ses formes, échappé des universités où il avait longtemps été cantonné, déferle sur l’Amérique. Chaque jour charrie son lot d’absurdités : cours de rééducation raciale dans les grandes entreprises, guides bénévoles de l’Institut d’Art de Chicago licenciés en masse pour cause de blancheur excessive, mathématiques décrétées racistes, Rachel Levine, né(e) Richard Levine, nommé(e) « first female four-star admiral  », sans d’ailleurs avoir la moindre expérience militaire… Plus rien ne fait sens, mais gare à ceux qui oseraient lever la voix, ils seront « cancelled » (licenciés, ruinés, bloqués sur les réseaux sociaux). Dans les écoles publiques, les enfants sont soumis à des cours de « Critical Race Theory  », au cours desquels les petits Blancs apprennent qu’ils sont ontologiquement coupables dès la naissance. En réponse aux parents qui manifestent leur colère lors des conseils d’école, ceux-ci sont dénoncés comme « domestic terrorists  » et vont être soumis à la surveillance du FBI.

 

Popularité en chute libre

En conséquence de cette accumulation de désastres, la popularité du couple exécutif s'est effondrée. Joe Biden est désormais surnommé « Dementia Joe », en raison des symptômes de plus en plus évidents de démence sénile qu’il exhibe. Malgré les efforts des media pour les minimiser (il ne s’agirait que de « gaffes » ou de « bégaiement »), le peuple américain a pris note. Une majorité a compris qu’il n’a plus les capacités intellectuelles requises pour exercer sa fonction. Serait-il temps de démissionner ? Problème : sa remplaçante serait « Cackling Kamala  » (« Kamala la Caquetante »), ainsi surnommée pour sa curieuse propension à éclater de rire dès lors qu’une question difficile lui est posée. Son incompétence est notoire, et elle réussit l’exploit d’être encore plus impopulaire que son patron et qu’aucun de ses prédécesseurs à la vice-présidence depuis 50 ans. Les Américains sont donc condamnés à garder Joe Biden pendant encore trois ans. Derrière le monarque décrépit, les deux first ladies, Jill Biden et Kamala Harris, se font la guerre. La Cour se gausse, le peuple désespère.

 

Vers la guerre civile ?

Face à ce sombre tableau, les termes « sécession », « divorce national » et « guerre civile » s’installent dans le débat national. Une majorité relative d’Américains déclarent désormais souhaiter une sécession, c’est-à-dire un divorce à l’amiable de l’Amérique « rouge » et de l’Amérique « bleue ». Un site internet recense les articles, de plus en plus nombreux, concernant la possibilité d’une guerre civile.

Chez les Républicains, on perd l’espoir de réformer les institutions, perçues comme uniformément hostiles. Aussi, sans attendre de solution politique, organise-t-on progressivement une sécession « soft », presqu’invisible : faute de pouvoir lutter contre ces institutions, on les contourne.

Media : Fox News écrase désormais les chaînes concurrentes (CNN, MSNBC), discréditées par des années de fake news hystériques, et sa nouvelle petite sœur Newsmax se taille également une place au soleil. De nouveaux canaux, tels que Substack.com permettent aux intellectuels et aux journalistes rejetés par les New York Times, Washington Post, Rolling Stones et autres organes « wokisés » d’atteindre directement leurs lecteurs tout en gagnant confortablement leur vie : Andrew Sullivan, Matt Taibbi, Glenn Greenwald, Bari Weiss. Tous venant de la gauche, tous en rupture avec celle-ci, suite à sa dérive totalitaire.

Big Tech : face au monopole de Facebook, Twitter, Google et Youtube, la contre-offensive s’organise. Rumble.com, Locals.com, duckduckgo.com prennent la relève, et Donald Trump lui-même y va de son nouveau réseau social  ! Avec pour tous la même promesse : mettre fin à la censure et à la manipulation de l’information.

Ecoles : les parents retirent massivement leurs enfants des écoles publiques, dont la crise du Covid a exposé l’inefficacité et les biais idéologiques, au profit des écoles privées, de l’école à domicile ou de « modules éducatifs » organisés par de petits groupes de parents aux conceptions éducatives similaires. Les Etats Républicains encouragent cette évolution en instaurant le chèque-éducation. Fini le modèle éducatif unique.

