@Grincheux
L’aller-retour en Isrël de l’avocat de DSK juste avant sa libération semble avoir été un déclic dans l’évolution du procès qui s’est terminé par une (forte) indemnisation de la plaignante.
Qu’avait-il dans son attaché-case à son retour ?
Probalement rien, en fait. Les négociations entre familles de banquiers proches de l’état profond US (comlexe mlitaro-industriel), financeurs du lobby pétrolier et hébergeurs de l’épargne des citoyens américains se sont déroulées à Tel Aviv et non pas à New-York. Les pétroliers ont sans doute garanti la libération de DSK en contre-partie de l’abandon du Bancor. Rien d’écrit, rien de téléphoné. La parole du négociateur à son retour a suffi à trancher le noeud gordien. Pas de trace. C’est donc forcément moi qui suis un afabulateur, autrement dit un complotiste, un conspirationiste et, pourquoi pas, un terroriste !