Bonjour, Yann Esteveny
Bof ! pour moi, il n’existe ni dieu ni diable, et par conséquent ni paradis ni enfer.
Mais Shane MacGowan semblait y croire, ce qui, à mes yeux, n’enlève rien — pas plus que ses addictions — à son talent.
Quant à l’« autoroute » prise par « certains rockers » pour s’autodétruire, c’est un fait indéniable que je ne condamne pas. Sans cet irrépressible penchant, la plupart de ceux-là se seraient lentement consumés dans la dépression.