@christophe nicolas
l’expression « l’inceste-l’un-des-pires-tabous » est ambigüe, malheureuse ou révélatrice. En effet, il y a tabou et tabou : parle-t-on de l’acte d’inceste ou de sa dénonciation publique ?
Parler de pire tabou induit l’idée que les tabous seraient tous des mauvais principes.
Et les esprits pervers — qui ne respectent aucun tabou comme l’on sait — n’en demandent pas davantage pour l’interpréter à leur profit.