Universités : le coût d’une éducation universitaire est devenu exorbitant. Les étudiants en sortent criblés de dettes et diplômés en « grievance studies » (« études de rancune »), fort efficaces pour identifier et dénoncer l’oppression blanche, masculine, hétérosexuelle et patriarcale, mais guère utiles pour trouver un emploi productif. Aussi de plus en plus d’employeurs décident-ils de faire sauter le verrou qui faisait des études universitaires le passage obligé à l’accès à la classe moyenne et, pour les universités de l’Ivy League (les Grandes Ecoles américaines), à la classe supérieure, et recrutent désormais directement après l’équivalent du bac. Il ne s’agit pas que de McDonalds, mais aussi de Ernst&Young (audit), Apple, Google, IBM, Bank of America… Le haut du panier ! Le milliardaire-philosophe-libertaire Peter Thiel a créé une fondation pour encourager financièrement les jeunes les plus doués à abandonner leurs études pour créer leur entreprise. Même l’Etat fédéral se met au diapason : l’un des derniers décrets de Donald Trump réduit l’importance du diplôme comme critère d’embauche dans la fonction publique, au bénéfice de l’expérience et des compétences pratiques.

Par ailleurs, les Etats Républicains se posent en protecteurs de leurs résidents contre les visées perçues comme hostiles de l’Administration fédérale. En Floride, le Gouverneur invalide préventivement l’exigence fédérale de vaccination pour l’accès à l’emploi. Parallèlement, dix Etats entament un procès contre l’Administration au nom de la liberté vaccinale. Au Texas, le Gouverneur, prenant acte de la démission de l’Administration, prend en charge la protection de la frontière.

 

Crise… et renouveau ?

La stratégie de la surenchère idéologique d’un pouvoir dont la légitimité s’est effondrée mène les Etats-Unis dans une passe dangereuse, au grand désarroi de ceux qui croyaient voir dans les tweets intempestifs de Donald Trump le plus grave fléau dont souffrait l’Amérique.

Une lecture optimiste des Etats-Unis est cependant possible : si ceux-ci sont en proie à une crise profonde, celle-ci porte également les germes d’une authentique renaissance. Les Etats-Unis peuvent puiser dans leur histoire pour retrouver les traces d’un fédéralisme rénové, aux termes duquel les Etats retrouveraient les pouvoirs que l’Etat fédéral avait centralisés depuis le New Deal de Franklin D. Roosevelt. Les Américains sauront-ils retrouver un peu de l’esprit libertaire de leurs ancêtres, indomptables conquérants du Far West ? Au-delà de la figure pathétique de Joe Biden, le masque de compétence derrière lequel s’abritait une classe dirigeante devenue hypertrophiée, parasitique et obsolète est tombé : il faut donc définir de nouvelles élites, avec un nouveau mode de recrutement et de fonctionnement. Transition de classe similaire à celle que la France a connue à la Révolution (l’aristocratie, qui tirait sa légitimité des titres nobiliaires, cédant la place à la bourgeoisie, fondée sur la propriété) puis après la Deuxième Guerre Mondiale (transition de la bourgeoisie à la technocratie, fondée sur les diplômes). Aux Américains de réécrire leur avenir. Aux Français de s’en inspirer.


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23 réactions à cet article    


  • zygzornifle zygzornifle 2 novembre 2021 15:47

    Faudrait l’ouvrir pour voir ce qu’il y dedans ....


    • Emohtaryp Emohtaryp 2 novembre 2021 18:27

      @zygzornifle

      Ya rien dedans, hormis de la merde......D’ailleurs, ça va être bientôt l’heure de lui changer sa couche.....


    • zygzornifle zygzornifle 3 novembre 2021 09:08

      @Emohtaryp

       les vapeurs en sortant de sa couche vont augmenter le trou dans la couche d’ozone ...


