Bonjour @charlyposte,
Faudrait-il encore que la victime se considère comme telle. Lorsque celle-ci a intériorisé son abus, voire qu’elle en nie le caractère criminel et qu’elle le revendique comme une chose normale, cela devient beaucoup plus délicat, tant sa psyché est profondément atteinte : il y a, quelque part, une dissociaton d’avec la réalité. De victime, une telle personne peut vite devenir bourreau, a fortiori si elle parvient à un poste de grande responsabilité. Heureusement, ce sont là de pures hypothèses et il n’y a aucun cas réel qui corresponde à un tel schéma... N’est-ce pas ? :)