Arrêtez de me traiter d’homophobe quand je dis que vous n’êtes né ainsi
La pensée du jour : #Transidentité : évoquer des raisons psychologiques devient un crime aujourd'hui dans cette ère du #neurobiologique où la psychologie n'a plus sa place.
Questionner des raisons psychologiques fait de vous un #transphobe, un #transphobe ou un lgbtphobe.
Pourtant les personnes qui détransitionnenent après avoir réalisé qu'elles allaient toujours mal existent bel et bien.
Non toutes les personnes #non_binaires, #transgenres, #genders_fluid... ne sont pas systématiquement nées ainsi. On en parle ?
https://lnkd.in/gmPyatn (╭ರ_•́)
Qui sont les détrans ? Il s'agit de celles et de ceux qui reviennent sur leur transition, l'annule, retrouve leur genre d'origine. Ces personnes sont cachées parce qu'elles dérangent la pensée wokiste.
Le sujet est délicat à tellement d’égards n'est-ce pas ? Ces personnes qui espéraient aller mieux en faisant correspondre leur physique à leurs ressentis se rendent compte au final que ça ne va toujours pas.
Nous pouvons prendre par exemple le cas d'Élie, 22 ans, cheveux courts blond scandinave, originaire de Belgique, fondatrice de Post Trans, l’une des premières assos dédiées au sujet et elle-même concernée. Elle affirme : « À 15 ans, j’ai annoncé à ma famille que j’étais lesbienne, relate-t-elle. Ça s’est bien passé. Ma sœur m’a répondu qu’elle était fière de la femme que je devenais. C’est là que ça m’a heurté·e : je ne me sentais pas “femme”. »
Élie a ensuite consulté une association trans et une gynécologue recommandé par cette asso afin de commencer un traitement hormonal pour transitionner vers le genre masculin. De la testostérone, suivie d’une mastectomie (ablation des seins) ont fait qu'elle se sentait mieux : « Je me sentais de mieux en mieux dans mon corps. J’avais le sentiment de me le réapproprier. Mais, au fil du temps, je me suis rendu compte que je me sentais mal à l’aise avec le statut d’homme hétéro. J’avais le sentiment de cacher une partie de moi ». A 20 ans, Élie a donc arrêté les hormones, abandonner son prénom masculin et recommencé à se faire genrer au féminin, c'était donc un processus de détransition.
Depuis la diffusion de séries documentaires sur le sujet entre 2018 et 2020 (aux Pays-Bas, en Suède et en Angleterre), le sujet affole les médias étrangers. Ce qui les alarme : l’augmentation des demandes de transitions (quatre fois plus en cinq ans, par exemple, dans le principal service de réassignation de genre du RoyaumeUni). En France, elles ont été multipliées par cinq depuis 2012, nous a rapporté l’Assurance Maladie, atteignant environ (et seulement) cinq cents dossiers.
Non toutes les personnes #non_binaires, #transgenres, #genders_fluid... ne sont pas systématiquement nées ainsi. Le lobbys LGBTQIA+ font tout pour amener les gens se trouvant mal dans leur peau qu'elle pourrait trouver leur salut dans une transition de genre. Un honteux mensonge. On en parle ?
https://www.jeanlucrobert.fr (╭ರ_•́)
38 réactions à cet article
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@Jean
n’êtes ou n’êtes pas...Carrément Shakespearien, n’est -il pas ?
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@ZenZoe
mais si le titre ne mets rien en valeur, en plus billet bourré de # , aucune envie de lire -
@ZenZoe
Oui que vous n’êtes PAS -
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Quand j’étais petit, on m’a dit
« assigné, c’est pour en chier »
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@Gégène
Et ben moi figure toi que quand j’étais petit je n’étais pas grand, je montrais mon cul à tous les passants. Aors ma nonunou disait « veux-tu le cacher ! », je lui répondais « veux tu l’embrasser ? »
A l’aide M. le Psychologue ! Est-ce grave ?
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@Seth
ton corps change, mon enfant...
ce n’est pas sale... -
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@Gégène
Moi c’est compromis, chose due. -
@Samy Levrai
Et tu trouves beaucoup de compromis ?
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Comment reconnait-on l’homo et l’hétéro quand on voit deux hommes nus ?
Réponse : l’hétéro, c’est celui qui a gardé ses chaussettes.
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@Brutus
Je te trouve bien au courant de certaines « nuances »...
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@Brutus
J’ai entendu une autre version de la blague : l’homo, sa bite a un goût de merde.
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L’introduction est pas mal, mais où est donc le reste de l’article ?
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@slave1802
Dans la vidéo. C’est un peu le format d’AV bleu.L’introduction est pas mal, mais où est donc le reste de l’article ?