    • phan 2 novembre 2021 16:22

      « Ce putain de faux président est un sale enculé, et la seule raison pour laquelle il est président, c’est parce qu’il a triché, alors comme la représentante Rashida Tlaib l’a dit si correctement, il est temps de destituer cet enculé et tout enculé qui ne le fait pas. voyez que cet enfoiré orange n’appartient pas à notre putain de Maison Blanche, mieux vaut sortir de la putain de voie de Robert Mueller parce que lui et les démocrates maintenant aux commandes ont le pouvoir d’abattre enfin cet enfoiré raciste, misogyne et nationaliste blanc. »

      C’est normal que Sleepy Joe l’a battu ...


      • doctorix, complotiste doctorix, complotiste 2 novembre 2021 19:08

        @phan
        On voit ici le niveau des démocrates : tant mieux. Plus ils montreront leur nature, et plus vite ils seront virés avec pertes et fracas.
        Concernant Mueller, cet imbécile fait une lourde erreur : il travaille toujours pour Trump, sous faux drapeau, en quelque sorte : c’est la taupe de Trump infiltrée chez les démocrates.


      • phan 3 novembre 2021 00:07

        @doctorix, complotiste
        Ce n’est pas Fauci, la taupe de Trump infiltrée chez les démocrates ?
        ça a toujours été : Républicains ou Démocrates c’est Blanc Bonnet ou Bonnet Blanc ! Les United ShitHoles of America ne sont qu’un Grand Remplacement né d’un génocide et de l’esclavage !


      • Emohtaryp Emohtaryp 2 novembre 2021 18:26

        Let’s go Brandon ou plutôt Fuck Joe Bidon !


        • doctorix, complotiste doctorix, complotiste 2 novembre 2021 18:31

          Selon les déqodeurs, Trump, le général Flyn et l’armée dirigeraient de fait en sous-main ce pays de maboules, empêchant ainsi plus encore d’exactions de ce gouvernement de frapadingues, au moins au niveau des relations internationales.

          Ils laisseraient volontairement les démocrates produire leurs insanités à tour de bras, afin que le pays en prenne conscience jusqu’à plus soif, et soit à jamais débarrassé de ce parti infâme pour l’éternité.

          Les élections de mi-mandat pourraient démontrer l’exactitude de cette prophétie, et je crois qu’elles le feront.

          Ainsi Trump, qui aurait pu recourir à la force et à l’armée pour rétablir cette élection truquée, apparaît comme respectueux de la démocratie, et non l’instigateur d’un coup d’État : il n’en sera que plus légitime lorsqu’il reviendra.

          Car il reviendra, c’est une chose certaine, c’est juste une question de patience.

          Et les démocrates seront relégués au fond de l’enfer, d’où ils émanent, pour l’éternité, à coups de procès retentissants.


          • doctorix, complotiste doctorix, complotiste 2 novembre 2021 23:26

            Pour préciser mon propos, il faut voir le dernier live des deqodeurs.
            https://lesdeqodeurs.fr/
            Il explique ce qu’est la dévolution en cours, cad la reprise du pouvoir (ou son maintien) par le véritable élu tout en évitant la guerre civile, qui aurait été inévitable en cas de contestation et de renversement trop précoce de l’usurpateur biden.
            Tout avait été prévu par Q depuis des années, y-compris la pseudo-défaite, et tout le bénéfice que la démocratie pouvait en tirer.
            Un jour, tout le monde comprendra ce que ce plan avait d’extraordinaire, et ce jour est proche.


          • Eric F Eric F 3 novembre 2021 11:28

            L’hypothèse que Trump exerce secrètement le pouvoir avec l’armée est totalement contradictoire avec les griefs sur la politique actuelle des USA formulée par les pro-Trump.

            Il a été battu de justesse aux dernières présidentielles et a tenté de faire pression pour obtenir l’annulation, mais même les pions qu’il avait placé à la cour suprême ou au Sénat n’ont pas dérogé à la constitution sur la base d’allégations sans preuve tangible.

            Ceci étant, il a pris date, et le discrédit rapide de l’actuelle administration pourrait donner à ses partisans la majorité parlementaire à mi-mandat ce qui entrainerait une influence prépondérante, puis il pourrait rafler la mise à la prochaine présidentielle. De toute façon ses postures « anti-système » sont factices, il est « pro-business », capitalistes et financiers se sont gobergés sous sa mandature.


