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rosemar rosemar 5 juin 2023 21:39

@sylvain

« Dès le 25 février 2022, au lendemain seulement de l’invasion russe, l’Observatoire des conflits et de l’environnement (CEOBS) dressait déjà un premier bilan – non exhaustif – des dégâts. Dans des dizaines de villes, des incendies sur des infrastructures militaires et des aérodromes avaient libéré « une pollution atmosphérique nocive » composée de gaz toxiques, de particules fines et de métaux lourds qui se sont répandus ensuite dans des zones où résident des civils – laissant craindre une contamination des sols et des cours d’eau.

Depuis, la situation ne s’est pas améliorée. Le 21 février 2023, les ONG Greenpeace Europe centrale et de l’est, et Ecoaction, ont publié une carte recensant des destructions environnementales causées par la guerre depuis un an. Sur près de « 900 cas identifiés », 30 « parmi les plus graves » y sont représentés : des incendies de dépôts pétroliers à Okhtyrka, à Kharkiv, ou encore à Lviv ; une destruction de réservoir d’eau à Oskil ; une destruction d’usine proche de Marioupol, qui a augmenté le risque de pollution marine… »


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