@joletaxi
100 mille cas annuels de mésothéliomes dans ce pays ... et cela est une imbécillité de plus, sans doute ..., mais, plutôt abstenez vous de lire, cela pourrait sur mobiliser vos neurones résiduels =>
Nouvelles
épidémies, et délabrement du système de santé
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Explosion
des mésothéliomes (merci l’amiante) : encore 100 000
victimes.
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L’obésité
frappe davantage les classes moins favorisées.
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Les
conditions de travail tuent directement sur leur poste 500
travailleurs par an, et 700 vont décéder à court terme de leur
exposition à des conditions de travail inappropriées =>
https://www.lenouveleconomiste.fr/sante-au-travail-nous-sommes-face-a-une-forme-de-crime-organise-16867/
=> Moyenâgeuse
et cynique. C’est en ces termes qu’Annie Thébaud-Mony qualifie
l’attitude de certains industriels vis-à-vis de la santé et de
la sécurité des salariés. Attitude qui, selon elle, expliquerait
que l’on déplore encore chaque jour en France deux morts par
accidents du travail et plus de dix des suites d’une exposition à
l’amiante.
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Explosion
des affections causées par la chimie : 1000 cancers détectés
par jour.
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Perturbation
du métabolisme humain, dépression des facultés physiques et
intellectuelles, malformations, causés par les perturbateurs
endocriniens dans les plastiques.
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Éloignement,
enchérissement et précarisation du système de soins.
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Assèchement
du système assistanciel (à chacun selon ses besoins),
continuellement attaqué depuis 1945 (déjà 88 fois !), au bénéfice
d’un système assuranciel (à chacun selon ses moyens) qui sent la
pourriture d’une société décadente et anti solidaire.
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Le
patient se voit affublé du masque de « client », de
« risque » : ce n’est plus un être vivant, que
la société chercherait à guérir et à soulager.
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Si
tu as les moyens, tu seras peut être remboursé à 100 % par
ta complémentaire, mais si tu n’as pas les moyens, ta
complémentaire va t’abandonner à 100 %.
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Les
fainéants français produisent un pib annuel de 2000 milliards € :
là dedans, sévissent des parasites, à l’avidité inextinguible
pour la valeur ajoutée produite, au détriment de la dépense
publique que les politiciens mandatés par eux étouffent
systématiquement, sans relâche, avec les mêmes arguments éculés :
le public, c’est caca !
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Numerus
clausus, tarification à l’acte, maltraitance due aux sous
effectifs, rentabilité, attitude indigne des labos, dont les
bénéfices et les dividendes sont le seul trou, illégitime, de la
sécu, protection inacceptable du système des brevets, …, si avec
tout cela la révolte ne gronde pas, elle est proche !