          • Eric F Eric F 3 novembre 2021 11:37

            Big pharma a notamment bien profité du financement des « nouveaux vaccins » par l’administration Trump, qui a lancé dès la fin 2020 un plan énergique de vaccination, poursuivi par son successeur -sur ce point il y a eu continuité-.


          • berry 3 novembre 2021 12:59

            @doctorix, complotiste
            L’armée et les services secrets sont certainement en contrôle de la situation depuis au moins 2014, date à laquelle les USA se sont retournés contre les djihadistes en Syrie. En 2016 ils ont permis l’élection de Trump en empêchant la fraude électorale qui était prévue ; les révélations sur le marigot démocrate ont commencé à sortir et Hillary Clinton a eu de mystérieux ennuis de santé.
            A mon avis, ils ont Biden bien en main et il fait ce qu’on lui dit de faire. La laisse est courte et tenue fermement.
            Si demain l’armée siffle la fin de la partie, les révélations vont s’accélérer, de graves accusations seront portées contre les dirigeants démocrates et des arrestations de personnalités de premier plan s’ensuivront.
            Biden avalisera ces arrestations et c’est lui qui portera le chapeau. De cette manière on évitera les émeutes et une possible guerre civile (n’oublions pas que les américains sont presque tous armés).


          • Eric F Eric F 3 novembre 2021 13:54

            @berry

            "L’armée et les services secrets sont certainement en contrôle de la situation (...). En 2016 ils ont permis l’élection de Trump..."

            l’armée et les services secrets sont les principaux éléments de l« état profond », s’ils ont favorisé Trump c’est qu’il est entre leurs mains, c’est donc bien un faux réfractaire. Il a ramené la barre vers un peu plus d’isolationnisme et Biden vers un peu plus d’internationalisme, mais l’un comme l’autre sont les feudataires du capitalisme international, le faux changement dans la vraie continuité....

          • berry 3 novembre 2021 14:37

            @Eric F
            Il faut voir qui dirige vraiment ces institutions et les décisions qui sont prises.
            Les choses peuvent changer d’une année à l’autre, en France le parti gaulliste est bien devenu un godillot des américains sous Sarkozy, sans que les français n’aient jamais été informés officiellement du changement.

            Il semble que les patriotes américains aient repris le pouvoir réel en utilisant les mêmes armes que leurs adversaires mondialistes, l’infiltration, la dissimulation et la patience. Là où Kennedy avait échoué et où Reagan avait du reculer (n’oublions pas qu’il a subi une tentative d’assassinat d’un jeune texan proche des Bush), il semble que Trump ait réussi.
            Biden n’a pas l’air de décider de grand chose. Hier, il dormait lors d’une allocution à la COP 26.


          • kirios 4 novembre 2021 10:15

            @berry
            « en France le parti gaulliste est bien devenu un godillot des américains sous Sarkozy » non le parti SE PRÉTENDANT du général de Gaulle était vendu aux américains(en réalité au fric ) depuis Pompidou


          • Michel DROUET Michel DROUET 8 novembre 2021 11:56

            @doctorix, complotiste
            « Ce jour est proche » : Vous disiez déjà ça en novembre décembre 2020.
            Proche pour vous, ça correspond à combien chez vous ? 1, 2, 5, 10 ans ?
            Précisez, on n’en peut plus d’attendre...
            Et en attendant vous passez pour un imbécile.
            Au fait, avec vous eu des nouvelles des chars d’assaut transportés sur des trains en direction de Washington le jour de l’investiture de Biden, dont vous nous parliez à l’époque ?


          • Eric F Eric F 2 novembre 2021 19:53

            « Grassement rémunérés pour rester au chômage, les Américains refusent les emplois proposés »

            Le système d’indemnisation chômage US en terme de montant et de durée est pourtant bien inférieur à celui existant en France


            • ETTORE ETTORE 3 novembre 2021 10:10

              On constate surtout, à quel train, en déraillement constant, est attelé la France, par l’intermédiaire de sa butée présidentielle.

              Même relégué en queue de convoi (dernière affaire des sous marins australiens), il continue de suivre le tortillard Bidet, juste pour avoir une caresse du genoux...

