La forte réduction d’activité lors de l’épidémie covid, l’arrêt de la circulation aérienne pendant 2 ans n’ont eu strictement aucun effet, pas une coupure, pas un frémissement, sur la concentration du CO2 dans l’atmosphère qui continue de croître comme si de rien n’était. Nos rejets sont infimes par rapport aux mouvements naturels.