https://www.profession-gendarme.com/pfizer-a-t-il-volontairement-tue-des-participants-du-groupe-placebo/
Une question vraiment légitime !
Selon les documents rendus publics sur décision judiciaire,
Pfizer-BioNTech aurait attendu d’être en possession de « l’autorisation
d’utilisation d’urgence » (EUA) de leur mortel produit à ARNm (délivré
par la FDA), pour ensuite déclarer une partie des décès survenus lors de
l’essai clinique du « va x in » BNT162b2.
Et il ne s’agirait pas de décès dont on pourrait nous dire qu’il est
absolument certain qu’ils n’ont rien à voir avec le mortel produit à
ARNm (comme l’a scandaleusement fait Aurélien Rousseau, le ministre de
la Santé en France, à propos de la mort de ce collégien à la suite d’une
mortelle injection d’un autre produit).
Pourquoi ? Parce que ces décès seraient intervenus dans un groupe de
participants à l’essai clinique du produit à ARNm de Pfizer-BioNTech, et
qu’il y aurait eu « 3,7 fois plus de décès dus à des événements
cardiaques chez les individus vaccinés par BNT162b2 par rapport à ceux
qui n’ont reçu que le placebo. »
Dans les faits, 79 % des décès survenus lors de l’essai clinique du
BNT162b2 n’auraient pas été signalés par Pfizer-BioNTech dans les
documents réglementaires transmis à la FDA afin d’obtenir l’autorisation
d’utilisation d’urgence.
Tout comme n’auraient pas été déclarées les personnes qui
abandonnèrent cet essai, ni les raisons pour lesquelles ces abandons
eurent lieu, ni le nombre de décédés parmi elles.
En effet, selon nos informations, il y aurait près de 400 personnes
dont Pfizer-BioNTech n’aurait eu aucune nouvelle après qu’elles eurent
reçu une ou plusieurs injections…
Que sont devenues ces personnes ?