Nicole Cheverney, bonjour,
Personne n’évoque le rôle de l’Angleterre dans le problème du « fascisme » Italien.
Comme toujours, les Anglais ont mis de l’huile sur le feu, notamment en Ethiopie et en Erythrée au moment de la guerre Italo-Ethiopienne. Mon beau père, Sicilien, y a participé.
« Ayant connu l’Italie d’avant guerre, j’avais naturellement été émerveillé de son rapide redressement dans l’oeuvre démocratique du régime fasciste, tel du moins qu’il faut au début. Cette dictature, en imposant silence à la démagogie, avait réalisé l’union et orienté toutes les forces vers un but précis pour le salut de tous. »
Henri de Monfreid : du Harrar au Kenya.
Et le « roi des rois » est parti avec un wagon d’or vers l’Angleterre, protégé par les Anglais...
Alors, Mussolini, dictateur ou un petit peu victime ?
Il était grimpé sur un piédestal trop haut et en est tombé, méprisé de tous et affublé du nom de « dictateur ».