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Toutes ces « phobies » devraient logiquement nous conduire dans les hôpitaux psychiatriques...
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En 2005, Bruce Bagemihl répertorie plus de 450 espèces chez lesquelles ont été observées des pratiques homosexuelles.
Pour le professeur Thierry Lodé, de l’université de Rennes 1, « toutes les conduites sexuelles existent dans la nature »
Mais pour l’auteur cela doit être un coup des wokistes car c’est pas naturel comme on dit au RHaine
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@Astrolabe
Quel rapport avec l’article ? -
@Astrolabe
Il y a des comportements homosexuels chez les animaux, mais y a-t-il des homosexuels, c’est à dire des individus qui ne sont attirés que par des individus du même sexe ?En 2005, Bruce Bagemihl répertorie plus de 450 espèces chez lesquelles ont été observées des pratiques homosexuelles.
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@SilentArrow
On parle même de 1500 espèces qui auraient des attitudes ou rapports homo parmi lesquelles les bonobos, les manchots empereurs et les dauphins.
Chez les hétéros humains même mariés dans le bonheur avec enfants, certains ont des pratiques limitées de nature homo (masturbation, frottage exhibtionnisme-voyeurisme, etc...) sans qu’ils soient homos pour autant.
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@Jean-Luc ROBERT
Il n’y a aucune honte à se faire traiter d’homophobie. Et il vaut mieux passer pour un homophobe que pour un homophile.
Se déclarer homophobe ne tombe pas sous le coup de la loi puisque cela ne constitue pas un acte d’homophobie ni un propos homophobe.
Alors pourquoi se taire ? Déclarons-nous ouvertement homophobes, transphobes, islamophobes.
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@SilentArrow
Caca les PD ! Caca les bicots ! Caca les youpins !
Pas caca les nazis pour SilentArrow, qui n’est ni une flèche, ni, malheureusement, silencieux, car il ferait bien mieux de fermer son claque merde au lieu de dire tant d’âneries ! -
@GoldoBlack
Regardez-le trépigner de rage et d’impuissance notre petit goldoblack.
Regardez-le utiliser des mots racistes comme « bicots » et « youpins » lui qui n’est pourtant pas nazi puisqu’il est dans le camp des saintes-nitouches.
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@SilentArrow
Tu es suffisamment crétin — on le savait, mais comme tu es une vraie brêle, tu nous en redonnes la preuve — pour n’avoir rien compris au fait que c’était une façon de te citer...
Pauvre petite flèche malheureusement pas silencieuse qui trépigne quand il voit deux mecs se rouler une galoche mais qui bande que ce sont deux femmes...
Pauvre petite flèchequi n’assume sans doute pas son gros désir de se faire défoncer le petit par un gros bareback en uniforme de la SA ou de Wagner...
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@GoldoBlack
Il a l’imagination fiévreuse notre goldoblack. On le sent prêt à sombrer dans la démence.qui n’assume sans doute pas son gros désir de se faire défoncer le petit par un gros bareback en uniforme de la SA ou de Wagner...
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@SilentArrow
Ah bon ?
Ce serait être dément que de dénoncer ta naziphilie ? -
@GoldoBlack
Le démence.c’est de ma traiter de nazi. Ma famille a souffert du nazisme.
Si un gugusse me traitait de nazi en face de moi, il se retrouverait avec le nez enfoncé dans le crâne.
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@SilentArrow
Tu n’as jamais d’autres positions que des positions de nazi. Homophobe, raciste...
Assume donc. -
@GoldoBlack
Franchement quand je te lis... A Nazi, Nazi et demi ! -
@xana
Tu parles e toi ?
Sinon quoi ? Qu’est—ce qui ferait de moi un nazi ? Eclaire-moi donc, puisque tu tiens à ramener ta fraise ! -
@GoldoBlack
Là encore, on ne saura jamais...
Comme quoi, quand l’invective remplace l’argument, ça ne pisse jamais très loin, tellement ça sait que ça pisse contre le vent. -
@GoldoBlack
À propos d’invective, un défenseur des bandéristes de Kiev qui traite ses interlocuteurs de nazis, c’est un peu comme s’il se pissait dessus devant tout le monde.Comme quoi, quand l’invective remplace l’argument, ça ne pisse jamais très loin, tellement ça sait que ça pisse contre le vent.
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Sujet vraiment sans intérêt.
Moi je me prends pour un moulin à café.
Dois-je me faire soigner ?
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@Jean-Luc ROBERT
Le docteur : Monsieur Lenclume, j’ai une mauvaise nouvelle...
Le patient : Madame Lenclume, s’il vous plaît, pas Monsieur.
Le docteur : Eh bien Madame Lenclume, la mauvaise nouvelle c’est que vous avez un cancer de la prostate.
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