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Legestr glaz Legestr glaz 14 mai 2023 10:10

@Legestr glaz

D’abord il y a un prélèvement de fluide et/ou de cellules chez la personne « malade ». Ce prélèvement est étudié « in vitro » et les opérateurs cherchent à faire multiplier les « virus ». Pour ce faire ils ajoutent au prélèvement en question tout un tas de choses, bien identifiées : des cellules VERO (provenant de singe) des cellules HELA (qui sont des cultures de cellules cancéreuses), des antibiotiques, de sérum bovin, des antimycotiques, bref les opérateurs n’observent pas un prélèvement pur. Ils le font « maturer ».

Ensuite cette « soupe » est soumise à ultracentrifugation et les particules les plus légères « surnagent ». Ce « surnageant » est supposé contenir les « virus » qui se sont développés « in vitro » dans la « préparation ». Comment isoler des virus dans cette soupe ? Les opérateurs utilisent des « amorces », 2 séquences génétiques « pré-existantes » et « disponibles dans des »banques génétiques« . Ces amorces sont mises en contact du »surnageant« jusqu’à ce qu’elles s’attachent à un certain ARN du »bouillon« , créant ainsi une molécule d’ADN artificielle, qui est ensuite multipliée par un certain nombre de passages PCR. Chaque série double la quantité d’ADN. Et les opérateurs laissent »tourner« jusqu’à obtenir quelque chose de »significatif« . Probablement plus de 30 séries.

Il se trouve que, pour un »virus nouveau« , il n’existe pas d’amorces génétiques susceptibles de correspondre à la fraction spécifique de ce »nouveau virus« . Les opérateurs utilisent, par conséquent, qui selon eux, sont les plus proches de la structure »supposée« de ce nouveau virus, mais il s’agit d’une »supposition« . En réalité c’est ce »protocole« qui »crée« le virus.
Les »amorces« sont constituées de 18 à 24 bases de nucléotides chacune.
Nous sommes à des années lumières de la méthode scientfique »classique« . Les opérateurs partent de »suppositions« pour aboutir à un résultat. Par ailleurs, le fameux »bouillon« contient des milliards de micro et nanoparticules (comme les vésicules extracellulaires). On peut donc, légitimement, se demander à quoi vont se rattacher les »amorces" sélectionnées d’une manière arbitraire ?

C’est complexe, et c’est sur cette complexité que repose le mensonge. Par exemple, le protocole d’isolement des vésicules extra cellulaire est bien mieux surveillé que ne l’est celui d’isolement des virus.


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