Alors loin de moi l’idée de déconsidérer les animaux, et c’est évidemment un progrès que de s’assurer que l’activité humaine n’est pas juste une torture qu’on pourrait éviter facilement pour des espèces qu’on utilise à notre profit exclusif...
Mais une reflexion me vient : et si on appliquait les mêmes critères à l’être humain ?
Libertés relatives à sa santé physique :
- Satisfaction de la faim et de la soif,
- Absence de maladies et de blessures,
Libertés relatives à sa santé morale :
- Absence de stress et de douleur
- Absence d’inconfort
Liberté de comportement
- Sa vie doit se rapprocher de ce qu’elle serait en milieu naturel