Je pense qu’il n’appartient pas à l’État de légaliser l’aide à abréger leur vie aux personnes qui la sollicitent en raison de leurs souffrances et d’unpronostic vital engagé irrémédiablement.
Je lui demande seulement de dépénaliser les éventuelles aides de ce type. La nuance me parait considérable, et à considérer..