Le mot « fascisme »
est aujourd’hui surinvesti, et cet article a le mérite d’en situer
les origines et le sens, même si certaines affirmations sont
contestables comme le fait de dire que Mussolini était "de
gauche« . Le terme »de gauche" n’a plus de sens, tout
comme le mot « populiste » a remplacé de le mot « fasciste »,
faisant un amalgame facile entre tout ce qui serait contraire à la
« démocratie », un peu comme Anna Ahrendt avait réussi à
mettre dans le même sac tous les « totalitarisme »,
supposés, eux aussi, se confondre en étant les ennemis de cette
fameuse « démocratie » fantasmée.
Pourtant comme
disait Malraux dans l’Espoir : "J’ai vu des démocraties
intervenir contre à peu près tous, sauf contre les fascismes."
Bizarre, non ?