              Avant de se faire déjanter pour de bon, comme un vieux pneu usé.

              Avec un tel copinage, on ne peut pas ignorer, que ce qui se passe aux US, auras, avec un léger décalage, des répercussions, dans cette étable d’ânes suiveurs de carottes, désormais si mal tenue, qu’est devenu ce pays.


              • pierrot pierrot 3 novembre 2021 14:47

                Je suis surpris que les complotistes imbéciles lecteurs du site obscurantiste agogo aient une grande admiration pour l’ancien président Trump corrompu, menteur, violeur, etc. mais qui a eu une excellente initiative de donner environ 10 milliards de dollars à l’industrie privée américaine pour trouver un vaccin contre la covid-19.

                Le succès est, malheureusement pour lui, arrivé après son départ pour le golf de Miami et l’insurrection du Capitole.

                Pourtant, j’observe que beaucoup de complotistes français font du prosélytisme anti vaccin.

                Comprenne qui pourra ces contradictions !


                • pierrot pierrot 3 novembre 2021 19:33

                  @Louis
                  Cela peut m’arriver mais je me soigne par la pensée rationnelle.


                • ETTORE ETTORE 4 novembre 2021 10:45

                  @pierrot

                  Cela peut m’arriver mais je me soigne par la pensée rationnelle.

                  Mais vous êtes irrécupérable, en tant que zinzin !
                  « La pensée rationnelle » c’est comme ça qu’il ont appelé la piccouze de calmant, qu’ils vous ont administré, entre deux malabars en blanc ?
                  Encore un pitre qui se complait à s’admirer le nombril !


                • jjwaDal jjwaDal 4 novembre 2021 17:20

                  Bel état des lieux. Je pense qu’on peut formuler la thèse que le processus de gangrène est déjà allé bien trop loin pour qu’ils puissent revenir à un passé où ils avaient l’illusion d’être un pays « exceptionnel », le « gendarme du monde » , mais sans le pseudo ascendant moral qu’on leur prêtait pour avoir aidé modestement l’armée russe à vaincre les armées nazis (si, si...), ayant un libre accès aux ressources de la planète entière via un système économique arcbouté sur l’usage de leur propre monnaie comme monnaie d’échange de référence.
                  La dédollarisation est en cours et face à la montagne de dettes qu’ils ont accumulée en si peu de temps, il semble inévitable que le revenu des citoyens s’évapore de plus en plus s’il ne s’effondre pas. Le principal adversaire des USA, celui qui d’ailleurs aura eu le rôle critique de les envoyer par le fond ne sera probablement jamais socialement et politiquement identifié, puisque par projection l’enfer c’est toujours les autres. Qu’en 2008, à l’aube d’un chaos financier qui menaçait l’économie d’un infarctus très sévère, le budget du Pentagone soit demeuré intouchable, démontre bien qu’ils ont définitivement perdu tout sursaut de survie et à l’image d’un drogué ont passé un point de non retour. J’ai souvenir d’avoir écouté un ancien de la Cour Suprême des USA qui dans les premières semaines de sa retraite avait mentionné que les USA étaient mûrs pour le fascisme, car plus personne ne semblait se souvenir de ce qui constitue une véritable « démocratie ». L’arbitraire, la surveillance de masse post 9/11, l’usage de la torture et du meurtre organisé (les « kill lists » présidentielles et militaires), l’abandon du citoyen US au profit de la macro économie (en chute libre pourtant), le contrôle massif de l’information, la censure, la désinformation officielle, etc...
                  Je les pense incapables de revenir sur leurs pas, car leur histoire dès le départ est celui du petit blanc européen, voulant bâtir un monde meilleur basé sur un génocide des indigènes et la déportation massive et l’esclavage d’un autre continent.
                  Leur seule porte de sortie semble être la fuite en avant. Là conquête du « far out » en lieu et place de « far west », semble une option, même s’ils sont les premiers à la saborder. L’avenir dira.


                  • pierrot pierrot 7 novembre 2021 19:11

                    Quant on observe que les Républicains de Quanon espère la résurrection de Kennedy junior, cela montre le niveau maladif de ces individus.

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