Le matraquage médiatique est passé en pilote automatique. Il est incroyable que le Promethéisme ait atteint un tel niveau d’incohérence. 

Le Monde était là bien avant l’apparition de la race humain soit bien il y a 1,8 Millions d’années. La datation de notre Monde remonte à plusieurs Milliards d’années. 

La période d’agitations environnementale actuelle est vieille d’environ 80 ans au grand maximum. 

Comment peut t’on s’exciter à ce point là sans prendre en considération les phénomènes déjà identifiés des périodes pré historiques et mêmes historiques. Il suffit pourtant de se documenter un peu. 

L’auteur peut il expliquer pourquoi nous somme passés en période de réchauffement depuis 20 000 ans alors que l’activité humaine ne représentait rien ? 

Comment expliquer la période de glaciation énorme qu’a connu la planète ? 

Les humains possèdent une position quasi microbienne en terme de temps de présence sur la Terre. Il y a une réalité qui échappe à l’auteur : rien ne se perd et tout se transforme et ce cycle est parfaitement constant. 

De surcroit il faudrait renoncer au nombrilisme et se souvenir que le globe terrestre se mouvemente dans un système cosmique dont même le système solaire est une entité microscopique.

De nombreux scientifiques ont déjà fait apparaître que les mouvements planétaires sont loins d’être stables ni notre soleil un four constant. Les oscillations cosmiques de notre système planétaire sont des données bien plus sérieuses et influentes que le théâtre du C02 qui cherches à faire croire aux imbéciles que l’humain pourrait influer sur l’environnement d’une façon significative. 

A mieux l’humain influe sur sa propre survie ou sa propre disparition. 

Tout est une question de durée. Si l’idée tourne autour de la disparition possible de l’élément humain , il est raisonnable de l’imaginer. La démographie, galopante elle seule, est un moteur principal de la disparition naturelle de n’importe quelle vie sur notre planète. 

A partir du moment ou les ressources nécessaires se sont transformées au point de n’être plus disponible à certaines formes de vie dans un délai compatible et qui serait supérieur à sa reconstitution naturelle, le compte à rebours de disparition est engagé. 

C’est peut être le cas de la période que nous vivons. 

On peut faire toutes les jérémiades possibles en terme de sociologie ou de politique, l’ordre naturel des choses ne peut pas être boulversé. En fait c’est l’expansion humaine et sa capacité à vouloir transformer la nature à son avantage qui se retournera immanquablement contre lui. 

Il y en a qui se répandent en pleurnicheries et il y en a qui ont compris. Ces derniers imaginent de quitter la Terre et de s’adapter ailleurs . Tout le cinéma Lunaire ou Martien cherche à comprendre comment le Cosmos évolue pour comprendre à quel moment il faudra se tirer la révérence de la planète Terre en y laissant la grosse masse des boeufs drogués par les idéologies totalitaires et certains produits chimiques ahinilant la raison. 

Il n’y aura pas beaucoup d’appelés et il restera quelques survivants pour garder la place. 

De toutes façon et quoiqu’on raconte, ce n’est pas pour demain même si on commence un peu à deviner l’échéance.